Le pouvoir des légendaires: L'oeuf mystère de OO8_le_grand

Tristan eut du mal à respirer. Marie ? Non, c'était impossible ! La vieille dame l'observait, tristement, attendant que le jeune garçon dise quelque chose.
« Non… finit-il par dire, ce n'est pas possible !
-C'est malheureusement la triste vérité mon garçon. Quant à toi, tu dois partir ! Ne fais pas en sorte que Marie ne se soit fais enlever pour rien.
-Non, je ne peux pas partir.
-Il le faut ! Ne sois pas borné a joué aux héros ! Tu es rechercher partout, cela est très dangereux, tu ne peux pas aller la secourir. Tu ne sais même pas où elle se trouve !
-Mais vous vous savez ?!
-Non, je ne sais pas. Et maintenant sauve-toi, protège cet œuf !
-Vous ne comprenez pas.
-Il n'y a rien à comprendre, à part le fait que tu dois partir !
-Marie ne se serait jamais fais enlever si je n'étais pas arrivé ! Je ne peux pas la laissé avec ces monstres ! C'est de ma faute si elle ce trouve dans une situation pareil. Je dois y aller… Même si je dois en payer le prix.
-Arrête, tu compte beaucoup plus que tu ne le crois ! Pourquoi crois-tu qu'il y ais une aussi grande campagne de recherche te concernant ? Tout simplement parce que tu as un pouvoir, suffisamment grand pour que tu sois rechercher par cet organisation. Ma petite-fille ce débrouillera très bien toutes seul
-Que savez-vous au juste sur moi ? »
La dame ouvrit la bouche pour continuer, lorsqu'elle aperçu deux personne, par la fenêtre, se rapprocher de la porte d'entrée.
« Cache-toi, vite !
-Mais qu'est-ce que…
-Ils sont là, ils arrivent »
Il n'eut pas le temps d'ajouter autre chose avant que la grand-mère la fasse sortir par la petite fenêtre de derrière, conduisant vers le jardin. On toqua.

« Bonjours messieurs, dit-elle en ouvrant la porte »
Elle n'eut pour toute réponse, qu'une espèce de grognement. Tristan écoutait, derrière la fenêtre, les deux hommes se ressemblait, l'un était cependant blond et l'autre brun. Contrairement aux quelque autres personnes qui l'avaient agressé ces derniers jours, les deux hommes ne portaient aucune lunette de soleil
« Avec qui étiez-vous ? demanda l'un des hommes
-Avec personne, répondit sèchement la vielle dame
-Nous vous avons entendu parler avec quelqu'un.
-Et à qui voulez-vous que je parle ? Vous avez enlevé ma petite fille.
-C'est exacte, et elle sortira seulement une fois que nous aurons eu certain renseignement.
-Elle ne parlera jamais, elle est têtu vous savez.
-Grrr, nous utiliseront des moyens beaucoup plus sévère si elle ne coopère pas.
-Vous n'allez tous de même pas la torturer !
-Je n'ais pas dis sa.
-Sa voulais dire la même chose. »
Le poing de l'homme se contracta.
« Vous savez des choses sur lui.
-Quels choses ? Et sur qui ?
-Ne jouez pas à la plus maline avec moi.
-Cela n'ai absolument pas un jeux »
L'homme tapa violemment sur la table.
« SA SUFFIT !! Où est-il ?
-Qui ?
-Tristan Triclon, où est-il ?
-Le jeune homme de la ferme qui a explosé ? N'est-il pas mort ? Ah ben non, je suis bête, il aurait soi-disant fugué ! »
L'homme attrapa par le col la vieille dame et, comme si celle-ci ne pesait pas plus lourd qu'une feuille, la souleva au-dessus du sol. Le deuxième homme lui fit signe d'arrêter. Il grogna, et balança la vieille dame sur le lit, où elle produit un espèce de gémissement.
« Ta petite-fille subira les conséquences de ta mauvaise foie »
Ils sortirent.

Difficilement, la vielle dame se releva. Elle avait beau été envoyé sur le lit, son dos lui faisait tous de même souffrir. De plus, le fais qu'elle est été soulevé au-dessus du sol lui avait coupé la respiration, qu'elle reprenait petit à petit.
« Tristan tu peux rentrer, dit-elle »
La fenêtre ne bougea pas. Anxieuse, la vielle dame se rapprocha de la fenêtre par lequel il était sortit il y a environs une dizaine de minute. Elle regarda à travers la fenêtre, elle ne vit personne.
« Tristan tu peux rentrer, répéta-t-elle »
Toujours aucun mouvement. Inquiète, elle ouvrit la fenêtre. Aucune trace du jeune garçon. La vieille dame se demande où il avait bien put passer, la réponse lui vint rapidement. Il était partit sauvé Marie, en suivant les deux hommes. Elle s'affala par terre. S'il devait être enlevé, se serait la fin !