Le pouvoir des légendaires: L'oeuf mystère de OO8_le_grand

Tristan observa bien les alentours, mais il n'y avait aucune trace de la jeune fille aux cheveux blonds. Mentali aussi était inquiet. Soudain, un hurlement étouffé l'alerta, il tourna la tête. A l'entrée du parc, une jeune femme aux cheveux gris était là, avec deux hommes derrière elle, et Marie, avec la main de la femme sur sa bouche. Tristan la reconnu, cette femme…c'était celle qui l'avait attaqué avec Ken, le jour où il était tombé dans la rivière.
« Lâcher Marie ! cria Tristan »
La femme lui sourit comme si elle souriait à un simple enfant qui lui montrait un dessin qu'il avait fait.
« Les enfants…sa croient toujours qu'on va leur obéir »
Tristan grogna. Marie tentât de se dégager, cependant un couteau était pointé sur sa poitrine.
« Devant l'incompétence de Ken, il a bien fallu que quelqu'un d'autre vienne s'occuper de vous, vous ne pensiez pas tous de même pas nous échapper jusqu'à la fin de vos jours. C'est dans le contes et les histoires bonne enfant que l'on voit sa »
Elle rigola. Marie réussit soudain, enfin, à libérer la main qui l'empêchait de parler.
« Tristan ! Je sais ce que nous sommes ! Nous sommes des…
« Chut, dit la femme en empêchant à la jeune fille de bouger. Figure toi, continua-t-elle en s'adressant à Tristan, que nous avons attrapé la jeune hirondelle à la bibliothèque entrain de lire un livre très intéressant, que nous avons très vite brulé, il ne faudrait pas que cela corrompe votre petit esprit fragile. Nous n'avions ensuite plus qu'à te cueillir quelque part dans le village »

Tristan réfléchissait à toute allure. Il devait faire quelque chose, cependant rien ne lui venait à l'esprit, la seul sortit était celle qu'occupait la femme, et s'enfuir en sautant par-dessus une des barrières était inutile, les deux hommes derrière elle s'empresserait de le rattraper. Il était piégé.
« Je suis déçu, finit par avouer la dame, en remettant en place ces lunettes de soleil, je m'attendais à quelque chose de plus palpitant, alors que non, rien. C'était presque trop facile. On se demande d'ailleurs comment vous avez bien put faire pour nous échapper autant de fois. Mais cette fois c'est finit ! »
Elle braqua son multi-poké, et invoqua un grand et majestueux Roucarnage. Sous les yeux impuissants de Tristan, elle ligota Marie, qui le regardait d'un air qui voulait dire qu'il ne devait pas se soucier d'elle, mais qu'il devait s'enfuir à toutes jambes. Devant lui, les deux hommes braquaient désormais deux beaux couteaux dans sa direction, au moindre geste, il serait prêt à les balancer. Il aurait voulu sauter sur la dame, la plaqué par terre, faire quelque chose afin de la libérer, mais toutes tentative aurait été veine. Il était impuissant.

Une fois que Marie fut attachée comme un bagage à la patte de Roucarnage, la dame monta sur son pokémon.
« Mon oiseau ne pourra pas porter trois personnes, je vais donc apporter ce paquet à la base. Occupez vous de lui »
Et elle s'envola. Terroriser, Tristan vu Marie, qui l'observait elle aussi, disparaitre aux loin. Aucun son ne sortit de la bouche du jeune garçon, pendant qu'il voyait son ami disparaitre aux loin. Et Mentali regardait lui aussi, mais son combat l'avait tellement épuisé qu'il n'arrivait à rien faire, c'était tout juste s'il arrivait à marcher. Les deux hommes se rapprochèrent de lui, et sortirent tous deux leur multi-poké, qui était le plus vieux modèle sortit. Deux abo en sortirent. Ondulant, ils se rapprochèrent de lui. Tristan se mit à reculer. Et finalement il tenta quelque chose. Il se mit à courir, tenant Mentali dans ses bras, et rentra dans la cabane d'entretient qui se trouvait dans le parc. A l'intérieur se trouvait diverse balais. Tristan posa rapidement Mentali à terre, et se mit à empêcher les deux hommes d'ouvrirent la porte. Il sentait que les deux abo la frappaient, avec l'aide des deux hommes, et il avait énormément de mal à la retenir. La porte finit par s'ouvrirent en grand, faisant tomber par terre Tristan. Les deux abo balancèrent aussitôt leur attaque dard-venin. Avec une soudaine détermination, Mentali sauta entre les deux combattant et soudain un grand bouclier, d'une couleur jaunâtre, apparut et empêcha les dards venins de touché Tristan. Le jeune garçon se retourna, il n'arrivait pas à y croire. Mentali venait de jeter une attaque « Mur lumière » qui empêchait les attaques projeté - tel que lance-flamme, pistolet à eau ou tranche-herbe – de passer. A l'inverse de l'attaque protection, qui, elle, protégeait des attaques physiques – tel que charge, vive attaque ou pied voltige. C'était la première attaque psychique que Mentali réussissait à jeter, alors que l'énergie lui manquait et qu'il n'avait pas réussit son attaque choc mental il n'y a pas longtemps. Cependant, les abo ne furent nullement impressionner et se mirent alors à envoyer des charges. Le mur lumière céda rapidement, et Mentali s'évanouit, ayant dépensé toutes sa force.

Horrifier, le jeune homme vit les deux serpents se rapprocher de lui, ainsi que les deux hommes juste derrière. Affalé par terre, il tentât de se relever, mais un abo l'en empêcha. Le deuxième était entrain d'utiliser son attaque ligotage sur Mentali. Petit à petit, l'espèce de serpent s'enroula autour de Tristan et se mit à le serrer de plus en plus. Sans doute suffisamment pour que le jeune garçon perde connaissance. Sa vue commença à se brouiller. Soudain, tout ce passa très vite. Il vit arriver un homme, tout habillé en bleu, avec un chapeau qui paraissait finir en pointe. Il paraissait être surprit, et se mit à se battre contre les deux hommes, qui n'hésitaient pas, cette fois-ci, à utiliser leur couteaux. L'étreinte se mit à se resserrer de plus en plus autour de lui, il avait l'impression que sa tête allait exploser à tout moment. L'homme paraissait avoir assommé les deux hommes d'un violent coup sur la tête. Il se rapprocha ensuite de Tristan, et donna un violent coup sur ce qui semblait être la tête d'abo. Aussitôt, l'étreinte se desserra, et Tristan put enfin se remettre à respirer. Cependant, sa vue ne revint pas, aux contraire, il voyait de moins en moins, et sa tête le faisait atrocement souffrir.
« Sa va aller Tristan, lui dit la voix de l'homme, ne t'inquiète pas je vais m'occuper de toi !
-Men…ta…li
-Ne t'inquiète pas pour lui, je l'ais libéré de l'emprise d'abo. »
Tristan luttait contre l'évanouissement. Cependant, il voyait à peine l'homme qui l'avait secourut. Il était habillé tout en bleu, de la tête au pied, jusqu'à son chapeau qui finissait en pointe. Il avait déjà vu cet homme quelque part…il en était sur.
« Ar…mand ? »
Puis ce fut le trou noir. Il venait de s'évanouir.