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Le pouvoir des légendaires: L'oeuf mystère de OO8_le_grand



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Informations

» Auteur : OO8_le_grand - Voir le profil
» Créé le 28/02/2010 à 12:18
» Dernière mise à jour le 28/02/2010 à 12:18

» Mots-clés :   Action   Aventure   Suspense

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Chapitre 7: La disparition de Marie
Deux jours passèrent, où Tristan récupéra de ses quelques égratignures et bleu qu'il avait reçu. Marie était gentille et attachantes. Elle portait de long cheveux blond qui finissait en boucle, n'était pas le genre de fille qui se maquillait, aux contraire elle en mettait le minimum possible, et ne questionnait que très peu Tristan sur ce qui lui avait arrivé. Elle passait tous les jours, apportant à manger pour qu'ils puissent se requinquer, lui et son Evolie, et ils discutaient. Il avait apprit qu'elle vivait chez sa grand-mère dans le petit village d'Aquacoles, qui n'était très loin d'ici. Tristan ne parlait cependant que très peu de lui, il était en danger il ne voulait pas que les autres en subissent les conséquences. Il pensait souvent à ses parents, et refaisait chaque soir le même cauchemar, celui qu'il avait fait lorsque la jeune fille l'avait retrouvé sur la plage. Il était inquiet, étaient-ils réellement mort ? Non, il ne courrait aucun danger. C'était ce qu'il se disait pour se persuader, bien que le jeune Ken sache dans quel village ses parents habitaient. Les deux jours avait passé trop vite au gout de Tristan, car il savait qu'il allait devoir repartir tôt ou tard, pour aller où ? Il n'en savait rien, retourner chez lui était dangereux. Il devrait marcher, sans cesse, afin que les deux personnes ne le retrouve pas… Et rechercher Armand ! Lui il savait des choses, c'était certain, il devait allez le voir, il éclaircicerait sans doute beaucoup de chose.

Au matin du troisième jour, après une nouvelle nuit à dormir sur le sol dur et froid, Marie avait tous de même réussit à trouver deux oreiller, un pour lui et un autre pour Evolie, Tristan se jugea pleinement rétablit. Il devait partir désormais, et Marie ne l'arrêtera pas. Bizarrement, elle arriva plus tard. D'habitude, la jeune fille arrivait toujours vers onze heures. Treize heures sonna, et il n'y avait aucune trace de la jeune fille. Même s'il devait partir, il ne pouvait pas partir le ventre vide, ou sans provision. Et puis, il désirait tous de même lui dire au revoir, elle l'avait en quelque sorte hébergée durant quelque jour. Quatorze heures sonna, et il n'y avait toujours aucune trace d'elle. Tristan se mit à s'inquiéter de plus en plus. Si elle n'était pas là, c'est qu'il avait dû lui arriver quelque chose. Il poussa donc la pierre, bloquant l'entrée de la petite grotte, et sortit à l'air libre pour la première fois depuis ces trois jours. Comme il était bon de sentir les rayons du soleil nous réchauffer. Il n'y avait aucune prise, et l'air était chaud, ce qui était normal vu qu'il ce trouvait dans un désert. Evolie derrière lui, il se mit en route vers la ville qu'il apparaissait aux loin.

Au bout d'un petit quart d'heure, il fut derrière les premières maisons. Il ne pénétra cependant pas dans la ville, préférant rester un minimum discret. Il devait trouver Marie, elle était forcément quelque part. Il fit donc le tour du village, qui n'était pas très grand, en évitant au maximum les chemins et les personnes qui quittaient le village. Il remarquait une certaine anxiété sur le visage des habitants, quelque chose semblait s'être produit. Ce n'était pas très rassurant. Lorsqu'il fut revenu à son point de départ, il n'eut pas d'autre choix que de pénétrer à l'intérieur du village, préférant cependant les ruelles à l'allée principale. Lorsqu'il fut arrivé aux centre de la petite ville, il aperçu la mairie. Personne n'était devant, il s'avança donc. Ce qu'il vit le surprit. Une large affiche le représentait, le recherchant, avec « fugue » comme motif de recherche. Un petit texte écrit en dessous le décrivait un peu, et la signature était « Ken Jouri ». Ken ? Ce ne pouvait pas être celui qui avait tenté de l'enlever ? Non, impossible. En tout cas, il était recherché pour un motif qu'il n'avait pas commis, il n'avait en aucun cas « fugué ». Dans ce cas, pourquoi était-il recherché ? La solution lui vint tout seul à l'esprit : pour l'attraper beaucoup plus facilement ! Les ennuis ne cessaient de s'aggraver de jours en jours. Il devait partir immédiatement, il le savait, mais il était hors de question qu'il parte sans dire adieux à Marie. Il quitta donc rapidement la mairie, et ce mit en quête de son domiciles.

Il avançait dans les rues, la cherchant des yeux, mais ne la trouvait malheureusement pas. Il était hors de question de demander où elle habitait, c'était bien trop dangereux. Et si…et si elle n'était plus au village et qu'elle était retournée le voir, quel imbécile il avait été, il n'aurait jamais dû bouger. Il s'apprêta à repartir, lorsqu'une voix le surpris :
« Tu es bien Tristan n'est-ce pas ? »
Il sursauta, puis se retourna. Une jeune femme, assez petite, se trouvait derrière lui. Elle se tenait sur une canne, et possédait des cheveux, gris avec l'âge, assez long qui se finissait en boucle. Tristan ne sut pas trop quoi répondre à la question de la jeune femme.
« N'ai pas peur, je suis la grand-mère de Marie »
Maintenant qu'elle le disait, la grand-mère ressemblait effectivement à sa petite-fille, elle paraissait porté la même chevelure.
« Où est Marie ?
-C'est endroit n'est pas très sur pour poser des questions, suis moi, nous serons mieux chez moi ! »
Et la grand-mère fit demi-tour, trottinant. Tristan ne savait pas trop s'il devait la suivre ou pas, il ne pouvait pas lui faire confiance, tout du moins pas aussi rapidement. Malheureusement, elle était la seul piste qu'il avait, et c'était donc presque à contrecœur qu'il suivit la vieille femme.

Elle le conduisit dans une petite maison, assez loin de la mairie. La maisonnette ne paraissait pas posséder d'étage, et seul deux-trois fenêtre se trouvaient autour de celle-ci. Il rentra donc avec la grand-mère à l'intérieur. La maison était constitué d'une unique pièce, avec deux lit, une table et différentes machine pour cuisinez. Seul une petite pièce, à l'écart, permettait de contenir une certaine intimité, c'était certainement là-bas que se trouvait la salle de bain. La vielle dame s'assit sur une des chaises autour de la table, et incita Tristan à faire de même, ce qu'il fit. Apres un petit silence, assez gêné, Tristan posa sa première question.
« Comment savez-vous que c'était moi ?
-Oh, Marie m'a parlez de toi, elle n'aurait pas put t'apporter autant de nourriture sinon. Quant à te trouvez dans la ville, ce n'était pas difficile, il suffisait de trouvé une personne qui évitait continuellement tous les autres gens…
-Vous saviez que j'allais passer.
-C'était évident, Marie ne pouvant pas passer.
-Où est-elle ?
-Je vais t'expliquer… Aujourd'hui, trois hommes de la police, tout du moins se faisant passer pour la police, sont passé au village, brandissant ton affiche, et disant que c'était un gamin un peu fou qui venait de fuguer de chez lui. Marie ne l'a pas toléré.
-Mais pourquoi ? Elle ne connait rien de moi !
-Tu crois vraiment qu'elle allait t'héberger sans rien savoir de toi ? Non, deux jours lui ont suffit pour en apprendre largement. Tout d'abord, on a parlé de toi dans le journal le premier jour.
-De…de moi ? »
La vieille dame sortit un article de journal de sa poche. Tristan lut :

« Une nouvelle explosion :

Apres une violente explosion dans la charmante ville de Cordia, une seconde c'est produit le lendemain dans la ville de Metropolis. Celle-ci c'est déclencher le soir aux alentour de 20h dans la charmante ferme de la famille Triclon. Les autorités ont retrouvez les corps des deux gérant, Mr et Mme Triclon, mort un peu plus loin. Le corps de leur fils n'a cependant pas été retrouvé, il existe donc une faible chance, très faible cependant, que l'enfant, nommé Tristan, y ait échappée. Les autorités s'interrogent encore sur… »

Tristan ne lut pas plus loin, anéantit. Ses parents étaient donc bien mort, comme Ken le disait dans son cauchemar. Une larme coula le long de sa joue et tomba sur l'article. Il tenta de ravaler les autres, pleurer ne servait strictement rien. La vieille dame rangea l'article dans sa poche.
« Voilà comment Marie à découvert qui tu étais, tu lui as dis une fois ton nom de famille »
Effectivement, il s'en rappelais, la jeune fille lui avait demandé son nom de famille. La question n'était donc pas si anodine que cela.
« Tu disais cependant que tu étais en danger, elle avait besoin de savoir pourquoi. Elle a donc appelé une de ses amis qui vit dans la région, disant qu'elle ne s'intéressait qu'à toi juste à cause de l'article. Son ami vit à Coria, et avait dit qu'elle t'avait effectivement vu près de l'explosion du village, et aussi repartir du village, suivit par un autre jeune homme, dont l'ombre n'était pas du tout la même que son corps. La suite n'est que des hypothèses, mais elle supposait que ce jeune homme ne t'avait pas suivis par hasard, il y avait sans doute eu une bagarre entre toi et lui, où tu serais tombé à l'eau. C'est cela ?
-En quelque sorte oui ! »
Il n'arrivait pas à croire que cette jeune fille blonde avait réussit à en apprendre autant sur lui en si peu de temps.
« Et où est-elle désormais.
-J'y viens, quant elle a vu ses trois hommes de traiter de fou, toi un gamin si chaleureux à qui il arrivait visiblement plein d'ennuis, elle c'est interposé, en disant que tu n'avais pas fugué, tu avais seulement perdu ta famille, et que c'était probablement à cause de personne comme eux que tu refusais de te montrer. Sa ne leur a pas plut…
-Quoi ? Que c'est-il passer !
-Ces personnes se sont douté qu'elle te connaissait, et il avait besoin de te retrouvé et…
-Ne me dites pas que…
-Si, ces personnes ont enlevé Marie ! »