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La vie d'un Ponita de The_Matrix



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Informations

» Auteur : The_Matrix - Voir le profil
» Créé le 24/09/2003 à 11:18
» Dernière mise à jour le 24/09/2003 à 11:18

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Chapitre
C'est l'aube. Le village n'est pas encore réveillé. Le clocher sonne 7 :00. Seulement du côté de la campagne l'agitation commence. Quelques chandelles s'allument dans ces habitations fabriquées de bois ou de briques, qui sont séparées l'une d'elles d'une quinzaine de mètres, en cinq rangs de dix-sept maisons. Elles sont suivies de champs, habituellement de Maïs ou de Blé, qui s'étendent jusqu'à l'orée du bois.

Sur le terrain du 1961 rue des bouleaux, la maison verte du 4ième rang, marchent deux frères qui se dirigent vers la grange qui est situé à côté de l'écurie. Ils étaient pressés, ça se voyait par le pas qu'ils prenaient. Jack et Ben passèrent le champ de blé et entrèrent dans une prairie où les clôtures étaient électrifiées. Quelques Stantlers sauvages broutent dans le paddock du haut de la colline. La grange était située tout en haut, peinturée d'une couleur mi-voyante, la porte ouvrant par le côté, sur des roulettes.

Rendu dans la pente de la colline, les Stantlers entendirent les bruits de pas. Ils se figèrent, les oreilles aux aguets, le museaux reniflent l'air. Lorsque les deux hommes finirent de gravir l'amont, le groupe de pokémon cerf fuit au galop. Ben s'arrêta, les regarda un instant et dit à son frère :

- « Regarde comme ils sont rapides! J'espère que notre petit poulain va courir aussi vite, plus tard! Comme ça il sera parfait pour l'hippodrome! »
- « Allez, ne t'attarde pas là-dessus, dit Jack, qui avait continué de marcher. Vaut mieux qu'il saute! » Son frère le questionna du regard. Jack s'arrêta de marcher, le temps de lui expliquer, le dos tourner à la grange. « C'est que quand ils, les Ponyta ou Galopa, sont à l'hippodrome, les jockey les traite mal... coup de cravache et éperons. Ils travaillent sans repos maintenant!»
- « Tes sûr? »
- « Enfin... à ce que j'ai entendu dire! » Il recommença à marcher.
- « Me semblait aussi... Et pourquoi faudrait-il qu'il saute à la place? »
- « Car ceux qui saute sont mieux traités! Les cavaliers leur donnent des vitamines et tout! Et en plus il faut qu'ils communiquent ensemble pour faire du bon travail! Tu ne trouves pas que c'est mieux? »
- « OOOOuuuiiii... » dit-il, d'un ton hésitant.

Il rattrapa son frère qui était où la porte, en train de l'ouvrir. Elle grinça un petit moment et fit place à un spectacle fabuleux. La faible lueur de la lampe éclaira une Galopa d'un blond clair qui était couché dans la ripe de bois, proche d'accoucher. Ses yeux d'un vert émeraude imprégnait la souffrance. Elle avait chaud et hennit de douleur.

Jack se rendit à l'arrière du pokémon, tendit que son frère, Ben, commença à la flatter le cou de la jument, pour l'encourager. Il eu un petit mouvement dans son ventre. Elle hennit une autre fois, mais moins longtemps. Deux petites pattes blanches sortirent du ventre. Jack les prit entre ses mains et tira, ni trop fort, ni trop faiblement.

- Va si ma belle... chuchota Ben à l'oreille de la Galopa. C'est bien, vas-y. Tu y es presque!

Pendant ce temps, la tête et le ventre du poulain étaient sortit, il ne manquait plus que ses pattes de derrière. Après un dernier effort pour me mettre au monde, ma mère se reposa un peu.

Moi, j'étais enveloppé d'une sorte de d'enveloppe que mon maître enleva soigneusement. Ma mère me licha au complet. Ceci prit une dizaine de minute et partit, se levant avec peu de difficulté, et se dirigea vers la porte. Ben alla lui ouvrit et elle partit au pas rejoindre les autres équidés dans le champs.

Je ne compris pas tout de suite ce qu'il fallait que je fasse. J'hennis en la suppliant revenir m'aider. Tout ce qu'elle me répondit fut : « Allez lève toi! »

Je dus donc me soumettre à cette épreuve. Je mis une de mes pattes avant en avant de moi et avec la deuxième patte, je fis de même. Je me poussai vers le haut et mes pattes arrière firent le reste. Je m'écroulai, tête première sur le sol. Je me reprit et réessaya de nouveau. Cette fois je tins debout. Je m'élançai tête première vers le dehors. La lumière m'éblouit et m'écroula. Ce qui avait en avant de moi me laissa sans souffle...

À suivre dans le prochain chapitre...