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La taverne du scénariste
de Cernel
Bienvenue, bienvenue,
Ici c'est des litres d'écrits et des flopée d'essaie à ingurgité! Pour les voyageurs itinérants perdus dans cette masse de blogs j'espère être un bon hôte, pour ceux qui viennent exprès bienvenue et profiter!
J'ai à ce jour 18 ans et rêve de devenir scénariste. J'entreprends pour cela des études d'arts du spectacle à Nanterre. Je voudrais écrire des films et des séries.
Le futur travail c'est bien gentil, mais ce qui m'intéresse aujourd'hui le plus, enfin façon de parler, ce sont les jeux de rôles, les livres fantastiques et de sciences-fictions ( Jean-Philippe JAWORSKI est tellement bien! Et Asimov est un génie, mais je ne l'apprends à personne), les jeux vidéos (Skyrim, pokémon, assassin's creed, phoenix whrigt et j'en passe, notamment Civilisation) et les films, ainsi que les séries, comme de bien entendus.
J'espère vous abreuver de bons et longs textes variants dans leurs formes et dans leurs fonds. J'espère aussi que vous les apprécierez et que vous soyez des juges impartiales.
Bonne lecture chers voyageurs et à bientôt!
Si vous trouvez un contenu choquant cliquez ici :
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Pages :
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Chapitre 1
Voici le premier chapitre de mon histoire. En espérant que cela vous plaise :)
Une porte coulissante s’ouvrit dans un chuintement. L’homme, engoncé dans son uniforme, traversa les couloirs d’aciers et d’aluminiums. Son pas vif résonnait dans tout le vaisseau.
Lena était allongée sur sa couchette. Ses cheveux noirs formaient une auréole obscure autour de sa tête. Elle patientait. Que pouvait faire-t-elle d’autre ? Depuis sa dernière mission elle était consigné sur son vaisseau avec interdiction de décoller, et encore moins de remplir les réservoirs. Alors si quelqu’un venait la chercher, elle attendrait.
La porte de sa cabine s’ouvrit et un homme, dont l’uniforme semblait trop serré au niveau du ventre et qui semblait haut gradé par son nombre de médailles sur la poitrine, se positionna à l’encadrement.
« Lena Majka, la générale de l’armée humaine vous demande. Veuillez me suivre. »
Il amorça le geste pour se retourner, mais s’arrêta. Lena n’avait pas bougé d’un pouce. Il n’avait pas l’habitude qu’on ne lui obéisse pas au doigt et à l’œil.
« Capitaine de vaisseau Lena Majka, la générale Maxini vous donne l’ordre de la rejoindre dans son bureau. »
La jeune femme se redressa sur sa couchette et fixa le militaire.
« Malheureusement, dit-elle, la générale Maxini m’a donné l’ordre, inconditionnel de rester dans mon vaisseau et de n’en sortir sous aucun prétexte colonel Bristnia. Or, il me semble que vous suivre est un prétexte pour ne sortir de mon vaisseau. N’est-ce pas colonel Bristnia ?
-Un ordre de la générale Maxini n’est pas un prétexte ! C’est l’un des ordres les plus haut de l’armée, alors suivez-moi ! »
Son visage rubicond sembla sur le point de craquer. Il soufflait fortement par son nez. Lena lui souria. Un sourire rieur. Mais elle ne disait rien.
« C’est un ordre ! Capitaine de vaisseau Lena Majka suivez-moi ou vous serez mise aux fers ! »
Lena ne bougea toujours pas.
« Mais, si vous me mettez aux fers, je ne pourrais pas aller voir la générale Maxini, comme je serais en prison. »
Le colonel sembla sourire, mais comme son visage était tellement serré que ses lèvres se retroussèrent, dévoilant ses dents.
« Eh bien, elle viendra vous voir en geôle. »
Lena se leva et regarda Bristnia, le sourire aux lèvres
« Très bien colonel. Emmenez-moi donc en prison. »
Le visage du colonel se décrispa petit à petit.
« Vous n’êtes que de la racaille Majka. Je me demande vraiment pourquoi la générale Maxini vous a accordé l’immunité. Soldats ! Mettez la capitaine Majka aux arrêts ! »
A ses mots, le colonel se retourna d’un mouvement brusque et s’en alla, laissant la place à deux soldats tenant une paire de menotte.
« Capitaine de vaisseau Lena Majka, vous êtes mis aux arrêts par ordre du colonel Bristnia. Veuillez nous suivre sans faire d’histoire. »
Lena tendit les poignets vers eux, de tel sorte qu’ils purent lui passez les menottes plus facilement. Puis elle sortit en compagnie de ses deux nouveaux gardes de sa cabine. La captive tourna la tête et vit son mécanicien de bord, Estrequn, un Eckir spécialisé dans l’astromécanique. Celui-ci les regardait, ses petits yeux pétillaient et Lena remarqua qu’il se retenait de rire sous son museau. Lena lui fit les gros yeux et il détala dans les couloirs. Les soldats se retournèrent, mais ne virent que le bout de la queue disparaître dans un couloir. Ils haussèrent les épaules, ils avaient des ordres et ils allaient les suivre.
Lena fut sommé de descendre de nombreux escaliers pour arriver aux geôles. Ce n’était pas la première fois qu’elle s’y rendait, et surement pas la dernière.
Les deux soldats ouvrirent la porte, la firent rentrer sans la bousculer, puis lui enlevèrent les menottes avant de fermer la porte.
La jeune femme se retourna et inspecta sa cellule. Grande de quatre mètres sur cinq, les murs blancs réfléchissaient le peu de lumière que procurait le néon accroché au plafond. Une couchette de métal, sur laquelle était posé une fine couverture et un oreiller déformé, se trouvait sur le mur gauche tandis que le mur droit avait une latrine ainsi qu’une table et une chaise. Lena s’assit sur la couchette et attendit. Au bout de moins de quinze minutes Lena entendit des voix parler fortement, ainsi que des pas vifs dans le couloir. Elle ne comprenait pas encore ce qu’il se disait, mais elle comprit que la générale Maxini arrivait suivi du colonel Bristnia. Et sa semblai chauffé pour le colonel.
« Je vous avais ordonné de l’amener dans mon bureau ! Pas la mettre en geôle ! Mais qu’est-ce qui vous est passez par la tête Bristnia ?
- C’est une criminelle générale. Elle n’a eu que ce qu’elle méritait.
-Et en m’obligeant à venir, c’est elle qui se joue de nous colonel ! Vous l’auriez forcé à venir dans mon bureau avec les menottes aux poignets, là Vous auriez gagné. Mais là elle se fout de vous !
-Mais… commença le colonel.
-Taisez-vous. Je ne veux plus vous entendre. »
Lena ne bougea pas et attendit que la porte s’ouvre pour se lever et se mettre au garde à vous. De l’autre côté de la porte se trouvait la générale Maxini, accompagné des deux soldats qui avaient embarqué Lena et du colonel. La générale était une femme d’âge, sèche, elle se tenait droite comme un i dans son uniforme. Ses cheveux courts encadrèrent son visage qui fut beau autre fois mais qu’une cicatrice défigurait tout le côté droit. Elle reçut cette blessure lorsqu’elle n’était encore lieutenante. C’était durant une campagne contre une espèce d’alien qui saccageait une région sur une planète vers la ceinture d’Orion. Une de ces bestioles lui avait sauté dessus et l’avait ravagé à coup de griffes et de dents. On raconte qu’elle l’aurait par la suite tué au couteau et serait revenu le lendemain à la base avec la tête d’une trentaine de ses bestioles à la ceinture. Son œil avait été remplacé par la suite par une prothèse bionique qui semblait bouger seul au moindre mouvement.
La générale toisa Lena de haut en bas.
« Ça fait combien de fois que je me déplace en geôle pour vous voir capitaine ?
-Quatre ma générale.
-Vous m’épuisez Majka. Vous ne pouvez pas obéir à un ordre de temps en temps ?
-Pas quand c’est lui qui vient me les donné -déclara Lena en montrant le colonel. Vous savez très bien qu’on se piffre pas lui et moi.
-TAISEZ VOUS MAJKA ! J’en ai plus que marre de vos querelles absurdes ! Ne me faites pas regretter ma décision Majka ou alors ça sera le peloton pour vous et vos camarades !
-Ma générale… » Tenta Lena.
« Rappelez-vous dans quelle situation vous étiez la première fois que l’on a discuté. Vous étiez enfermé ici pour piraterie je vous rappelle ! Et vous étiez prêtes à tout pour ne pas mourir, vous et vos hommes. C’est ça que j’ai apprécier chez vous Majka. Vous vous êtes battu pour la vie de tous vos hommes, jusqu’au dernier. Alors ne me faites pas regretter mon choix.
-Bien ma générale. » Lena baissa la tête, confuse.
« Mais vous avez de la chance, j’ai trop besoin de vous pour vous faire exécuter. J’ai une mission pour vous. Vous allez venir dans mon bureau cette fois, ou je dois vous assommer moi-même pour que vous vouliez bien venir ? »
La capitaine fut parcourue d’un frisson de terreur. Si la moitié de ce qu’on racontait sur la générale était vraie, mieux valait la suivre gentiment. Lena hocha la tête et suivi la générale hors de la cellule. Elle n’osa même pas tourner la tête pour voir le regard du colonel.
Une fois les cellules dépassées, les deux soldats quittèrent l’escorte. Seul restaient la générale, le colonel et Lena. Une fois éloigné la générale se retourna et toisa Lena.
« La prochaine fois que vous me forcer à descendre vous rejoindre en cellule, je fais fusiller l’un de vos amis. Est-ce que je me fais bien comprendre capitaine Majka ?
-Oui ma générale…
-Vous la ramenez moins là Lena ! C’est bien fait pour votre -commença le colonel.
-Fermez là vous aussi ! Si vous aviez plus de couilles je n’aurais pas été obligé de m’humilier face aux soldats ! Alors la prochaine fois que je vous donne un ordre faites en sorte qu’il soit accompli, c’est clair colonel ? »
Le colonel Bristnia glapit et ne dit plus mot. La générale Maxini congédia sèchement le colonel et emmena Lena à son bureau. Celui-ci se trouvait au dernier étage et était des plus luxueux. Mais c’était le bureau de fonction de Maxini et elle ne l’appréciait guère, elle le trouvait pompeux et trop peu défendable. Elle avait notamment découvert plusieurs micros dedans. Alors, pour les affaires des plus importantes elle utilisait une pièce annexe. Celle-ci était enforcé pour résisté à une explosion capable de rasés plusieurs dizaines d’un seul coup. En plus elle était constamment soumise à une vérification pour repérer le moindre micro et effaçait à l’entrer et à la sortie toute les mémoires de chaque appareil électronique. C’est dans ce bureau qu’était emmené Lena. L’affaire était réellement importante.
Personne ne gardait l’entré car personne, en dehors de la générale, ne pouvait l’ouvrir. Il fallait qu’elle passe un nombre élevé de scanners puis rentre finalement un code interminable. C’était la pièce la plus sûr de tout le B.A.G.H (Bureau des Armée Galactique Humaine). Même le bunker en dessous était moins solide et moins protégé. L’intérieur n’avait pas beaucoup de décoration. Un bureau en bois gris d’Ezobern, un fauteuil rouge, deux chaises stylisées, une lampe de bureau et un luminaire, un tableau représentant une montagne de Hovshor et c’était tout. La générale Maxini s’assit sur le fauteuil et invita Lena à choisir une chaise. Une fois toute les deux assise, Maxini prit la parole.
« Vous devez avoir compris pourquoi je vous ai fait venir ici capitaine.
-A cause des Fléaux ? Vous voulez que mon équipe s’occupe de ses connards ? Vous savez pourtant qu’aucune arme conventionnelle ne semble leurs faire mal.
-C’est bien à cause des Fléaux bien vu, mais si c’était pour vous envoyer en missions suicide je ne vous aurais pas amener ici capitaine.
-Alors c’est pourquoi ma générale ? Les Fléaux détruisent planètes sur planètes et rien ne les bloque pour l’instant. Je ne vois pas bien ce que nous pouvons faire, moi et mon équipe, à part essayer de les retarder pendant que vous trouviez une solution.
-Parce que la solution est déjà toute trouvée, le Conseil a déjà approuver mais il faut la mettre en œuvre.
-Et c’est quoi la solution pour tuer ces monstres ?
-A notre connaissance aucune.
-Alors quelle est votre solution ? Vous voulez qu’on fasse tous nos bagages et qu’on se tire aussi vite que nos vaisseaux le permettent et qu’on n’espère pas mourir de faim et de soif avant d’atteindre la prochaine galaxie ?
-C’est presque ça Majka, on va traverser des trous de vers. On vient tout juste de comprendre comment les créer et on imagine pouvoir les contrôler.
-C’est rassurant ça…
-Seulement on ne sait pas où il mène, vous me suivez ?
-Et c’est là qu’on intervient mon équipe et moi, c’est ça ? On traverse un de ces trous de vers et on revient si c’est cool de l’autre côté ?
-C’est tout à fait ça.
-C’est du suicide ce que vous demandez.
-Oui, c’est pourquoi je vous le demande. »
Science-Fiction VS Fantaisie
Chapitre 1
Nouvelle mission
Une porte coulissante s’ouvrit dans un chuintement. L’homme, engoncé dans son uniforme, traversa les couloirs d’aciers et d’aluminiums. Son pas vif résonnait dans tout le vaisseau.
Lena était allongée sur sa couchette. Ses cheveux noirs formaient une auréole obscure autour de sa tête. Elle patientait. Que pouvait faire-t-elle d’autre ? Depuis sa dernière mission elle était consigné sur son vaisseau avec interdiction de décoller, et encore moins de remplir les réservoirs. Alors si quelqu’un venait la chercher, elle attendrait.
La porte de sa cabine s’ouvrit et un homme, dont l’uniforme semblait trop serré au niveau du ventre et qui semblait haut gradé par son nombre de médailles sur la poitrine, se positionna à l’encadrement.
« Lena Majka, la générale de l’armée humaine vous demande. Veuillez me suivre. »
Il amorça le geste pour se retourner, mais s’arrêta. Lena n’avait pas bougé d’un pouce. Il n’avait pas l’habitude qu’on ne lui obéisse pas au doigt et à l’œil.
« Capitaine de vaisseau Lena Majka, la générale Maxini vous donne l’ordre de la rejoindre dans son bureau. »
La jeune femme se redressa sur sa couchette et fixa le militaire.
« Malheureusement, dit-elle, la générale Maxini m’a donné l’ordre, inconditionnel de rester dans mon vaisseau et de n’en sortir sous aucun prétexte colonel Bristnia. Or, il me semble que vous suivre est un prétexte pour ne sortir de mon vaisseau. N’est-ce pas colonel Bristnia ?
-Un ordre de la générale Maxini n’est pas un prétexte ! C’est l’un des ordres les plus haut de l’armée, alors suivez-moi ! »
Son visage rubicond sembla sur le point de craquer. Il soufflait fortement par son nez. Lena lui souria. Un sourire rieur. Mais elle ne disait rien.
« C’est un ordre ! Capitaine de vaisseau Lena Majka suivez-moi ou vous serez mise aux fers ! »
Lena ne bougea toujours pas.
« Mais, si vous me mettez aux fers, je ne pourrais pas aller voir la générale Maxini, comme je serais en prison. »
Le colonel sembla sourire, mais comme son visage était tellement serré que ses lèvres se retroussèrent, dévoilant ses dents.
« Eh bien, elle viendra vous voir en geôle. »
Lena se leva et regarda Bristnia, le sourire aux lèvres
« Très bien colonel. Emmenez-moi donc en prison. »
Le visage du colonel se décrispa petit à petit.
« Vous n’êtes que de la racaille Majka. Je me demande vraiment pourquoi la générale Maxini vous a accordé l’immunité. Soldats ! Mettez la capitaine Majka aux arrêts ! »
A ses mots, le colonel se retourna d’un mouvement brusque et s’en alla, laissant la place à deux soldats tenant une paire de menotte.
« Capitaine de vaisseau Lena Majka, vous êtes mis aux arrêts par ordre du colonel Bristnia. Veuillez nous suivre sans faire d’histoire. »
Lena tendit les poignets vers eux, de tel sorte qu’ils purent lui passez les menottes plus facilement. Puis elle sortit en compagnie de ses deux nouveaux gardes de sa cabine. La captive tourna la tête et vit son mécanicien de bord, Estrequn, un Eckir spécialisé dans l’astromécanique. Celui-ci les regardait, ses petits yeux pétillaient et Lena remarqua qu’il se retenait de rire sous son museau. Lena lui fit les gros yeux et il détala dans les couloirs. Les soldats se retournèrent, mais ne virent que le bout de la queue disparaître dans un couloir. Ils haussèrent les épaules, ils avaient des ordres et ils allaient les suivre.
Lena fut sommé de descendre de nombreux escaliers pour arriver aux geôles. Ce n’était pas la première fois qu’elle s’y rendait, et surement pas la dernière.
Les deux soldats ouvrirent la porte, la firent rentrer sans la bousculer, puis lui enlevèrent les menottes avant de fermer la porte.
La jeune femme se retourna et inspecta sa cellule. Grande de quatre mètres sur cinq, les murs blancs réfléchissaient le peu de lumière que procurait le néon accroché au plafond. Une couchette de métal, sur laquelle était posé une fine couverture et un oreiller déformé, se trouvait sur le mur gauche tandis que le mur droit avait une latrine ainsi qu’une table et une chaise. Lena s’assit sur la couchette et attendit. Au bout de moins de quinze minutes Lena entendit des voix parler fortement, ainsi que des pas vifs dans le couloir. Elle ne comprenait pas encore ce qu’il se disait, mais elle comprit que la générale Maxini arrivait suivi du colonel Bristnia. Et sa semblai chauffé pour le colonel.
« Je vous avais ordonné de l’amener dans mon bureau ! Pas la mettre en geôle ! Mais qu’est-ce qui vous est passez par la tête Bristnia ?
- C’est une criminelle générale. Elle n’a eu que ce qu’elle méritait.
-Et en m’obligeant à venir, c’est elle qui se joue de nous colonel ! Vous l’auriez forcé à venir dans mon bureau avec les menottes aux poignets, là Vous auriez gagné. Mais là elle se fout de vous !
-Mais… commença le colonel.
-Taisez-vous. Je ne veux plus vous entendre. »
Lena ne bougea pas et attendit que la porte s’ouvre pour se lever et se mettre au garde à vous. De l’autre côté de la porte se trouvait la générale Maxini, accompagné des deux soldats qui avaient embarqué Lena et du colonel. La générale était une femme d’âge, sèche, elle se tenait droite comme un i dans son uniforme. Ses cheveux courts encadrèrent son visage qui fut beau autre fois mais qu’une cicatrice défigurait tout le côté droit. Elle reçut cette blessure lorsqu’elle n’était encore lieutenante. C’était durant une campagne contre une espèce d’alien qui saccageait une région sur une planète vers la ceinture d’Orion. Une de ces bestioles lui avait sauté dessus et l’avait ravagé à coup de griffes et de dents. On raconte qu’elle l’aurait par la suite tué au couteau et serait revenu le lendemain à la base avec la tête d’une trentaine de ses bestioles à la ceinture. Son œil avait été remplacé par la suite par une prothèse bionique qui semblait bouger seul au moindre mouvement.
La générale toisa Lena de haut en bas.
« Ça fait combien de fois que je me déplace en geôle pour vous voir capitaine ?
-Quatre ma générale.
-Vous m’épuisez Majka. Vous ne pouvez pas obéir à un ordre de temps en temps ?
-Pas quand c’est lui qui vient me les donné -déclara Lena en montrant le colonel. Vous savez très bien qu’on se piffre pas lui et moi.
-TAISEZ VOUS MAJKA ! J’en ai plus que marre de vos querelles absurdes ! Ne me faites pas regretter ma décision Majka ou alors ça sera le peloton pour vous et vos camarades !
-Ma générale… » Tenta Lena.
« Rappelez-vous dans quelle situation vous étiez la première fois que l’on a discuté. Vous étiez enfermé ici pour piraterie je vous rappelle ! Et vous étiez prêtes à tout pour ne pas mourir, vous et vos hommes. C’est ça que j’ai apprécier chez vous Majka. Vous vous êtes battu pour la vie de tous vos hommes, jusqu’au dernier. Alors ne me faites pas regretter mon choix.
-Bien ma générale. » Lena baissa la tête, confuse.
« Mais vous avez de la chance, j’ai trop besoin de vous pour vous faire exécuter. J’ai une mission pour vous. Vous allez venir dans mon bureau cette fois, ou je dois vous assommer moi-même pour que vous vouliez bien venir ? »
La capitaine fut parcourue d’un frisson de terreur. Si la moitié de ce qu’on racontait sur la générale était vraie, mieux valait la suivre gentiment. Lena hocha la tête et suivi la générale hors de la cellule. Elle n’osa même pas tourner la tête pour voir le regard du colonel.
Une fois les cellules dépassées, les deux soldats quittèrent l’escorte. Seul restaient la générale, le colonel et Lena. Une fois éloigné la générale se retourna et toisa Lena.
« La prochaine fois que vous me forcer à descendre vous rejoindre en cellule, je fais fusiller l’un de vos amis. Est-ce que je me fais bien comprendre capitaine Majka ?
-Oui ma générale…
-Vous la ramenez moins là Lena ! C’est bien fait pour votre -commença le colonel.
-Fermez là vous aussi ! Si vous aviez plus de couilles je n’aurais pas été obligé de m’humilier face aux soldats ! Alors la prochaine fois que je vous donne un ordre faites en sorte qu’il soit accompli, c’est clair colonel ? »
Le colonel Bristnia glapit et ne dit plus mot. La générale Maxini congédia sèchement le colonel et emmena Lena à son bureau. Celui-ci se trouvait au dernier étage et était des plus luxueux. Mais c’était le bureau de fonction de Maxini et elle ne l’appréciait guère, elle le trouvait pompeux et trop peu défendable. Elle avait notamment découvert plusieurs micros dedans. Alors, pour les affaires des plus importantes elle utilisait une pièce annexe. Celle-ci était enforcé pour résisté à une explosion capable de rasés plusieurs dizaines d’un seul coup. En plus elle était constamment soumise à une vérification pour repérer le moindre micro et effaçait à l’entrer et à la sortie toute les mémoires de chaque appareil électronique. C’est dans ce bureau qu’était emmené Lena. L’affaire était réellement importante.
Personne ne gardait l’entré car personne, en dehors de la générale, ne pouvait l’ouvrir. Il fallait qu’elle passe un nombre élevé de scanners puis rentre finalement un code interminable. C’était la pièce la plus sûr de tout le B.A.G.H (Bureau des Armée Galactique Humaine). Même le bunker en dessous était moins solide et moins protégé. L’intérieur n’avait pas beaucoup de décoration. Un bureau en bois gris d’Ezobern, un fauteuil rouge, deux chaises stylisées, une lampe de bureau et un luminaire, un tableau représentant une montagne de Hovshor et c’était tout. La générale Maxini s’assit sur le fauteuil et invita Lena à choisir une chaise. Une fois toute les deux assise, Maxini prit la parole.
« Vous devez avoir compris pourquoi je vous ai fait venir ici capitaine.
-A cause des Fléaux ? Vous voulez que mon équipe s’occupe de ses connards ? Vous savez pourtant qu’aucune arme conventionnelle ne semble leurs faire mal.
-C’est bien à cause des Fléaux bien vu, mais si c’était pour vous envoyer en missions suicide je ne vous aurais pas amener ici capitaine.
-Alors c’est pourquoi ma générale ? Les Fléaux détruisent planètes sur planètes et rien ne les bloque pour l’instant. Je ne vois pas bien ce que nous pouvons faire, moi et mon équipe, à part essayer de les retarder pendant que vous trouviez une solution.
-Parce que la solution est déjà toute trouvée, le Conseil a déjà approuver mais il faut la mettre en œuvre.
-Et c’est quoi la solution pour tuer ces monstres ?
-A notre connaissance aucune.
-Alors quelle est votre solution ? Vous voulez qu’on fasse tous nos bagages et qu’on se tire aussi vite que nos vaisseaux le permettent et qu’on n’espère pas mourir de faim et de soif avant d’atteindre la prochaine galaxie ?
-C’est presque ça Majka, on va traverser des trous de vers. On vient tout juste de comprendre comment les créer et on imagine pouvoir les contrôler.
-C’est rassurant ça…
-Seulement on ne sait pas où il mène, vous me suivez ?
-Et c’est là qu’on intervient mon équipe et moi, c’est ça ? On traverse un de ces trous de vers et on revient si c’est cool de l’autre côté ?
-C’est tout à fait ça.
-C’est du suicide ce que vous demandez.
-Oui, c’est pourquoi je vous le demande. »
La Préface
Bonjour à tous! Aujourd'hui je met la préface à l'histoire que je vais commencer. Je ne vais pas vous mettre tout de suite la liste des personnages car cela risquerai de "gâcher" la découverte des personnages, justement. Du coup aujourd'hui c'est la préface à l'histoire et prochainement le chapitre 1.
« Plus que six mille huit cent vingt-cinq révolutions avant la retraite. »
Joshua poussa un nouveau soupir. De résignation cette fois. Il avait cinquante ans. Une femme et trois enfants. Il était heureux en ménage, gagnait bien sa vie, mais ce qu’il voulait par-dessus tout, c’était d’arriver à la retraite. Aller au travail chaque jour le minait un peu plus. Les tempes grises lui étaient arriver à trente ans, mais à ce jour plus aucun de ses cheveux n’avaient leurs noirs d’antan. Au départ il avait bien essayé de les cacher, mais rien à faire, quand on en était à se colorer en noir l’ensemble du cuir chevelu autant arrêter. Il y a un âge où tout arrive. Il était à celui des cheveux blancs et de la vue qui baisse.
Joshua sorti de son bureau sans un regard en arrière. Il croisa en sortant l’équipe de nuit, mais aucun ne sembla le remarquer.
Tant mieux. Je suis trop fatigué pour discuter.
Il monta dans l’aérobus, valida son badge de transport et ne trouva aucune place assise. Il se résigna et resta donc debout, une main sur la barre transversale. L’aérobus se souleva à trois mètres du sol à l’horizontal. Au-dessus de lui se trouvait les lignes de bus. De long tubes de verres renforcés dans lesquelles les aérobus se déplaçait par mouvement d’air comprimé. Le bus avança sans un soubresaut. Joshua resta dans ses pensées et ne remarqua pas ce que le reste des personnes remarquèrent immédiatement.
Une secousse ébranla l’aérobus. N’ayant rien remarqué, Joshua tomba au sol, écrasant les autres passagers au passage. Il tourna la tête dans tous les sens, cherchant la cause du problème. C’est là qu’il les vit.
Une dizaine de vaisseau destroyer venaient d’apparaître dans le ciel, cachant les deux lunes diurnes de la planète Oxyrion. L’un d’eux tira un laser qui explosa non loin de l’aérobus. Ce dernier s’ébranla une nouvelle fois. L’aérobus grinça, les gens crièrent, l’alarme hurla dans toute la ville. Joshua rampa vers une fenêtre et regarda en bas. Au niveau des deux impacts, deux gigantesques cratères creusaient la chausser. Les tôles des voitures avaient fondu et des cadavres, tel des torches humaines, étaient clairsemés autour.
Un nouveau laser fut tiré. Cette fois-ci le tir toucha la ligne d’aérobus. Le tube de verre gémit, grinça, se fissura, puis, finalement, éclata sans un bruit. L’aérobus chuta sur trois mètres. Les passagers quittèrent le sol un cours instant avant de s’écraser lourdement sur la route. Joshua fut sonné. Ses oreilles sifflèrent, sa vue était brouillée. Il tenta de se relever, mais quelqu’un le poussa puis d’autres le piétinèrent. Il perdit connaissance.
Quand il rouvrit les yeux, il avait mal partout et ne voyait finalement pas grand-chose. Son corps était douloureux de partout et il avait un goût de sang dans la bouche. Il voulut se dresser, mais une masse l’écrasait de tout son poids. Sans sa vue, il se cru aveugle et commença à paniquer. Il hurla à l’aide. Il gesticulait dans tous les sens. Au bout de ce qui lui parut une éternité, il senti l’étreinte se desserrer.
Quelqu’un est venu à mon secours !
La plaque s’enleva et Joshua pu se retourner. C’était un Ogrek qui l’avait secouru, ce qui somme toute était assez logique vu que c’était le plafond de l’aérobus qui avait écrasé Joshua.
« Merci monsieur…
-On a pas le temps de discuter, suivez-moi et pas un bruit, ils ne sont pas loin. »
Comprenant qu’il ne fallait pas discuter et que la situation était assez critique pour ne pas gêner son sauveur, qui aurait très bien pu le laisser sous l’aérobus.
Joshua suivit l’alien tant bien que mal et constata l’ampleur des dégâts. Chaque bâtiment était en proie aux flammes. Des dizaines de corps jonchaient les rues. Au loin il entendait encore des cris, mais là où il se tenait, il n’y avait que le crépitement des flammes. Le choc fut trop rude pour l’homme et ses jambes se dérobèrent sous lui.
« C’est pas possible…
-Pourtant si. T’as mal quelque part ? »
Joshua inspecta son corps comme s’il le découvrait pour la première fois.
« Non… Non je ne crois pas…
-Alors lèves toi, on est à découvert ici. »
Joshua hocha la tête et se leva lentement. Il devait faire confiance à cette Ogrek. Lors d’une situation de crise, c’étaient les mieux placé pour savoir comment réagir. Surtout s’il fallait tirer sur quelqu’un ou quelque chose.
« Qu’est ce qui s’est passé au juste ?
-Tu n’as pas vu les vaisseaux dans le ciel ? rétorqua l’alien.
-Si, mais…
-Alors tu sais déjà tout. »
Ils avancèrent en silence dans les décombre de la ville. Joshua réfléchissait à ce qu’il venait de se produire. Mais il ne put aller au de ses conclusions car des bruits de pas précipiter se dirigeaient dans leur direction. L’Ogrek attrapa Joshua et le plaqua derrière des décombre fumant. Il arma son fusil et fit signe de se taire. Joshua en arrêta même de respirer.
Devant eux trois civils couraient à en perdre haleine. L’un d’eux saignait abondement à la jambe, mais cela ne sembla pas le déranger. Pas encore du moins. Au même moment, trois lasers les frappèrent. Seul le blessé ne mourut pas sur le coup. Il avait été touché à l’autre jambe et s’écrasa sur ses compagnons de fuite, touchés en pleine tête. Des voix se firent entendre et se rapprochèrent. L’homme commença à hurler, à les implorer de le laisser vivre. Mais aucune réaction ne semblait venir de la part des voix.
Puis les créatures apparurent. Grands de deux mètres cinquante, à l’ossature fine, au visage ovale et au teint verts, c’était les Fléau. Ils étaient cinq et avançaient tranquillement vers leur victime. Ce dernier essaya bien de ramper sur les fesses, mais il ne s’éloigna pas assez rapidement. Il n’aurait pas pu de toute manière. L’une des créatures posa une de ses pattes aux longues griffes sur le corps du malheureux et déchira sa chaire. L’homme cria, mais le Fléau ne s’arrêta pas pour autant, extirpant tous ses organes de son corps. Une fois cela fait, les Fléaux semblèrent rire, s’ils savaient rire et déployèrent des ailes membraneuses de leurs dos et s’envolèrent.
Quand les créatures furent assez loin, Joshua vomit sur le macadam. L’Ogrek se redressa, tous les sens aux aguets, le fusil prêt à tirer.
« Ce… Ce sont des monstres.
-Ouais. C’est moche. »
Un silence s’installa entre les deux compères.
« Au fait comment t’appelles tu ? demanda Joshua.
-Lorzan et toi ?
-Joshua, mais appelles moi Josh ça sera plus simple.
-Ok. Tu as de la famille Josh ?
-Oui une femme et deux enfants. Et toi ?
-Pas encore. J’étais amoureux d’une fille par contre.
-Ah oui ? Comment s’appelle-t-elle ?
-Sirgona. » Il se tut quelques instants. « Il faut qu’on avance.
-Pour aller où ?
-Autre part qu’ici. »
Josh hocha la tête et se remit en route derrière Lorzan. Ils marchèrent plus d’une heure sans rencontrer autres choses que du feu, de la tôle et du sang. L’humain commença à accuser le coup et toute son énergie fondit comme neige au soleil. Lorzan consentit à faire une pause pour qu’il se repose. Il proposa de monter la garde et qu’ils repartiraient dans une heure au maximum. Joshua s’assit au sol et ferma les yeux. Ce n’est que vingt minutes plus tard qu’il rouvrit les yeux. Lorzan le secouait fortement par l’épaule.
« Il faut qu’on y aille Josh ! Ils arrivent ! »
Comprenant l’urgence de la situation Joshua se remit sur ses pieds tout de suite et courut à la suite de Lorzan. Il entendait des bruits d’ailes un peu partout autour de lui, ainsi que ce qu’il pensait être des voix. Au détour d’une rue, ils tombèrent sur un groupe de trois Fléaux. Joshua marqua un temps d’arrêt mais pas Lorzan qui leur fonça dessus en tirant de son fusil. Les lasers semblèrent se fondre en eux comme si ce n’était rien. Joshua paniqua, rien ne pouvait les tuer à ce que l’on racontait. C’était donc vrai. Les trois êtres pointèrent leurs armes vers l’Ogrek et tirèrent une seule salve. Le compagnon d’infortune de Joshua mourut sur le coup et s’écroula au sol. Joshua fut pétrifié. Il ne bougeait plus. Il se savait condamné, comme cette ville, comme cette planète, comme cette galaxie. Rien ne pouvait arrêter les Fléaux. Rien dans cet univers. Il les vit s’approcher mais ne fit rien pour essayer de s’enfuir. Il en entendit d’autres atterrir derrière lui, mais il ne se retourna pas. C’était fini.
Il sentit la griffe lui traverser le corps après l’avoir vu dépasser de son ventre. Il tomba à genoux. Sa vision se troubla et il tomba au sol. En tombant, il écrasa son calendrier et la dernière chose qu’il entendit fut : « Plus que six mille huit cent vingt-cinq révolutions avant la retraite. »
En espérant que cela vous plaise :)
Science-Fiction VS Fantaisie
Préface
Joshua éteignit son ordinateur. L’hologramme de l’écran disparu sans un bruit. L’homme poussa un soupir de soulagement. Il tendit sa main vers un petit calendrier numérique et tapota sur la date du jour. 16ème jour de Torentu de l’année 6203.Une petite voix monta soudain.« Plus que six mille huit cent vingt-cinq révolutions avant la retraite. »
Joshua poussa un nouveau soupir. De résignation cette fois. Il avait cinquante ans. Une femme et trois enfants. Il était heureux en ménage, gagnait bien sa vie, mais ce qu’il voulait par-dessus tout, c’était d’arriver à la retraite. Aller au travail chaque jour le minait un peu plus. Les tempes grises lui étaient arriver à trente ans, mais à ce jour plus aucun de ses cheveux n’avaient leurs noirs d’antan. Au départ il avait bien essayé de les cacher, mais rien à faire, quand on en était à se colorer en noir l’ensemble du cuir chevelu autant arrêter. Il y a un âge où tout arrive. Il était à celui des cheveux blancs et de la vue qui baisse.
Joshua sorti de son bureau sans un regard en arrière. Il croisa en sortant l’équipe de nuit, mais aucun ne sembla le remarquer.
Tant mieux. Je suis trop fatigué pour discuter.
Il monta dans l’aérobus, valida son badge de transport et ne trouva aucune place assise. Il se résigna et resta donc debout, une main sur la barre transversale. L’aérobus se souleva à trois mètres du sol à l’horizontal. Au-dessus de lui se trouvait les lignes de bus. De long tubes de verres renforcés dans lesquelles les aérobus se déplaçait par mouvement d’air comprimé. Le bus avança sans un soubresaut. Joshua resta dans ses pensées et ne remarqua pas ce que le reste des personnes remarquèrent immédiatement.
Une secousse ébranla l’aérobus. N’ayant rien remarqué, Joshua tomba au sol, écrasant les autres passagers au passage. Il tourna la tête dans tous les sens, cherchant la cause du problème. C’est là qu’il les vit.
Une dizaine de vaisseau destroyer venaient d’apparaître dans le ciel, cachant les deux lunes diurnes de la planète Oxyrion. L’un d’eux tira un laser qui explosa non loin de l’aérobus. Ce dernier s’ébranla une nouvelle fois. L’aérobus grinça, les gens crièrent, l’alarme hurla dans toute la ville. Joshua rampa vers une fenêtre et regarda en bas. Au niveau des deux impacts, deux gigantesques cratères creusaient la chausser. Les tôles des voitures avaient fondu et des cadavres, tel des torches humaines, étaient clairsemés autour.
Un nouveau laser fut tiré. Cette fois-ci le tir toucha la ligne d’aérobus. Le tube de verre gémit, grinça, se fissura, puis, finalement, éclata sans un bruit. L’aérobus chuta sur trois mètres. Les passagers quittèrent le sol un cours instant avant de s’écraser lourdement sur la route. Joshua fut sonné. Ses oreilles sifflèrent, sa vue était brouillée. Il tenta de se relever, mais quelqu’un le poussa puis d’autres le piétinèrent. Il perdit connaissance.
Quand il rouvrit les yeux, il avait mal partout et ne voyait finalement pas grand-chose. Son corps était douloureux de partout et il avait un goût de sang dans la bouche. Il voulut se dresser, mais une masse l’écrasait de tout son poids. Sans sa vue, il se cru aveugle et commença à paniquer. Il hurla à l’aide. Il gesticulait dans tous les sens. Au bout de ce qui lui parut une éternité, il senti l’étreinte se desserrer.
Quelqu’un est venu à mon secours !
La plaque s’enleva et Joshua pu se retourner. C’était un Ogrek qui l’avait secouru, ce qui somme toute était assez logique vu que c’était le plafond de l’aérobus qui avait écrasé Joshua.
« Merci monsieur…
-On a pas le temps de discuter, suivez-moi et pas un bruit, ils ne sont pas loin. »
Comprenant qu’il ne fallait pas discuter et que la situation était assez critique pour ne pas gêner son sauveur, qui aurait très bien pu le laisser sous l’aérobus.
Joshua suivit l’alien tant bien que mal et constata l’ampleur des dégâts. Chaque bâtiment était en proie aux flammes. Des dizaines de corps jonchaient les rues. Au loin il entendait encore des cris, mais là où il se tenait, il n’y avait que le crépitement des flammes. Le choc fut trop rude pour l’homme et ses jambes se dérobèrent sous lui.
« C’est pas possible…
-Pourtant si. T’as mal quelque part ? »
Joshua inspecta son corps comme s’il le découvrait pour la première fois.
« Non… Non je ne crois pas…
-Alors lèves toi, on est à découvert ici. »
Joshua hocha la tête et se leva lentement. Il devait faire confiance à cette Ogrek. Lors d’une situation de crise, c’étaient les mieux placé pour savoir comment réagir. Surtout s’il fallait tirer sur quelqu’un ou quelque chose.
« Qu’est ce qui s’est passé au juste ?
-Tu n’as pas vu les vaisseaux dans le ciel ? rétorqua l’alien.
-Si, mais…
-Alors tu sais déjà tout. »
Ils avancèrent en silence dans les décombre de la ville. Joshua réfléchissait à ce qu’il venait de se produire. Mais il ne put aller au de ses conclusions car des bruits de pas précipiter se dirigeaient dans leur direction. L’Ogrek attrapa Joshua et le plaqua derrière des décombre fumant. Il arma son fusil et fit signe de se taire. Joshua en arrêta même de respirer.
Devant eux trois civils couraient à en perdre haleine. L’un d’eux saignait abondement à la jambe, mais cela ne sembla pas le déranger. Pas encore du moins. Au même moment, trois lasers les frappèrent. Seul le blessé ne mourut pas sur le coup. Il avait été touché à l’autre jambe et s’écrasa sur ses compagnons de fuite, touchés en pleine tête. Des voix se firent entendre et se rapprochèrent. L’homme commença à hurler, à les implorer de le laisser vivre. Mais aucune réaction ne semblait venir de la part des voix.
Puis les créatures apparurent. Grands de deux mètres cinquante, à l’ossature fine, au visage ovale et au teint verts, c’était les Fléau. Ils étaient cinq et avançaient tranquillement vers leur victime. Ce dernier essaya bien de ramper sur les fesses, mais il ne s’éloigna pas assez rapidement. Il n’aurait pas pu de toute manière. L’une des créatures posa une de ses pattes aux longues griffes sur le corps du malheureux et déchira sa chaire. L’homme cria, mais le Fléau ne s’arrêta pas pour autant, extirpant tous ses organes de son corps. Une fois cela fait, les Fléaux semblèrent rire, s’ils savaient rire et déployèrent des ailes membraneuses de leurs dos et s’envolèrent.
Quand les créatures furent assez loin, Joshua vomit sur le macadam. L’Ogrek se redressa, tous les sens aux aguets, le fusil prêt à tirer.
« Ce… Ce sont des monstres.
-Ouais. C’est moche. »
Un silence s’installa entre les deux compères.
« Au fait comment t’appelles tu ? demanda Joshua.
-Lorzan et toi ?
-Joshua, mais appelles moi Josh ça sera plus simple.
-Ok. Tu as de la famille Josh ?
-Oui une femme et deux enfants. Et toi ?
-Pas encore. J’étais amoureux d’une fille par contre.
-Ah oui ? Comment s’appelle-t-elle ?
-Sirgona. » Il se tut quelques instants. « Il faut qu’on avance.
-Pour aller où ?
-Autre part qu’ici. »
Josh hocha la tête et se remit en route derrière Lorzan. Ils marchèrent plus d’une heure sans rencontrer autres choses que du feu, de la tôle et du sang. L’humain commença à accuser le coup et toute son énergie fondit comme neige au soleil. Lorzan consentit à faire une pause pour qu’il se repose. Il proposa de monter la garde et qu’ils repartiraient dans une heure au maximum. Joshua s’assit au sol et ferma les yeux. Ce n’est que vingt minutes plus tard qu’il rouvrit les yeux. Lorzan le secouait fortement par l’épaule.
« Il faut qu’on y aille Josh ! Ils arrivent ! »
Comprenant l’urgence de la situation Joshua se remit sur ses pieds tout de suite et courut à la suite de Lorzan. Il entendait des bruits d’ailes un peu partout autour de lui, ainsi que ce qu’il pensait être des voix. Au détour d’une rue, ils tombèrent sur un groupe de trois Fléaux. Joshua marqua un temps d’arrêt mais pas Lorzan qui leur fonça dessus en tirant de son fusil. Les lasers semblèrent se fondre en eux comme si ce n’était rien. Joshua paniqua, rien ne pouvait les tuer à ce que l’on racontait. C’était donc vrai. Les trois êtres pointèrent leurs armes vers l’Ogrek et tirèrent une seule salve. Le compagnon d’infortune de Joshua mourut sur le coup et s’écroula au sol. Joshua fut pétrifié. Il ne bougeait plus. Il se savait condamné, comme cette ville, comme cette planète, comme cette galaxie. Rien ne pouvait arrêter les Fléaux. Rien dans cet univers. Il les vit s’approcher mais ne fit rien pour essayer de s’enfuir. Il en entendit d’autres atterrir derrière lui, mais il ne se retourna pas. C’était fini.
Il sentit la griffe lui traverser le corps après l’avoir vu dépasser de son ventre. Il tomba à genoux. Sa vision se troubla et il tomba au sol. En tombant, il écrasa son calendrier et la dernière chose qu’il entendit fut : « Plus que six mille huit cent vingt-cinq révolutions avant la retraite. »
En espérant que cela vous plaise :)
Je me lance enfin
Bonjour à tous!
J'avais dit il y a un moment que j'allais écrire sur Pokébip, mais au final, je n'ai rien posté du tout. Il va falloir que j'y remédie. Et c'est d'ailleurs ce que je vais faire! Depuis quelques temps je réfléchi à une idée d'histoire mêlant science-fiction à la fantaisie.
Je vais d'abord vous présenter l'univers et l'histoire global, puis les personnages et enfin écrire l'histoire chapitre par chapitre.
Pour le côté science-fiction l'histoire se déroule en l'an 6203. L’humanité a finalement quitté la Terre pour coloniser de nouvelles planètes dans toute la galaxie vers l'an 2530. Très rapidement des contacts avec d'autres races aliens plus ou moins intelligentes. Et plus ou moins belliqueuses aussi. Cela tourna assez vite à la guerre, d'autant plus que d'autres espèces commençaient elles aussi à coloniser des planètes. C'est ainsi qu'en 2594 débuta la Guerre à l'Espace. De nombreuse races se mêlèrent à la partie. Alliance, trahison, espionnage, sabotage, destruction. Cette guerre dura plus de deux cents ans. De nombreuse fois la Terre fut terriblement menacée et par deux fois un pan de la carte de notre planète telle qu'on la connait fut détruit. Washington en 2645 et Shanghai en 2746, date de la fin de la guerre. C'est par un secours inattendu d'une autre race alien, les Ogrek, que la planète Terre ne fut pas annihiler. De cette guerre sortir six grande espèces qui formèrent un conseil pour éviter les guerres prochaines.
Les Humains bien sûr. Chose étonnante, en plus de quatre mille ans, l’espèce humaine n’avait presque pas évolué et était resté telle que nous la connaissons aujourd’hui. Elle s’imposa dans la guerre grâce à une technologie quasi inégalé à l'époque et de très bon tacticiens militaires.
Les Yvnors.Les Yvnor sont une race insectoïde à quatre bras qui c'était récemment libéré d’une intelligence de ruches pour penser individuellement. Ils proviennent d’une planète désertique où la température avoisine régulièrement les 50°C. Ils sont dotés de réflexes très rapide leurs permettant de piloter au mieux les chasseurs spatiaux.
Les Ogrekssont les grands alliés des humains à la fin de la guerre. Ce sont avant tout un peuple guerrier où toute la civilisation se base sur l’honneur de la bataille. Ce sont en quelque sorte les barbares de l’espace. Leur peau est extrêmement dur et leurs muscles très développés.
Les Ishvos sont des êtres plus calmes et posés. Leur culture est basée sur la recherche du savoir. Ils passent leurs vies entières à collecter du savoir et des informations en tout genre. C’est par leurs réseaux d’espionnage qu’ils purent s’imposé sur la scène militaire de la galaxie à l'époque. Ils ont aussi des fines ailes membraneuses dans le dos.
Les Eckir sont une race de mammifère vivant dans des grottes et ressemblant à des hommes-rats. C’est après que les humains leurs aient donné des technologies pour combattre d’autres races aliens que les Eckirs se sont développé très vite. Chaque clan se spécialisant dans une mécanique différente. Très vite ils furent les champions en termes de construction mécanique en tout genre.
Les Balsetoï sont une race pluricellulaire gélatineuse communiquant par télépathie. Presque invulnérable, les autres races ont assisté à leurs développements lents, mais constant. Ce n’est que récemment qu’ils ont vraiment pris du poids dans la balance politique.
Seulement en cette année 6203 un terrible fléau s’abattit sur la galaxie. Une nouvelle race alien s’abat sur les planètes de la bordure extérieur. Personne ne sait d'où ils viennent, ni même ne comprenne ce qu'ils disent. Et le plus affolant, c'est que personne n'arrive à en tuer. Ils arrivent sur une planète, dévastent tout et repartent on ne sait où. Pour l'instant aucun corps d'armée n'a réussi à les arrêter. Le Conseil en vint à une solution, partir, loin et vite. Pour cela ils utilisèrent la technologie du trou de ver pour trouver des planètes habitables le plus vite possibles.
Sur la Terre d'Asronël tout se passait bien. Les aventurier vagabondaient, les rois dirigeaient, les bardes chantaient, les monstres terrorisaient, les assassins assassinaient, les voleurs volaient, etc. Chaque chose avait sa place et tout allait bien. Hormis qu'au 27 ème jour de Norosante de l'an 5432 de l’Ère du Jour un trou se format dans le ciel bleu azur et d'étrange colosses métalliques volants s'en échappèrent.
bien sûr vous vous savez qui c'est ;)
J'espère que ça vous plaira!
J'avais dit il y a un moment que j'allais écrire sur Pokébip, mais au final, je n'ai rien posté du tout. Il va falloir que j'y remédie. Et c'est d'ailleurs ce que je vais faire! Depuis quelques temps je réfléchi à une idée d'histoire mêlant science-fiction à la fantaisie.
Je vais d'abord vous présenter l'univers et l'histoire global, puis les personnages et enfin écrire l'histoire chapitre par chapitre.
L'univers
Le côté science-fiction
Pour le côté science-fiction l'histoire se déroule en l'an 6203. L’humanité a finalement quitté la Terre pour coloniser de nouvelles planètes dans toute la galaxie vers l'an 2530. Très rapidement des contacts avec d'autres races aliens plus ou moins intelligentes. Et plus ou moins belliqueuses aussi. Cela tourna assez vite à la guerre, d'autant plus que d'autres espèces commençaient elles aussi à coloniser des planètes. C'est ainsi qu'en 2594 débuta la Guerre à l'Espace. De nombreuse races se mêlèrent à la partie. Alliance, trahison, espionnage, sabotage, destruction. Cette guerre dura plus de deux cents ans. De nombreuse fois la Terre fut terriblement menacée et par deux fois un pan de la carte de notre planète telle qu'on la connait fut détruit. Washington en 2645 et Shanghai en 2746, date de la fin de la guerre. C'est par un secours inattendu d'une autre race alien, les Ogrek, que la planète Terre ne fut pas annihiler. De cette guerre sortir six grande espèces qui formèrent un conseil pour éviter les guerres prochaines.
Les Humains bien sûr. Chose étonnante, en plus de quatre mille ans, l’espèce humaine n’avait presque pas évolué et était resté telle que nous la connaissons aujourd’hui. Elle s’imposa dans la guerre grâce à une technologie quasi inégalé à l'époque et de très bon tacticiens militaires.
Les Yvnors.Les Yvnor sont une race insectoïde à quatre bras qui c'était récemment libéré d’une intelligence de ruches pour penser individuellement. Ils proviennent d’une planète désertique où la température avoisine régulièrement les 50°C. Ils sont dotés de réflexes très rapide leurs permettant de piloter au mieux les chasseurs spatiaux.
Les Ogrekssont les grands alliés des humains à la fin de la guerre. Ce sont avant tout un peuple guerrier où toute la civilisation se base sur l’honneur de la bataille. Ce sont en quelque sorte les barbares de l’espace. Leur peau est extrêmement dur et leurs muscles très développés.
Les Ishvos sont des êtres plus calmes et posés. Leur culture est basée sur la recherche du savoir. Ils passent leurs vies entières à collecter du savoir et des informations en tout genre. C’est par leurs réseaux d’espionnage qu’ils purent s’imposé sur la scène militaire de la galaxie à l'époque. Ils ont aussi des fines ailes membraneuses dans le dos.
Les Eckir sont une race de mammifère vivant dans des grottes et ressemblant à des hommes-rats. C’est après que les humains leurs aient donné des technologies pour combattre d’autres races aliens que les Eckirs se sont développé très vite. Chaque clan se spécialisant dans une mécanique différente. Très vite ils furent les champions en termes de construction mécanique en tout genre.
Les Balsetoï sont une race pluricellulaire gélatineuse communiquant par télépathie. Presque invulnérable, les autres races ont assisté à leurs développements lents, mais constant. Ce n’est que récemment qu’ils ont vraiment pris du poids dans la balance politique.
Seulement en cette année 6203 un terrible fléau s’abattit sur la galaxie. Une nouvelle race alien s’abat sur les planètes de la bordure extérieur. Personne ne sait d'où ils viennent, ni même ne comprenne ce qu'ils disent. Et le plus affolant, c'est que personne n'arrive à en tuer. Ils arrivent sur une planète, dévastent tout et repartent on ne sait où. Pour l'instant aucun corps d'armée n'a réussi à les arrêter. Le Conseil en vint à une solution, partir, loin et vite. Pour cela ils utilisèrent la technologie du trou de ver pour trouver des planètes habitables le plus vite possibles.
Le côté fantaisie
Sur la Terre d'Asronël tout se passait bien. Les aventurier vagabondaient, les rois dirigeaient, les bardes chantaient, les monstres terrorisaient, les assassins assassinaient, les voleurs volaient, etc. Chaque chose avait sa place et tout allait bien. Hormis qu'au 27 ème jour de Norosante de l'an 5432 de l’Ère du Jour un trou se format dans le ciel bleu azur et d'étrange colosses métalliques volants s'en échappèrent.
bien sûr vous vous savez qui c'est ;)
J'espère que ça vous plaira!
Moi et mes univers
Mon esprit foisonne, il s’égare et se perd dans mon imaginaire. Je l'avoue je m'enfonce dans mon esprit quitte à m'y perdre et j'oublie intentionnellement la carte. J'ai mon univers à moi quelque peu incompréhensible. Il y a des Elfes, des Nains et des chevaliers mais aussi des machines complexes pleines de rouages et de capteurs, des vaisseaux voyageant dans l'univers entier. Des univers parallèle infini. Des être aux pouvoirs hors du commun. Mon imaginaire est vaste. Je m'en vanterais presque si mon attention ne s'y perdais pas si souvent au lieu de rester concentrer sur l'action qui se déroule sous mes yeux (très souvent les cours).
C'est pas que je veux pas hein! C'est juste que c'est plus intéressant de mon côté que du leur. Mon rêve serait de pouvoir le représenter, de pouvoir le faire vivre au plus de monde possible. Qu'est-ce que ça serait bien! Le pied! Il faudrait d'abords qu'il plaise. Je pourrais remplir des pages de mes personnages, commençant par Lawrence Barsavi criminel, arnaqueur, beau parleur à Arzock paladin demi-orque du Destin, en passant à Ventos Svein pirate de l'univers de One Piece ayant mangé le logia du vent et par Ergtarglis gobelin voleur et malchanceux. Les décors seraient tous variés, Oligula la ville sainte, le désert de Voturnal et ses géants de glace, l'Empire Déchu et ses spectres assoiffés de vengeances.
J'en ai fait des essaies, mais je n'arrive jamais à les aboutir. Mon projet le plus complet est la fan-fiction que j'ai fait avec ma petite-amie sur One Piece (d'ailleurs celui-ci est toujours en cours). J'adore écrire ça c'est un fait (peut-être partagerais-je certains de mes essaies sur le bip).
C'est pas pour ça que tu es venue sur Pokebip?
Ma deuxième partie d'esprit n'a pas entièrement tord là dessus. C'est en partie pour ça que je suis là.
Et c'est quoi l'autre raison?
Et bien cher Démolosse mon autre raison est que ça me faisais envie de venir sur le bip. C'est par ma petite-amie que j'en ai eu envie (elle aussi sur le bip ^^).
Je posterais mes essaies de récits sur le pib :)
J'espère qu'ils vous plairont ^^'
C'est pas que je veux pas hein! C'est juste que c'est plus intéressant de mon côté que du leur. Mon rêve serait de pouvoir le représenter, de pouvoir le faire vivre au plus de monde possible. Qu'est-ce que ça serait bien! Le pied! Il faudrait d'abords qu'il plaise. Je pourrais remplir des pages de mes personnages, commençant par Lawrence Barsavi criminel, arnaqueur, beau parleur à Arzock paladin demi-orque du Destin, en passant à Ventos Svein pirate de l'univers de One Piece ayant mangé le logia du vent et par Ergtarglis gobelin voleur et malchanceux. Les décors seraient tous variés, Oligula la ville sainte, le désert de Voturnal et ses géants de glace, l'Empire Déchu et ses spectres assoiffés de vengeances.
J'en ai fait des essaies, mais je n'arrive jamais à les aboutir. Mon projet le plus complet est la fan-fiction que j'ai fait avec ma petite-amie sur One Piece (d'ailleurs celui-ci est toujours en cours). J'adore écrire ça c'est un fait (peut-être partagerais-je certains de mes essaies sur le bip).
C'est pas pour ça que tu es venue sur Pokebip?
Ma deuxième partie d'esprit n'a pas entièrement tord là dessus. C'est en partie pour ça que je suis là.
Et c'est quoi l'autre raison?Et bien cher Démolosse mon autre raison est que ça me faisais envie de venir sur le bip. C'est par ma petite-amie que j'en ai eu envie (elle aussi sur le bip ^^).
Je posterais mes essaies de récits sur le pib :)
J'espère qu'ils vous plairont ^^'
La taverne du scénariste
Bienvenue, bienvenue,
Ici c'est des litres d'écrits et des flopée d'essaie à ingurgité! Pour les voyageurs itinérants perdus dans cette masse de blogs j'espère être un bon hôte, pour ceux qui viennent exprès bienvenue et profiter!
J'ai à ce jour 18 ans et rêve de devenir scénariste. J'entreprends pour cela des études d'arts du spectacle à Nanterre. Je voudrais écrire des films et des séries.
Le futur travail c'est bien gentil, mais ce qui m'intéresse aujourd'hui le plus, enfin façon de parler, ce sont les jeux de rôles
, les livres fantaisies et de sciences-fictions ( Jean-Philippe JAWORSKI est tellement bien! Et Asimov est un génie, mais je ne l'apprends à personne)
, les jeux vidéos (Skyrim, pokémon, assassin's creed, phoenix whrigt et j'en passe, notamment Civilisation) , les films, ainsi que les séries, comme de bien entendus.
ah! Docteur!
,les mangas, One Piece, Tokyo Goul, Gangsta et j'en passe énormément
Sabo est mon personnage préféré :3
Et les comics dont Injustice et Fables
J'espère vous abreuver de bons et longs textes variants dans leurs formes et dans leurs fonds. J'espère aussi que vous les apprécierez et que vous soyez des juges impartiales.
Bonne lecture chers voyageurs et à bientôt!
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