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Agent secret de TORTANKMASTER



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Informations

» Auteur : TORTANKMASTER - Voir le profil
» Créé le 14/08/2009 à 18:36
» Dernière mise à jour le 29/01/2010 à 11:42

» Mots-clés :   Action   Hoenn

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Chapitre 3 : Team Hurricane
- Je veux un pokémon, dit l'inconnu avec une voix grave.
- Rêve.
Un adolescent était entré avec détermination et force. Il était vêtu d'un jean et d'un pull vert à manche courte et une capuche verte. Il avait des yeux noirs remplis de haine et ses mains étaient gantées. Son regard tomba sur moi, il était lourd et chargé de ressentiment.
- Ta réponse négative me lasse. Entamons les hostilités. Vas-y Nirondelle.
- Toi, à te voir tu ne serais pas le fils de Brice Elrwin ? Tu lui ressembles au niveau du visage.
- Si. Vas-y Galekid.
- Intéressant... Dit-il d'une voix doucereuse. Cru'aile !
Les ailes de l'oisillon fit une bourrasque faible mais qui mit le désordre dans le laboratoire. Mon pokémon se campa sur ses pattes et ne broncha même pas quand l'attaque le toucha.
- Coup de boule.
La tête d'acier se jeta sur Nirondelle, il le percuta violemment l'envoyant s'écraser contre le mur retombant sur le sol.
- ...
- On ne fanfaronne plus ?
L'adolescent m'examina d'un regard obscur et froid.
- Je retiens cet affront. Descendez !
Un Bekipan surgit de nulle part et vola les pokeballs aussi vite qu'il était apparu, puis il disparut.
- Joignez-vous à nous, nous sommes les seuls aux buts sains et justes : la protection de la nature. L'homme doit s'adapter à la nature et non l'inverse comme pour Cimetronelle et Pacifiville. Ces deux villes devraient être copiées par toutes les autres villes.
- Vous détruisez la nature aussi ! Et à cause de cela vous provoquez des mort ! Vous êtes des eco-terroristes ! Cria Seko.
- Oui, mais si vous nous écoutiez on ne détruirait plus rien.
- Est-ce une raison pour voler les pokémons ?
- Si vous nous écoutiez on ne vous les volerait plus.
Soudain quelqu'un jeta une boule fumante verte. Lorsque tout réapparut la porte était fermée et Galekid gisait sur le sol en bois, hors combat. Le professeur se jeta sur la porte et partit dehors ; je le suivis. On assista aux vols de deux Libegons partant vers l'Ouest. Ils étaient trop loin pour qu'on sache qui était dessus.
Aussitôt un bruit de moto approcha à vive allure élevant de la poussière. Elle s'arrêta avec un dérapage contrôlé. Un agent de police de premier grade était dessus. L'homme mit les pieds par terre tout en déclenchant la béquille puis il enleva le casque.
- Que s'est-il passé, monsieur Seko ?
- On m'a volé deux pokeballs. Mais sa vas, ça aurait pu être plus grave.
- Décrivez-moi ce qu'il s'est passé.
Le professeur Seko fit un résumé court, rapide et direct.
- L'attaque s'est passée très rapidement. Ce sont des professionnels, déduisit l'agent.
- Appelez la cellule anti-Team et prévenez-la du vol. Après vous ferez votre rapport et soulignez bien que le vol a été effectué par la Team Hurricane et que deux Libegons partaient vers le désert.
L'agent fut décontenancé par les ordres dictés par le professeur. Il se reprit et partit vers la moto, là il prit la radio et parla un moment.
- Eh ben... Vous l'avez viré en quelque sorte, dis-je avec un sourire au coin des lèvres.
- Un peu mais il y a des chances pour qu'un Guide soit dans le coup et que ce vol soit commandité par lui. Si on le retrouve...
- Les Guides ne seraient pas ces gens qui commanditent les meurtres, vols, les explosions de bombe, kidnappings ?
- Oui, répondit Seko soudain sombre et avec un air grave. C'est eux et ils auraient une base dans le désert. Les gens de là-bas cherchent Regirock et ils recherchent des écrits sur d'autres emplacements où seraient des pokémons légendaires. Ensuite ils envoient des hommes, font un recrutement, mettent un Guide et ça fini par une base complète installée.
- Ils sont bien organisés.
- Oui, et c'est la raison pour laquelle la Team Rocket l'a prise pour amie. Ils cherchent cette organisation et cette puissance.
Il parla comme ça pendant, me semble-t-il, une heure après il enchaîna sur les heures auxquels je devais rentrer, et me parla de la façon dont je devais me comporter.
- Ne t'inquiète pas tout ira bien, le rassurai-je.
- Malheureusement rien ne vas bien ces temps-ci. Ton père n'aurait jamais dû mourir.
- Oui bon, au revoir.
Je me retournai et je partis content, libre.