La Fac des Trois Prestiges de Luxya

« Nous somme ici réunis en cet instant, dans le but de porter un hommage à une femme, une fille, une sœur, une petite-fille, une cousine ou une amie. Audrey Karen Leiser nous aura quittés à l'âge de dix-neuf, dans le terrible accident qui aura secoué l'Unys entière, à savoir l'écroulement du Château Enfoui. »

Le discours continua, l'homme près de la tombe de marbre gris, entouré de plusieurs personnes habillées sobrement. Le vieil hôte de la pension de Lavandia, la mère, le frère et la sœur d'Audrey étaient réunis devant, blottis les uns contre les autres.
Un peu plus en retrait, Lana en chaise roulante, Ethan qui la poussait, Will, Emi et Matt. Ces derniers se recueillaient en silence dans le cimetière d'Hoenn.
Ce fut juste deux jours après la catastrophe.


Lorsque l'enterrement fut achevé, la famille d'Audrey se dirigea vers les cinq jeunes.

- Suivez-moi, déclara la mère.

William renifla, repensant soudain à la magnifique chevelure rousse d'Audrey, similaire à celle de cette maman.
Ils prirent la route, Matt au volant, suivant à la trace la petite famille à l'avant. Ils arrivèrent chez le notaire. Une boule saisit le ventre de Lana. Les traits de leur visage étaient fatigués, les cernes pochaient leurs yeux mi-clos. Ils entrèrent tous et s'installèrent dans une salle où seulement deux chaises étaient disponibles, face au bureau d'un petit monsieur moustachu et au visage rond. Le grand-père d'Audrey et la mère s'y installèrent sans demander. Lana baissa la tête, apeurée par ces adultes.

- Je vous convoque évidemment en ce jour pour gérer le placement des Pokémon de Mlle Leiser Audrey. Des remarques avant tout ?

La mère tourna la tête vers Lana, puis acquiesça.

- Cette jeune femme, Mlle Orwell, était une amie de ma fille. Elle détient ses PokéBall et tous ces jeunes gens sont témoins que ma fille lui a ordonnée d'elle-même les placer.
- Est-ce vrai ? demanda le notaire en baissant ses lunettes.
- Oui.
- Ma foi...

Il feuilleta toute sa paperasse étendue sur son bureau puis saisit un feuillet vert.

- Il est ici stipulé que normalement, le choix du placement revient à la famille, ici en l'occurrence à vous, madame.
- Je sais, trancha-t-elle.
- Erm... Témoins ou pas témoins, cela reste la même chose, Audrey ne peut décider cela.

Lana ferma les yeux, triste mais compréhensive.

- Non mais moi j'ai pas fini de parler ! s'exclama la mère.
- Parlez, alors !
- Je souhaite que les vœux de ma fille soient pris en compte. ... Lana ?

Elle releva la tête.

- Oui ?
- Elle t'a dit de choisir, tu choisis. Si elle te faisait confiance, je lui fais confiance. Entièrement. Nous en avons discuté avec les enfants, et nous souhaiterions garder seulement Herbizarre... Pas d'autres.
- ... Bien entendu, madame.

Lana sortit la PokéBall d'Herbizarre.

- Sortez le Pokémon, s'il vous plaît. Puis madame Leiser, vous devrez signer ce formulaire d'obtention.

Herbizarre apparut, la mine fade. Emilie ne put s'empêcher de pleurer silencieusement. Le Pokémon Plante dégagea un succulent parfum qui apaisa tout le monde.

- Vous êtes surs que je peux distribuer les autres sans vos regrets ? demanda Lana, sur son fauteuil.
- Oui, j'en suis sure.
- Moi aussi, opina Nancy, sa petite sœur.
- Pareil, affirma Lucas.

Lana inspira.

- J'aimerais que Givrali revienne à Emilie Fabray. Emilie est éleveuse, et elle saura en prendre le plus grand soin.
- Mademoiselle, venez signer le formulaire d'obtention, et Mlle Orwell, sortez le Pokémon.

Givrali apparut, et se dirigea vers Emi. Elle l'enveloppa de ses bras, les joues rougies.

- Je décide qu'Altaria revienne à Ethan Meelow. Il est coordinateur et l'aidera à progresser dans la voie où Audrey l'avait déjà dirigé.
- Monsieur, formulaire, Mademoiselle, PokéBall.

Même opération, Altaria sortit pendant qu'Ethan signait le papier.

- Il reste donc Symbios.
- Je peux pas... dit William.
- Je... Pourquoi ? demanda-t-elle.
- Je m'en sentirais pas capable, c'est trop dur pour moi. Je veux une équipe entièrement construite par moi-même.
- Je vous comprends entièrement, approuva Mme Leiser.
- Dans ce cas... Je confie Symbios à Matthew Sheldonn, qui est médecin. Les Symbios sont connus pour leurs propriétés miraculeuses en médecine, et je suis persuadée qu'il s'épanouira pleinement avec Matt.
- Monsieur, vous acceptez ?
- Oui.

Les papiers furent vite signés. Madame Leiser décida d'inviter les cinq jeunes à diner, afin de celer cette rencontre.


= =


Après cela, William et Emilie rentrèrent à Sinnoh, chez leur grand-mère. Leur père fut hospitalisé dans le meilleur hôpital du coin, et chaque jour, Mme Fabray venait pleurer au lit de son fils, dans le coma, soulagée qu'il soit là.


= =


Ethan passa chez lui avec Lana et Matt et passa chez lui prendre des affaires. Les parents ayant appris la nouvelle par la police d'Unys furent assez choqués de voir leur fils, les cheveux en bataille, l'air plus fort que jamais.

- Je passe juste prendre des fringues, vous inquiétez pas.

Il traversa le salon, et à son grand étonnement, sa mère le saisit par le cou, les larmes aux yeux.

- J'ai failli perdre mon deuxième enfant. Mon grand garçon...

Il fut encore plus étonné de lui-même lorsqu'il réalisa qu'il ne pleura même pas.

- Fallait le remarquer avant.
- Où tu vas ? demanda-t-elle.
- Chez ma copine, à Céladopole. Elle et son meilleur ami étaient avec moi pendant le drame. On va se ressourcer un peu chez elle.
- Bon voyage, alors.

Il partit dans sa chambre et elle courut regarder par la fenêtre de sa maison perchée dans un grand arbre, la petite amie de son fils, calée dans un fauteuil, jouant avec un Luxray. À côté, un grand garçon avec une coupe au casque.

- Au revoir, balança Ethan en dépassant ses parents.


= =


Céladopole était plutôt une ville tranquille au final. Il est vrai que le centre était plombé d'immeubles hauts de trente étages, mais tout le tour était peuplé de petites villas, parsemé de petits buissons. Matt se dirigeait chez Lana, là où ses parents les attendaient impatiemment. Lana leur avait formellement interdit de venir de Kanto, et les avait prévenus qu'ils viendraient eux-mêmes. Dur de tenir pour des parents.

- Ils vont flippés quand ils vont voir que t'es en fauteuil, dit Matt en tournant dans une allée.
- Je peux me lever, c'est juste pour m'économiser.
- Ils vont pas me jeter, moi ? demanda Ethan.
- Non, t'inquiète, ils sont cools ses parents ! ricana Matt.

Il s'arrêta enfin devant une petite maison, simple d'aspect, entourée d'une herbe fraîche et parfaitement entretenue. Bien évidemment, David et Noémie étaient déjà devant.

- Ma chérie !

Les retrouvailles furent radieuses, pleins de sourires, de bises, de pleurs. Matt semblait de la famille aussi, non épargné de toutes ces preuves d'amours. Il y eut un câlin spécial pour Luxray, très content de retrouver les parents de sa dresseuse.

- Bonjour, tu dois être Ethan ? demanda David.
- Héhé... je... Oui !
- Mais il est canon ! s'exclama Noémie.

Ethan haussa les sourcils, impressionné. Lana rougit.

- Ah ouais mec, bienvenue à Céladopole ! sourit Matt.
- Mais attends ? C'est toi qui as failli mourir avec notre fille ??
- Ben dis-donc vous êtes vite au courant, monsieur... hésita Ethan.
- Lana nous a tous raconté, penses-tu ! Entrez, entrez, Noémie a tout préparé.
- J'ai... une chose à faire avant, dit Lana.

Les parents semblèrent un peu contrariés, mais acquiescèrent.

- Ça ne sera pas long ! assura-t-elle.

Elle se leva avec difficultés de sa chaise, soutenue par ses amis. Elle avança lentement vers la maison d'en face.

- C'est la maison d'Axel... murmura Matt à Ethan.

Ce dernier écarquilla les yeux.

- Non, laisse la y aller seule ! dit Matt en tirant Ethan dans la maison des Orwell.



Lana sonna à la maison Harris. Une dame ridée et siliconée sortit, habillée légèrement. Lana eut un haut le cœur. Brune, yeux bleus, étrange.

- C'est pourquoi ? demanda-t-elle.
- Je... suis la voisine. Je voulais m'excuser pour votre... fils.
- La vie est dure, sourit Angela, émue. Vous aussi avez subi cette... catastrophe. Mais vous n'y êtes pour rien, mademoiselle.

Ce fut comme un choc. Son cœur s'agita très vite. Qu'est ce qu'elle aurait aimé avoir la force de le dire... Ses regrets étaient si grands.

- J'espère que vous vous relèverez de ce traumatisme, lui dit-elle.
- Merci, sourit timidement Lana. Vous aussi.

Elle se retourna, et se dirigea vers la petite forêt où ils avaient tous l'habitude d'aller plus jeunes.


'Après que le drame eut lieu, tout le monde fut emmené d'urgence à l'hôpital. Ils furent ensuite interrogés le lendemain pour raconter ce dont ils se rappelaient. L'Oracle Sombre avait eu le temps de partir, pour ne pas se faire avoir. Et d'un commun accord, les cinq jeunes et André avaient décidé de ne pas les dénoncer. Ils avaient beau avoir tué, volé, le poids de leur culpabilité suffisait. Chacun reprit son poste à la Fac des Trois Prestiges, aussi bizarre que cela puisse paraître. Ils avaient rendu les PokéBall, démantelé l'armée qu'Hargôn avait voulu se construire. Ils allaient apprendre à revivre, apprendre à être des gens normaux. Même si c'est impossible.'


Lana arriva devant une souche, entourée d'arbres. Juste à côté, on apercevait un lac. Accompagnée de Luxray, Lana s'agenouilla et déposa six PokéBall devant elle. Elle sortit Krabboss, Teraclope, Brouhabam, Steelix, Ohmassacre, et Oniglali. Ils la regardèrent, sans bouger.

- Je suis désolée... J'ai fait croire que vous aviez disparu sous les décombres avec lui... Je ne voulais pas que vous ayez un autre dresseur. Je ne voulais pas que sa mère vous récupère... Je pensais que ça serait une bonne idée que vous viviez votre vie, chacun de votre côté. Parce que je sais que vous avez souffert, et que rien n'était de votre faute. Alors voilà.

Ils regardèrent les alentours, et chacun commença à partir de son côté. Krabboss s'avança vers Lana qui souleva son débardeur. En dehors du pansement qui faisait le tour de son abdomen, on pouvait voir la cicatrice. Krabboss moussa sa bouche.
Lana inspira, avant de sangloter.

- Je ne t'en veux pas...

Le Pokémon acquiesça et partit vers le lac.



= =



Deux mois plus tard

- J'essaye un peu chaque jour de me reconstruire. J'essaye chaque jour d'approcher la vie d'une façon différente. Des fois je regarde le ciel, et je remercie Arceus de m'avoir fait découvrir la vérité. Quand j'entraîne mes Pokémon, j'ai moins de hargne, mais au moins quand je le fais, je le VIS. Vraiment. J'ai découvert une nouvelle facette de l'entraînement, je suis infiniment reconnaissant envers mes Pokémon ; c'est grâce à l'aide de nos Pokémon que nous avons survécu à ce « drame. » De temps en temps, je vais à la Fac. Voir ces gens de mon âge, inconscients de savoir ce qu'ils auraient pu traverser, mais qu'ils ont eu la chance d'éviter. Dites-vous qu'il y a deux jours, j'ai fait un basket avec Ricky. Un basket ! J'ai partagé un moment avec un mec qui était contre nous. Mais en fait, je m'en fous, parce que je me suis rendu compte qu'il défendait ce qu'il croyait être juste, mais il s'est rendu compte qu'il faisait fausse route.
- Et vous avez revu vos amis ?
- Bien sûr. Lana et Ethan vont très biens, Matt est médecin établi à Rivamar, et je me lie de plus en plus avec lui, tout comme lui se lie de plus en plus avec ma sœur... M'enfin, c'est pas l'important. Vous savez, aujourd'hui mon père se réveille, alors j'ai un peu peur. Je ne sais pas si il va se souvenir de moi, de ma sœur. En tout cas, tout le monde sera là avec nous, et j'ai vraiment hâte.
- Je comprends. Il est temps pour vous de récupérer les cinq années que vous avez perdues. Peut-être qu'aujourd'hui, cette séance était votre dernière !
- Il serait temps !
- Ne vous inquiétez pas, William.
- Merci docteur, sourit le blond, serein.

Il sortit du cabinet. Son téléphone vibra.

- Allô ?
- « Qu'est ce que tu fous ??? Tout le monde t'attend, papa va bientôt se réveiller !! »
- J'arrive, rohlala !
- « Ils déclenchent le réveil dans dix minutes, fréro, DIX MINUTES ! »
- Oui, oui ! dit William en courant dans la rue.
- « Mais que fait ton frère, enfin ! »
- J'arrive, grand-mère ! ricana Will.

Il entra dans l'hôpital, et se dirigea dans le deuxième couloir. L'hôpital était devenu sa seconde maison, il connaissait le chemin par cœur. En ouvrant la porte, il découvrit Ethan, Lana, Emilie, Matt, sa grand-mère, et avec surprise, André et Ricky.

- Bah... Qu'est ce que vous faites là ?? s'étonna-t-il.
- J'ai connu ton père, vaguement mais je l'ai connu ! assura André.
- Et moi, j'aimerais être là par... soutien, sourit Ricky.
- Yann et Hervé n'ont pas voulu venir, ton père ferait un arrêt cardiaque dés son réveil !

La troupe ricana.

- Heureusement, il ne verra jamais Nina... soupira Will.
- Oui, heureusement, comme tu dis, souffla André.

Petit blanc.

- Hé ho, c'était prévisible qu'elle se suicide... pesta Ricky. J'ai jamais pu la blairer celle-là.
- Ricky... reprit Lana.

Une infirmière arriva, le sourire aux lèvres.

- Alors, c'est ici le coma d'hypnotisation ?
- Oui ! Enfin !
- Je vous préviens à l'avance, démarra-t-elle.

Elle planta une seringue dans la perfusion. Le visage de Raphael était clair, apaisé. Emilie serrait la main de son papa, encore sonnée de l'avoir retrouvé. William s'était assis sur le lit, attendant patiemment. Matt saisit les épaules d'Emilie et la frictionna, pour la déstresser.

- Un homme hypnotisé durant des années n'a généralement aucun souvenir de qui il est les premières heures, ou même les premiers jours. Je dis bien généralement. Ça lui viendra progressivement. Entre le moment où il fut libéré de l'hypnotisation et le moment du réveil, il se passe beaucoup de choses dans le subconscient, notamment l'acquisition de ce qu'il avait oublié AVANT son hypnotisation, et ce qu'il s'y passe après. Le coma ayant duré deux mois, je pense qu'il se souviendra de vous au réveil. Mais de vous comme vous étiez il y a cinq ans.
- Très bien.
- On y va.
- C'est parti, dit l'infirmière en pressant la seringue.

Les paupières de l'homme se resserrèrent, puis ses yeux s'ouvrirent d'un coup. Ses iris d'un bleu transparent regardèrent les deux premières têtes qui s'offraient à elles : William, Emilie. Raphael recula la tête, choqué, halluciné.

- ... Emi ? Will ???

Aucun ne prononça mot. Les larmes montèrent à une vitesse incroyable et les enfants bredouillèrent comme des bébés.

- Papaaa...

Raphael serra ses enfants contre lui, sur de rien.

- André ?
- Honoré de te revoir, Raphael.
- Mais... Tu es le petit Ricky ??? Vous avez tous tellement changés !!
- Eh oui, monsieur...
- Que se passe-t-il ?? demanda-t-il en pleurant à son tour.
- C'est une bien longue histoire...

L'infirmière sourit, attendrie, comme le reste de la pièce.

- Vous pouvez sortir aujourd'hui, Monsieur Fabray.
- Je... Euh oui ? Où... Où est Emma ?

Lana serra les dents, tout comme Ethan. Le sourire de Matt forma un o sur la gauche.

- Euh papa... Tu sais en quelle année nous sommes ?
- En 2006 ?
- Non... Bienvenue en 2011, papa, dit Will, appréhensif.
- C'est une blague ??? Oh, Emma !!!

Les images commençaient à lui revenir.

- On va tout te raconter... assura William.



= =



Devant l'hôpital, en fin d'après-midi, tout le monde était dehors, et Raphael observait les Pokémon de William et Emilie.

- Vos Pokémon sont magnifiques...

Le soleil allait vers son couchant. Tout le monde semblait plus ou moins content, plus ou moins serein. Will et Emi s'approchèrent de Lana, Ethan et Matt.

- Et maintenant ? demanda William, en fixant le ciel.

Ils sourirent. Lana plissa les yeux.

- Et maintenant... On vit notre vie.










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Des remerciements

Oui, des remerciements. À tout le monde en réalité. Je ne sais pas si j'aurais réussi à terminer cette Fic sans vos commentaires, la preuve de votre lecture. J'ai toujours eu envie d'écrire sur ce site, mais des personnes m'ont motivées, directement comme indirectement !

Merci à fan-à-tics donc pour la validation. Quand j'ai reçu le MP, j'ai sauté dans la maison !

Merci à Silver Zekrom, ensuite, pour m'avoir dépêchée de publier la bête, parce que sinon, j'en aurais pas eu le cran seule ^^ Alors merci à toi de ton soutien pour les débuts, je dis « débuts » parce qu'après ton ordinateur t'a lâché et tu n'as pas pu continuer la lecture * RIP ton ordi *, vivement que tu puises revenir parmi nous.

Je remercie aussi Domino, parce que même avec juste quelques MP, il m'a sorti d'une galère pas possible, qui pour vous ne se voit sans doute pas, mais qui moi m'a hantée, il s'agit de l'organisation du quadruple combat. Alors voilà, même si tu lis pas, merci à toi ;)

Merci à : Charlie43, Miplouf, Macha, Axoull1996, Torrak et Poke soul 123 :)
Vos commentaires m'ont fait vraiment plaisir, m'ont vraiment aidée.Vous êtes le moteur de la fic, même ! J'ai pas de mots. Je... Je vous aimmmmeeee déjààààà ! * pleins de bisous *

[[[[[ Et un edit datant du 5 janvier 2013 (soit plus de deux ans après la fin de cette fiction, si c'est pas fou !) pour ce cher Fly'zeer qui a veillé à corriger ma fic avec patience et gentillesse. Pour tes mots d'encouragements, merci ! ;)

& merci à ceux qui continuent de la lire & commenter, vous n'imaginez pas comme ça fait chaud au coeur. ]]]]]

Je mettrai des anecdotes sur la fic dans mon blog, j'ai des trucs à dire, par exemple ce que j'avais prévu à la base ou autre. Y a des trucs rigolos.

Voilà, voilà, je vous re-remercie beaucoup beaucoup pour vos commentaires, je vous souhaite à tous une bonne continuation sur le site.