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Le pouvoir des légendaires: L'oeuf mystère de OO8_le_grand



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Informations

» Auteur : OO8_le_grand - Voir le profil
» Créé le 21/03/2010 à 11:52
» Dernière mise à jour le 21/03/2010 à 11:52

» Mots-clés :   Action   Aventure   Suspense

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Chapitre 22: Insécurité
Accroché à la patte d'un Roucarnage, il n'y avait rien de plus inconfortable. Pourtant, Marie n'en avait pas vraiment le choix. Elle s'envolait vers elle ne savait pas trop qu'elle destination. Celle que sa kidnappeuse avait décidée. Et elle espérait de tous cœur que Tristan ne partirait pas à sa rescousse. Il avait déjà tellement de problème. Elle l'entendait la nuit se plaindre, gémir. Mais le jeune garçon ne lui en avait rien dit, et elle respectait ce silence. Elle avait compris qu'avec Tristan, il valait mieux faire comme sa. Quoi qu'il en soit, elle ne pouvait délibérément pas faire grand-chose maintenant. Le Roucarnage avançait tellement vite, qu'elle devait fermer les yeux. Ils étaient hauts, mais elle n'avait pas le vertige. Elle ne l'avait d'ailleurs jamais eut. Lorsqu'enfin elle sentit la vitesse du Roucarnage en net ralentissement, elle sut qu'elle n'était pas très loin d'arriver à leur destination.

Elle tentât d'ouvrir les yeux, et distingua différents bâtiment, principalement des immeubles. Cependant, elle dût les refermer aussitôt, la vitesse du Roucarnage était encore trop élevée. La femme, au-dessus, n'avait pas se problème, vu qu'elle portait des lunettes de soleil qui la protégeait du vent. Elle sentit Roucarnage perdre soudain de l'altitude, et ensuite se poser avec, presque, délicatesse sur le sol. Elle ouvrit les yeux. Ils étaient dans un hangar, dont les murs et le sol était de couleur gris métallique. La femme posa un pied un sol, et différentes personne vinrent à sa rencontre. Marie entendit des murmures, des chuchotis, et quelque regard se tournèrent vers elle. Rien n'était cependant très audible. Finalement l'uns des hommes s'approcha d'elle et se mit à défaire les liens qui la retenaient à la patte du Roucarnage. Un bandeau toujours sur la bouche, et les mains ligotées dans le dos, on se mit à la trainer de force dans un couloir. La femme au cheveu blanc était devant elle, ainsi qu'un autre homme. Tout deux discutait.

« Que devons-nous en faire ? demanda l'homme.
-Pour le moment, mettez la avec les autres, répondit sèchement la femme
-Vous ne voulez toujours pas que nous réalisions des tests ?
-Je suis toujours contre, effectivement.
-Mais, nos travaux se sont beaucoup améliorer, je suis sur que…
-J'ais dis non !
-Mais, Miss Graziella…
-Êtes-vous sûr de vouloir me contredire, sbire ?!
-Non madame.
-Bien…Comment se porte les autres
-Ils sont toujours dans leur cellule, et non pas revu la lumière du soleil depuis leur enlèvement, comme vous nous l'avez demandé.
-Aucun souci particulier ?
-Non aucun. L'un d'eux semble cependant plus important dans la hiérarchie que les autres.
-Si c'est le cas, c'est une chance pour nous. Continuer vos recherches.
-Et cette jeune fille…Le connaissons-nous ?
-Non, pas plus que ce jeune garçon qui nous a encore filés entre les doigts. Je viens de recevoir un sms de la part des deux personnes qui étaient venu avec moi. Bande d'incapable.
-N'auriez-vous cependant pas quelque élément qui faciliterait nos recherches.
-Pour Tristan, vous connaissez déjà tous. Il est en rapport avec cet œuf à la fleur rouge. Cela réduit tous de même de pas mal le périmètre de recherche. Quant à la fille, d'après Mr Bucklove – qui les a lui aussi laisser filer – la jeune fille est avec une source de lumière lumineuse et rosâtre. Je ne peux cependant vous en dire plus.
-Très bien madame.
-Déguerpissez désormais »
Celui-ci s'exécuta. Marie avait tout écouté, mais n'avais pas réussit à comprendre grand-chose de ce qu'ils avaient raconté. Elle eut cependant un petit sourire, dissimuler derrière son bandeau. Tristan s'en était sortit, c'était une bonne chose.

Ils continuèrent d'avancer un bon petit moment, l'endroit dans lequel ce trouvait Marie semblait immense. La femme, nommé apparemment Graziella, ne parlait pas, ou peu, avec l'homme qui la trainait. Elle se contentait d'envoyer diverse message avec son multi-poké. Elle sentit soudain un froid intense, et se sentit presque mal. Quelque chose l'inquiétait, et elle ne se sentait pas en sécurité. En face d'eux, apparut un jeune garçon, aux cheveux mi-long. Il s'agissait de Ken. Elle éprouvait une haine incontrôlée à son contact. Un besoin de s'enfuir, ou, aux contraire, d'attaquer.
« Tiens, Ken, dit la jeune femme
-Epargne-moi ce sourire, Graziella.
-Oh, excuse moi, mais moi, contrairement à certain, j'ai réussit ma mission.
-A moitié je te signal. N'était-il pas deux ?
-Grr.
-Dois-je en déduire qu'il t'a échappé. »
Elle ne répondit pas, et lui passa devant.

Une fois suffisamment éloigné de lui, Marie réussit à revenir à son état normal. Elle se remémora les derniers événements. A la bibliothèque, elle avait trouvé un livre très ancien, écrit en ancienne langue, dans les étagères. Elle avait été surprise, les livres ainsi sont rares et caché. Elle avait sauté sur l'occasion et c'était mis à décrypter la légende. Elle parlait de la vie, de comment celle-ci avait put apparaitre sur Terre. Elle y avait appris des tas de choses, qu'elle aurait voulut discuter avec Tristan. Elle possédait désormais des tas d'hypothèse, mais n'était sûr de rien. Une dominait les autres cependant, mais n'étant sûr de rien, elle ne voulait pas se reposer dessus. Elle espérait que Tristan avancerait plus qu'elle, ne pouvant, désormais, plus faire grand-chose. Qu'il soit en sécurité, pour le moment, était cependant les plus important. Qu'il fasse des recherches, mais qu'il ne vienne pas à son secours, c'était ce qui comptait. Ils s'arrêtèrent soudain en face d'une épaisse porte en bois. La femme l'ouvrit, l'homme détacha les mains de Marie et la poussa violemment à l'intérieur de la pièce. La porte se referma aussitôt derrière elle. Elle retira le foulard qui lui couvrait la bouche, et observa la pièce dans laquelle elle se trouvait désormais. Les murs et le sol semblait rocailleux, et il faisait sombre, très sombre. Dans la pièce, elle distinguait quatre silhouettes. Sa chevelure brillait, c'était une particularité qu'elle n'avait jamais comprise, et sa grand-mère n'avait jamais souhaité en parler. Elle s'assit sur un banc. Maintenant, l'insécurité était omniprésente. Elle espérait de tous cœur que ce ne soit pas pour trop longtemps…