Combat contre son pire ennemi
année barbare 1457
Je venais de déposer mon sac dans la crevasse. Nidoking me suivait de près, déterminé à en découdre. Il était une heure du matin. Je pris mon sniper, abattit les gardes, pris le passage que m'avait ouvert Nidoking, et, une fois dans la forteresse, le chemin était tout tracé. Je faisais mes premiers pas dans l'atmosphère pesante du château. Un premier couloir qui donne sur la gauche. Un escalier qui descend, je revint sur mes pas. Je pris un autre couloir à droite deux chemins, un qui donnait sur un escalier montant. Une fois à l'étage je rechargeais mes armes, rentrais Nidoking dans sa pokéball, et observais les allées et venues des gardes, puis, grâce à l'imagerie thermique, je descendis les deux premiers. Le troisième arriva, me vit, se dirigeât vers la sonnette, quelques centimètres et il aurait appuyé sur le bouton. Mais il tombe, la tête alourdit d'une balle de plomb. Je pris le quatrième couloir sur la droite. Deux pièces, toutes les deux symétriques, éclairés de vives lumières. L'atmosphère était oppressante. Je tirais une balle n'importe où dans la première salle grâce à mon sniper qui était silencieux. Un garde arriva. Je pris la mitraillette, je tuais tous les hommes de la salle, qui était manifestement le dortoir des soldats d'élite. Je cherchais une clé. Je la trouvais dans la poche d'un cadavre. Un homme me surpris par derrière. J'eux juste le temps de tiré une balle de glock dans sa tête. Il resta droit, tomba à genoux, souillant le sol de son sang. Il se retourna vers moi, me fit un geste obscène, avant que je ne le termine à coup de feu. Je me rendis, mitraillette à la main dans la seconde pièce, après avoir rechargé toutes mes armes. La seconde, presque identique, comportait une grande porte sur le mur droit. J'y introduis la clé, ouvris lentement la porte, levais lentement les yeux vers un spectacle terrifiant.
C'était Lugia. Il ne dormait pas. Il me regarda de son regard perçant. Je n'avais plus qu'une seule chose à faire. Courir. Mais à une vitesse que je n'avais jamais atteint. Il me poursuivait, tirant de son puissant Aéroblast autour de moi, sans me toucher. Je débarquais à l'extérieur. De nombreux soldats sortirent de chez eux, attirés par les cris de Lugia. Ils me tirèrent dessus à leur tour. Je me dirigeais vers la porte. Elle se refermait lentement. Pendant un moment, je crus que cela se passerait comme dans les films. Mais non. La porte se referma devant moi. Plus qu'une seule chose à faire, je tirais dans le tas. Je tirais de nombreuses rafales, faisant reculer l'ennemi en même temps que je les abattais par gros paquets. Mais au bout de vingt minutes, plus de munitions. Je lançais Nidoking, mais il ne put que détruire que quelques ennemis à la minutes. Et bientôt, il recula.
Je sentit dernière heure venue. Remis Nidoking dans sa pokéball, pris mon canif. Les ennemis formaient un cercle autour de moi. Ils n'étaient qu'à un ou deux mètres entre eux et moi Je vis Lugia, au-dessus d'eux. Attrapant la fiole de sang au bout de ma chaîne, je hurlais :
- Kévin, voici ta vengeance !
Et ce disant, je lançais le canif dans la direction de l'oiseau. La lame pénétra l'oiseau, tachant de sang son plumage blanc. Il s'abattit au milieu de la foule, sous les cris de terreur soldats. Maintenant que Kévin était vengé, je me concentrais de toutes mes forces sur une pensée unique : les
trois chiens légendaires. Alors, dans un terrible fracas, un cercle de lumière m'entoura, puis, dans une terrible déflagration, les trois chiens débarquèrent de nul part, comme s'ils avaient été invisibles et que cela cessait lentement. D'abord flou, les contours des trois chiens se firent plus net. Les lançant alors à l'attaque, je pensais à Kévin. Et cette pensée donnait des forces aux chiens. Les ennemis refoulaient vers la forteresse, tandis que je les poursuivais, ainsi que les chiens. Soudain, une explosion monumentale se fit entendre et la porte principale de la ville céda sur une charge de plus de mille Magmar. Les soldats de front des dévorants se déployèrent dans chaque avenue, chaque boulevard, chaque rue, chaque impasse, chaque ruelle. Entei lâcha un gros mur de feu, barrant la voie d'accès au château. Suicune éleva des murs de glaces devant chaque fenêtre, les Eaux étaient maintenant piégées dans leur propre forteresse. Mais s'il est bien un être au monde qui ne craint pas le feu, c'est Magmar. Les milles qui constituent les unités de choc dépassent le mur sans rien sentir et se jettent sur les ennemis. Soudain, Raikou saute par-dessus le mur, dépasse les Magmar et largue une énorme rafale de chocs électriques sur la force ennemie. La bataille est presque gagnée, lorsque, Lugia apparu dans les
cieux. Mais en face, Electhor était aussi apparu. Les deux oiseaux les plus puissants se battirent en duel. Mais quand cela tourna à l'avantage de Lugia, Electhor, maître du ciel, déclencha un énorme orage sur tout le pays.
Un immense coup de tonnerre se fit entendre. Lugia ne semblait plus rien voir. Seul Electhor pouvait voir dans son domaine : l'orage. Soudain, il apparut devant son ennemi, les yeux brillants. Une grande détonation fut suivit d'un gigantesque coup de foudre qui stoppa Lugia en plein vol. Ce
dernier tomba alors vers nous. Les trois chiens légendaires se placèrent sous lui et le rattrapèrent en vol. Soudain, Lugia repris un majestueux envol, mais Artikodin avait déjà paru. Il gela Lugia, le faisant à nouveau tomber sur les chiens qui le rattrapèrent. Le temps passa de la grosse pluie au beau fixe en moins de dix secondes. Lugia était vaincu, le duo mythique avait vaincu l'objet de destruction le plus puissant.