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Le Labyrinthe de l'oubli de Light the Cursed Absol



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Informations

» Auteur : Light the Cursed Absol - Voir le profil
» Créé le 02/11/2014 à 16:17
» Dernière mise à jour le 02/11/2014 à 16:17

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Chapitre V
Mon réveil se met à sonner, et je me met à sursauter de surprise et le désactive aussitôt, il est déjà 7h et c'est un jour d'école. Regardant les environs, j'aperçois être de retour chez moi, dans ma chambre, en un seul morceau et douleurs estompées.

- Ce n'était donc qu'un rêve...

Pouvant enfin vivre sans la peur de souffrir à nouveau, je me lève de mon lit, m'habille, me coiffe et commence à préparer mon sac de cours, j'entends toquer à ma porte, l'ouvrant, j'aperçois ma mère.

Aillant un paquet cadeau en main, ses mots viennent en me le tendant :
- Joyeuse anniversaire ma puce ! Déjà 16ans dit donc ça ce fête !

Mon père arrive à son tour en apportant un énorme gâteau à la vanille et à la fraise avec 16 bougies au dessus, après les avoir soufflé Je leur saute dans les bras pour les remercier et ensuite je m'installe sur mon lit et ouvre leur cadeau, à ma grande surprise, à l'intérieur s'y trouvait la version Y de Pokémon. Mon cœur se met à battre la chamade, mes sourcils à se froncer, ma respiration devient plus forte. Me levant la tête baissée, je me met dos à mes parents pour ouvrir le tiroir de mon bureau qui se trouve à la gauche de mon lit et j'en sort mon canif, je saute sur ma mère et la poignarde au cœur tout en lui disant merci, mon regard étaient devenu ténébreux, mes yeux rouges de colère et de ma bouche sortait un petit sourire narquois. Mon père se met à crier de toutes ses force et à me fuir, mais je le suis jusqu'à ce que, par maladresse, il chute violemment dans les escaliers et se fracasse le cou. Les voisins ont entendu du bruit ainsi que les cris et appellent aussitôt la police, qui arrive peu de temps après. Tenant toujours en main le canif, je descends des escaliers et poignarde mon père au cœur même s'il est mort, l'envie de se défouler me hantait et même en riant et tout, des larmes se mettent à couler sur mon visage. La police arrive et ouvre brusquement la porte de la maison, me voyant dans cette posture, je me fais stopper net et arrêter.

J'ai eu le droit à un interrogatoire une fois au poste, quelque soit les questions qu'ils me posaient, je répondais toujours par :
- Je me souviens, enfin...

Après avoir parlé, on m'envoie dans une cellule le temps que la police fassent leurs recherches un peu partout dans la maison et dans les lieux se trouvant à proximité. Après quelques recherches dans la maison, ils y retrouvent ma mère, morte, étalée sur le sol de ma chambre et poignardée, plus de doute possible, je suis responsable de sa mort. Après avoir fouillé la maison, ils approfondissent leurs recherches et fouillent dehors derrière nôtre maison, ainsi que la grange. Quelque recherche par-ci par-la à l'intérieur de celle-ci, ils y retrouvent des mouchoirs, de la paille brûlée, du fer fondu mais aussi, mon journal intime dans une caisse à outils, cachée sous un tas de paille qui se trouvait dans un coin au fond à droite derrière une poutre. Celui-ci contient une photo de chacune des victimes portées disparues et tuées dans la grange, à coté de chacune était inscrit le nom de la victime, age, adresse, et toute sorte d'information les concernant. La police intervient, explique tout au procureur. Le jour suivant cette découverte, convocation au tribunal, la mère de chaque victime s'y trouve, mais personne de mon coté pour m'aider...

Pour tous les fait commis, j'ai le droit à la peine capitale :
- Mademoiselle Sirinthe, en raison des accusations encourues, tous les meurtres que vous avez commis, je vous condamne à errer en prison jusqu'à la fin de votre vie !

- La Justice gagne toujours, malgré ton dédoublement de personnalité tu as eu ce que tu méritais,
tel est pris qui croyait prendre, tu as fais le mauvais choix en continuant sur cette voix, maintenant tu es punie, tôt ou tard ils l'auraient appris, à présent, je te fais mes adieux.

La Voix de la raison, disparaît à jamais après avoir accompli sa mission qui était de me faire entendre raison.


Fin