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Destiné incertaine de suki03



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Informations

» Auteur : suki03 - Voir le profil
» Créé le 19/11/2013 à 04:22
» Dernière mise à jour le 19/11/2013 à 04:24

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Légende
Xena errait toujours dans la forêt à la recherche de nourriture. Ses chasses n'étaient pas souvent concluante, pourtant cela ne l'inquiettais pas. En revanche, elle craignait de ne pas trouver un but à ça vie. Elle avait été arraché à ça famille, tout ce qu'elle aimait et admirait avait disparût, il ne lui restait rien.''À quoi bon vivre ?, pensa-t'elle''. Elle espérait plus que tout que ça survie servait à quelque chose, que les dieux l'avait choisis pour une destinée présice. Maigre et faible, elle n'allait pas encore tenir plusieurs lunes ainsi, surtout que l'hiver approcha.

Marchand dans sa solitude, elle ne vit pas la créature qui l'épiait. Cela faisait un bon moment qui la suivait. Xena dressa les oreilles. Un Abo se tenait tout près, elle pouvait entendre des sifflements subtils.''Mmmm, un serpent pour déjeuner,pensa Xena en ce lèchant les babines''. La medhyena se mit à plat ventre et elle se déplaça silencieusement vers ces sifflements. Le pokémon qui scrutait Xena se mit en déplacement pour la suivre. Elle leva la tête pour appercevoir ça proie qui dormait au pied d'un chêne.''Pfff trop facile, rigola Xena''. Elle se plaça puis sauta. Au même moment un Arbok sortie de nul part et plaqua durement la Medhyena dans un sifflement terrifiant. Le petit Abo se réveilla puis regarda sa mère avec effroit. Xena se releva difficilement en haletant. ''Eh merde, se découragea-t'elle''. Elle se tenait devant un Arbok qui semblait... apeuré.

Xena regarda Arbok, éberluée. Elle n'y comprenais rien. Le Arbok qui se tenait devant elle, affichait une mine affolé. Il recula avec son petit en crachant du venin à la place de s'attaquer à elle.

-Casse toi saleté de Arbok, je suis trop puissante pour toi, tu fais bien de FUIR, s'exclama Xena.

Le serpent géant pris la fuite avec son petit. Elle les regardaient partir jusqu'à ce que le calme soit revenu. Elle avait déjà combattu ses sales bêtes et ils n'avaient pas l'habitude de fuire de cette façon..... Une lourde respiration se fit entendre derrière Xena. Elle se glaca d'effroit, ce n'était donc pas elle qui avait fait fuir les serpents....

Elle déglutis en se retournant lentement. Elle ouvrit grande la bouche, ébahie de voir ce qui se tenaint devant elle. Un Arcanin. L'immense chien rayé demeurait immobile devant Xena. Elle pris quand même soin de reculer, incertaine de ce pokémon.

-Je ne te ferais pas de mal, Medhyena, avouait l'Acanin de sa grosse voix.
-Ouais je sais sinon tu m'aurais déjà sauter dessus, fit remarquer Xena.
-Quel est on nom ?, demanda-t'il.
-C'est pas de tes affaires, répliqu'a la Medhyena, bon, c'est pas que t'es ennuyant, mais moi j'ai autre chose à faire, adieu.

Elle tourna les talons et commença à marcher, mais celui-ci vint lui faire face.

-Tu ne me remercie pas ?
-Te remercier pour quoi ?, cracha sèchement Xena.
-De t'avoir sauvé la vie !, insista l'Arcanin.
-Écoute moi bien, sale chien, tu ne m'as pas sauvé, tu es juste passé par hasard et ce Arbok à eu peur de toi... Tu comprends, le HASARD !, répliqua-t'elle en contournant l'Arcanin.

Il la regarda marcher un instant avant de dire:

-Tu as tord, petite.

Xena s'arrêta de marcher en plaquant ses oreilles sur sa tête. Elle se retourna vers l'Arcanin.

-Tu commences à m'énerver, tu as de la chance que je me contrôle, car sinon... tu serais déjà mort et je serais en train de savourer ta tendre chaire, menaça-t'elle.
-Cela fait un moment que je te suis, que je t'observe, répondit-il en ignorant les menances, tu es faibles et tu meurs de faim. Laisse moi t'ai....
-IMPOSSIBLE !, cria Xena en le coupant, j'aurais sentis ton odeur désagréable ou je t'aurais entendus. Personne, PERSONNE ne peux contourner mes sens !
-Moi si, répondit Arcnin.
-Ferme la et laisse moi tranquille, je ne veux plus jamais te revoir. Allez CASSE TOI j'te dis, s'énerva Xena.
-D'accord, mais sache juste, que je ne te laissera pas mourrir.

Puis l'Arcanin disparut dans un bond gracieux. Xena se retrouva à nouveau seule dans cette vaste forêt.

>> Kiwalee courait en direction de leur ancienne tanière et Xena avait de la difficulté à la suivre, ça soeur avait toujours été plus rapide.

-Kiwalee attend, s'époumona Xena, attend ! Ce n'est peut-être pas une bonne idée d'y retourner.

Sa soeur l'ignora et gardait le rythme de sa course. Rendu à proximité, Kiwalee s'arrêta net puis se mit à pleurer chaudement. Xena arrivait près de sa soeur et près d'un corps mort. C'était Hirim, un des Medhyena avec qui elles avaient joué la veille. Les yeux de Xena commencèrent à sintiller de larme, mais elle les retenaient. Elle se pencha sur sa soeur dans le but de la réconforter.

-Viens Kiwalee, nous devrions partir, nous en avons assez vue, chuchota Xena.
-Hi...Hirim, hoqueta sa soeur, tu étais si drôle, pour...pourquoi ?
-Levons nous et retournons à....
-Pour allez oû HEIN ? Nous avons plus rien Xena, RIEN !

Kiwalee se leva et marcha en direction de la tanière. Xena la suivit légèrement en arrière. Arrivé à la tanière, il n'y avait rien, aucune trace de leurs parents jusqu'à ce qu'un toussement rauque se fit entendre. Tournant la tête en parfait syncronisation vers le bruit, elles le virent.

-Paaapaaaaa, cria désespérément Kiwalee en s'élança vers lui.<<


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La tampérature était fraîche en cette journée ensoleillé. Les arbres étaient presque tous rendus nus. Je voyais souvent des oiseaux volés en groupe. Ils volaient toujours dans la même direction, parfois c'étais des Canarticho parfois des Nirondelle et même des plus grands oiseaux dont je ne conaissais pas encore le nom. Ma mère, Érina, nous lavaient doucement, je savais que j'étais assez grand pour faire ma propre toilette, mais j'adorai lorsque ma mère me le faisait, je trouvais cela réconfortant et apaisant. Rendu au tour de Mio, il protesta.

-Arrête maman ! Je suis capable de faire ma toilette moi même et je trouve que je suis assez propre comme ça.
-Comme tu veux mon chérie, lui souria-t-elle en commença la toilette de Nira.

Je regardais mes frères et soeurs, ils avaient tous changés. Mio qui était autrefois grasouillet devenait de plus en plus costeau, Faïmair était toujours plus frêle que les autres, cependant il était presque aussi grand que ma mère. Comparé à Mio et Nira qui avait leur fourrure Blanche et noir plus équilibrer, Faïmir avait beaucoup plus de noir que de blanc. Seulement le bout de son museau et ses pattes étaient blanche. Rose était rester blanche comme ma mère et moi noire comme mon père. Plus que Rose grandissait et plus la beauté fleurissait en elle. J'espère qu'elle se trouvera un Grahyena, digne de sa beauté et son intelligence. Nira aussi était très belle, mais d'une manière différente. Elle était la plus maladroite de la famille !

Un vent froid soufflait sur nous, je me surpris à frissonner. Ma mère qui remarqua me dit:

-Ne t'inquiète pas, tu t'habituras aux froids mon petit loup, dans les prochains jours, il ne fera que faire de plus en plus froid jusqu'à ce que la pluit se transforme en neige.
-Mais pourquoi il ne va pas continuer à faire chaud comme avant ? , demanda Rose.

Érina souria d'une douceur qu'elle seule pouvait le faire.

-Mes petits, je vais vous rencontrer ce que ma mère me disait lorsque j'étais petite à propos de la Mère louve.
-Ouais, j'adore les histoires !, s'enthousiasma Nira. C'est qui la Mère louve ?, demanda-t'elle par la suite.
- La Mère louve est la Mère spirituelle de tous les loups, ce qui veut dire qu'elle vit dans le coeur de chaqu'un de nous, son nom est Abey, ce qui signifie ''feuille''.
-Est-ce qu'elle était belle ? , demanda Faïmir les yeux brillants.

Elle regarda Faïmir en clignant des yeux.

-La légendes raconte que lorsqu'un mâle croisait le regard de Abey, il en tomba follement amoureux à la seconde près. C'est de la que vient l'expression ''Croiser le regard de Abey''.

Elle s'arrête un instant puis continua.

-On dit que la nature aussi était follement amoureuse de Abey puisque c'était une louve qui rayonnait de beauté et de joie de vivre. Elle souriait à la vie et trouvais toujours de la lumière dans l'osbcurité la plus sombre. Tout le monde l'aimait et elle aimait tout le monde. On dit aussi que des petites fleurs bleus poussaient partout ou elle allait. Un jour, elle tomba amoureuse d'un Grahyena nommé Wapi. Ce pokémon était différent de tout les autres. Comparé aux autres mâles, il n'essayait pas toujours de montrer sa supériorité dans le but de l'impressioner, à la place, il lui apporta des fleurs dans sa gueule ou lui donna souvent une part de son repas, même si elle avait déjà manger avant lui.
>>Toutes ses petites attention firent qu'elle tomba profondément en amour avec lui, elle ne pouvait pas être plus heureuse. Mais un jour les mâles partirent à la chasse et quelque chose se passa. Les mâles se firent attaquer par quelque chose de plus dangereux qu'eux, plusieurs étaient revenus gravement blessé, mais Wapi n'étais pas revenus, il s'était sacrifié pour sauver les autres mâles. Le coeur de Abey se brisa en mille morceaux et le sourire disparut de son visage pour y être remplacer par des larmes. La nature réagis à cette tristesse et commença à se fétrire de plus en plus avec le temps jusqu'à ce que le froid et la neige arrivent. Toute la végétation avait arrêter de pousser donc cela fit fuire les troupeaux très loin de la meute. Elle commençait à manquer de nourriture et cela rendit les Grahyena agressif les uns envers les autres. Plusieurs mâles essayèrent de conquire le coeur de Abey, sans grand résulta, elle pensa seulement à son Wapi.
Un jour en se promenant dans la nature, elle rencontra un vieux Grahyena, il lui dit qu'il pouvait l'aider à retrouver Wapi. Elle accepta et puis elle disparut en poussière dans le souffle de la brise. C'est à ce moment ci que la vie redevenait normal. Les plantes recommencèrent à pousser et les troupeaux étaient de retours. Les nuages disparût et l'espoir reprenait vie. Tout ceci uniquement durant la moitiée d'une année...

-Pourquoi durant seulement six lunes ?, demanda Mio, intrigué.
-Puisque l'autre moitié de l'année elle retourne vers les cieux pour retrouver la compagnie de son Wapi bien aimé, souffla ma mère.
-J'ai de la difficulté à comprendre, dit Nira, perplexe.
-Mes chéries, cela est simple, rigola-t'elle de son doux rire, durant six lunes, son âme est avec nous sur terre pour redonnez vie à la nature et pour avoir un oeil bienveillant sur nous. Durant les autres lunes restantes, elle retourne aux cotés de Wapi, mais cela n'empêche pas à la Mère louve de nous offrir la paix.
-C'est une histoire magnifique Maman, m'émervaillais-je en baillant.

J'allais me coller à Rose puis je m'endormit avec la merveilleuse légende de la Mère louve Abey dans mes pensées.