Naissance
Vous savez ce qui est plus cruel qu'un homme arrachant la fourrure d'un Ursaring dans le seul but d'en faire un de ses trophés de chasse, c'est la vie. Car c'est lorsque que tout va pour le mieux, que vous êtes heureux et comblé qu'elle vous poignarde dans le dos et vous prends tous ce qui est le plus chère à vos yeux. Ne me dites pas pessimiste, la vie ma laissé de nombreuses cicatrices dont certaines ne guérira jamais...... Mon nom ? '' Il ricana '', pour certain il sera vénéré et pour d'autre il sera détesté et abhorré. L'histoire que je vais vous raconter paraitra paisible au début et lorsque je vous aurais mis en confiance, c'est là que l'enfer commencera.
Ceci est mon histoire et je suis un Grahyena.
Partie 1
La chaleur dans laquel j'étais, était réconfortante. J'adorai entendre le bruit du battement de coeur de ma mère, tout comme ceux de mes frères et soeurs, même si j'ignorai combien j'en avais. J'aimais aussi lorsque ma mère nous faisaient beaucoup bouger, je trouvais ça rigolo. Ressentir les vibrations qui arrivais du haut de son corps me faisais un drôle d'effet. Parfois, mon voisin me donnait des coups dans la poitrine et je n'appréciai pas trop, mais je le comprennais car on était un plutôt à l'étroit dans cet endroit si chaleureux, surtout depuis qu'on avait commencer à prendre du poids. J'aimerai ne jamais quitter cet endroit, je me sentais si bien et en constante sécurité.
Quelques fois, je ressentais une autre chaleur se coller près de maman. Je me demandais bien ce qu'étais cette étrange chaleur. Je savais que ce n'étais pas dangereux, puisqu'elle était toujours près d'elle et je dirai même que je commencais à beaucoup l'apprécier. Peut-être que mes frères et soeur l'avait aussi ressentis , je me demandais s'ils l'appréciaient autan que moi.
Hier, il s'est passé quelque chose d'anormal. Ma maman nous faisais beaucoup bouger, plus que d'habitude, elle avait des tremblements étranges et des vibrations plus féroce. Lorsque tout fut terminer, maman ne se sentait pas bien, je dirai même qu'elle était très triste. Je me demandais bien ce qui c'était passé. L'important était que tout le monde aille pour le mieux....
...
Plus le temps avancait et plus on prenait de l'expension, la place ce fesait rare et on commencait à ce deplacer de plus en plus vers l'arrière de maman. J'avais remarqué qu'elle nous faisait de moins en moins bouger, je me disais qu'elle était peut-etre fatiguée. Même si elle nous faisait moins bouger, je l'aimais toujour autan et de plus, l'autre chaleur était là pour s'occupé de maman. Je commencais à savoir qu'on pouvait bouger les membres qui dépassait de nos corps. Je ne pouvais pas beaucoup les bougers à cause du manque de place, mais plus le temps avancait, plus je gangnais en force. Moi voisin ne se gênait pas pour bouger fortement ses membres. Je n'appréciai toujours pas recevoir des coups, mais maintenant j'étais capable de me venger. Ce n'étais pas méchant, je trouvais même cela amusant, je m'étais même surpris à faire un drôle de ricanement.
...
Aujourd'hui était un jour pas comme les autres, maman était bizzare. Par moment on se sentait très très serrer et cela faisait en sorte qu'on bougait tranquilement vers l'arrière de maman. J'étais inquiet, car je ne sentais plus mon voisin près de moi depuis un bon moment, je me demandais ce qui lui était arriver. Rien de grave je l'espere. Je me rassurais en me disant que maman aurait pris soin de lui.
Soudainement, maman recommencait à serrer son corps et je me suis sentis pousser d'un seul coup... à l'extérieure de maman.
Partie 2
Il faisait froid et je sentais quelque chose de rugeux caresser mon corps en entier, j'adorai cette sensation, j'étais sur que c'etais maman. Le noir que je voyais à l'habitude était devenu plus claire, j'aimais bien ce nouveau changement. Ce qui m'avait le plus frappé, appart le froid, était toutes ces nouvelles odeurs que je parvenais à capter grâce à la truffe au bout de mon museau. L'odeur de la terre, de la forêt, mais surtout la délcieuse odeur de maman. Je pouvais aussi sentir l'odeur de l'autre chaleur qui était toujours près de maman pour prendre soin d'elle. J'étais attiré par cette odeur, je me suis surpris de me déplacer lentement avec mes membres dépassant vers cette odeur qui m'intriguais. Elle n'était pas aussi bonne que celle de maman, mais j'étais capable de ressentir une grande force et assurance.
Rendu près de cet odeur, je pouvais ressentir la chaleur qu'il dégagait et la douceur de son pelage. Je me sentais si bien et en sécurité que je m'assombri près de lui.
...
Cela faisait plusieurs jours qu'on était sorti du ventre de maman et à chaque jour il y avait quelque chose de nouveau à découvrir. J'étais heureux d'être dans cette nouvelle vie, même si quelques fois, je m'ennuyais de la chaleur réconfortante qu'il y avait à l'intérieure de maman. J'étais rendu habitué à la nouvelle température, j'adorai ressentir les brindilles d'herbes chatouiller doucement le bout de ma truffe lorsque maman nous faisait prendre de l'aire, hors du terrier.
Alors que je marchais du mieux que je pouvais dans l'herbe avec comme seul guide mon odorat, quelque chose se produisit. Je sentis un légé déclic venir du fond de mes oreilles. J'entendis en premier un léger bourdonnement. Puis les secondes sécoulèrent et le bourdonnement s'estompa pour se faire remplacer par les faibles couinements des mes frères et soeurs. Mon ouïe ! Mon ouïe s'était débloqué et je pouvais maintenant entendre mille et un son en provenance de la forêt. J'étais si heureux et excité à la fois que je me mis à faire une multitude de couinement joyeux. J'entendis la respiration de maman qui dormait tout près et je laissa mon ouïe me guider vers elle.
...
Hier, pour la première fois, j'entendis la douce voix de ma mère ce mélanger à celle de mon père, hurlant au loin à la lune. Je trouvais ça tellement beau que je me surpris à pousser un petit couinement, cependant cela ne ressemblait point à un hurlement. Mes deux grand frères et ma grande soeur se mirent à rire de mon petit couinement pitoyable. Cela me fit un peu souffrir. Ma petite soeur qui avait ressentis ma tristesse, rempa doucement vers moi et me lècha le bout du museau, je fis de même pour la remercier. Ma petite soeur, était la plus petite et fragile de la troupe. Maman était souvent près d'elle, toujours en train de la surveiller et d'en prendre soin. Lorsqu'elle partait chasser, c'étais moi qui allait près d'elle pour en prendre soin, je l'aimais beaucoup.
Maman et papa étaient revenus, par contre, mon père, restait toujours hors de la tanière pour assurer notre sécuriter en surveillant notre territoire. Maman se coucha près de nous tous et commença à chantonner la berceuse habituelle. Cela me m'apaisa et je m'assoupis collé contre ma petite soeur.