La nuit était tombée sur le Mont Couronné, et la douce lumière de la lune se reflétait sur l'épaisse couche de neige blanche, ce qui offrait une grande visibilité malgré l'heure tardive. Me voici, errant au beau milieu du paysage : un Absol aux yeux de rubis, et au pelage d'un blanc immaculé et scintillant pareil à celui de la neige. J'avançais lentement. Il faut dire que je commençais sérieusement à tomber de fatigue. Du matin au soir, j'avais cherché de quoi manger pour ma meute. Mais rien. Après quelques minutes, je renonçai à continuer et fis demi-tour. Je pris un raccourci en entrant dans un couloir étroit qui passait entre deux grandes falaises. Mes yeux fixaient une fleur blanche qui avait survécu au froid. A cette époque de l'année, tous les Pokémon oiseau avaient migré depuis longtemps, et cela faisait des lustres qu'on ne pouvait plus espérer voir un seul brin d'herbe. Les autres mâles étant tous gravement malades et inaptes au combat, j'étais seul pour chasser. Cela représentait en soi un énorme désavantage. Prenons un exemple : essayez de courser un Cerfrousse tout seul ! Je peux vous assurer que c'est impossible, car j'en ai déjà fait l'expérience. Continuant ma marche solitaire, je regardais mes griffes âbimées par le gel. Soudain, je m'aperçus que je m'étais trompé de chemin. J'étais arrivé sur le bord de la falaise où je passais souvent, qui formait une énorme et profonde cuvette rocheuse. Au fond se trouvait un village. Celui des humains.
Ah, le village... Encore aujourd'hui, je ne peux m'empêcher de maudire ce lieu de toute mon âme. C'est le nid de ces êtres monstrueux qui ont rejeté les miens, parce qu'ils avaient peur de notre faculté à prédire les catastrophes. Je me rappelle encore quand j'étais venu ici étant petit, avec mon frère. Nous étions venus jouer sans connaître les dangers qui s'exposaient à nous. Alors que nous nous amusions dans un coin reculé, une femme qui portait des bûches de bois s'était mise à hurler : << Le... Le Pokémon Désastre !! Sortez d'ici, monstres !! Horreurs !! >> Elle ne voulait plus se calmer. Une vraie furie. Mon frère et moi nous regardions, interloqués, se demandant ce que nous avions fait de mal. Bientôt ce ne fut plus seulement la femme, mais tout les habitants qui s'affolèrent. Des hommes sortirent avec des fusils de chasse, d'autres avec des fourches. J'étais paniqué, et je n'avais pas besoin d'avoir déjà vécu cette situation pour comprendre sa gravité. Usant de notre agilité, le coeur battant, nous nous étions enfuis, passant à toute vitesse entre les balles et les coups de fourches. Et c'est là que cela se produisit : alors que nous étions presque sortis du village, un chasseur réussit à toucher mon frère à la côte. Il tomba en poussant un cri de douleur. Je m'arrêtais et retournai vers lui, en pleurs, essayant de le hisser sur mon dos sans succès. Voyant que la foule d'humains se rapprochait, mon frère murmura de sa voix éraillée par la souffrance :
<< Enfuis-toi... C'est fini pour moi...
- Grand frère !! Non !!
- Fais-moi plaisir... Reste... en vie... >>
C'est ainsi qu'il poussa son dernier soupir, alors que je m'enfuyais en sanglotant, l'abandonnant aux griffes de ces monstres. A ce moment-là, j'ai tout perdu. Depuis, ma haine contre les Hommes s'accroit chaque jour un peu plus. Ma tristesse, avec les années, s'était transformée en colère. Les chalets d'où s'échappait de l'épaisse fumée blanche me révulsaient : ils dormaient au chaud, alors que nous, nous crèvions de froid ? Je voyais les silhouettes des enfants qui dansaient derrière les fenêtres, insousciants. Cette même insousciance me hérissait le poil. La vue d'un homme frappant un Miaouss perdu, venu quémander de la nourriture m'acheva : j'en avais assez vu. A bout, je repartis en direction de la grotte où ma meute s'était réfugiée, frissonnant de dégoût.
Sur le chemin, je croisais deux enfants âgés d'environ 5 ans, à vue d'oeil. J'avais beau détester les humains, je n'allais pas m'en prendre injustement à des gamins. Mes belles pensées s'évanouirent quand je reçus une boule de neige dans la figure. Je me retournai vers les deux mômes et vis qu'ils étaient tous les deux étalés de rire. Je poussai un affreux grognement qui les fit crier et s'enfuir en courant. Agacé, je continuai mon chemin. Moi, je n'avais pas le temps de jouer. Mon passe-temps, c'est la survie.
Lorque je rentrai dans la grotte, les sept autres membres qui composaient le groupe étaient tous couchés à divers endroits. La roche bleutée qui composait les murs était gorgée d'humidité, et ce n'était décidément pas un endroit où dormir. Il faisait presque plus froid à l'intérieur que dehors. Quand ils me virent, mes semblables se relevèrent en me fixant, le regard plein d'espoir. Cela me faisait tellement mal au coeur de les décevoir... C'est d'une voix que je m'efforçai de rendre la plus sobre possible que je leur annonçai :
<< Je suis désolé... Ce ne sera pas pour ce soir non plus. >>
Ils restèrent debout quelques secondes, puis se recouchèrent faiblement, accablés. Je fus pris d'une culpabilité atroce. Une voix douce sussura derrière moi :
<< Ne t'en veux pas... Ce n'est pas ta faute. >>
C'était Arcade, l'une des seules femelles du groupe. Ses propos avaient beau partir d'un bon sentiment, je ne m'en sentais que plus mal.
<< C'est gentil de vouloir me consoler. Merci.
- A ton service.
- Dis-moi, où est Kao ?
- Ah, il est parti chercher de la nourriture comme tu ne revenais pas.
- Je vois... >>
Juste à cet instant précis, l'intéressé débarqua dans la grotte, un énorme bout de viande presque aussi gros que moi dans la gueule. Son corps massif était balafré de partout, suite à une escapade au village quelques années plus tôt. Ses petits yeux brillants luisaient dans le noir. Il déposa son butin sous les yeux ébahis de tout le monde et clama de sa grosse voix grave et profonde :
<< Voilà ! Servez-vous, tout le monde ! >>
Tous les membres se levèrent, tellement heureux qu'ils n'osaient pas prendre la première bouchée. Arcade alla les rejoindre, toute joyeuse. Je fixais Kao d'un oeil suspicieux. Quelque chose ne tournait pas rond. D'habitude, il ne ramenait jamais rien. Que lui valait ce soudain talent de chasseur ? Après mûre réflexion, je lui lançai :
<< Kao, cette viande, tu l'as eu chez les humains, n'est-ce-pas ? >>
La petite assemblée se tourna vers moi, bouche bée. Kao se tourna à son tour, le regard meurtrier. Il m'aboya :
<< Oui, et alors ? Ca trainait par terre devant une maison. >>
J'écarquillai les yeux, choqué par sa stupidité. Les Hommes avaient disposé des appats un peu partout depuis qu'ils nous avaient vu traîner autour du village. Il avait certainement ramassé l'un d'eux...
<< Kao, tu sais pourtant à quel point ils nous craignent ! C'est sûrement un piège, bon sang ! >>
Il était furieux que je m'en mèle ainsi. Il ne voulait surtout pas que je lui vole la vedette sous les yeux de tout le monde. Il eut un sourire en coin, puis se mit à s'esclaffer qu'il ne fallait pas le remercier, qu'il s'en moquait et que c'était tout naturel. Je regardais chacun des Absol de la meute furtivement. Ils avaient tous l'air séduits par son cinéma, et pour manger ils auraient fait n'importe quoi. Même s'allier à Kao. Dégoûté d'être trahi ainsi, je me retournai brusquement vers Arcade. Elle s'excusa :
<< Désolée... Mais je ne pense pas que ce soit empoisonné, tu sais... >>
Accablé, je la fixais d'un regard rempli d'incompréhension. Je poussai Kao pour me placer au centre de tout le monde.
<< Ecoutez-moi ! Je suis persuadé que c'est un piège, n'y touchez sous aucun prétexte ! Les Hommes n'hésiteraient pas à... >>
Me coupant la parole, Kao explosa de rire.
<< Il n'y a que toi qui penses que les humains sont des monstres. Il y avait aussi ton crétin de frère, mais malheureusement celui-ci n'est plus là pour en parler... Raffraichis-moi la mémoire... Comment il est mort, déjà ? >>
Mon sang ne fit qu'un tour. Je me jetai sur lui et l'envoyai s'écraser sur le mur d'en face d'une attaque tranche. Il se releva, sonné, puis hurla à l'attention des autres membres :
<< Attrapez-le !! C'est un traître, foutez-le dehors !! Qu'il crève comme son clébard de frère !! >>
Je me retrouvai coincé au milieu de cinq Absol, sous une pluie de coups. Stupéfait de cette révolte improvisée, je me débattais, mais mes pattes pédalaient dans le vide. Ils m'avaient soulevé et se dirigeaient vers la sortie. Je ne pus rien faire. Ils me jetèrent du trou de la caverne et j'atteris quelques mètres plus loin, me receptionnant avec une roulade. Je revins précipitemment à l'entrée mais ils la fermèrent d'un rocher juste avant que je l'atteigne. J'étais effondré. Tout était fini, maintenant. J'étais sûr que cette viande était empoisonnée. Mais je ne pouvais plus rien faire pour les empêcher d'y toucher. La neige tombait à gros flocons sur mon museau brûlant, et le sang des plaies causées dans la mélée se répandait dans la neige, la teintant de rouge. Je restai de longues minutes devant la porte, et quand je n'entendis plus de bruit, je sus que c'était fini. Désormais, je n'avais plus nulle part où aller. Le coeur vide et les yeux secs, je me levai et entamai ma marche funeste qui me dirigerai vers la falaise. Arrivé au bord, je m'arrêtai. Je regardai les cabanes où dormaient les Hommes, bien au chaud. Des gens se promenaient avec de luxueux manteaux en fourrure de Pokémon. Je soupirai : il n'y avait décidément rien de bon en eux. Finalement, ils auront été égoïstes jusqu'au bout... Après un dernier regard au pauvre Miaouss affamé de tout-à-l'heure, je retins mon souffle, et, pendant que mon corps basculait dans le vide, je pensai une dernière fois...
<< Attends-moi, frère. J'arrive. >>
Ah, le village... Encore aujourd'hui, je ne peux m'empêcher de maudire ce lieu de toute mon âme. C'est le nid de ces êtres monstrueux qui ont rejeté les miens, parce qu'ils avaient peur de notre faculté à prédire les catastrophes. Je me rappelle encore quand j'étais venu ici étant petit, avec mon frère. Nous étions venus jouer sans connaître les dangers qui s'exposaient à nous. Alors que nous nous amusions dans un coin reculé, une femme qui portait des bûches de bois s'était mise à hurler : << Le... Le Pokémon Désastre !! Sortez d'ici, monstres !! Horreurs !! >> Elle ne voulait plus se calmer. Une vraie furie. Mon frère et moi nous regardions, interloqués, se demandant ce que nous avions fait de mal. Bientôt ce ne fut plus seulement la femme, mais tout les habitants qui s'affolèrent. Des hommes sortirent avec des fusils de chasse, d'autres avec des fourches. J'étais paniqué, et je n'avais pas besoin d'avoir déjà vécu cette situation pour comprendre sa gravité. Usant de notre agilité, le coeur battant, nous nous étions enfuis, passant à toute vitesse entre les balles et les coups de fourches. Et c'est là que cela se produisit : alors que nous étions presque sortis du village, un chasseur réussit à toucher mon frère à la côte. Il tomba en poussant un cri de douleur. Je m'arrêtais et retournai vers lui, en pleurs, essayant de le hisser sur mon dos sans succès. Voyant que la foule d'humains se rapprochait, mon frère murmura de sa voix éraillée par la souffrance :
<< Enfuis-toi... C'est fini pour moi...
- Grand frère !! Non !!
- Fais-moi plaisir... Reste... en vie... >>
C'est ainsi qu'il poussa son dernier soupir, alors que je m'enfuyais en sanglotant, l'abandonnant aux griffes de ces monstres. A ce moment-là, j'ai tout perdu. Depuis, ma haine contre les Hommes s'accroit chaque jour un peu plus. Ma tristesse, avec les années, s'était transformée en colère. Les chalets d'où s'échappait de l'épaisse fumée blanche me révulsaient : ils dormaient au chaud, alors que nous, nous crèvions de froid ? Je voyais les silhouettes des enfants qui dansaient derrière les fenêtres, insousciants. Cette même insousciance me hérissait le poil. La vue d'un homme frappant un Miaouss perdu, venu quémander de la nourriture m'acheva : j'en avais assez vu. A bout, je repartis en direction de la grotte où ma meute s'était réfugiée, frissonnant de dégoût.
Sur le chemin, je croisais deux enfants âgés d'environ 5 ans, à vue d'oeil. J'avais beau détester les humains, je n'allais pas m'en prendre injustement à des gamins. Mes belles pensées s'évanouirent quand je reçus une boule de neige dans la figure. Je me retournai vers les deux mômes et vis qu'ils étaient tous les deux étalés de rire. Je poussai un affreux grognement qui les fit crier et s'enfuir en courant. Agacé, je continuai mon chemin. Moi, je n'avais pas le temps de jouer. Mon passe-temps, c'est la survie.
Lorque je rentrai dans la grotte, les sept autres membres qui composaient le groupe étaient tous couchés à divers endroits. La roche bleutée qui composait les murs était gorgée d'humidité, et ce n'était décidément pas un endroit où dormir. Il faisait presque plus froid à l'intérieur que dehors. Quand ils me virent, mes semblables se relevèrent en me fixant, le regard plein d'espoir. Cela me faisait tellement mal au coeur de les décevoir... C'est d'une voix que je m'efforçai de rendre la plus sobre possible que je leur annonçai :
<< Je suis désolé... Ce ne sera pas pour ce soir non plus. >>
Ils restèrent debout quelques secondes, puis se recouchèrent faiblement, accablés. Je fus pris d'une culpabilité atroce. Une voix douce sussura derrière moi :
<< Ne t'en veux pas... Ce n'est pas ta faute. >>
C'était Arcade, l'une des seules femelles du groupe. Ses propos avaient beau partir d'un bon sentiment, je ne m'en sentais que plus mal.
<< C'est gentil de vouloir me consoler. Merci.
- A ton service.
- Dis-moi, où est Kao ?
- Ah, il est parti chercher de la nourriture comme tu ne revenais pas.
- Je vois... >>
Juste à cet instant précis, l'intéressé débarqua dans la grotte, un énorme bout de viande presque aussi gros que moi dans la gueule. Son corps massif était balafré de partout, suite à une escapade au village quelques années plus tôt. Ses petits yeux brillants luisaient dans le noir. Il déposa son butin sous les yeux ébahis de tout le monde et clama de sa grosse voix grave et profonde :
<< Voilà ! Servez-vous, tout le monde ! >>
Tous les membres se levèrent, tellement heureux qu'ils n'osaient pas prendre la première bouchée. Arcade alla les rejoindre, toute joyeuse. Je fixais Kao d'un oeil suspicieux. Quelque chose ne tournait pas rond. D'habitude, il ne ramenait jamais rien. Que lui valait ce soudain talent de chasseur ? Après mûre réflexion, je lui lançai :
<< Kao, cette viande, tu l'as eu chez les humains, n'est-ce-pas ? >>
La petite assemblée se tourna vers moi, bouche bée. Kao se tourna à son tour, le regard meurtrier. Il m'aboya :
<< Oui, et alors ? Ca trainait par terre devant une maison. >>
J'écarquillai les yeux, choqué par sa stupidité. Les Hommes avaient disposé des appats un peu partout depuis qu'ils nous avaient vu traîner autour du village. Il avait certainement ramassé l'un d'eux...
<< Kao, tu sais pourtant à quel point ils nous craignent ! C'est sûrement un piège, bon sang ! >>
Il était furieux que je m'en mèle ainsi. Il ne voulait surtout pas que je lui vole la vedette sous les yeux de tout le monde. Il eut un sourire en coin, puis se mit à s'esclaffer qu'il ne fallait pas le remercier, qu'il s'en moquait et que c'était tout naturel. Je regardais chacun des Absol de la meute furtivement. Ils avaient tous l'air séduits par son cinéma, et pour manger ils auraient fait n'importe quoi. Même s'allier à Kao. Dégoûté d'être trahi ainsi, je me retournai brusquement vers Arcade. Elle s'excusa :
<< Désolée... Mais je ne pense pas que ce soit empoisonné, tu sais... >>
Accablé, je la fixais d'un regard rempli d'incompréhension. Je poussai Kao pour me placer au centre de tout le monde.
<< Ecoutez-moi ! Je suis persuadé que c'est un piège, n'y touchez sous aucun prétexte ! Les Hommes n'hésiteraient pas à... >>
Me coupant la parole, Kao explosa de rire.
<< Il n'y a que toi qui penses que les humains sont des monstres. Il y avait aussi ton crétin de frère, mais malheureusement celui-ci n'est plus là pour en parler... Raffraichis-moi la mémoire... Comment il est mort, déjà ? >>
Mon sang ne fit qu'un tour. Je me jetai sur lui et l'envoyai s'écraser sur le mur d'en face d'une attaque tranche. Il se releva, sonné, puis hurla à l'attention des autres membres :
<< Attrapez-le !! C'est un traître, foutez-le dehors !! Qu'il crève comme son clébard de frère !! >>
Je me retrouvai coincé au milieu de cinq Absol, sous une pluie de coups. Stupéfait de cette révolte improvisée, je me débattais, mais mes pattes pédalaient dans le vide. Ils m'avaient soulevé et se dirigeaient vers la sortie. Je ne pus rien faire. Ils me jetèrent du trou de la caverne et j'atteris quelques mètres plus loin, me receptionnant avec une roulade. Je revins précipitemment à l'entrée mais ils la fermèrent d'un rocher juste avant que je l'atteigne. J'étais effondré. Tout était fini, maintenant. J'étais sûr que cette viande était empoisonnée. Mais je ne pouvais plus rien faire pour les empêcher d'y toucher. La neige tombait à gros flocons sur mon museau brûlant, et le sang des plaies causées dans la mélée se répandait dans la neige, la teintant de rouge. Je restai de longues minutes devant la porte, et quand je n'entendis plus de bruit, je sus que c'était fini. Désormais, je n'avais plus nulle part où aller. Le coeur vide et les yeux secs, je me levai et entamai ma marche funeste qui me dirigerai vers la falaise. Arrivé au bord, je m'arrêtai. Je regardai les cabanes où dormaient les Hommes, bien au chaud. Des gens se promenaient avec de luxueux manteaux en fourrure de Pokémon. Je soupirai : il n'y avait décidément rien de bon en eux. Finalement, ils auront été égoïstes jusqu'au bout... Après un dernier regard au pauvre Miaouss affamé de tout-à-l'heure, je retins mon souffle, et, pendant que mon corps basculait dans le vide, je pensai une dernière fois...
<< Attends-moi, frère. J'arrive. >>
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