Rondoudou et ses aventures de Gafla

Que c'était beau la ville Pokémon ! Il y avait des géants bâtiments grisâtre, de la fumée, des machines rose et violette, mais c'était magnifique, et tellement grand !

- Hariyama ?
- Quoi encore.
- Ben, tu veux pas discuter ?
- Si, si, mais qu'as-tu à me demander ?
- Il n'y a qu'un seule ville, dans le monde Pokémon ?
- Non, il y en a trois.
- Pourquoi il n'y en a pas plus ?
- Car ça pollue.

Je n'ai pas répondu. Je juste tenu la grosse main de Hariyama, de peur que quelqu'un me fonce dessus ou m'attaque. Je rêvais de voir un jour la ville, mais maintenant que j'y suis, ça me fais un mauvais pressentiment. Toute cette agitation, tout ce bruit, et surtout, ce n'était pas un endroit très sur ... Il y avait de grands et forts Pokémon. Après avoir descendu la côte à l'aide d'Hariyama, nous vîmes une Baleine géante au milieu de tout les immeubles et attraction. Il sautait partout et éclaboussait les Pokémons qui le regardait. Un petit Pichu s'approcha trop près, et tomba dans le géant bassin. Il pleurait tellement fort que tout les Pokémon de la ville se turent. Ils regardèrent le petit Pichu en train de se noyer et de crier. Mais, sa mère n'était pas là, et son père ne faisait que regarder, sans même faire attention à son petit Pichu. Sa mère n'était pas là, sinon, elle sauterait dans le bassin pour le sauver. Peut-être pas, mais peut-être bien. sans réfléchir, je sautai dans l'eau, et je pris la main de Pichu, la baleine bougeait dans tout les sens, se croyant menacer. Je remontai à la surface, et tout les gens m'applaudirent. C'est ça, être une héroïne ? C'est vachement bien ! J'étais très contente que l'on m'applaudissent comme ça, et je redonnai la main à Hariyama qui me fit un petit sourire.

- Bravo, mais fais très attention, compris ? Ce Pokémon est dangereux !
- Ah bon ? Alors Pourquoi il est dans la ville ?
- Pour servir d'attraction au gens. C'est une idée stupide, certes, car ça l'énerve, et c'est pour ça qu'il a un caractère de cochon et qu'il est peureux. Il ne parle même plus ! Tu te rends compte ?
- Bien sûr que oui, je me rends compte.
- Allez, continuons la visite de cette merveilleuse ville.
- D'accord.

Nous continuâmes donc la visite de cette géante ville. Hariyama s'arrêta devant une machine violette avec des manettes et des objets dessiné dessus. Je m'enveloppai dans son gros ventre pour que personne ne me voit. Puis, par terre, je vis un feutre. Je retirai le bouchon, et c'était un feutre-micro ! Dans la ville, pour que tout le monde m'écoute, j'allais chanter une super berceuse ! Mais, Hariyama allait peut-être me disputer ... Il était en train de jouer à la loterie, alors, je n'ai aucune raison de m'inquiéter. Je vais donc au milieu de la ville, et je chante.

- Rondoudou doudou Rondoudou, Rondoudou, Rondou oudou, Rondoudou Rondou ...

J'avais même enregistrer ma chanson ! Mais, ils s'étaient tous endormi ! Comme je n'étais pas contente, je retirai la bouchon de mon micro, et je dessinai des formes sur tout le monde.

( la voici Ici cliquez pour écouter ma chanson )

Bien fait pour eux ! Je plongeai dans le bassin à la grosse baleine pour lui dessiner des moustaches. Tout d'un coup, il se réveilla, et d'un coup de nageoire me propulsa dans le terrier. Hariyama mit longtemps à revenir, mais je le vis entrer. Il faisait un très grand sourire.

- Merci, Rondoudou.
- Mais, de rien !
- Alors comme ça, tu es un Rondoudou ? Je n'ai jamais vus de Rondoudou de ma vie, mais, je rêvais d'en avoir un, je ne savais pas que tu étais un Rondoudou !
- Tu n'es pas fâché ?
- Non, non ! Tous les habitants de la ville son redevenu sympathique, même Wailord !
- Mais ... Qui est Wailord ?
- La grosse baleine !
- Ah, d'accord. Tu n'es pas fâché que j'ai dessiner sur ton visage et sur le visage des autres ?
- Non, ça à même fait rigoler tout le monde ! Mais ... Tu m'as même dessiner sur MON visage ?
- Euh ... Oui, oui, je dis la vérité !
- Viens là que je t'attrape.

Nous jouâmes à s'attraper avec Makuhita aussi. Mais, nous n'avions pas vu que nous nous éloignions dangereusement de la forêt ...

A suivre ...