la vrai histoire de hadrienmoicharneau

moi-
Oui, mon cœur s'était arrêter de battre, autour de moi, tout était flou et glacé et j'étais seul (le fond est blanc).
Quand alors un pokémon a l'horizon approchait, il était noir et lévitait.

Il se rapprochait lentement, et je pouvais maintenant le distinguer,
J'allais crier et il me bloqua la bouche de sa main et m'enfonça son poing dans le ventre.
J'avais mal, pourtant je n'étais pas dans mon monde normal.

Il me dit d'une voix drôlement sereine après son geste de violence :
-lève toi.
Ce que je fit, (dans ma conscience) j'avais voulu crier car le pokémon était darkrai, mais c'était stupide, qui m'aurait entendu ? Je pleurais contre ma volonté c'était plus fort que moi…

-raikou et entei-
Entei pleurait, il n'avait pas eu le temps de s'attacher a lagalam, mais il était jeune et son cœur c'était arrêter.
Raikou s'exclama :
-regarde le petit ! Il est mort mais il pleure dans sa mort ! Incroyable !!

-moi-
J'étais debout quand Darkrai reprit de sa voix étrange :
- Tu n'es pas mort, et tu vas te réveiller.
J'écarquillais les yeux :
-Je voudrai bien moi, mais comment ?!?

-C'est un effort de volonté, je mis connaît en coma, et si tu renverse les effets de vibrobscurs en pensant a tous les bonheurs qui te sont arrivés, tu sortiras du coma.

J'énumérai alors mes bonheurs :
-le fait que mon père formateur a voulu m'adopter,
-que j'ai découvert le monde durant quinze beaux jours,
- ma première nuit avec un coussin (si si j'insiste…)
-mon superbe entraînement auprès de mon père formateur…

Je rayonnais, j'étais heureux et je me réveillai en sursaut devant Entei et Raikou.
Ils furent contents de me voir réveiller ce qui me réchauffait encore plus le cœur. Je constatai qu'on était de retour dans la caverne aux cristaux.

Ils me racontèrent comment je leur sauvai la vie et mon incessant coma. Quand j'appris que entei avait été très triste pour moi, je fus très touché.

Raikou nous quitta le lendemain et durant les trois semaines d'entraînement qui suivirent, mon seul moment de réel réconfort fut celui avec mon coussin moelleux

Ainsi a la fin de ses trois semaines, pépé Entei (surnom que j'avais finis par lui donner)
Et moi, lagamelle (surnom que LUI m'avait donné) faisions un bilan :
J'avais appris à avoir un feu égal à la lave et a créé d'incroyable éruption, de plus j'étais beaucoup plus sage et mature.

Un matin ou la douloureuse lumière se reflétant dans les cristaux me fit quitté mon merveilleux coussin, Entei n'était pas la…

Il y avait une lettre :

« Je dois m'absenté quelque jours, occupe toi bien pendant ce temps, bien et sagement. Au revoir, a dans trois jour » signé Entei

J'avais bien retenus le « occupes toi sagement » ce que je comptais bien faire…
Après avoir bien sélectionné ma ville, je m'y rendais en volant.
Le paysage était magnifique, quand il commença a faire froid, je compris que j'étais bientôt arriver à… frima-pic !!

J'utilisai mon favoris liliput et sillonnait en lévitant jusqu'à une proche maison où les lumières étaient éteintes, signe d'absence. Là, je vus l'objet de ma quête : j'avais choisis frima-pic car c'est la qu'ils sont les plus…les plus…les mieux.

Devant moi s'étendait : un magnifique matelas !! C'était mon rêve qui se réalisait : coussin + matelas !!

Ainsi je revenais dans ma caverne en me téléportant AVEC mon matelas.
Ma première nuit dessus fus mémorable (prend un air professionnel et sérieux).

Ainsi passèrent mes trois jours, à me reposer de mon entraînement intensif.
Lorsque entei revint et vit mon magnifique matelas, il poussa un grand soupir de lassitude.
Il m'interpellât d'une voix sérieuse :
« Suis moi »

Nous marchâmes plusieurs heures tout en ne s'arrêtant que pour boire.
Cela faisait maintenant deux heures que nous montions une montagne et nous arrivâmes au sommet.

La se dressait un incroyable arc-en-ciel au sommet de la montagne suivant
Entei me dit d'une voix triste :
« Je dois te laisser tout seul a partir de maintenant »

Il n'eut pas besoin d'en dire plus, je savais qui serait mon prochain maître et pourquoi Entei s'était absenté trois jours.