Sur la table de Latias318

Attention à vous, mes amis lecteurs. Ce passage de ma vie de Pichu d'appartement contient, comme le titre qu'indique mon éditeuse, mon éditrice, euh ... enfin bref, beaucoup de sexualité. Ames littérairement sensibles s'abstenir !

C'était un jour comme les autres, je croyais. Je traînais paisiblement dans l'appartement, essayant de trouver un morceau de chausson ou, mieux, une cuisse de poulet abandonnée, le butin d'une dénommée Evoli. Quand soudain, une masse se jeta sur moi, tel un Farfuret (J'en ai jamais vu, mais des récits de Pyroli, ils sont sacrément véloces). C'était une Pichu, exactement comme moi, mais avec une fausse fleur dans les cheveux (Sans doute savait - elle que les vraies pourrissent vite et que Skitty adore bouffer les trucs pourris et qu'il lui aurait mâchouillé l'oreille en même temps).

" Coucou, beau garçon ! "

Visiblement, c'était une de ces hot girls de la plage aux granits.

" T'as l'air bien pep's ! Tu veux que je te lèche les fesses ?
- Ah non ! Ah non ! AH NON ! Au secours ! UNE FOLLE ! "

Elle commença à baver sur mon précieux petit derrière.

" Arrête ! ARRETE ! ARREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEETE !
- Miam ... C'est vraiment bon ... "

Elle me retournea comme une crêpe et prit ma patte entre sa gueule de fille.

" Mais lâche - moi ! "

Rien à faire. Elle ne semblait pas décidée à arrêter de bavouiller dans mes fiertés de mâle. Elle commença à m'asperger le zigouillon de bave, et je peux vous dire que ça brûle fort. Je ne pus m'empêcher de hurler au monde ma douleur.

" AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH ! "
En fait, elle semblait ravie de ma douleur et continua.

" AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH ! Lâche - moi ! "

Je finis par m'évader de ses griffes de fille et de l'invasion de bave dont j'étais recouvert. Ecoeurant d'attirer ansi les poils de tapis ! Pour couronner le tout, elle courut vers moi comme un petit Medhyena obéissant au " Au pied ! " de son maître et moi, j'étais ralenti par sa salive. Quelque chose fut mon salut, cette chose me coinçât entre ses pattes, contre le piano, et commença à m'asperger de salive. Encore une Pichu ! Et l'autre timbrée fut ravie de se joindre à la frangine.

" Arrêtez ! ARRETEZ ! "

L'une commençât à se jeter sur moi tandis que l'autre enfonçait son cul rond et propre de fille sur le mien, rond mais sali de bave. ELLE ME PISSAIT DANS LE TROU ! Je ne pouvais opposer aucune résistance, la bave retenait mon éléctricité, mes coups étaients vains. Bref, j'étais manipulé par une bande de hots girls sans le respect masculin.

Pendant 1 heure, elles s'alternèrent à me pisser dedans et à me baver dessus. Un cauchemar. Elles finirent par s'en aller comme deux voleuses, en ricanant. Je me dégageais la bouche de leur bave, et c'est là que le critique vient : J'ETAIS EN TRAIN DE RECRACHER LEUR PISSE PAR LA BOUCHE ! C'était répugnant, je vomis, je glissais dans le vomi, collant, je pleurais à la mort, traumatisé à vie, honteux. C'est Gobou qui vint à ma rescousse :

" Que t'arrive - t - il ?
- J'ai été agressé sexuellement par deux hots girls !
- NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON ?!
- Si ! Même qu'elles m'ont pissés dans le trou !
- Mais c'est DEGEULASSE !
- Elles m'ont bavé dessus ! C'était horrible ! "

Je n'étais pas contre un petit bain. Gobou remplit la poubelle de bureau de M. Sponge (En la vidant avant, évidemment) d'eau, et me plongea dedans (J'étais incapable de faire un mouvement). Il me récura au Pistolet à O, j'étais content, je le remercia fort avant de me blottir contre la nappe de salon de la dinde de Mme. Sponge.