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Zoroark et la morsure magique de Skymaker



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Informations

» Auteur : Skymaker - Voir le profil
» Créé le 13/03/2010 à 16:17
» Dernière mise à jour le 15/03/2010 à 19:34

» Mots-clés :   Action   Fantastique   Présence de transformations ou de change

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Chap. 2-La vérité un point c'est tout
John sortit de son lit, il alla déjeuner dans le réfectoire avec quelques malades humains et pokémon. Avant de l'examiner, l'infirmière proposa à John d'aller se promener dehors, le temps qu'elle prépare ses affaires. C'est ce que l'adolescent fit, mais à sa surprise, la ville était dévastée comme dans son rêve. Les habitants commencèrent soudain à s'engueler du haut de leurs fenêtres. Un gigantesque vacarme se créa pendant plusieurs minutes. Mais à un moment, le vieillard de la veille s'installa sur la grand-place et cria afin que tout le monde entende :
-Ecoutez tous, nous savons que ce sont ces zoroarks. Comme toutes les années ils se réunissent dans la forêt. Je réclame une battue !!
Toutes les personnes se mirent à l'applaudir, tous sauf une :
-Stop !!! C'est n'importe quoi, depuis des années ils viennent et ils ne nous font rien. C'est autre chose ; qu'est-ce qui nous dis que ce n'est pas un humain qui a fait ça ? Interrogea l'infirmière.
-Et quoi encore, tu crois que c'est moi peut-être, beugla le vieux.
-Non, mais si une seule personne touche aux zoroarks, il aura affaire à moi.
L'infirmière rentra avec John dans le centre :
-Pourquoi êtes vous si attachée à ces pokémons ? Demanda l'enfant.
-Viens, je dois te dire quelque chose, répondit-elle.
Joëlle s'enferma avec John dans la salle de quarantaine. Une salle complètement isolée phoniquement :
-Voilà, je ne suis pas humaine. Quand j'étais petite, une infirmière me sauva des griffes d'un persian. J'étais une petite zorua, quand j'évolue, la dame était très vielle. Elle me fit promettre de faire le bien. Je pris donc sa forme, expliqua-elle.
-Vous... vous êtes une zoroark ?
-Oui, tu as compris. Et cette morsure, c'est bien celle d'un zoroark ?
-C'est ça, j'ai voulu attraper son petit frère et il m'a attaqué. Je vous assure, je croyais que le zorua était abandonné, répondit John.
-Mais je ne t'accuse pas. Je parie même que c'est toi qui a fait ce bazar dans la ville.
-Oui, y a-t-il un moyen d'y remédier ? Demanda John.
-Les nuits de pleine lune tu es possédé. Il suffit juste d'attendre, dans quelques jours la lune verte partira.
-Et avant ?
-Je t'attacherai sur cette table à examiner et je te mettrai une camisole de force pour dormir. En attendant essayons de négocier pour la battue.
A l'extérieur, l'homme était toujours en train d'inciter les gens à faire la battue, les habitants semblaient être pour, chacun donnait son avis à tort et à travers sans même savoir pourquoi il y avait cette battue. Quand les deux amis arrivèrent, tout le monde les hua, le ptiravi accompagnait l'escorte et était déjà prêt à faire un métronome :
-C'est une honte, cria le viel homme pour les provoquer, comment osez vous venir.
-Qui porte la honte, celui qui veut tuer des êtres vivants ou celui qui veut les protéger. Ce sont des pokémons, et pas des ennemis de la nature. Respectez les, expliqua l'infirmière d'un ton très doux.
-Ce ne sont peut-être pas des ennemis de la nature, mais de notre espèce oui, ils n'ont pas la place sur terre, cria le vieillard.
A ce moment là, les gens sortir des fruits, assez pour nourrir la ville pendant une bonne semaine. Le vieillard fit un sourire comme pour les narguer, il s'attendait à ce que les villageois jettent ces fruits sur les deux amis. Mais à sa plus grande surprise, ils étaient réservés pour lui :
-Comment osez vous dire cela, cria un.
-C'est horrible de pensez comme ça, hurla un autre.
Et ceci comme ça pendant une bonne minute :
-Finalement tu n'auras pas eu besoin de ton métronome, plaisanta John en parlant à ptiravi.
-Allez, rentrons. La nuit commence à tomber.
John mangea avec les autres patients et alla se coucher comme prévu dans la salle de quarantaine. L'infirmière lui mit une camisole et l'attacha. Puis, elle ferma la salle à clé. Mais vers minuit, comme la veille, John se transforma et d'un seul coup de patte il brisa ses attaches. Il cassa la porte en la forçant et quitta le centre. Il renversa les poubelles, cassa les écriteaux des magasins et arracha les arbres des magnifiques avenues. A la différence de la veille, une personne n'était pas couchée, c'était le vieil homme. Quand la lune commença à disparaître, l'homme avait vu toute la scène. Il avait même vu l'endroit ou la bête était aller se coucher, dans le centre pokémon.