Rondoudou et ses aventures de Gafla

Il devait être aux environs de cinq heures du matin, et moi, j'étais en train de dessiner sur une feuille. J'allumai la télévision miniature, mais aucuns programmes ne me plus. Je n'arrivais pas à dormir. tout à coup, mon journal tomba de mes mains pour se poser sur le gros ventre gélatineux de Hariyama. Il se réveilla en sursaut en m'entendant crier. Il me tapota la tête.

- Pourquoi tu as crié, Toudoudou ?
- C'est mon journal, il est tombé sur toi, et j'ai eus peur qu'il soit noyer dans la graisse ... Euh je veux dire, j'ai eus peur d'autre chose ... Hum, hum ...
- Noyer dans la graisse ?!

Son ventre se mit à gigoter, et il cria, énervé, lui aussi. Il ouvrit mon journal, et le llu à voix haute :

- Lundi 28 Décembre 2011 :

Coucou ! Bon, je sais que Hariyama est ton père, car c'est lui qui t'as conçu, mais ça t'es déjà arriver de te retrouver à côté de lui et d'être coincé par ce qu'il est trop gros ? Non ? Bah, t'es qu'un carnet, tu ne peux pas parler, mais quand j'écris, j'ai l'impression que tu m'écoute. Mais, je ne pense pas que ce que je dis est vrai. Bon, bref, ce gros tas ( bon, c'est pas sympas pour lui, mais bon, si c'est vrai ... ) est dans son lit alors que moi, je suis dans le mini terrier qu'il m'a fait. Bon, désolé Hariyama, mais je te trouve un peu gros. Peut-être que ce sont des muscles, hein, journal ? Mais, oui ! Il est super muscler, par ce que si il était gros, il ne serait pas très fort, pas au point de casser des briques. Bon, allez, salut, il se réveil enfin !

Ses deux bras se mirent à gigoter, et il me fit un coup de poing en pleine figure. Il devait détester que l'ont l'insulte. Ce carnet ... Ce n'était pas le mien, mais celui de ce gros Hariyama ... Mes amis d'avant étaient beaucoup plus attachant. Il me vira donc de son terrier, déchirant les pages de mon journal. Tengalice, lui était dans un terrier autre que celui de Hariyama. il était dans l'ancien terrier de cette saleté de Makuhita. Tengalice était mon seul espoir. Mon dernier ami que je connaissais. Il m'aimait pour ce que j'étais.

- Tengalice ! appelais-je.
- Oui ?
- Tengalice, tu as réussi à parler ?
- Oui, grâce à vous, les amis, j'ai eus confiance en moi.
- Ah ...

J'étais un peu gênée de vouloir demander à Tengalice d'errer sans but. Il me pris la main, et murmura :

- J'irais là où tu iras.

Je l'enlaçai, et je commençai à lui expliquer. Il me dit que les Hariyama étaient très dangereux. Je lui demanda des conseils, et il me dit qu'ils s'énervaient pour tout et n'importe quoi. C'est pour ça, qu'il avait une tête triste, par ce que il essayait de me prévenir !

- Si on retournait à mon ancienne Forêt ?
- Je suis d'accord, mais où est-elle ?
- Ici, montrais-je sur une carte que Tengalice dépliait.
- Aaaaah ! Mais c'est à plus de milles kilomètres !
- Mais ...
- Bon, bon, c'est d'accord, on y va cette nuit.

Nous commençâmes le voyage pour aller jusqu'à ma Forêt, mais avant, il fallait un peu de repos, après toutes ces émotions. D'abord, je me mis dans le terrier avec Tengalice, et nous discutâmes de la façon d'aller jusqu'à mon ancienne cabane. J'allais peut-être retrouver mes anciens amis, et j'allais pouvoir leurs présenter Tengalice.

- Tengalice …
- Que veux-tu ?
- Tu sais pourquoi je veux aller à cette Forêt ?
- Bien sûr que non, pourquoi ?
- C'est là que j'habitais avant.
- Oui, ça je sais.
- Mais, c'est aussi là que Mewtow, le légendaire Pokémon à détruit la Forêt.
- Mew … Mewtow ?!
- Oui.
- Tu as déjà vus Mewtow ?!
- Ben, oui, mais il est très dangereux.
- Mewtow est un des Pokémons les plus puissants du monde des Pokémons ...

Il me prit la patte, et une larme s'écoula de ma joue. Ma forêt, mes amis, ma cabane, ma vie … Fichu en l'air par ce Mewtow ! J'allais me venger, sûr et certain ! Avec l'aide de mon ami Tengalice !

A suivre ...