la Prison
Récapitulons. En cherchant la mère de Poussi, moi, Elect et le petit poussifeu sommes entrés dans un batiment noir, et j'ai été attrapé par des humains. Ils m'ont amenés dans une cellule où se trouvaient deux autres pokémons shiney. Une galifeu et une mentali.
Maintenant, je m'approchait lentement des autres pokémons ( difficilement car j'était attaché à l'autre bout de la pièce par une chaîne et qu'elle était courte ). Je les voyais parfaitement. Leurs côtes étaient saillantes, leur cage thoracique se soulevait avec peine. Leur fourrure, bien que brillante, était pellée et abimée. Des tressaillements les agitaient, et ils semblaient pris entre la vie et la mort. Dans leurs demi-someil, ils poussaient des petits râles de souffrance.
Leur vue me dégoûta. Comment les hommes pouvaient leurs faire tant de mal ? En tirant sur ma chaîne, je me rapprochais davantage des deux pokémons. Leurs yeux étaient ouverts, mais ils semblaient voir des choses qui n'existaient pas.
La mentali tresailla. Ses yeux s'agrandirent de stupeur, des larmes coulèrent, reflétant la douleur du pokémon. Elle ouvris la bouche pour pousser un hurlement qui ne franchirait pas ses lèvres.
Puis sa tête retomba, se heurta au sol.
Je ne dormis pas de la nuit ( il faisait toujour sombre, quelque soit l'heure de la journée, mais je ressentait la diffèrence entre la nuit et le jour, grâce à mon espèce ). les râles des pokémons presques agonisant m'en empêchaient.
Qand je pensais parvenir à dormir, une pensée pour Poussi et Elect me reveillais.
Au petit jour, un homme passa une boullie infâme, dans une gamelle, par les barreaux. Il nous détacha, mais nous mis un bracelet noir et lourd à la patte. Les deux pokémons se réveillèrent imédiatement, se levaient sur leurs pattes qui peinaient à les porter, en boitant, s'approchaient desèspérément de la nourriture, si proche, mais si loin pour elles. Elles rampaient pour atteindre au plus vite cette maigre nourriture.
Moi, je les regardaient. Ils senblaient aller mieux. Son repas achevé, la Mentali se traîna vers moi, en poussant devant elle la gamelle, avec ce qui restait de nourriture.
-Tu en veux ? Me demanda elle d'une voix faible et éraillée, malgrès son évident jeune âge.
Se secouaient la tête de droite à gauche.
-Non, merci. Tu peux tout finir.
-Si tu le dis... au fait, je m'appelle Mentalia. Et elle, c'est Galliflo.murmura elle.
Elle fini la gamelle avec la galifeu. Une galifeu shiney ?! Peut-être la mère de Poussi.
Je m'approchait d'elle.
-Heu... dis, tu ne serais pas la mère de Poussi, par hasard ?
Elle me regarda, les yeux brillant.
-Poussi ?! Tu l'a vu ?! Où, quand ? Dis moi tout !
-Il m'avait demandé de retrouver sa mère. Je ne savais pas que c'était toi.
-Mon Poussi ! Il ne s'est pas fait capturé ?! Il va bien ?
J'explicais alors à la mère que son petit avait été pris, comme moi. A cause de moi. C'était horrible, mais c'était vrais. la Galifeu se tus, espéra que son petit n'allait pas trop mal. elle était desespérée.
-Au fait, que faisons nous ici ? Demandais-je à la mentali, pour changer de sujet.
-Nous sommes dans un laboratoire, explica Mentalia. Les humains qui le dirigent font des recherches sur les pokémons shineys, et cherchent à rendre shiney des pokémons normaux, afin de vendre leurs fourrure. Les pokémons shiney ont une grande valeur, et ils cherchent à en avoir le plus possible. Pour cela, ils font des expériences sur nous et des pokémons normaux. En ce moment, ils essaient de savoir si nous sommes plus résistant en nous affamant.
-Mais c'est stupide rétorquais-je. Évidemment qu'on est plus résistant ! C'est bien notre seul avantage.
Elle pris le temps de se lécher la patte avant de répondre.
-Oui, c'est stupide, mais nous n'y pouvons rien. Ils ne sont pas sûr, alors ils vérifient. Les pokémons normaux qui servent pour les expériences sont encore moins bien traîtés que nous.
-D'ailleurs, continua Galliflo, un de leurs groupes ont cherchés à s'évader, hier. Tu ne les aurais pas vu ?
Mais oui ! Le cizayox que j'avais croisé ! Avait- il réussi, lui et les autres ?
-je les ai croisé. Répondis-je simplement.
Puis je focalisais mon attention sur le bracelet à ma patte.
-Qu'est-ce que c'est ? Demandais-je en désignant le bracelet.
-Un meutralisateur d'attaque. Répondis la galifeu. Ça t'empêche d'utiliser des attaques spéciales. C'est pour que nous ne les blessons pas.
Vraiment, les hommes étaient mauvais. Forcément pour inventer une horreur pareille !
Moi, c'était hors de question que je reste ici. J'allais m'enfuir.
Je DEVAIS m'enfuir.