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Le puzzle de nos destins. de Mentalee



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Informations

» Auteur : Mentalee - Voir le profil
» Créé le 30/04/2011 à 15:09
» Dernière mise à jour le 30/04/2011 à 15:09

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I - Rentrer; envers et contre tout.
C'est déjà la rentrée. Comme les vacances sont passées vite ! J'aurais voulu avoir le temps d'en profiter. Quelle tristesse. L'étoile d'Unys est déjà prête à s'en aller, pourtant, je ne suis pas encore à bord. Je suis assise sur un banc, regrettant mes belles vacances à Unys. Lorsqu'il prit le large, je ne sourcilla pas. Le temps commença à se couvrir et je fus forcée de rentrer. Une averse se déversa sur la ville entière, durant de longues heures, m'empêchant d'aller me balader en forêt. Une fois rentrée chez moi, je m'assis sur mon lit en regardant une photo. Une photo de moi, entourée par deux très beaux Pokémon dont j'aimerais tellement avoir des nouvelles… Je pris la pokéball qui est dans mon sac et en sortit mon petit Malosse. Malosse était plus qu'un Pokémon de compagnie, c'était mon meilleur ami. Etant de nature timide, rares seront ceux qui me verront m'approcher des gens et leur parler comme si je les connaissaient. La seule personne à qui je voulais parler, c'était.. Je sentis une vibration dans mon sac. Je me dépêcha de prendre mon portable, et de répondre à l'appel.
- Mélina ! Où es-tu ? L'étoile d'Unys vient de débarquer à Sinnoh mais je ne te vois nulle part.
- Désolé Carmilla, je ne l'ai pas pris. J'ai.. Besoin de réfléchir…
- Réfléchir à quoi ? A ton avenir ? Dresseuse, maîtresse, éleveuse, dracologue… Tout sa, tu as encore le temps d'y réfléchir, Méli. Tout le monde t'attends, ici, alors dépêche toi !
- Je pense que.. S'il fait beau demain, je trouverais un bateau de location.. J'aurais l'avantage de découvrir la mer. S'il pleut encore demain, plutôt que de risquer ma vie, j'irais en croisière directement.
- Bien… C'est conclus. Merci d'avoir répondu à l'appel, en tout cas. Ne me fait plus m'inquiéter comme sa ! Envoie nous déjà tes bagages par PC, enfin, tu sais comment sa marche. A demain.
Je levai les yeux vers la fenêtre, où l'eau se déversait encore, comme si l'on versait des seaux juste au dessus. Carmilla avait tort. Je ne souhaitais pas réfléchir sur mon avenir, il était déjà tracé. Je réfléchis à la raison qui m'a poussée à venir ici. Au départ, je voulais juste devenir dresseuse et gagner tous les badges d'arènes d'Unys. Mais mon « enthousiasme » m'a juste poussé à abandonner après avoir eu le badge jet, ou plus précisément, celui de Carolina de Parsemille. J'ai profité du temps qu'il me restait par la suite pour me faire de petites vacances. Mais je me suis rendue compte que si j'étais venue, c'était pour retrouver mes meilleurs amis par le passé, qui ont du avoir le temps de visiter toutes les régions depuis qu'ils sont partis. Parfois, j'aimerais les croiser sur le chemin, ou au Pont-Yoneuve sur un des ponts qui franchissent la rivière. Ils aiment tant le bord de mer, l'eau et tout ce qui va avec. Il faut dire qu'ils sont un peu reliés ensemble, ils voyagent toujours à deux. Et je les aimais tant.. Je secouai ma tête pour oublier tout sa, et je pris dans mes bras mon petit Malosse qui était assis sagement devant mes pieds.
- Toi aussi, tu es mon meilleur ami.
Lui dis-je en lui frottant l'oreille. Malosse, je l'avais attrapé il y a longtemps, lors d'un voyage à Kanto. Il avait été abandonné, le pauvre, attaché à un piquet comme un vulgaire animal, alors je me suis mise en tête de le garder avec moi. Car quand j'étais plus petite, il faut savoir que j'ai bientôt dix-huit ans, les autres me laissait souvent toute seule, parce que j'avais mes meilleurs amis avec moi. Et car tout le monde savait que rien ne pouvait nous séparer. Si seulement ils n'avaient pas été obligés de partir. Lorsqu'ils sont partis, les filles de ma classe, au lycée, ont commencé à me parler, me ramener des Skitty ou des Chaglam par millier pour que je sois leur égale, faible et prétentieuse. Les garçons eux m'ont montrés de fabuleux pokémon, mais aucun ne m'a jamais plu. C'est lors de ce voyage de classe que j'ai eu Malosse. Mes camarades avaient toujours peur que je ne les attaquent, alors ils m'ont évités à nouveau. Ils n'aiment pas ceux qui sont en ma compagnie. Alors j'étais toujours seule… Malosse me mordilla le doigt, comme pour me ramener à la réalité. La nuit était tombée, et demain serait sûrement une grande journée. Il me fallait dormir. Je rassemblai toutes mes affaires dans un grand sac, puis descendis dans le hall de l'immeuble pour le faire téléporter. Dans le hall de l'immeuble, je remarquai une fille qu'il me semblait avoir déjà vu. Lorsqu'elle se dirigea vers la sortie, je la rattrapai. Comme si ma fâcheuse timidité m'avait quittée.
- Attends.. Je.. Je crois t'avoir déjà vu quelque part.. ? Tu es.. Kimberley !
- En effet, c'est moi, mais je ne vois pas où j'aurais pu te croiser. Quoi que, ton visage me semble familier..
- Je crois que.. Tu étais dans ma classe, au lycée, et tu étais l'une des rares filles à m'adresser la parole, quand j'ai reçu Malosse.
- Ah euh… Mélina c'est sa ? Je croyais que tu avais retrouvés tes meilleurs amis, depuis le temps.. Ah, et euh, tu fais quoi dans le coin ?
- Je les cherche. Ils aiment la présence de l'eau, alors je me disais qu'ils seraient ici.
- Bien, bien.. Bon, je dois y aller.. Delcatty ! Vient ma chérie, on s'en va.
Le pokémon qui la suivit était le plus laid que je n'avais jamais vu. Pas que l'espèce me déplaisent, mais ce petit manteau rose avec ce nœud jaune canari.. J'avais presque envie de rire, mais je me retins. Je remonta à l'appartement, puis me changea, avant de me glisser dans mon lit. La nuit fût longue. Un orage se déchaina au dessus de Volucité. Heureusement, les éclairs étaient très faibles. Mais le bruit, si intense, que je n'arrivais pas à dormir. Quand enfin la tempête se calma, le sommeil me prit et je m'endormit de suite.
La matinée fût très courte, car j'avais plein de choses à préparer. A savoir de la nourriture, la location du bateau, et l'emprunt d'un pokémon pour aller alerter la ville au moindre problème. Néanmoins, il fût midi sonné, j'étais déjà dans mon bateau en route pour Sinnoh.
Les vagues clapotaient doucement sur la coque du bateau. C'était un tout petit bateau, avec un moteur extrêmement silencieux. Il y avait une multitude de pokémon marins dans les environs, des Anchwatts, des Barbichas, même des Wailmer ! Mais il y avait 500 mètres plus loin une tâche noire à la surface de l'eau, enfin, après, c'est la distance qui me fait voir ces couleurs. Et une fois bien approchée, je remarque une teinte bleutée, avec des reflets blancs.
- LATIOS !
Je m'empressa de rejoindre sa position, et m'approcha ensuite sans aller trop près. Je jetai l'ancre et me pencha sur lui. Il avait l'air tellement mal, le pauvre. J'attrapa ses ailes, et le ramena vers moi doucement. Puis, je saisis son corps et le fît passer dans le bateau. Il était complètement immobile. Je m'assis en tailleur dans le bateau et le posa devant moi. Je posa ensuite mes mains sur sa tête, en caressant sa peau métallique d'une main douce.
- Mon bébé.. Que t'est-il arrivé encore ?
Il ouvrit d'abord un œil, puis l'autre, puis il redressa la tête en regardant autour de lui. Il se mit face à moi, me dévisageant comme s'il ne me connaissait pas. J'avais peine à le voir ainsi. Il avait l'air très faible. Je pris dans mon sac à dos une petite boîte, qui contenait diverses baies. J'en mis plusieurs dans ma main et l'approcha de lui. Il recula la tête, méfiant.
- Latios, c'est moi, Mélina.. Ne me dit pas que tu ne te souvient pas !
Les larmes me montèrent aux yeux. Il poussa ma main violemment. Je connaissais bien ce caractère. Je lui avait souvent répété de ne rien accepter d'inconnus. Ses yeux d'un rouge sang me fixait méchamment. J'avais peur qu'il ne m'attaque. Je me mis alors à chanter ce que je leur chantait très souvent, du temps où ils vivaient, lui et sa sœur, avec moi.
- Tu pourrais retourner mers et océans, mais jamais le ciel, lui qui t'accompagne, dans votre quête éternelle, vous qui cherchez la confiance, et la beauté, d'un sourire, de la compagnie de quelqu'un, sur qui vous pouvez compter, mais ne vous, faites pas de soucis… Je serais là, et quoi qu'il.. Arrive. Vous pourrez toujours compter l'un sur l'autre, et vous, sur moi..
Un silence pesant s'installa. La brise marine le fît rouvrir les yeux. Il s'approcha de moi, et nous fûmes face à face. Lorsqu'il frotta sa tête contre ma joue, je compris tout de suite qu'il m'avait reconnue. Il poussa un petit cri, que je connaissais bien, et je le regarda, une lueur d'émotion dans les yeux. Lorsqu'il tourna sa tête sur le côté, je compris ce qu'il voulait. Je releva l'ancre et me décida à raconter l'histoire; que nous avions vécu tous les deux, tout les trois plutôt. Car oui, Latios et Latias étaient mes meilleurs amis, jusqu'à ce que je ne les pousse à fuir. J'allais commencer à raconter, quand une vague, plutôt énorme, se dirigea vers nous. Durant tout le temps où je cherchais à reconquérir l'amitié de Latios, je n'avais pas remarqué que le temps s'étaient couvert. Le vent se leva rapidement, et Latios eut du mal à bouger. Je pris une pokéball de mon sac et l'enferma dedans, pour le protéger. D'autres part, je sortis le Békipan de sa pokéball et l'envoya me chercher de l'aide. Mais la vague atteint trop rapidement le bateau, le remplissant d'eau et me faisant tomber par-dessus bord. Malheureusement, je ne pus pas revenir à l'intérieur, car j'avais activé le moteur au moment où j'ai relevé l'ancre. J'agrippai mon sac-à-dos, qui contenait mes pokéball et mes Pokémon, et tenta du mieux que je pouvais de rester à la surface. Je profita d'un moment de calme pour sortir Latios de sa pokéball, et lui donner un guérison qui trainait au fond de mon sac et que je réservais à Malosse au cas où nous rencontrerions un Pokémon sauvage. Il reprit immédiatement du poil de la bête et je pus monter sur son dos au moins en attendant des secours. Vu de haut, la mer semblait si innocente. Et les nuages, approchés de très près, semblaient être des boules de cotons qui se seraient envolés un jour d'automne. Les secours ne vinrent pas. Plusieurs heures passèrent, Latios s'étaient assoupi en l'air. C'est le tonnerre qui le réveilla. Une tempête, un ouragan devrais-je dire, se forma peu à peu. Les vagues devinrent plus grosses, plus solides, le vent se mit à souffler de façon à nous empêcher de passer. Je m'accrochai à Latios le plus possible, en tenant bien mon sac de l'autre main. Il commençait à avoir du mal à rester immobile en l'air. Il essaya alors d'avancer, mais il était si fatigué qu'il ne parvint pas à bouger d'un mètre. Il tomba à l'eau, moi avec. Je poussa un cri tel que j'aurais pu réveiller un Ronflex. Latios essaya tant bien que mal d'éviter les vagues, mais je me prenait tout dans la figure, et il était dur pour moi de rester accroché à lui. Je lâcha son aile, et me fît emporter par le courant. Il le remarqua tout de suite, et plongea dans l'eau. Je commençai à couler, et j'agrippai avec force mon sac, de peur de le lâcher. Dedans était mon petit bébé, Malosse, ainsi que ma nourriture et tout ce qui va avec. Latios me rattrapa et je fûs sur son dos sans m'en rendre compte. Tout à coup, alors que je rouvris les yeux, je vis au loin l'ombre d'un immense pokémon. Je pensa tout bas : « Kyogre.. » .. Il fît des plongeons et des plongeons jusqu'à nous, et lorsqu'il fût tout près, je me retrouva face à son immense œil couleur miel. Latios me poussa, et en quelques mouvements, nous fûmes sur son dos. Comme le paysage était beau ! Kyogre faisait d'immenses bonds et éclaboussait tout sur son passage. Il était majestueux, et filait à une vitesse folle dans les eaux qui se calmaient sur son passage. Je pus apercevoir Sinnoh en regardant bien. Nous approchions du but ! Latios se frotta amicalement à moi et je le pris dans mes bras. En quelques temps, nous fûmes sur la côte. Les gens au port n'en croyait pas leurs yeux, lorsque je sauta du dos de Kyogre. Ils s'approchèrent du pokémon tandis que je le remerciait d'une caresse juste au dessus de son œil.
- Merci Kyogre, tu m'as sauvé la vie et aussi aidée à rentrer chez moi. Merci de tout mon cœur.
Carmilla accourra au moment où Kyogre s'en alla. Elle me prit dans ses bras, et Latios tourna autour de nous deux, tout content d'être enfin au bout de ses peines.
- Ma puce ! Te revoilà enfin ! Oh, tu m'avais dit que tu viendrais en croisière s'il ne faisait pas beau, non ? Tu as risqué ta vie !
- C'est qu'il faisait beau au début, après.. Le vent s'est levé.. Heureusement, Kyogre était là.
Lorsque je me tourna vers la mer, Kyogre fît un bond en l'air en poussant un cri qui voulait sûrement dire Au Revoir. Je pris Carmilla par la main, mit mon sac sur le dos et me mit à courir vers la maison. Je connaissais Joliberges comme ma poche. J'étais heureuse d'être enfin de retour. Mais, j'y pensais.. Latios était tout de même faible. Je fis une halte au centre pokémon, où une infirmière m'accueillit avec un grand sourire.
- Mélina; tu es de retour ! Ooh, mais que vois-je ? LATIOS ! Tu l'as retrouvé ?
Elle se tourna vers lui et caressa sa tête. Je fis un grand sourire. Ici, tout le monde connaissait Latios et Latias, qui faisait un duo infernal à eux deux. Elle regarda Latios dans les yeux et hocha la tête.
- Mais où-es ta sœur ? C'est rare de te voir sans elle …
Les yeux de Latios s'illuminèrent alors. Je connaissais bien ce phénomène, c'était la vision partagée. Mais je fus plus inquiète lorsque je vis l'environnement dans lequel se trouvait Latias. Elle était dans un endroit très sombre, avec quelques ruisseaux de lave. L'intérieur d'un volcan ! Je pris Latios dans mes bras et les larmes me montèrent aux yeux. Moi qui espérait retrouver facilement sa sœur, j'étais mal placée. Un volcan, il n'y en avait qu'un à Sinnoh, et il était confondu au Mont Courroné. Mais je n'avais pas le droit d'y entrer, étant donné que je n'avais pas les huit badges de la région. Je me laissa tomber à genoux. Latios poussa mes mains de sa tête. Je le pris dans mes bras à nouveau. L'infirmière se pencha vers moi, et Carmilla, elle, restait à l'entrée, soucieuse. Elle s'approcha de moi et me releva. Puis elle me secoua un peu, histoire de me remettre en état.
- Pleure pas, Mélina ! On va la retrouver, Latias, tu vas voir ! Et je serais là ! Et tu peux compter sur Latios !
Latios tourna gaiement autour de nous. Puis l'infirmière prit Latios par l'aile, et lui fit signe d'avancer. Elle le conduit vers la grande machine qui soignait n'importe quel pokémon, lorsqu'il était dans sa pokéball, du moins. Je pris dans mon sac sa pokéball, et le rappela à l'intérieur. Puis je tendis la pokéball à l'infirmière, ainsi que celle de Malosse. Une fois qu'ils furent en état, Carmilla me conduisit vers la maison. Quelle émotion lorsque je me retrouva face à la maison de mon enfance, mon tendre nid d'enfance.. Avec ses murs couleur crème, son jardin rempli de fleurs, le potager verdoyant, et sa petite girouette qui ne cessait de tourbillonner au rythme du vent.. Latios connaissait bien l'endroit aussi. Il se mit à tourner autour de la maison, pour se re-familiariser avec. Puis, il rentra dedans et monta à l'étage. Je le suivit en courant, et retrouva ma belle chambre d'antan. Il se posa dans son petit panier, que je lui avais confectionnée, plus jeune. Dedans il y avait une copie de la photo que je regardais le jour précédent. Moi, lui et sa sœur. Une magnifique photo prise dans le jardin. Il se roula sur lui-même et s'assoupit, tel un ange, dans le panier. Je m'approcha de lui et le caressa, doucement. Puis je me releva, et me mit face au miroir qui était entreposé dans le fond de la chambre. J'avais tellement grandi. Mes traits s'éteint affinés, et mes cheveux avaient tellement poussés. Ils avaient l'avantage d'être à la fois bruns, à la fois brillants, et à la fois ondulés. Je les attacha en queue de cheval, puis descendit en bas. Mais lorsque je toucha le sol, une énorme fissure se forma juste sous moi. Je m'agrippa alors au tronc de l'oranger qui se trouvait juste à côté de la porte. La fissure craquela la maison, le sol se mit à trembler. Cela dura quelques secondes, puis se calma. Je repris pied sur la terre ferme et leva ma tête vers le ciel. Le volcan. C'était le volcan qui était prêt à se mettre en éruption. Et si Latias se trouvait dans un trou annexe à la chambre magmatique, elle risquait gros.
- LATIOS ! Viens ici et dépêche toi !
Il obéit de suite. Je monta sur son dos et lui demanda de s'envoler jusqu'au port. On pouvait accéder au Mont Courroné en passant par l'étang. Les bateaux n'ont pas le droit de passer par le fleuve, mais.. Kyogre, si. Une fois au port, je me mit à hurler son nom pour qu'il entende. Il ne répondit que quelques minutes après. Lorsqu'il apparut devant moi, j'eus une autre idée en tête. Calmer Groudon. Car il était le seul à pouvoir empêcher l'éruption, et donc à éviter que Latias soit prise dans le magma. C'était désormais une course contre la montre, où j'étais la seule à participer. D'ailleurs.. Laissez-moi m'expliquer.. Il faut que je me souvienne, pourquoi je leur ai dit de s'enfuir. Pourquoi il se sont mis en danger en voulant y échapper.