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Pokémon [Recueil de poèmes] de M@xime1086
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Informations
» Auteur : M@xime1086 - Voir le profil» Créé le 26/07/2014 à 17:04
» Dernière mise à jour le 27/02/2016 à 14:51
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La ville aux palettes
[size=5]L[/size][size=5]a ville aux palettes[/size]
Le soleil se levait à l'aube d'un départ
Et colorait l'horizon jusque là blafard,
Annonçant d'un oiseau la sublime envolée
Qui de ses ailes ardentes va tout brûler.
Dans un brin d'eau de mer, nageaient des Magicarpe,
Pas un seul pêcheur tentait d'attraper ces carpes
Qui sautaient pour atteindre les milles couleurs
Du ciel changeant, qui disait toutes les douleurs,
Encerclé, par des herbes aux senteurs de Provence.
J'entends le doux pas lointain d'une diligence
Qui s'arrête, fatiguée, dans les rues désertes.
Trois Pokémon montent la garde. Ils sont alertes
Ils se chamaillent devant le laboratoire
Du plus célèbre professeur, couvert de gloire
Et que l'on appelle ici, d'un ton bienveillant :
Chen, comme l'arbre robuste, Chen, comme le savant.
La diligence traversa toutes les rues.
Pas un solitaire ne l'avait encore vue ;
Seuls deux habitants s'étaient hasardés dehors
Partageant leurs doux souvenirs avec la flore
Dont les fleurs se mettaient à danser au soleil,
Saluant le large arc-en-ciel en éveil.
Dans le ciel doré se dessinait Ho-Oh flou
Dont les couleurs flamboyantes s'ouvraient à nous.
Le soleil se levait à l'aube d'un départ
Et colorait l'horizon jusque là blafard,
Annonçant d'un oiseau la sublime envolée
Qui de ses ailes ardentes va tout brûler.
Dans un brin d'eau de mer, nageaient des Magicarpe,
Pas un seul pêcheur tentait d'attraper ces carpes
Qui sautaient pour atteindre les milles couleurs
Du ciel changeant, qui disait toutes les douleurs,
Encerclé, par des herbes aux senteurs de Provence.
J'entends le doux pas lointain d'une diligence
Qui s'arrête, fatiguée, dans les rues désertes.
Trois Pokémon montent la garde. Ils sont alertes
Ils se chamaillent devant le laboratoire
Du plus célèbre professeur, couvert de gloire
Et que l'on appelle ici, d'un ton bienveillant :
Chen, comme l'arbre robuste, Chen, comme le savant.
La diligence traversa toutes les rues.
Pas un solitaire ne l'avait encore vue ;
Seuls deux habitants s'étaient hasardés dehors
Partageant leurs doux souvenirs avec la flore
Dont les fleurs se mettaient à danser au soleil,
Saluant le large arc-en-ciel en éveil.
Dans le ciel doré se dessinait Ho-Oh flou
Dont les couleurs flamboyantes s'ouvraient à nous.