Le Safari Pokémon
Je n'osais plus regarder mon amie. Que pouvait-elle penser ? Je ne savais pas se qui me prenais, je m'en voulais. « Pourquoi ? pourquoi, lui ai-je dis ça ? Elle me déteste, j'en suis sur, elle doit me détester. » pensais-je. Je risquais un regard. Elle avait baissé la tête. Une larme tomba. Elle pleurait. C'était de ma faute, je n'aurais jamais dus lui dire se que je ressentais pour son cousin, j'aurais dus le cacher. C'était égoïste de ma part, pourquoi pourrais-je voir Régis et pas elle ? Elle est de sa famille !
Yana ne bougeais pas. Elle était paralysée, puis, tout à coup, elle sauta dans mes bras. Son comportement me surpris à un poing, qu'a mon tour je fus paralysée. Elle avait ces bras autour de mon cou, elle pleurait. Je me sentais si mal à l'aise ! Je ne savais pas quoi faire. Devais-je la consoler ? Une chose était sur, il fallait que je fasse quelque chose.
Je décidais donc, après une longue hésitation, de la serrer à mon tour dans mes bras.
_ Yana ?…Je… Je…, je ne savais pas quoi lui dire.
_ …
_ Je suis désolée. Je ne voulais pas te mètre dans cette état. Pourrais-tu me le pardonner un jour ?
_ Oh, Anna ! dit-elle en pleurant. Tu n'as pas à t'excuser ! Bien au contraire, c'est à moi de m'excuser. J'imagine se que tu as pus penser ! elle sourit. Je suis si contente !
Je n'y comprenait plus rien. Ces larmes avaient disparut et à la place, elle souriait. Elle se leva, me prit les bras et me tira en courant. En quelque minute, nous arrivâmes à la maison de M. Lionel. Nous entrâmes. La femme qui était venu me voir ce matin vint à notre rencontre. Elle nous demanda de la suivre. Nous la suivîmes. Elle nous amenâmes à une porte et frappa. Une voix grave nous demanda de rentré. Nous ouvrîmes la porte, et vîmes un homme de la quarantaine assis à son bureau. Il se leva, demanda à la femme de partir et nous proposa de nous asseoir sur le canapé. La salle était grande, elle fessait bureau et salon. Sur la petite table devant nous, il y avait une tailler, trois tasses, etc… nôtre hôte s'assit sur le fauteuil d'en fasse. Il commença à nous parler, quand tout à coup, on frappa à la porte. La femme de toute à l'heur rentra dans la pièce, le téléphone à la main. M. Lionel, s'excusa auprès de nous et sortit de la pièce pour répondre au téléphone.
Nous étions un peu perplexe, qui pouvait êtres à l'autre bout du fil ? Au bout d'une demi-heur M. Lionel arriva. Il s'assit à sa place et nous dit.
_ Je viens d'avoir l'hôpital, votre ami et sortie d'affaire, il pourra sortir après quelque examens. Il sera là se soir.
Je n'arrivais pas à y croire, Régis était sauver. Mon cœur battait si fort que je croyais que j'allais m'évanouir.
_ Quand pourrons nous le voir ? demanda Yana.
_ Pas avant se soir, votre cousin et très fatigué. Normalement il aurait du rester deux ou trois jour de plus à l'hôpital, mais il à insister pour rentrer aujourd'hui. Vous devrez rester encore ici quelque jour avant de repartir.
_ Merci Monsieur, mais… dis-je.
_ Mais ? me demanda Lionel.
_ Si Régis et venu c'était pour qu'il vous aide ?
_ Oui, tu as raison, mais suite à son accident je ne peux pas lui demander de l'aide.
_ Nous pouvons vous aider Monsieur ! Vous nous héberger, vous prenez soin de nous, nous voulons vous offrir notre aide en retour.
_ Merci, c'est très gentil de votre part. Vous voyer, je suis le directeur du safari. Si il y à encore du tourisme dans cette ville, c'est grâce à cette attraction. Malheureusement, les jeune dresseur préfère passer par les bois. Le village se dépeuple, mon safari n'est plus rentable, et il … il …
A ce moment, il baissa la tête. Nous le priâmes de nous dirent se qu'il se passait. Il releva la tête et nous dit :
_ Mon safari va fermer…
_ Mais pourquoi ?
_ Il n'est plus en règle. Il y a des travaux à faire. Votre ami était venu pour m'aider. Il devait me ramener mes Pokémon et soyer les nouveaux née, car l'infirmière Joëlle à beaucoup trop de travaille avec les blessés de l'avalanche de la semaine dernière.
_ Mais mon cousin ne vous à pas fait parvenir les Pokémon ?
_ Si, si… mais disons qu'ils n'obéissent pas vraiment.
_ Alors on va vous aidée. Dis-je.
Nous nous levâmes avec le directeur du safari et nous partîmes.
Arriver à la l'entrer du safari, nous vîmes que tout était en piteuse état, à ce demandes comment cela pouvait encore tenir debout. Le directeur nous fîmes monter dans une voiture et nous fit la visite. Le parc était très grand. Tout les Pokémon étaient des Pokémon de types glace. Ils y avais des Cadoizo, des Stalgamin, des Oniglali, des Phogleur, des Kaimorce, des Blizi, des Blizzaroi, des Dimoret, des Givrali, des Mammochon, Marcrochin, Cochignon, Momatik et des Farfuret. Dans tous ces Pokémon, celui qui m'intéressa le plus fut Givrali : « Givrali, une des évolution d'Evoli, type glace. Il a appris à maîtriser le pouvoir du froid. Lorsqu'il se sent menacé, il hérisse les poils et les gèle, le recouvrant ainsi de piquants aussi durs que du verre. Ce Pokémon peut aussi provoquer de violentes chutes de grêle. Sauvage, il affectionne les grandes plaines gelées et désertiques. » j'étais fascinée par sa beauté et sa brillance. Il était gracieux, élégant, le Pokémon parfait pour des concours. Mon amie le trouvait fort et voulait absolument en avoir un. Elle avait le même comportement qu'à Charbourg. C'était assez étrange et gênant. Mais ce qui m'étonna le plus se fut l'intelligence des Pokémon; car le Cochignon que j'avais sauvée, vint vers nous quand nous arrivâmes dans l'enclos des Mammochons. Ça n'était pas reconnaître quelle qu'un par physionomie mais par l'odorat car ce Pokémon n'y voyait rien. Même après une douche il me reconnaît, je trouvais ça remarquable.
A la fin de la visite, Yana s'occupait des nouveau Pokémon et moi avec l'aide de M. Lionel, nous remîmes à neuf le parc. C'était très amusant, même si j'étais recouverte de peinture de la tête au pied. Le soir, quand nous arrivâmes chez le directeur du parc, nous pûmes voir Régis. J'étais si heureuse! Yana l'était aussi, ou même plus. Elle sauta au coup de son cousin et ils sont rester par terre bien dix minute avec Yana qui pleurait et Régis qui essayait désespérément de se dégager. Quand ce fut fini, je saluais Régis et allais dans ma chambre. Mon comportement avait beaucoup surprit mon amie. Elle n'avait pas besoin de me le dire car quand je l'ai croisée dans le couloir qui menait à ma chambre elle me foudroya du regard. A ce moment la, j'étais heureuse qu'elle n'avait pas d'arme ni de Pokémon sur elle.
Quand je fus dans ma chambre, je me sentais bizarre, j'étais mélancolique. Je m'étais allongée sur mon lit et réfléchissais. Mon cœur se serrait. Je savais que je n'aurais pas du me comporter comme je l'ai fait avec Régis, mais s'était plus fort que moi. J'avais peur de sa réaction si je l'avais prit dans mes bras. Esse ça l'amour, aimer quelqu'un et ne pas pouvoir lui montrer ou lui dire ces sentiments les plus sincères? C'était plus fort que moi je ne me contrôle plus, je perds mes moyens.
« Arrête Anna, ressaisi toi! » me dis-je en me levant de mon lit. J'avais l'initiation d'aller voir Yana et Régis pour m'excuser. Quand tout à coup, on frappa à la porte. Je ne répondais pas, qui cela pouvait-il bien êtres ? On frappais une deuxième fois à la porte. Je m'approchais, la main près de la poignée. Mon cœur battait la chamade. Je pris une grande inspiration et l'ouvris.