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Poket Warrior de King Sletters IV



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Informations

» Auteur : King Sletters IV - Voir le profil
» Créé le 15/12/2002 à 20:41
» Dernière mise à jour le 15/12/2002 à 20:41

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Une bien mauvaise histoire
Bonjour. Je suis Nidoking, matricule n°227. Je suis un soldat de la grande armée des poisons. Jadis, quand les humains nous dominaient, nous étions disciplinés et en paix entre nous. Les hommes avaient fait de nous des animaux de compagnie, mais il s'est passé un phénomène terrifiant. Une maladie inconnue est apparue quand une escouade de Porygon 2 sont revenus d'une planète inconnue. Mais cette maladie n'a affecté que les humains. D'origine extraterrestre, incurable, cette maladie a sonné le déclin de l'humanité. Ils ont commencé de grandes recherches, mais ne sont parvenus à rien. Ils ont terminé leur existence dans la guerre, la souffrance et la peur de la mort qui n'était jamais très longue. De plus, comme le microbe s'adaptait à la planète, peu s'en fallut que les pokémon et autres animaux ne disparaissent, ce qui aurait marqué la fin de la vie animale sur terre. Mais les humains, en grands génies de la nature, ont réussi à stopper l'épidémie. Le microbe à disparu, mais il n'a malheureusement laissé que quelques centaines d'humains au monde, dans un état plus bas que le moyen-age. Personne ne se serait étonné de voir des chevaliers en armure et tout le reste. Nous, les pokémon, avions assistés à la mort de milliards d'humains. Leurs populations étaient passés de dix huit milliards à quelques centaines. Une hécatombe pire que celle des dinosaures. Longtemps, nous crûmes que les humains, après ce sursaut de génie, seraient voués à disparaître. Mais ces derniers ont réussi à revenir dans un état quasi moyenâgeux, prouvant que l'évolution devait recommencer. Mais la perte des sciences de la médecine et de la physique donnèrent lieu à la mort de beaucoup des survivants. Il n'y avait plus qu'un moyen pour sauver cette malheureuse espèce, qui était passé de maître du monde à sous-fifres. Le moyen, c'était l'intelligence des psy, mais surtout de leur grand chef, un pokémon psy super puissant, Mew. Mais ce dernier voulait faire payer aux hommes les mauvais traitements infligés aux pokémon. L'humanité disparaissait un peu plus chaque jour. C'était terrible. Mais nous, les pokémon nous n'étions absolument pas d'accord. Nous voulions lutter pour la survie des hommes. Mais seul l'intelligence de Mew pouvait trouver le vaccin contre les maladies, réinventer les techniques de constructions et de médecine que les hommes avaient perdus. Le pokémon s'obstinant dans son silence, nous perdîmes notre sang froid. Mais Mew nous imposa alors le silence grâce à une armée de pokémon psy à laquelle il était en permanence par son pouvoir psychique.La Confédération des Pokémon pour la Libération des Humains (CPLH) était maintenue dans une sorte de semi-esclavage par les psy. Nous les poisons, encore plus à cause de notre grande faiblesse face à eux. Mais un jour, tous les pokémon craquèrent. Mew, grâce à sa science hyper-avancée, faisait sans cesse clonée ses soldats, augmentant ainsi son armée de jours en jours. Nous, les poisons, en avions assez. Et le 30 juin 4057, la plus grande opération militaire Pokémon fut mené. Nous, les poisons, au nombre de treize mille deux cents quarante soldats, nous nous mîmes en devoir de détruire la garnison et de rallier tout le monde dans une glorieuse guerre pour nous, pour l'humanité, pour le monde.Je suis né deux ans après ce jour glorieux. Seul trente pokémon poisons ont perdu la vie durant cette révolte. La garnison de deux mille soldats psy avait été entièrement anéantie. Chaque pokémon avait eu son rôle. De plus, le lendemain de la libération, les feux, les glaces et les eaux ont refais surfaces. Les garnisons massacrées, la CPLH commença par attaquer les garnisons pour libérer tout le monde. Mais l'armée était affaiblie à cause du grand nombre de soldats poisons. Les Smogo et les Smogogo, surtout, du fait de leur lenteur, étaient très vulnérables. Mais ils étaient les cracheurs de poisons de l'armée et donc, ils étaient irremplaçables. En près de deux mois, tous les membres de la CPLH étaient libérés. Le combat pouvait donc commencer. La guerre allait débuter, sonnés, trompettes de la guerre, car le combat s'annonce, les éléments se déchaînes sur la plaine. La première charge se fait sentir, le tonnerre se fait entendre.Je suis le Nidoking n°227 de l'armée, un numéro parmi tant d'autre. Ne vous attendez pas à ce que je vous raconte des exploits de guerre, mais à ce que je vous raconte LA guerre. Bien que je ne sois née que deux ans après la révolte, les récits des anciens combattants valent bien plus que tous les livres d'histoire au monde. Pour commencer, sachez que je suis le soldat n°227, sois le trente-quatrième soldat du corps de spadassin des tortues. Nous utilisons, puisque le reste à disparus, les techniques de combat antiques telle la phalange, la tortue et les tours d'assauts. Je ne suis pas un soldat particulier, alors n'essayez pas de trouver dans ce récit, des exploits incommensurables. Je n'ai fait que quelques petites choses importantes.Pour continuer, les lieux. La guerre se passe sur le continent de la montagne, que les humains avaient divisés en deux partis : Jotho et Kanto. Je pense que celui qui lit cela sait de quoi je parle. Peu importe. Le jour où commence le récit, le Corps de spadassins des tortues est stationné dans les ruines fumantes d'un endroit autrefois appelé Jadielle. Les lieux sont désolants. Lorsque l'on rentrait dans la ville par le sud, un petit bâtiment carré se dresse, à moitié défoncé. Sur une vitre brisée, on peut lire quelque chose qui ressemble à : Centre PKMN. Derrière, un bâtiment presque intact miraculeusement, devant lequel un panneau indique : Club des dresseurs. Je ne sais absolument pas ce que c'est. Entre les deux édifices, une ancienne habitation détruite et un autre bâtiment, de la même taille que le premier que j'ai décrit, Une autre vitre, celle ci rayée et troué de balles de fusils : Bo tiq e PK N. (L'écriture à été en partie effacé par le temps). Tout au Nord, enfin, un gigantesque bâtiment, dans lequel ont peu trouver un labyrinthe avec des lanceurs, sortes d'appareil pour faire avancer quelqu'un à son insu. On peut aussi découvrir, par endroit, des petites balles qui semblent creuses, à moitié rouge, à moitié blanche, avec un bouton au milieu. Nous ne savons toujours pas ce que c'est et à quoi cela pouvait bien servir. Une chose est sûr, cela devait être une citée opulente de son temps. L'histoire commence ici. Stationné dans ces ruines avec le reste du corps de spadassins des tortues, nous avons pour missions de découvrir que sont ces balles blanches et rouges, car nous en trouvions beaucoup un peu partout. Alors que les soldats surveillent ce qui reste à surveiller, les scientifiques Nidoqueen de l'expédition tente de les ouvrir. Mais ces choses étaient solides. Jusqu'au jour où, au petit matin, un Smogo arriva à toute vitesse dans la salle des scientifiques que moi et quelques autres soldats surveillons dans le centre PKMN. Nous pûmes saisir la conversation :
- J'ai découvert quelque chose qui peut être important.- Ah ! Oui, parle qu'est-ce ?
- C'est dans le bâtiment défoncé, une pièce secrète qui renferme plein de choses.
- Allons voir ça. Gardes !
Les autres Nidoking et moi-même, armés d'épées et de boucliers nous retournâmes.
- Nous devons nous rendre au bâtiment détruit. Nous avons besoins d'une escorte !
- Nous vous suivons.
Une fois arrivés sur les lieux, les paroles de Smogo se révélèrent vrai. Des caisses de ces balles étaient empilées, ainsi que d'autre qui contenait des flacons mauves, oranges, rouges, vertes et bleus ? Sur les caisses, on pouvait lire à loisir : Potion, super potions, hyper potion, guérisons ou pokéball. Les pokéball semblaient plus petites que celles que l'on avait déjà retrouvé. Une des Nidoqueen en pris une, pressa le bouton central et elle s'ouvrit. A l'intérieur, c'était gris, de petits câbles électriques circulaient aux parois. Le reste était creux. Nidoqueen fit tomber la balle, elle rebondit sur le sol, et Smogo fut aspiré à l'intérieur. Je repris la balle, pressait le bouton et la balle grossis. Je la lançais de toute ma force sur le mur, elle se brisa, laissant Smogo dehors. Personne n'avait compris ce qui venait de se passer. Une chose était sûr, mon audace venait de permettre une découverte. Mais laquelle était-ce. En tout cas, la découverte parcouru tout le pays comme une flaque d'eau qui s'étant. Cette balle pouvait facilement devenir une arme. Si elle capturait un pokémon, elle pouvait capturer n'importe qui. Faire des prisonniers allait devenir plus facile.La nouvelle donna lieu à de grands changements tactiques. Mon corps fut déplacé sur une route de montagne qui menait à un immense bâtiment qui aurait pu abriter toute une ville. Une banderole déchirée indiquait à peu près : Concours de Ligues pokémon. Viens nous affronter. Un seul passage dans la roche pouvait mener jusqu'à nous. Pourtant, en pleine nuit, le 18 février 4075, alors que j'avais dix-huit ans, tout le monde dormait paisiblement. Soudain, un bruit de trompette nous réveilla. Je pris mon épée, mon bouclier, sortis et vit que, par le chemin, plusieurs centaines de Kadabra avançaient à toute vitesse. La peur laissa place à la panique. Mais avec plusieurs Nidoking, nous nous disposâmes autour du chemin, caché par des hautes herbes, et, lorsque les premiers Kadabra percèrent, nous sortîmes, et commençâmes à les exterminer. Ce fut un fiasco incroyable. L'ennemi qui courait n'avait pas eu le temps de s'arrêter et nous étions en train de les exécuter.Ils eurent malheureusement tout le temps de se reprendre. Heureusement, nos hommes purent se remettre de leur panique, et lorsque le reste de l'armée débarqua, les ennemis virent leurs rangs complètement enfoncés, ils se replièrent en bon ordre. Moi et les 299 autres Nidoking, nous tapions dans le tas comme de barbares. Lorsque le commandement des Kadabra s'aperçut que nous étions décidés à tuer jusqu'au bout, il donna un ordre d'extrême urgence : le repli par téléport. Ces lâches partirent donc en vitesse. Voyant cela, nous laissâmes tomber. Nos armes. Nous attrapâmes un des Kadabra. Et nous menaçâmes de l'étrangler. Mais lui aussi se téléportat. La rage nous habitait. Nous avions eu le commando entier entre nos mains et nous l'avions laissé filer.Mais je vous garde le reste pour le prochain chapitre.