Chapitre 1 : les débuts du pantouflard
Une explosion fait trembler toute la maison. Itari sursaute et se réveille en hâte et se presse dans le salon. Ses cheveux noirs s'agitent à mesure qu'il descend les marches de l'escalier qui mène jusque au salon et ses grands yeux rouges brilles dans le noir.
Arriver dans la pièce principal de la maison, absolument tout est renversé, le vase ou reposaient les gracidés increvable de sa tante, seul personne de sa famille qu'il connaît, la télévision, les chaises était renversé et son petit évoli était inconscient dans un coin de la pièce. Après un rapide coup d'œil dans le salon et après avoir envelopper Ething son évoli dans une couverture, Itari fit le point. Il était évident que quelqu'un était venu chercher quelque chose, et l'avait trouvée ! Sa pierre d'unityte, pierre ultra-rare, sûrement l'une des seul qui resté dans se monde depuis leurs utilisations excessives pour diverse raison, à disparu de sa cachette sous le bureau ou se trouver son PC. Seul souvenir de ses parents avant qu'ils le quittèrent dans un accident de voiture, cet objet devait peut être renfermer son âme car il se déplaçait toujours avec
S'arment de son airsoft, qu'il n'avait jamais utiliser et dont il ne savait plus pourquoi il l'avait acheté, il pris en mesure d'examiner toute les pièces de sa maison, même la cave ou régnait une odeur de renfermé et de champignon avec tout ces livres empilés dans l'armoire au fond de la pièce. Apparemment, les voleurs étaient déjà partit et cela faisait bien une trentaine de minute que tout le petit village d'Irisia était réveiller par l'explosion et rappliquer déjà. La police avait sûrement du être prévenu car il entendait les arcanins, qui faisait beaucoup trop de bruit à son goût. Il rangeât l'airsoft et s'expliquât avec les agents.
Itari n'avait jamais était vraiment riche, mais il vivait largement au dessous de ses moyens. C'est vrai que venant d'un jeune adulte de dix-huit ans et demi (oui il tenait à se que l'on dise « et demi ») qui ne sort que de sa maison pour acheter des pokéblok ultra-chimique « à base de vrai baie oran » et deux ou trois boîte de raviolis « à base de vrai baie tomato », il ne pouvait pas vraiment se ruinée. Personne ou presque ne le voyait, sauf la caissière du petit supermarché qui le dragué perpétuellement, ce qui l'a perpétuellement agacé, et la caissière du pokéshop, qui lui rabâché perpétuellement qu'il fallait changé de marque, car il faisait vivre l'escroc de la marque des pokébloks « ultrablocks »qu'il acheter pour dix-ans.
Sa maison n'était jamais rangé et personne d'autre que lui y avait mis les pied depuis la dernière visite de sa tante qui avait littéralement piller la demeure en l'échange de deux gracidés. Celle-ci habité à pyrite dans la lointaine région de Rhode, et je suis sur qu'à l'heure à laquelle vous lisez cette Fanfics, elle à probablement oublier Itari, et Itari avait oublier son nom et n'avait pas d'idée pour la renommer. Son petit évoli qu'il avait baptiser Ething, était SON seul et unique compagnon avec qui il parlait et même avec qui il jouait. Certes, la petite boule de poil un peu marron, la truffe brillante et les yeux bleues pétillants l'écoutait et comprenait sa détresse, mais incapable de lui répondre, il ne chercher pas à arranger les choses.
Bref, jusqu'à aujourd'hui, il n'avait jamais eu aucun problème.
Après s'être difficilement justifié auprès des policiers à cause de l'aisoft, Itari abandonna tout espoir de compté sur eux, car les pistes s'arrêtaient au moments de l'explosion, qui avait pulvériser le mur gauche de la maison, apparemment causé par un vibrobscure, à en jugé l'états du jardin du voisin, réduit à l'état de compote de baie et au pilier électrique sur la gauche de la rue. Toute les clôtures avaient était arraché et les dégâts au centre-ville, car la maison se trouvé était au centre-ville , voyait tout ses pavés retournés.
Vers sept heures du matin, Itari quitté le centre pokémon, qui avait était aménager en hôtel pour accueillir les sinistrés de l'attaque. Apres une courte nuit de sommeil et un long moments pour réfléchir en attendant le petit déjeuné composé de petit pains rassis et des croissant industriel (le centre pokémon avait sans doute pas servi de petit déjeuné depuis cinq ans), Itari avait pris la décision de partir sur les routes pour retrouvé les voleurs de la pierre et trouvé un petit patelin paumer au milieu de nul part.
Rentré chez ce qui resté de chez lui, il pris en hâte son sac à dos « pasteak », son stock de pokéball qui s'élevait au nombre incroyable de une, et de quoi mangé (4 paquet d'ultrablocks et 2 boîtes de raviolis).
Sortis de chez lui, il avait l'allure d'un vieux ramoloss, aigris et fatigué. Il jeta un dernier petit coup d'œil chez lui et trouva une chose plutôt intéressant, une rose rouge, fanée mais déjà plus éclatante que les gracidés de sa tante. Il l'a pris et la donna à évoli, qui après l'avoir reniflé, se mis tout de suite en route vers le port. Il y avait bien cinq minute de marche entre le port, est après une petite course pour essayer de rattraper évoli qui, apparemment redécouvrait le monde extérieur et c'était mis à s'agiter, et avait piqué un petit sprint à travers les rues sablonneuse d'Irisia.
Après s'être payé un billet au hasard pour rejoindre Oliville (Bon sang que s'était cher !) s'installa dans le bateau et fit un petit roupillon. Ses voisins, deux amoureux, se sentire un peu gênés quand Ething les embêta. Le garçon se senti obliger de réveiller sont maître qui dormait comme un Ronflex :
« -Monsieur, Monsieur, réveillez-vous ! dit l'étrange garçons
-Tait-toi, espèce d'imbécile, tu va pulvériser notre couverture ! répliquât la fille se tenant à côtés. Tu vas détruire notre couverture!
-Ok, d'accord, bien reçu »
Voilà se qu'Itari à entendu avant de tombé dans un sommeil profond.
« LE BATEAU EST ARRIVER A CARMIN-SUR-MER »
Carmin-sur-mer ? « Merde !!!, lâcha Itari en se réveillant en sursaut, j'ai dormis combien de temps, voyons, j'ai dus m'endormir vers dix heures et il est DOUZE HEURES !!! Merde, Merde, MERDE ! » Itari se leva et fit rentrer Ething dans sa pokéball, avant de se précipiter vers le guichet. « -Monsieur, s'il vous plait ne me jeter pas dehors, je dois aller à Oliville !
-Hors de question, sortez d'ici à moins de vouloir devenir marin ! »
Il sortit en pestant de l'azuria, et se dirigeât vers l'hôtel le plus proche, le seul hôtel en fait. L'hôtel était en piteuse état, mais il prit quand même une chambre, car le vieux maître d'hôtel donner envie de lui prêté un couteaux et une corde.
Installé dans sa chambre, il voulut prendre une douche qu'il ne pus pas prendre car l'hôtel n'était plus fournit en eau (ni en électricité) et la seul piscine se trouvé a Azuria, a dix borne de Carmin. Ething, qui avait goûter à l'air frais était intenable et sous les multiple demande de celui-ci, Itari fini par lâcher et alla se promener dans les nombreuses rue de Carmin.
Les trois heures de marche, une boîte de raviolis au baie tomato froide et une discute avec le vieux de l'hôtel, fatigua le jeune pantouflard, qui à partir de dix-neuf heures sombra dans un sommeil profond.