Le voyage de Drew et Bulbizarre- Tome 1 de sebpichu

Je me trouvais face au panneau indiquant la frontière de Jadielle et de la route 35. Je dépassait le panneau et j'entendis un bruit derrière des buissons.
Je me tenais sur mes gardes, me rappelant les consignes de ma mère et de mon père :
« Si jamais tu rencontres un pokémon sauvage, reste sur tes gardes, certains pokémon sont dangereux, et n'hésiterons pas à t'attaquer »
J'appliquait donc les consignes de mes parents. Je me tenais éloigné, la main portée à ma ceinture, la pokéball de Bulbizarre dans ma main.
Un pokémon surgit des hautes herbes. C'était un espèce de petit renard roux.
- Gooouuupix ! fit le pokémon.
Je pris mon pokédex et visionna sa fiche de renseignements.
- Goupix, le pokémon goupil. Goupix est un pokémon amical dont les attaques feu sont puissantes, goupix a l'habitude de crier pour faire fuir un agresseur, dit le pokédex.
- Parfait, m'exclamais-je. Bulbizarre, GO !!
Bulbizarre sortit de sa pokéball et vint se réfugier derrière moi.
- N'aies pas peur Bulbizarre, lui dis-je, prenant le ton le plus doux possible.
Il semblait inquiet et regardait Goupix d'un air effrayé.
- Bulbizarre, il faut que tu lance ton attaque Tranche-Herbe, maintenant !!
Mais il ne bougeait pas ! Il était paralysé par la peur. Je ne comprenais pas ce qui lui arrivait.
- Bulbizarre, qu'y a t-il ?
Il ne répondit pas. Le Goupix semblait ne pas apprécier que j'ai voulu l'attaquer. Alors il attaqua à son tour.
Un grande flamme rouge se dirigeait vers moi. Je n'avait pas le choix, je prit Bulbizarre dans mes bras et me jetai à terre.
J'était au sol. Je regardait Goupix qui me fixait. Alors, Bulbizarre, se mit à exécuter l'attaque Tranch'Herbe qui atteignit Goupix, qui fut jeté à terre.
- Oui, bravo Bulbizarre !! lui criais-je.
Le Goupix se releva. Il attaqua Bulbizarre avec une nouvelle attaque Lance-Flamme. Bulbizarre esquiva l'attaque et envoya à Goupix une puissante attaque Fouets-Lianes.
- Oui, tu l'a eu !!
Je me rendit compte que Goupix était assommé.
- Très bien, c'est le moment !!
Je prit une pokéball à ma ceinture, la décrocha, et la lança en prononçant ces paroles :
- Pokéball, GO !
Je lançais la pokéball sur Goupix qui fut aspiré dans la pokéball dans un éclair de lumière rouge.
La pokéball tomba par terre. Elle bougeait. Elle bougeait, puis, à un moment, elle s'immobilisa, et le point rouge qui scintillait au milieu de la pokéball disparut… L'avais-je capturer ?
Je m'approchait de la pokéball et la prit dans ma main. Puis je m'écriai en levant le poing dans lequel était la pokéball :
- J'ai capturé un Goupix !!
Mon Bulbizarre sautillait à côté de moi. Nous avions un nouveau membre dans notre équipe.
J'était heureux. Non seulement j'avais capturé un nouveau pokémon, mais j'avais aussi livrer mon premier combat pokémon.
Puis, me reprenant, je me reprit la route.
La journée était chaude, claire, et, en aucun cas, on aurait pu se doutait qu'on était en automne.
Je du même m'arrêter, pour me rafraîchir, tant la soleil me chauffait. Je fis sortir Bulbizarre de sa pokéball, lui donnant à boire.
Quand je voulus l'y faire revenir, Bulbizarre me fis signe qu'il voulait rester avec moi.
Il m'accompagna donc, tous deux marchant sous ce soleil infernal.
Deux heures plus tard, j'aperçût une forêt dense s'élever très haut.
Ce devait être la forêt de Jade, immense, si immense, qu'elle semblait toucher le ciel de ses hautes branches.
Je m'approchait de plus en plus de l'immense forêt. Puis, arrivant enfin a proximité de la forêt, je vis un panneau en bois suspendus où il était écrit :
« Forêt de Jade, le paradis des insectes »
Je me résolu à y entrer.
En y entrant, j'eus l'impression que la nuit était tombée tout à coup.
Il faisait sombre, tellement sombre, que je me mis à frissonner.
Bulbizarre était avec moi. Il avait peur lui-aussi et restait collé à moi. Tant bien que mal, j'avançait dans la forêt sinistre, regardant tout autour de moi, cherchant le moindre mouvement, le moindre petit bruit, faisant le moins de bruit possible pour n'attirer aucun pokémon.
Pendant quelques minutes me paraissant une éternité, j'avançait doucement parmi les buissons, puis au détour d'un chemin…