Chips aux crevettes
de Eliii

Nous sommes les hommes creux
Les hommes empaillés
Cherchant appui ensemble
La caboche pleine de bourre. Hélas !
Nos voix desséchées, quand
Nous chuchotons ensemble
Sont sourdes, sont inanes
Comme le souffle du vent parmi le chaume sec
Comme le trottis des rats sur les tessons brisés
Dans notre cave sèche.

Silhouette sans forme, ombre décolorée,
Geste sans mouvement, force paralysée ;

Ceux qui s’en furent
Le regard droit, vers l’autre royaume de la mort
Gardent mémoire de nous – s’ils en gardent – non pas
Comme de violentes âmes perdues, mais seulement
Comme d’hommes creux
D’hommes empaillés.

T.S. Eliot, Hollow Men

...écrivain et tortionnaire c'est globalement la même chose. C'que je suis cruel avec mes personnages... j'vais pleurer sur fond de musique classique en m'empiffrant de glace au citron. Ou pas.

Sinon, des gens dans le coin regardent des animes ou lisent des mangas ?

Ne prêtez pas attention au titre, il craint, je sais. Enfin bref.

L'arc 1 de Freeze terminé, j'enchaîne directement sur le 2, ce qui tombe bien car mon cerveau grouille d'idées. Le chapitre XIII est donc déjà posté et prêt à être lu. De plus, j'ai ajouté une illustration du personnage principal, ce qui m'a amené à me demander si ce serait une bonne idée de me créer une galerie sur le site... enfin voilà.

Ahem. Bonjour/soir, déjà. Voilà, c'est fait. Entrons dans le vif du sujet, qui a déjà fait l'objet de mon article précédent.

"Freeze" avance bien, pas dans l'écriture mais dans la scénarisation de l'arc 2. Le chapitre XII est terminé, mais n'arrivera qu'une fois le XIII écrit, c'est-à-dire quand j'aurai le temps. Merci la reprise des cours et le bac qui arrive bientôt.
Donc, au programme dans le XII, intitulé "Freeze, froze, frozen" : du what the fuck et (j'espère) de l'émotion et du suspense. Et une chanson géniale, bordel de merde. Il ne devrait pas trop tarder cela dit, vu que jeudi et vendredi sont fériés au lycée.
Et dans l'arc 2, une bonne dose d'action, de révélations sur le passé des protagonistes principaux, et l'apparition de nouveaux méchants prêts à tout pour arriver à leurs fins !

Bon, ça, c'est fait. Passons maintenant à l'étape n°2. Je vous ai parlé, dans l'article précédant celui-ci, de deux projets de fanfics qui me tiennent à cœur. Eh bien, j'ai choisi de commencer par travailler sur le second proposé, tout simplement parce que j'ai beaucoup plus d'idées pour l'intrigue et que je galère pas mal à écrire quelque chose sur le monde politique. Je n'ai que 18 ans après tout, et je ne connais rien du monde. Goddamn it. Ce projet ne sera pas publié ici tout de suite, mais l'écriture commencera en parallèle de l'arc 2 de "Freeze", qui en contiendra normalement trois. Normalement. Car il y a toujours un truc qui vient bouleverser mes projets, en général.
Enfin bref. Place à...

Atlantis

Nathan Stewart est un historien ambitieux, qui est prêt à tout pour faire une découverte majeure qui restera dans l'Histoire. Avec l'aide de plusieurs de ses amis, il se lance dans un périple sur l'île mystérieuse et gigantesque de Norendt, à l'est de Sinnoh, qui recèlerait la cité antique légendaire d'Atlantis...

"Un pessimiste voit la difficulté dans chaque opportunité, un optimiste voit l'opportunité dans chaque difficulté."
(Sir Winston Churchill)
Mais qu'est-ce que c'est que cette histoire bizarre, encore ? Un mélange d'action/aventure, d'humour (à petites doses la plupart du temps), de situations atroces dans lesquelles se retrouveront les héros, de suspense et un brin de mythologie avec la présence de la cité perdue d'Atlantis.
Une palette de personnages très différents les uns des autres : un historien un peu imprudent, un journaliste malhonnête et séducteur, une écrivaine novice qui ne mâche pas ses mots, une aubergiste qui s'emmerde dans son quotidien et qui rêve d'aventure, un flic qui semble être le seul à prendre son travail au sérieux dans sa ville... et ce n'est qu'une partie de tout ce beau monde !

...je continuerai d'écrire toute ma vie.

J'avance super bien dans ma fanfic, les chapitres X et XI sont totalement écrits, le chapitre XII le sera très bientôt... déjà la fin de l'arc 1 en à peine 15 jours de boulot, je suis super satisfait de mon rythme de travail pendant ces vacances. (pour une fois que je travaille pendant les vacances en plus !)
J'ai des idées pour la suite de la fic, mais il me faudra sûrement un peu plus de temps pour les mettre en place... il y aura notamment des flashback sur la vie du héros, qui pourraient surprendre. Et de nouveaux personnages (dont un méchant vraiment pas gentil du tout) feront leur apparition.

A côté de ça, toujours dans le domaine des fanfics, j'ai deux autres projets qui seront postés ici, mais je ne sais pas trop par lequel commencer étant donné que les deux me tiennent pas mal à cœur. J'ai tout de même ma petite préférence, mais je préfère demander.
- Le premier, je l'ai déjà évoqué, sera une fanfic politique très inspirée de la série "House of Cards". Il n'y aurait pas beaucoup d'action ni de combats de Pokémon, ce serait plus une histoire psychologique. Je ne suis pas vraiment certain qu'elle plaise, ou même qu'elle ait vraiment sa place sur un site Pokémon, bien qu'elle soit ancrée dans cet univers.
- Le deuxième, très différent, c'est une fanfic d'action/aventure, avec de l'humour noir, du combat, des mystères, des situations complètement horribles desquelles les personnages auront beaucoup de mal à se sortir... et probablement des méchants abusés, aussi. J'ai beaucoup plus d'inspiration pour celle-ci que pour l'autre, et je pense qu'elle s'ancrerait mieux dans l'univers Pokémon, même si elle aura lieu dans une région inventée de toute pièce. Elle est inspirée d'une tétralogie de jeux vidéo PS3/PS4, "Uncharted".

N'hésitez pas à me donner votre avis là-dessus, ça m'aiderait beaucoup de connaître les impressions de mes lecteurs et éventuels futurs lecteurs. De même, demandez si vous voulez des informations supplémentaires. Merci.

Dans la continuité de la review précédente, sur Bioshock (faisons ça maintenant, juste après une session de jeu, comme c'est tout frais), je vous propose maintenant de s'intéresser au troisième opus de la série. Bioshock : Infinite est-il un digne successeur de Bioshock ?
(Je fais l'impasse sur Bioshock 2, comme expliqué à la fin de la review précédente, car il est trop semblable au premier volet pour que je m'attarde dessus.)


Le héros du jeu

L'histoire

La première séquence du jeu (dont je me souviens par cœur) montre trois personnes dans une barque. Deux qui portent des cirés jaunes et qui se disputent continuellement comme un vieux couple, et un troisième, le héros que l'on incarne, un homme mystérieux appelé Booker DeWitt. Les deux énergumènes le conduisent à un phare perdu au milieu de nulle part (ce qui n'est pas sans rappeler le début du premier Bioshock) et s'en vont tranquillement, le laissant là. Booker va donc entrer dans le phare, observer un peu les alentours, être affreusement dégoûté en voyant un type mort avec un sac sur la tête, et trouver, au sommet du phare, un fauteuil étrange. Il s'y assoit sans se poser de questions et se retrouve propulsé jusqu'à Columbia, une ville flottante, où tout le monde vénère un "prophète" qui ressemble au Père Noël en plus méchant.

Oui. Ca ressemble étrangement au premier opus au début. Mais si la première séquence de Bioshock m'a énormément plu, celle de Bioshock : Infinite m'a tout simplement bluffé. La beauté de Columbia, une cité volante des années 1910, est tellement impressionnante, sans parler de la scène de l'église. Le scénario est très différent de celui du premier jeu, mais le fait de devoir voyager entre les timelines peut être un peu rebutant au début. Le principe est finalement assez simpliste une fois qu'on sait dans quel ordre s'enchaînent tous les événements.

Les personnages

Il y a pas mal de personnages importants dans cet opus également. Le héros est notamment beaucoup plus attachant que dans le premier. Booker DeWitt est un ancien alcoolique accro au jeu, un homme au lourd passé, peu sympathique, voire même sans pitié car il n'hésite pas à tuer pour sauver sa peau. Il se rend à Columbia pour trouver une jeune femme appelée Elizabeth. S'il la trouve, ses dettes de jeu seront totalement effacées. Un personnage très intéressant (qui a même des répliques hilarantes par moment) que j'ai beaucoup apprécié.
Ensuite, Elizabeth, qui accompagnera Booker dans son périple une fois libérée de sa "prison". Elle ne sait rien du monde extérieur, mais elle est très utile, notamment dans le crochetage de serrures. Elle possède également le pouvoir d'ouvrir des failles spatiotemporelles, une faculté qui ne manque pas de sauver la peau de Booker de nombreuses fois.
Zachary Comstock est le "prophète"/Père Noël de Columbia, et son dirigeant suprême. On ne sait pas grand chose de lui jusqu'à la fin du jeu, en fait, mis à part ce qu'on peut apprendre dans les journaux audio.
Enfin, les Lutece, Robert et Rosalind. Ces deux personnages que l'on croise à plusieurs reprises dans le jeu sont tout bonnement excellents. Chacune de leur apparition m'a fasciné, notamment leur faculté de disparaître mystérieusement juste après. Ils passent leur temps à se disputer mais semblent poursuivre un même objectif, aider Booker. Ce sont en réalité des physiciens de génie qui ont inventé la technologie permettant à la ville de voler.

Il existe bien d'autres personnages, mais ceux-ci sont les plus importants du lot.


Les Lutece

Le gameplay

Le gameplay... est quasiment identique aux précédents opus, finalement. Au détail près que les plasmides s'appellent des toniques, et qu'on ne peut plus transporter que deux armes à feu sur soi. On a également une arme au corps à corps assez intéressante, puisqu'elle permet aussi de se déplacer sur les aérotrams, des sortes de rails aériens, enfin bref, encore quelque chose de spécifique à Columbia. Elizabeth est la grande nouveauté de gameplay, car elle peut crocheter des serrures et ouvrir des failles en plein combat pour en sortir des munitions, kits de soins, cristaux pour recharger les toniques et tout ça. Bref, une IA pas du tout potiche comme on a l'habitude d'en voir dans d'autres jeux. L'environnement aérien est intéressant, car des crochets disséminés un peu partout permettent à Booker de faire des sauts de 15 mètres de haut (sans rire, c'est vrai !) pour venir s'y accrocher et ainsi prendre de la hauteur.
Tout ce qui concerne l'exploration est identique au précédent opus, au détail près que les journaux audio s'appellent maintenant des "voxophones".

Columbia

Si j'ai adoré Rapture, je crois que Columbia m'a encore plus séduit. Si Rapture était très sombre et glauque, Columbia est tout le contraire, lumineuse et magnifique. L'époque des années 1910 est fidèlement représentée grâce à la radio qui diffuse des chansons d'époque (la bande-son est magnifique), les magasins, le style vestimentaire, bref, l'immersion est totale. Le côté très religieux de Columbia apporte un côté encore plus mystique aux lieux, notamment au début. Le passage dans l'église est de toute beauté. Même si Booker gâche un peu tout, car ce chenapan vole l'argent de la quête. Méchant garçon va ! Les habitants sont ici totalement normaux, et pas zombifiés comme à Rapture.
La diversité des lieux à visiter est intéressante. On passe d'un centre-ville paisible à une usine aux employés maltraités, pour ensuite aller dans un commissariat, une sorte de musée, une tour gigantesque et même une plage ! Si si, une plage dans le ciel ! Photo :


Battleship Bay, la seule plage dans les nuages !

Avis général

Un jeu qui m'a totalement scotché, du début à la fin. J'ai tout simplement adoré, et même si je conçois que ce jeu a des défauts, je n'en tiens pas compte quand je joue tant c'est jouissif. La fin m'a presque fait pleurer, en plus. Faut dire que je suis sentimental. x)

Nouvelle review de jeu vidéo aujourd'hui. Je l'ai fait il y a un bout de temps donc ce n'est peut-être plus très frais (un peu comme les cadavres qui nous servent d'ennemis, enfin bref) mais un jeu aussi bon, on ne peut pas passer à côté. Je vous présente donc Bioshock, que j'ai fait sur PS3, faute d'avoir un PC de gamer.

L'histoire

On s'appelle Jack, on est un mec sans histoire qui se retrouve seul survivant d'un crash d'avion. Jack nage jusqu'à un phare, il entre, il trouve une sorte de capsule et comme un con, il rentre dedans. A croire que ses parents ne lui ont jamais appris à être méfiant. La capsule le conduit sous l'eau et il arrive dans une cité sous-marine des années 60 (la date à laquelle se passe l'histoire) où... ben tout le monde s'est transformé en zombie hyper violent et moche. Sauf un type apparemment normal qui nous parle grâce à une radio et qui veut aider Jack. Ce crétin, qui ne panique paaas du tout parce qu'il est arrivé dans une ville sous l'eau, entame son périple à travers Rapture pour aller tuer Andrew Ryan, le créateur de la ville qui est, apparemment, un dictateur.

Oui, dit comme ça, en effet, ça a l'air extrêmement étrange et c'est le cas. Etrange oui, mais très bien ficelé. L'arrivée à Rapture dans la capsule est une scène mémorable du jeu, qui m'émoustille à chaque fois que je le recommence. Sans parler de la scène dans le bureau d'Andrew Ryan qui est assez dérangeante. Car ce jeu est violent, l'hémoglobine est au rendez-vous et j'ai maintes fois manqué la crise cardiaque suite à l'apparition surprise d'un méchant habitant de la ville.

Les personnages

Il y a un certain nombre de personnages dans ce jeu, qui ont leur importance. Autant les énumérer un par un.
- Jack, le héros, un type apparemment sans histoire, dont on ne sait quasiment rien à part le fait qu'il ait pris l'avion avant de se retrouver à Rapture. En tout cas, il n'a pas l'air de raisonner comme un humain normal, car au lieu de rester prostré dans un coin, il va tranquillement massacrer les habitants zombies de la ville. Je ne l'ai pas apprécié mais c'est tout à fait subjectif.
- Atlas, l'homme qui parle à Jack à l'aide d'une radio. A priori c'est un gentil monsieur qui a besoin qu'on l'aide, et pour ça il nous donne des consignes. Il a une tendance étrange à utiliser l'expression "Je vous prie" très souvent, ce qui n'est pas sans importance.
- Andrew Ryan, inventeur de la cité sous-marine de Rapture, un havre de paix où tout le monde s'aime (je déconne). Un personnage très intéressant bien que peu présent à l'écran, car il incarne le méchant, un manipulateur égocentrique qui aime jouer au golf si on en croit son club qu'il traîne partout avec lui. Et un sacré connard, aussi.
- Les petites sœurs, des petites filles tout à fait normales mais conditionnées pour récupérer l'ADAM, une substance présente à l'intérieur des êtres humains, pour se nourrir.
- Les protecteurs, des humains emprisonnés dans des scaphandres et qui sont chargés de protéger les petites sœurs.
- Le Dr. Brigid Tenenbaum, une gentille allemande qui aimerait bien nous voir adopter les petites sœurs qu'on trouve.
- Sander Cohen, un artiste totalement cinglé.

Bref, pas mal de personnages qui ont leur importance et qui sont tous très différents.

Le gameplay

Le gameplay est assez particulier dans ce jeu, qui est un FPS sortant de l'ordinaire. On a donc, dans notre main droite, une arme, et dans la gauche, des pouvoirs surnaturels étrange appelés "plasmides". En gros, on peut se servir des deux durant les affrontements, tout en tenant compte de l'environnement. Exemple. Si on utilise le plasmide "arc électrique", qui envoie de vilaines décharges, dans l'eau, tous les ennemis se trouvant dans l'eau en subissent les effets. Cool non ? En revanche, pour se servir des plasmides, il faut avoir assez d'EVE, une substance que l'on peut récupérer sur les ennemis ou en trouvant des seringues dans l'environnement de Rapture.
L'exploration est d'ailleurs très intéressante, car on peut trouver un peu partout de la nourriture (qui augmente la santé), des kits de soins, et des journaux audio laissés par différentes figures importantes de la ville pour nous en apprendre un peu plus sur le passé de Rapture. Bref, un gameplay original et intéressant.

Rapture

Rapture est presque un personnage à part entière ! Son univers est tellement riche et bien pensé ! Rien que le fait de bâtir une ville sous la mer est une idée plutôt originale. Le style rétro des années 50-60 est bien là, pour mon plus grand bonheur de fan du XXème siècle. Le concept des petites sœurs et des protecteurs est également très intéressant, et l'idée d'une ville aux habitants zombifiés car ils ont trop abusé des plasmides ne rend l'univers que plus sombre et effrayant. Bref, sans Rapture, il n'y a pas de Bioshock. Quoique ce n'est pas tout à fait vrai, étant donné l'amour que je porte au troisième opus de la série, Bioshock : Infinite, qui se passe ailleurs. Mais ça sera l'objet d'une autre review.

Avis général

C'est donc un jeu extrêmement recherché et original que votre serviteur vient de vous dépeindre, et il ne tient qu'à vous de plonger dans les profondeurs de Rapture pour percer tous ses secrets, qui sont nombreux.
Je ne prendrai pas la peine de reviewer Bioshock 2, car même si l'histoire est différente et qu'il y a d'autres personnages, c'est globalement la même chose côté gameplay et univers. La prochaine fois, ce sera l'excellent Bioshock : Infinite que je vous présenterai. Je me le recommencerai ben, d'ailleurs...

Nouvelle fanfic, "Freeze", postée.
Je tenterai de publier aussi régulièrement que possible en gardant des chapitres d'avance pour ne pas trop laisser d'espace entre deux chapitres.

Bonne lecture.

Je compte poster une nouvelle fanfiction dans quelques temps (voire même très bientôt). Est-ce que ça vous intéresserait ?
En voici le résumé (c'est une fanfiction comportant majoritairement des OC, contrairement à ma précédente) :

Freeze

Lorsque "Freeze", voleur professionnel n'ayant encore jamais été pris, rate lamentablement son délit au musée de Maillard à cause d'événements inattendus, il pressent que sa vie va changer du tout au tout. Et il a bel et bien raison. Son Oniglali et lui vont devoir faire face à un ennemi redoutable qui agit dans l'ombre, et qui pourrait bien être plus ingénieux que lui...

"Aussitôt un frisson la parcourut, la peur lui serra le cœur dans une étreinte de glace."
(Wilkie Collins)
L'idée m'est venue alors que je regardais l'épisode 13 de la saison 2 de Gotham, une série servant de préquelle à Batman. Au programme : violence, combats Pokémon épiques (enfin j'espère qu'ils le seront), science, humour sarcastique et, pourquoi pas, romance.

Je bosse sur une nouvelle fanfic intitulée "Freeze", mettant en scène un héros assez particulier... rien que cette scène illustre bien son côté sarcastique :

Le gardien hocha la tête, certain d'avoir le contrôle de la situation. Il ne pouvait pas savoir à quel point il se trompait. De plus, il faisait preuve d'une négligence risible, en ne fouillant pas le voleur, qui tenait fermement une arme dans sa main gauche.

"C'est bon, je suis prêt pour mes dernières paroles... maman, je suis désolé d'avoir revendu ton vase super moche après ta mort pour pouvoir m'acheter un canapé !"