Une seule semaine
Et je me fais peur tout seul.
Chante-moi quelque chose de terrible.
J’ai honte de moi, je suis froid autour du cœur.
Je me crie mais qu’est-ce que tu fabriques tu le mérites pourrais-tu être meilleur pour les autres. Parfois me rappeler où ça te place dans la géhenne me désole et j’ai honte de fantasmer sur un monde sans toi en mon ombre. Le mange-bébé, le fossoyeur d’innocence, il n’y a plus assez de qualificatifs pour te rendre saisissable et te déboulonner de ton statut.
Les bleus pâlissent et partent mais le cœur en-dessous est toujours entaché et meurtri.
Article ajouté le Mardi 18 Janvier 2022 à 22h27 |
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