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Destiné incertaine de suki03



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Informations

» Auteur : suki03 - Voir le profil
» Créé le 08/11/2013 à 05:51
» Dernière mise à jour le 12/11/2013 à 04:43

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Couleurs
Partie 1

Les nouvelles couleurs fusèrent devant moi, le bleu du ciel, le brun de la terre, le vert des feuilles d'arbres. Des formes flous apparurent tranquilement autour de moi. Mais le plus magnifique était la belle fourrure blanche de ma mère et ses yeux bleus saphire, c'était la plus belle de toute les Grahyenas. Je regardais mes frères et soeurs, mes deux grand-frères ainsi que ma grande soeur avait la fourrure noir et gris pâle, ma petite soeur était blanche comme la neige. On aurait dit ma mère, mais en miniature. Je remarqua que contrairement à nous, elle avait encore les yeux fermés. Probablement à cause qu'elle se développait moins vite que nous.

Je me suis alors demander quel était la couleur de ma fourrure. Je regarda mes petites pattes avant et elles étaient toutes les deux complètement noir ainsi que mes pattes arrières. Tout mon corps entier étais recouvers d'une jolie fourrure noir comme la nuit. J'étais heureux d'être différent de mes frères et soeur. J'avança péniblement vers ma mère, tout comme mes frères et soeurs, puisqu'il était temps de manger. Il était maintenant beaucoup plus facile de trouver à boire grâce à ma vision. Je voyais que ma petite soeur avait encore de la difficulter à trouver alors je l'aida en l'a guidant simplement avec mon musceau vers un seins.
Ma mère leva sa tête vers nous avec un beau sourire. Ses yeux était empreint d'une merveilleuse douceur, cela me réchauffa le coeur.

- Mes petits, dit-elle doucement, je vais maintenant vous attribuer des noms.

Elle regarda le plus gros de mes frères et le nomma en premier.

-Toi, tu sera Mio, décida-t-elle en lèchant doucement la tête de Mio.

Son regard se posa sur ma grande soeur et mon autre grande frère, plus frêle que Mio.

- Nira et Faïmir, dit-elle en souriant.

Elle regarda ensuite ma petite soeur tendrement.

-Ma petite Rose.

Ce nom lui allait vraiment bien ! Surtout à cause de sa petite truffe toute rose, elle était trop mignonne. C'étais maintenant mon tour, j'avais tellement hâte de savoir mon nom que ma queu se secouait très trèès vite. Ma mère allait prononcer mon nom lorsque mon père arriva. Je remarqua que tout comme moi, il avait le pelage complètement noir, j'étais heureux de ressembler beaucoup à mon père.

- Érina, ma chérie, dit-il de sa voix grave, puis-je avoir l'honneur de nommer le dernier de nos petits Mehyenas ?

- Bien sûr, souria-t-elle.

- Merci, répondit-il en se tournant vers moi. Et bien mon petit, tu me ressemble beaucoup, me souria-t-il. Je vais te nommer Leiko.

Je fis un petit jappement pour dire que j'étais plus que satisfait de mon prénom, de plus c'était mon père qui m'avait nommé et j'en ressentais une grande fièrter. '' Leiko, je me nommais Leiko, pensais-je en souriant''.. J'adorai.. Je m'endormis près de ma mère heureux d'avoir été nommé ainsi.


Partie 2

Je pouvais maintenant marcher sur mes quatres pattres sans tomber tout les deux pas, j'en était fiert. Malgré l'humidité étouffante qui se trouvait à l'extérieure, je sortis du nid familliale, qui était en fait un trou bien camouflé sous un arbre colossal. Il y avait bien trop de chose à découvrir dans ce vaste monde pour rester cloîtrer à l'intérieure.
Comme à l'habitude, mon père était assis sur son rocher à surveiller la forêt bien éveillée. J'avança lentement vers lui, la langue pendante dû à cette chaleur d'été. Je pris place au pied de son rocher et lui demanda.

-Alors papa, tu vois quelque chose ?
-Oui Leiko, je dirais même que je vois plusieurs chose à la fois, souria-t'il, et toi, que vois-tu, mon fils ?
-Je te vois toi, papa ! , rigolais-je en remuant ma queu touffue.
-Ce que je veux dire c'est: Qu'est-ce que tu vois au-delà de moi ?, me redemanda-t'il plus sérieusement.

Je détourna mon regard pour faire face à cette forêt. Je me concentra du mieux que je le pouvais, cependant tout ce que j'appercevais était l'épais feuillage des centaines d'arbres qui se trouvait devant moi. Plusieurs minutes passa sans que je ne vis quoi que ce soit. Je poussa un profond soupir et baissa les yeux.

-Concentre toi Leiko, la force d'un Grahyena se compose dans tout ses sens unis, dit-il solonelement.

Je réessayas de nouveaux, mais cette fois ci j'avais compris. Je fermais les yeux et ouvrit seulement mon sens oditif. En premier, j'entendis le bruit habituelle du vent entre les branches, puis par la suite un léger bruit de secousse se fit entendre. J'esquisa un sourire. Je leva ma truffe vers le ciel et j'ouvris mon sens olfactif combiné à mon sens oditif. Je pouvais capter l'odeur de la terre, mais pas de la terre ordinaire. Cette terre était mélangé à un légé parfum de sueur corporelle. Je pouvais le sentir à présent et il était tout près. J'entendis une autre secousse et j'ouvris les yeux. Il se tenait la devant moi, caché dans ce néant de feuille. Durant une seconde, il me regarda avec son regard percant, puis il contina de toiletter son plumage brun froncé et claire tout en se secouant pour en éjecter la poussière.

-Regarde papa, là ! , m'exclamais-je en pointa le pokémon du museau.
-Oui c'est bien mon fils, me souria-t'il.
-Qu'est-ce que c'est comme pokémon ?, demandais-je en penchant ma tête de côté.
-C'est un Roucool, dit-il simplement.
-Waaaaaah !, m'impressionnais-je.

Je resta la un moment en souriant bêtement à moi même. J'avais réussit à trouver ce pokémon en unissant mes sens, j'en était fier.

-Dit papa, tu avais vue ce Roucool toi ?, lui demandais-je avec ma petite voix.
-Biensûr mon petit. Est-ce que tu veux voir, tout ce que je vois ?, me demanda-t'il.
-Ohh ouiii !

Il se mit debout sur son rocher et gonfla sa poitrine. Lorsqu'il eu finit de se gonfler, il poussa un fort hurlement et des dizaines de pokémons cefit découvrir. Terrorisés, ils prirent la fuite en vitesse. J'eus le temps d'appercevoir, un chenipan, plusieurs roucouls, un chacripan, un laporeille et plusieurs autres que je ne conaissais pas le nom. J'étais époustouflé ! Il y avait tan d'être près de nous sans que je m'en rende compte. J'étais heureux que mon père veille sur nous.