Par une nuit noire
Cette longue histoire commence dans une petit foret de thojo (au nord de kanto). Cette petite forêt touristique était surtout visité pour ses légendes multiples qu'on pouvait y raconter. De l'une d'elle, sans doute de la plus ancienne, donna le nom de la forêt : La forêt du destin. On en dit qu'il s'agit d'une des plus importantes histoire de l'humanité; pourtant aucun humain en ce monde ne se souvenait de la signification de son nom. L'histoire, elle, commence au centre exact de la forêt. À cet endroit précis,où se situe un grand précipice. Au pied de ce précipice, il y a un lac dont la couleur est indéfinissable. D'un bleu d'une pâleur êxtrème. On y recelle même une tournure argentée. Autour, dans un secteur de 10m de diamètre, une grande quantité de ronces bloquaient le passage aux hommes. Autant en longueur qu'en largeur. Et cette "armure" n'est pas plus taillable que traversable. Ainsi, cette partie était encore intacte. Aucune route ne la traversait, aucun pond, aucun déchet n'y trainait. Et cette partie avait été protégé avec raison. Un seul pokémon connaissait l'existance de cet endroit. Aucun pokémon, ni dans le lac, ni dans ce périmètre restrein n'avait pénétrer depuis 1000 ans. À part un seul. Le même qui avait poser les ronces, le même qui avait donner le nom de la foret, celui du précipice et celui du lac. Laissez moi vous les dire : Le lac crystalin le sacrifice ( ces noms ont une signification bien précise, vous le verrez plus tard)
Ce même pokémon se trouvait dans la forêt, en se moment, à cet emplacement exact. Il venait se recueillir, comme chaque année, depuis près de 1000 ans. Une grosse larme coula de sa joue; la larme des Mew (car c'était un Mew) sont très rare. On dit même qu'elles sont magiques. Mew n' avait plus pleurer que depuis l'incident.
Cette soirée, la larme ne toucha pas le sol, comme les précédantes, l'année du drame. Pour la première fois, la larme coula en direction du lac. Elle se déposa sur sa surface lisse et coula tranquilement. Elle se mit à grossir, grossir, grossir... Et commenca à remonter. Mew avait tout vu. Une bulle, la larme était devenue une bulle. Elle remontait lentemant. Mew était consterner; jamais il n'avait vue cela... si, ça lui reppelait quelque chose. Dans ce lac, il y a très longtemps, les Mew naissaient ainsi. Jusqu'au terrible accident, il y a 1000 ans.
( Je sais, j'ai mit beaucoup de "il y a 1000 ans" mais c'est quand même très important...)
La bulle venait d'atteindre la surface de l'eau. Elle s'envola vers la berge et, à quelque centimètres du bord, elle éclata. Mew, d'un naturel enfantin et rieur, fut estomaqué. Là, devant lui, il y avait un petit bébé humain. Quelque cheveux rose pâle, de la même couleur que sa peau sur la tête, des yeux d'un bleu profond, si profond, comme ceux des Mew, son corps finement découpé. Mew n'en revenait pas, elle avait réssucité !!!
Elle se tenait devant lui dans toute la splendeur qu'un jeune bébé pouvait procurer.
Mew était fou de joie. Comment était-ce possible, après tant d'années ! Impossible, il devait rêver ! Le plus merveilleux des rêves.
Il ferma les yeux, puis les rouvrit donnant la même scène qu'il avait laisser. Un jeune bébé dormant sur le partère du chemin. Il dansait dans les airs, il riait, pleurait, chantait...
Puis, il se buta à un problème. Qui allait s'en occuper? Il ne savait même pas parler l'humain. C'était décidé, il devait la confier à quelqu'un; n'importe qui qui voudrait bien avoir un peu d'amour à donné ...
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Dans la partie Ouest de la foret du destin, Un couple se promenait : Martha et Victor Mastido (Tien donc :). Ils avaient respectivement 38 et 45 ans. Ils habitaient à Thojo, dans Mariaville; à dix minutes de la foret. Martha avait des cheveux raides, blonds, coupés court. Elle avait des yeux vert. Victor, lui, avait des cheveux bruns ornés d'un chapeau noir. Il avait une petite moustache de la même couleur que ses cheveux. Ils étaient en plein dans une discution sérieuse :
-Mais Victor, je t'avais dit de ne pas acheter des céréales Macmolé, c'est très mauvais pour la santé.
-Si on achetait tes céréales, ça serait : céréales Econofast.
-On serait en bonne santé, au moins...
-CAR TU TROUVES QUE JE SUIS EN MAUVAISE SANTÉ???
-Ben euh...
Les Mastido se chamaillaient la plupart du temps sur la nouriture. Martha était plus du style santé tandis que son mari préférait une bonne omelette avec des haricots et des toasts.
Tout d'un coup, ils aperçurent quelque chose d'étrange, une sorte de piste : Il y avait des feuilles, des branches, des caillous, et tout formait une sorte de ligne. Le couple s'entreprit de le suivre. Quelque chose les y poussait. Ils parcoururent une longue distance avant d'arriver à une sorte de tunnel fait à patir de ronces. Machinalement, ils s'y engoufrèrent et, au bout d'un certain temps, arrivèrent dans une grande clairière. Martha poussa un cri :
-Mon dieu, c'est trop beau.
-Je connais la foret par coeur, dit Victor, mais c'est la première fois que je vois cet endroit de ma vie.
Ils n'étaient pas au bout de leur surprise, près d'un certain lac couleur argent, il y avait quelque chose qui pleurait : un bébé. Une petite fille. À ses pieds, il y avait quelque chose d'écrit, dans la poussière et le sable; enfin, écrit, tracé maladroitement. On y déchifrait ceci : Julie.
La première chose que Martha dit fut :
-Un BÉBÉ! Qu'est-ce que ce bébé fait ici !
-Il a l'air abandonné, remarque Victor.
Martha s'aprocha du bébé et la regarda de plus près. Elle remarque l'inscription.
-Si quelqu'un c'est donné la peine de nous attirer ici, c'est sans doute pour qu'on s'ocuppe du bébé, il s'est même donné la peine de tracer le nom du bébé. Julie, c'est comme ca que tu t'appelles ? dit-elle en la prenant.
Le bébé gigotta en faisant un faible sourir et gazouilla : ma...man, papaaaaaa.
Les Mastido était très embarassés...
-Et si on la rammenait chez nous ? dit Victor.
-Mais, tu crois ? Si nous voulions l'adopté, ca serait très long et...
-Tu préfères la laisser ici? répliqua Victor malicieusement.
-Tu as raison, rentrons.
Les Mastido repassèrent par le passage qu'il avait pris et repartirent. Tout à coup, Victor se retourna. À l'endroit exact, quelque instant auparavant se trouvait une piste de roche et de caillou et de branche, il n'y avait plus rien !
-Tiens, c'est étange, dit Martha.
-Bof, on connait le chemin, on y retournera demain.
Bien entendu, aucun des deux Mastido ne retrouvit le chemin, ni le passage de ronces qui c'était refermé de toute façon... Malgré ce que croyait Martha, l'adoption de Julie se passa très rapidement. Douze années passèrent tranquilement, sans que Julie ne sache qu'elle avait été adopté. Elle s'était toujours considérée comme Julie Mastido. Elle avait grandit. Ses cheveux avait poussé et se maintenait à la hauteur de ses coudes; de beau cheveux rose. Cet été, comme les deux précédant, elle souhaitait devenir une dresseuse pokémon, mais Martha s'y avait objecter, elle voulait que Julie devienne infirmière (pas de pokémon, d'humain).
Julie se baladait dans la foret du Destin, comme d'habitude, quand elle tomba nez à nez avec un mur de ronce. Elle s'était éloignée du sentier qu'elle suivait et se trouvait dans un endroit de la foret qu'elle ne connaissit pas. Pourtant, son père, Victor, lui avait fais visiter toute la foret. Elle voulu savoir ce qu'il avait de l'autre coté. Elle voulu arracher les ronces, mais au lieu de les toucher, les ronces disparurent à son passage, créant un léger trou noir. Julie retira vivement ses mains; les ronces réaparurent. Elle commença à approcher et dès qu'elle allait entrer dans la grande palissade de ronces, celle-ci disparurent. Elle avança un petit peu et se retourna. Les ronces s'étaient refermées derrière elle. Elle appercevait l'endroit où elle se trouvait, quelque minutes plus tôt. Un jeune Mystherbe sorti d'un buisson et se jetta vers le mur de ronces.
-Il a du me voir faire, se dit Julie, et est aussi curieux de voir se qui l'y a de l'autre coté des ronces que moi.
Pourtant, aucun passage ne s'ouvrit et le Mystherbe fonça droit sur les grosse épine. Il était bien mal en point : Il avait 5 grosse épine planté sur lui, d'ou s'échapait un petit filament de sang, et une de ses feuilles était déchirée.
-Pauvre petit, murmura-t-elle.
Elle sortie de sa cachette et pris le Mystherbe dans ses bras. Sa mère (Martha) était Infirmière (donc voilà d'où venait ces projet d'avenir pour Julie) allait sans doute pouvoir le guérir. Peut-être pourrait-elle même le garder. Elle repartie en courant vers sa maison.
Mais là-bas, une très mauvaise surprise l'attend, une surprise qui changera sa vie à jamais.