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Le Roi Jotho de Nanakii
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Informations
» Auteur : Nanakii - Voir le profil» Créé le 07/02/2012 à 22:19
» Dernière mise à jour le 07/02/2012 à 22:19
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Chapitre 13 : Roigada VII (Bataille pour Ecorcia 5/5)
Horn cracha un puissant jet d'eau contre la masse d'ennemi qui gagnait du terrain à chaque minute. Le grand Psykokwak était épuisé. Même quelqu'un comme lui pouvait finir par se desydrater. Et il en allait de même pour les derniers défenseurs. Les Machocs arrivaient toujours plus, ils semblaient infatigables, inomptables, invincibles. A chaque fois que l'un d'eux tombait, un autre le remplaçait.
Le cercle défensif commençait à montrer des signes de faiblesses face à la pression constante de l'armée adverse. Les muscles en feu, les mains moites, le souffle court et le moral faiblissant, Horn frappait, battaillait et se démenait au maximum de ses capacités.
Un Ramoloss tituba, et manqua de tomber sur l'un de ses camarades. Horn envoya son épée trancher la tête d'un assaillant, puis profita de cette seconde de répit pour attraper la main du Ramoloss épuisé pour lui permettre de ne pas tomber.
- Courage, mon ami ! Ne flanche pas maintenant ! Tant que je serais en vie, je te protègerais.
- Merci, je t'ai mal jugé. J'espère que tu ne me pardonneras.
- C'est déjà oublié, lui répondit Horn. Battons-nous pour notre village !
Sur cette note de camaraderie nouvelle, de fraîcheur fraternelle, des grosses gouttes de pluie s'écrasèrent sur le sol nappé de sang. Puis, une puissante averse tomba dru sur le champ de batatille. En l'espace de quelques minutes, le flamboiement des habitations avait disparu. Des sillons se creusèrent dans le sol boueux, évacuant l'eau porteuse du liquide rouge qui souillait l'endroit. Comme s'ils venaient de boire des litres d'eau en quelques secondes, les défenseurs regagnèrent une seconde vigueur.
Chaque goutte qui tombait sur eux leur redonnait de l'énegrie, si bien que leur combativité se vit décuplée. Le chef Flagadoss cria des encouragement qui exaltèrent les défenseurs en plein renouveau. Jamais ils n'avaient autant apprécié l'arrivée d'une pluie.
- Cette pluie est un signe ! Tonna Flagadoss tout en donnant de puissants coups d'épées. Laissons sa force nous gagner, et avec elle nous pourrons sauver notre village !
***
L'eau se jetait à corps perdu contre le sol souillé de cette terre. Percutant de ses gouttes chaque surface qu'elle rencontrait. L'air se sentit chargé d'une énérgie nouvelle, d'une fraicheur revigorante et d'une senteur enîvrante. Puis, alors que la bataille semblait durer une éternité, le ciel se mit à pousser un long et sourd grondement. Ensuite, le ciel se déchira par un immense éclair, projetant une lumière puissante et fugace.
Révélant autour du champ de bataille quatre silhouettes immobiles. Le ciel rugit, avant d'envoyer d'autres éclairs zébrer le ciel.
Puis une longue et puissante note de musique retentit dans tout le village. Comme si plusieurs centaines de cordes de violon étaient frottées en même temps, la longue et paresseuse note se répandit partout.
Puis elle mua, devint plus grave avant de partir dans une lente et douce mélodie que personne dans les alentours ne pouvaient ignorer. Les envahisseurs, frappés par de surprise cessèrent de se battre afin de trouver l'origine de ce son. Ils finirent par appecevoir grâce à la véloce lumière d'un éclair, quatre silhouettes autour d'eux.
***
Roigada souffrait. Le Sabre feuille de son adversaire était planté dans son épaule, et l'énergie crépitante qui s'en dagageait lui envoyait une masse de douleur inimaginable. Il hurlait, tant cela lui faisait mal. Même la fraicheur de la pluie soudainement tombée ne parvenait pas à soulager ne serait-ce qu'une fraction de sa souffrance. Il se vidait de son sang.
- Tu as brisé notre rêve ! Tu as brisé MON rêve !
Dans un élan de haine, il tourna la lame sur le côté. Arrachant un effroyable cri de souffrance.
- Depuis notre enfance, nous nous étions faits une promesse ! Nous avions un projet pour l'avenir !
A cette mention, Roigada rassembla tout son courage pour pouvoir s'échapper de cette prise douloureuse. Il envoya un coup de pied dans le ventre d'Alakazam puis en profita pour sortir la lame de son épaule. Après un bond en arrière, il foudroya son adversaire du regard.
- Oui ! Nous avions un projet ! Je le connais aussi bien que toi, puisque c'est ensemble que nous l'avons élaboré ! Mais je ne t'ai jamais trahi !
Alakazam ricanna, puis il tenta à nouveau de plonger l'épée dans le coprs de Roiada. Il n'avait pas encore suffisamment souffert.
- Tu crois pouvoir me berner avec tes mensonges ? Je te connais à présent ! Le premier mot que tu m'as adressé était un mensonge ! Et depuis, tu n'as jamais cessé !
Les deux lames s'entrechoquèrent, générant une assourdissante explosion. Croisées, elles crépitaient de puissance et chaque goutte de pluie disparaissait instantanément dans une trainée de vapeur.
- Tu n'as jamais cru en notre rêve ! Je le sais à présent ! Je l'ai su dès le jour où tu m'as envoyé à l'autre bout du pays ! Tu l'as fais pour pouvoir me trahir dans mon dos ! Je te HAIS !
Ce deriner mot fut ponctué par un immense éclair qui déchira le manteau nuageux au dessus d'eux.
Le cercle défensif commençait à montrer des signes de faiblesses face à la pression constante de l'armée adverse. Les muscles en feu, les mains moites, le souffle court et le moral faiblissant, Horn frappait, battaillait et se démenait au maximum de ses capacités.
Un Ramoloss tituba, et manqua de tomber sur l'un de ses camarades. Horn envoya son épée trancher la tête d'un assaillant, puis profita de cette seconde de répit pour attraper la main du Ramoloss épuisé pour lui permettre de ne pas tomber.
- Courage, mon ami ! Ne flanche pas maintenant ! Tant que je serais en vie, je te protègerais.
- Merci, je t'ai mal jugé. J'espère que tu ne me pardonneras.
- C'est déjà oublié, lui répondit Horn. Battons-nous pour notre village !
Sur cette note de camaraderie nouvelle, de fraîcheur fraternelle, des grosses gouttes de pluie s'écrasèrent sur le sol nappé de sang. Puis, une puissante averse tomba dru sur le champ de batatille. En l'espace de quelques minutes, le flamboiement des habitations avait disparu. Des sillons se creusèrent dans le sol boueux, évacuant l'eau porteuse du liquide rouge qui souillait l'endroit. Comme s'ils venaient de boire des litres d'eau en quelques secondes, les défenseurs regagnèrent une seconde vigueur.
Chaque goutte qui tombait sur eux leur redonnait de l'énegrie, si bien que leur combativité se vit décuplée. Le chef Flagadoss cria des encouragement qui exaltèrent les défenseurs en plein renouveau. Jamais ils n'avaient autant apprécié l'arrivée d'une pluie.
- Cette pluie est un signe ! Tonna Flagadoss tout en donnant de puissants coups d'épées. Laissons sa force nous gagner, et avec elle nous pourrons sauver notre village !
***
L'eau se jetait à corps perdu contre le sol souillé de cette terre. Percutant de ses gouttes chaque surface qu'elle rencontrait. L'air se sentit chargé d'une énérgie nouvelle, d'une fraicheur revigorante et d'une senteur enîvrante. Puis, alors que la bataille semblait durer une éternité, le ciel se mit à pousser un long et sourd grondement. Ensuite, le ciel se déchira par un immense éclair, projetant une lumière puissante et fugace.
Révélant autour du champ de bataille quatre silhouettes immobiles. Le ciel rugit, avant d'envoyer d'autres éclairs zébrer le ciel.
Puis une longue et puissante note de musique retentit dans tout le village. Comme si plusieurs centaines de cordes de violon étaient frottées en même temps, la longue et paresseuse note se répandit partout.
Puis elle mua, devint plus grave avant de partir dans une lente et douce mélodie que personne dans les alentours ne pouvaient ignorer. Les envahisseurs, frappés par de surprise cessèrent de se battre afin de trouver l'origine de ce son. Ils finirent par appecevoir grâce à la véloce lumière d'un éclair, quatre silhouettes autour d'eux.
***
Roigada souffrait. Le Sabre feuille de son adversaire était planté dans son épaule, et l'énergie crépitante qui s'en dagageait lui envoyait une masse de douleur inimaginable. Il hurlait, tant cela lui faisait mal. Même la fraicheur de la pluie soudainement tombée ne parvenait pas à soulager ne serait-ce qu'une fraction de sa souffrance. Il se vidait de son sang.
- Tu as brisé notre rêve ! Tu as brisé MON rêve !
Dans un élan de haine, il tourna la lame sur le côté. Arrachant un effroyable cri de souffrance.
- Depuis notre enfance, nous nous étions faits une promesse ! Nous avions un projet pour l'avenir !
A cette mention, Roigada rassembla tout son courage pour pouvoir s'échapper de cette prise douloureuse. Il envoya un coup de pied dans le ventre d'Alakazam puis en profita pour sortir la lame de son épaule. Après un bond en arrière, il foudroya son adversaire du regard.
- Oui ! Nous avions un projet ! Je le connais aussi bien que toi, puisque c'est ensemble que nous l'avons élaboré ! Mais je ne t'ai jamais trahi !
Alakazam ricanna, puis il tenta à nouveau de plonger l'épée dans le coprs de Roiada. Il n'avait pas encore suffisamment souffert.
- Tu crois pouvoir me berner avec tes mensonges ? Je te connais à présent ! Le premier mot que tu m'as adressé était un mensonge ! Et depuis, tu n'as jamais cessé !
Les deux lames s'entrechoquèrent, générant une assourdissante explosion. Croisées, elles crépitaient de puissance et chaque goutte de pluie disparaissait instantanément dans une trainée de vapeur.
- Tu n'as jamais cru en notre rêve ! Je le sais à présent ! Je l'ai su dès le jour où tu m'as envoyé à l'autre bout du pays ! Tu l'as fais pour pouvoir me trahir dans mon dos ! Je te HAIS !
Ce deriner mot fut ponctué par un immense éclair qui déchira le manteau nuageux au dessus d'eux.