Le blog de Doc
de Docteur Spider

Aujourd'hui encore vous n'allez pas y couper, faut que je vous raconte ma vie.

Je suis arrivé à la bourre (comme tous les jours), le temps de m'occuper de ce que j'avais pas reclassé de samedi en revenant (les fausses directions, les réexpéditiosn dont je ne m'étais pas occupé), à peine eu le temsp de ramasser la presse, que le tri général était fini : il n'était que 7h40. Ca promet ! je suis parti à 8h50 (pas de boite orange, pas de pub, et 3 pauvres recommandés)

Début de tournée je donne des lettres en main propre à un gars. L'une d'elle est uen amende. Il me raconte sa vie. Ca me dérange pas, j'ai que ça à faire aujourd'hui =) Il était vers marseille, il devait prendre un bateau pour la tunisie, mais y'avais des problèmes, il a ensuite donc foncé vers toulon, il s'est fait flashé =)

Chez Germaine, pas de réponse comme hier (enfin samedi, j'me comprends). J'ai réussi à passer la première lettre sous la porte, mais pas la deuxième. tant pis, je lui donnerai en main propre un autre jour.

J'ai fini mon II à 10h20. J'ai fait ma collation à côté de mon deuxième dépot.
Alors que je mangeai, je vois le maquerau passer. je l'appelle : il me dit qu'il n'a pas le temsp, son avocat (ou le juge) lui a trouvé un boulot dans un pizzeria, il devait y bosser pendant un mois histoire de montrer sa bonne volonté à se réinsérer. Sauf qu'il était déjà à la bourre. Faut pas que j'en parle aux "auttes".

J'ai donc fini à 11 heures. Aujourd'hui je n'ai ditribué quasi que des Télé-Loisirs, et qui dit télé-loisirs dit loisirs :

J'ai délibérément laissé mon sandwitch au reblochon dans le frigo de la poste. Je l'ai ramené à la maison (via la voiture de Charles). Quel pied de rentrer si tôt chez soi. J'ai lu le nouvel obs de la semaine dernière. (tout en essayant de bouter mon PC une dizaine de fois). Je me susi mangé des nouilles instantannées, du taboulet, une pêche et un brugnon.

Ensuite lecture de mon livre de droit du travail. Sieste de 14h20 à 15 heures (réveillé par mon frère).

On est allé à l'ANPE. En cours il s'est mis à pleuvoir. J'avais oublié mon pull et ma cape dans le tiroir de ma position.
C'est pas si gloque ça, c'ets même bien : les locaux sont neufs et propre, y'avais personne, et pas mal de ressources de bas e(gene le sbrochures du CIDJ). Seul bémol : pas d'accès au net à part le site de l'ANPE. j'ai essayé de trouver un job pour les vendanges j'ai pas réussi. Mon frère a essayé de me trrouver un boulot de consultant, mais on est tombé sur des mots bizarres (google n'est pas mon ami).

Ensuite on s'est séparés.

Je suis allé à Maison Laffite. Je suis passé par la marie, il me semblait que je venais de lire à mon ANPE qu'il y en avait une autre dans la ville d'à côté. Visiblement non (la fille de l'acceuil a fait ses grands yeux surpris genre"Yas pas de chômeurs dans notre ville").

J'ai ensuite descendu l'avenue, je susi allé à casino, j'ai pris deux pains au chocolats et un croissant à la boulangerie, puis je suis entré dans le magasin proprement dit, et j'ai fureté dans le rayon presse. J'ai feuileté le mag Sciences Gumaines, et Marianne, principalment (je dis principalment parce que je ne me souviens plus exactement ^^)

Je em susi mangé mon gouté en marchant. Arrivé chez ma copine vers 5h00. Cléo m'attendait (mais toujours pas de courrier c'est zarb, d'autant plus que la boite est toujours ouverte, si la boite était fermé je me poserai pas de question.) Le chat s'est jeté sur son reste de gamelle de croquette, puis elle est sortie. J'en ai est profité pour nourrir les poissons. (Les plantes pas besoin, il pluviotait à moitié).
Ayant de nouveau faim, je me suis mangé les madelaines qui trainaient. Oui je sais, je pass emon temsp à bouffer (6 fois aujourd'hui)


J'ai continué la lecture de mon livre.

A 6 heures je suis reparti, le chat m'attendait dans le hall, je l'ai carressé, caressé, caressé, puis à un moment, il se retourne, et en une fraction de seconde j'ai vu sa tête s'approcher de moi (j'étais accroupi), et elle m'a moprdu ! J'ai 4 lignes d'un centimètre au niveua de poignet : ses dents l'ont parcouru.
Ensuite elle est revenue se faire carresser. Les chattes, c'est comme les femmes... %) euh nan rien =)

Revenu chez moi vers 19 heures, j'ai pas fait grand chose. Là je viens de finir l'animé Jyu Oh Sei, c'était sympa.
Ah si j'ai surfé, je suis tombé sur un blog de fan de Jojo's bizarre adventure (Jotarie), un grand grand manga. Faut vraiment que je me remette à ça lecture (si je torche mon blog assez vite, allez)

Doc, 21th century digital boy.

En cette fin de dimanche l'apathie me guette...

Samedi j'ai décollé à 9h20, sans avoir fait de collation, et en ayant pas emporté tout le courrier (j'ai donné la priorité au courrier trié par la machine, les autres lettres que j'avais trié à la main, généralment je les ai pas pris quand je voyais que ça allait me prendre trop de temps à insérer dans ce qui était déjà en ordre).

Germaine, n'était pas à sa fenêtre, ce coup-ci je suis donc monté, ding dong ding dong, pas de réponse, j'attends un peu (douche ? toilettes ?), je resonne, rien. J'ai eu la bonne (?) idée de glisser ça sous sa porte.

J'avais un recommandé, je monte, le papy, la première chose qu'il fait c'est me donner 50 centimes. Sympa. Il me fait entrer. Son séjour ets en bordel (ya des pile sde machins partout). C'est un mec que j'avais déjà croisé dans la rue ("Ah c'est vous le facteur") il s'occupait des réexpéditions saisonnières de son voisin. Il était en slip, il tenait maladroitement une couverture pour être à peu prêt caché derrière. Il était dessinateur dans l'aéronautique.
- "Vous êtes étudiant en philosophie, vous allez faire quoi après ?"
- "Après.. de la philosophosie" %)
Je lui ai fait le coup classique de "j'ai mes chances de réusir le concours pour être prof", mais comme Germaine, il pense que prof c'est pas un boulot.
- "Mais pourquoi vous travaillez pas dans la finance ou l'informatique, ça recrute qu'ils ont dit à la télé ?"
Parce que c'est pas mon délire. D'un autre côté je veux bein lui donner raison sur le fait que les étudiants doivent en partie s'adapter au marché du travail, mais faut pas exagérer non plus.
No future ?

Je suis parti trop vite de ma position, j'ai oublié entre autres ma bouteille d'eau. Heuresement la canicule est derrière nous. Je suis passé chez mamie-chèque, je lui ai demandé un grand verre d'eau, et l'heure. je lui expliqué que j'avais compris que je pouvais me la jouer "vous êtes ici chez vous." Il était 11h30 et je venais de commencer III, j'étais dans les temps.
J'en ai profité pour lui demander qui étaitr le mec de la dernière fois. c'était son grand dadet de fils, il ets balayeur. Il doita voir des problèmes comem sa soeur. Il est pationné de vélo.

Juste avant (au 2 de la rue), une nana faisait brûler des feuilles dans son jardin, ça se sentait dans tout le quartier, son gosse toussait. C'est malin.

Je suis rentré à 13 heures chez moi comm prévu. enfin un vrai repas le midi !

J'ai reçu une carte de ma copine : Il faut que j'arrose les plantes aussi =) Et il ne faut pas qu eje m'achète de magazine en kiosque, elle va m'offrir quelque chose. D'abord j'ai pensé au "Voyage de luxe : special japon", mais plus vraissemblablement ça devrait être le numéro du Point consacré à Nietzche (cf [30])

En tout cas ça m'a fait super plaisir d'avoir de ces nouvelles. L'amour... l'amour quoi.

Je me suis couché. J'ai dormi de 14h20 à 16 heures. Ensuite j'ai fait cuire un cake thon-tomates, même que pour une fois je ne l'ai pas fait brûler.

Je susi allé che zma copine à pied.

Cléo, la petite chatte de ma copine (^^), m'attendait de pate ferme. On est monté direct, et une fois finies ses croquettes, elle m'a réclamé la suite, à savoir de sa patée.

Ensuite direction Paris, plus exactement Montmartre;, où j'avais RDV avec un pote. On a d'abord gravi la butte, puis on ets allé au bistrot (ça craint, en france le sdemi font un demi de la moitié d'un litre.)
La route étant en travaux, il y avait des graviers. Un motard s'ets vautré pas loin de nous, puis ce fut une voiture qui a dérapé.
On est ensuite montés chez lui (au sixième sans ascenseur, ya d'dla joie)
Il a préparé une salade avec de la laitue et des tomates (arrosé de vinaigre balsamique).
On s'ets tapé les 3/4 du cake. Habiteuellement je nourris toute ma famille pendant plusieurs jours avec.
Plus fromage et fruit, on a biiien mangé. Le tout arrosé de grimbergen.
Vincent est un ami de fac. On s'est connu pendant les manifs. Il a trente piges, est en 1ère année de philo, et il a un taff d'informaticien (réseau). On a parlé cours, syndicalisme, de mon mémoire etc.

Rentré chez moi puis couché vers 00h40.

Levé à 8h40. A quand des vrais grace mat' ?

J'ai fini mon livre « Travailler deux heures par jour » qui est très stimulant.

Le midi, l'espadon, c'est bon.

L'aprem, je me suis un peu remis à « Droit du travail, droit vivant » en comattant à moitié.

Après le gouté, ma mère comptait aller à la piscine de Maisons-laffite. J'en ai profité pour me faire emmener. Je n'ai eu qu'à marcher 10 minutes ensuite pour arriver chez ma copine. J'ai nourri le spoissons (une moins grosse pincée qu'hier), la terre des plantes avait l'air encore humide, donc j'y ai pas touché. Ensuite je me suis installé dans la cuisine et j'ai poursuivi ma lecture sur le droit du travail (en me faisant bien chier, genre gros problèlmes de concentration).
En attendant 18 heures (RDV avec le chat), et pour me faire une vraie pause, j'ai essayé de surfer sur le net, mais son PC m'a affiché deux fois de suite le message d'erreur suivant :
« Echec général d'écriture du lecteur C.
Abandon, reprise, ou .. ? »
Au troisième boot, c'était bon.
J'a juste checké mes mails, rien de neuf.
Re-lecture.

A l'heure je suis descendu, j'ai poursuivi mon livre, j'ai entendu mioler, je l'ai appellé, gros calins tout ça, ensuite on est montés, j'ai failli me rétamer en montant une marche, le chat a flippé =)
Croquettes et c'ets tout =)

Rentré chez moi, encore mon livre de droit.

Mon dimanche se résume à peu de choses, soit j'ai oublié des trucs, soit Votre vie est un échec, appuyez sur Reset %)

Ce soir j'ai eu des problèmes avec ma connexion, puis avec mon interface graphique, que de temps perdu. Je vais aller me coucher, ça me fera du bien.

Now it's oveeeer

P'tain ça craint, je comptais lire, mais "Fais chier j'ai pas mis mon blog à jour". vous voyez tous l'amour que je vous porte ? N'empêche c'est vraiment contraignant.

Hier ma copine est partie en vacances. la veille, j'avais eu du mal à réaliser que c'était le lendemain, du genre "Ah oui tu pars jeudi... merde jeudi c'est demain."
Cette nuit j'ai rêvé d'elle.
Ca me manque ses petits mails toutes les heures. Là je m'ennuie sur le net, je n'ai plus rien à y faire.

Le chef strict sur les horaires me dit ce matin "Tu vas avoir un recommandé pour Bernard. Tu vois c'est qui Bernard ? Il n'est pas venu au travail depuis lundi. Il a un problème avec la boisson tu comprends ? Donc quand tu passeras, insiste bien sur la sonnette."
Bernard je le conanis bien, il habite dans l'immeubel de la fin, il m'a aidé à distribuer mon courrier, il m'a donné de bons conseils, il collectionne les moulins à café, et il est cool quoi. Donc bon ça l'a un peu foutu mal son discours.

Je vous parlai du catalogue Adam & Eve il y a quelques jours. Ils sont réapparus sur le devant de la scène, car on devait en distribuer aujourd'hui. On m'a fait comprendre que les machins gris avec un piment dessus, c'était ça. Maintenant je peux repérer le spetites cochonnes sur ma tournée, parfois à mon grand dam (genre une potugaise fauss eblonde trop moche), mais yen en d'autres je voudrais bien faire leur connaissance.

J'ai eu l'imprreession d'êre rapide au tri ce matin, mais j'ai fini à la même heure. En faisant l'hypothèse qu'en fin de semaine il y a plus de courrier (ce qui n'est pas évident ce coup-ci), j'ai donc effectivement été plus rapide. Bien joué.

Avant de partir, je me mangeai mon pain d'épice dans la cuisine, quand le mec qui m'a gentiellement prêté son vélo est venu acheter une barre chocolatée. Après le débat tout fait sur l'alimentation, et la routine du boulot, je lui ai demandé ce u'il faisait "avant". Figurez-vous qu'il a fait un DEUG de psycho, et une préparation pour être intervenant musical dans les écoles primaires. mais il a abandonné. La Poste lui a ouvert le sbras. C'est un "job alimentaire".

Je suis parti à 10h20.

J'ai donc fait de nouveau l'imeuble de la fin dans le spremiers (je ne le faisiais plus depuis que je numérotais les lettres). Je toque à la porte de bernard, rien. je sonne. C'était tellement bruyant que j'ai sursauté. Il fini par ouvrir la tête dans le cul. "J'ai pris des médicaments". Il a tout de suite compris de quoi il s'agissait (enfin je sais pas exactement le contenu du recommandé et de la lettre qui l'accompagnait. Blâme ?) Il m'a pris ça des mains, et vite signé. Ca fait plaisir de tomber quelqu'un qui sait remplir un recommandé.
J'en sais pas plus.

Je vous avait dit qu'en I, il y avait mon patron de l'année dernière. Aujourd'hui je suis tombé sur son fils, avec qui j'ai fait du judo étant gosse. je ne sais pas si on s'est reconnu, en tout cas on ne s'est rien dit. Il a grossi. Est ce une malédiction des anciens judoka gros gabarit ? C'est le deuxième sur lequel je tombe qui s'est "empaté" comme on dit.

Germaine, m'a fillé un pain fait-main, ona discuté de ma barbe et d'autres trucs. j'ai oublié.

Villa daumier, deux mecs discutent "vacances tout compris", je m'arrête et blablate avec eux. =) Faut bien que je trouve ma destination de septembre =) C'est du genre "On est nourri illimité pour 150 euros la semaine tout compris".

En II, j'ai réorganisé la fin de cette partie pour éviter de faire un trop grand détour pour aller au grec. Sur le chemin de la cité de la pisse, je tombe sur l'ingénieur d'entretien d'une des cités du matin. je lui ai dit "à tout'".

Cité de la pisse, il n'y avaitq ue Marion (Camille ?). On ets un peu complice. Je lui ai filél le pain de Germaine quand on s'ets séparé (j'ai pas trop confiance dans le stalenst de cuisinière de mémé).

Au grec je me commande un grec complet harissa, qui n'était pas très bon (pas assez cuit ?), j'ai mangé seul, l'homme de ménage étajt au téléphone avec la côte d'Ivoire (si j'ai bien compris).
J'ai regardé le journal de france 2. Il y avait un reportage sur la diète je-sais-pas-quoi, les gens payaient 900 euros la semaine , mangeaient du bouillon t du thé à longueur de journée, et faisaient de la rando. je me susi dit "c'est quoi ces régimes à la con ?". Et puis j'ai comparé le prix de cette arnaque à ma semaine tout compris en Turquie pour me dire que définitivement y'avais trop de pigeons en ce bas monde.

Pour faire court je ne me souviens pas de trucs particuliers en III et IV.

Charles devait tuer son courrier hier, il l'a fait aujourd'hui (à moitié, il lui reste une caissette pleine). Il avait 3 semaines de boulot qui s'accumuilait.Moi ayant déjà trié mes rebuts hier, c'est alél asez vite. Ma case revus est vide, ça fait tout drôle. Mon score s'élève à 129. J'essaierai de le battre juste avant de partir :)
Dans mon tas, j'ai sauvé quelques lettres : ce matin je passe à côté d'un garagiste, qui me dit que sa voisine s'est plainte de ne pas recevoir de courrier depuis 2-3 semaines (les dates correspondent). Il me montre la boites aux lettres, fait de cordres et de planches (j'exagère à peine). Moi qui croyait que c'était un truc abandonné, j'avais jamais fait gaffe. Alors que je tuai du courrier, un des chefs de l'aprem, vient me voir et me dit que la femme est là. Hop j'ai mis la main sur son courrier, en précisant que j'avais sans doute déjà retourné quelques lettres. Ca lui apprendra à être pauvre et à vivre dans un taudis !

En rentrant, j'ai du repartir (^^), en me rendant compte que je devais nourrir le chat (en fait, une chatte) de ma copine. Enfin je me suis fait une bonne pause d'une heure chez moi, avec goûté, surf, et lectures de mon livre.
J'allais partir à pieds, mais mon père me conseilel de prendre le VTT. J'ai du regonfler les pneus, mais ils ont l'air toujours aussi à moitié mort.
"Mais elles sont où les sacoches ?"
Alors je retire tout ce que j'ai dit sur ma super santé, je suis toujours autant (que l'année dernière) crevé après avoir fait du vélo à font la caisse (15 kilomètres/heures) pendant un quart d'heure.
J'arrive devant chez ma copine (un appart', elle vit en immeuble). pas de chat en vu. Je monte chez elle (j'ai un doublme des clés jusqu'à la fin de mon "CDI"). Je jette un oeil aux poissons. Je redescends avec le journal, et me pose sur des marches.
En passant, des voisins me tapent la discut'. Je leur raconte ma vie de garde d'animaux.
J'entends mioler derrière moi. C'est cléo. Elle se frotte à moi un certain temps, puis s'étant décidée, on commene à monter. Arrivé au RDVC( qui est en hauteur), elle entend quelqu'un descendre de plus haut, elle se sauve à l'extérieur et disparait.
Je me rassois et continue ma lecture. Les voisins repassent, je leur raconte ce passage.
A la deuxième tentative (ou 3ème) ça a été bon. Je lui ai servi des croquettes, elle les a mangé, puis a voulu sortir. Elle n'aura pas de paté aujourd'hui.
Hop, sprint pour rentrer chez moi, plus de jambes.

J'ai assez parlé de cul pour aujourd'hui.

.. et fin de mes shoot du 30 juin. Va falloir que je me creuse la tête pour illustrer mon blog... ou pas.

Ce matin, il ne pleuvait pas, mais presque. j'ai enfilé ma cape, et arrivé deux étages plus bas, au niveau du RDC, j'ai réussi à être pris par la poignée. Oh le joli trou. Ou alors c'était hier. Il me semble qu'aujourd'hui j'ai dégoté un pull léger.

Le journal Le point consacre un long article à Nietzsche. A lire =)

Au tri, ce matin ANTIN résidence (gère des immeubles) a envoyer du courrier à tous ses locataires. Bonne galère pour trier tout ça.

Charle sm'a demandé ce que j'avais fait la veilel, j'ai pas sût lui répondre (à part le livre). C'est triste.

Après avoir trié mes recommandés, je suis sorti dehors à la recherche du rasta et du mec sur la position d'à côté, un epsèce de skinhead Je lui ai demandé si il travaillait ici pour l'été, il m'a répondu qu'il était en CDD et qu'il faisiat le bouche-trou sur plusieurs sites. Pas cool, il change de tournée tous les 3 jours.

Le chien sauteur, sa maitrese était là. Elle est d'origine asiatique. Elle était fière de son chien "il peut sauter 50 fois comme ça sans s'arrêter", je lui ai dit que je l'avais filmé, elle était pour que j'envoie la vidéo à la TV. Grosso modo j'ai le feu vert pour mieux le filmer une prochaine fois.

Dans le même genre, j'ai photographié un chaton.

Pemière cité, une femme ouvre les lettres ANTIN devant moi : elle savait que c'était de la pub vendant des pavillons régit par la même société, ce qui la fout particulièrement en rogne vu que leur immeuble prend la flotte. Ce matin j'ai perdu mon temps à trier de la pub. Si au moins ça avait été des charges à payer %) On a parlé un peu boulot, elle était pour que ceux qui se plaignent de leur travail de bureau aille faire des travaux physiques. Ca m'a rappellé les camps maoïstes d'rééducation par le travail =)

Germaine n'était pas à sa fenêtre, je monte, c'est son aide ménagère qui m'ouvre. Elle était pas sensée ne pas être là elle ? Cette vieille aime bien me faire tourner en bourrique.

Cité d'à côté, une lettre scotchée à la boite ; "est-ce que vous pouvez sonner, cher facteur" ou quelque chsoe dans ce goût là. je me suis demandé quelle bêtise j'avais bien put encore faire. En fait une petite vieille s'esr rendue compte que j'avais mis une lettre de l'immeuble d'à côté dans sa boîte. Comme j'étais sympathique, elle m'a filé 50 centimes. A l'avenir, je me tromperai plus souvent =)

Sandwitch au roblochon =)

L'après-midi, je pase à côté de quelqu'un au chemin de fer (jonction de III et IV), c'était le petit vieux que je croyais clamsé et qui était parti en fait une smeiane en vacances. Je lui ai demandé si il pouvait pas me prêter Le Point quand il l'aurait lu. il a acceté. j'ai plus qu'à lui faire tenir parôle.

Rentré au bercail. Je recompte mes recommandés. je m'aperçois q'au grec, j'ai fait signé les papiers, mais j'ai rendu les papiers au lieu de la lettre. Ayant rangé mon vélo, j'ai taxé un qui trainait dans la travée, petit sprint.
J'ai lancé un malicieux "Vous n'avez pas un problème avec le recommandé ?" et c'était bon.

J'ai fini ma journée à 14h45. Ensuite je me susi ocupé du courrier qui trainait dans ma case "Rebus" %) J'ai tout retrié et regardé dans mon cahier. J'ai put sauver pas mal de courrier (le sgens abusent vraiment à ne pas mettre leur nom sur leur boite), Ca m'a pris une heure. Une prochaine fois je pourrais coller tout à tas d'autocollants sur les lettres restantes pour leur faire un sort. Bizarrement, même en en ayant soustrait, j'ai l'impression que ma case rebus est toujours aussi pleine. C'est fou =)

Depuis que je suis renré, c'est à moitié lecture de "Travailler deux heures par jour" à moitié recherche d'info complémentaires sur google (sur le rapport suicide et chômage par exemple, mais ça reste superficiel pour le moment). je me suis abonné à tout un tas de listes de diffusion sur le travail, la précarité etc.

Je veisn de faire ma petite recherche sur le maquereau, j'ai fait choux blanc.

Hier soir, après avoir éteint le PC, pendant ma douche, j'ai réfléchi deux secondes sur le retraite et sur le métier de postier. J'ai griffoné toutes mes idées, puis j'ai déterré un livre de ma bibliothèque, et je suis tombé sur un texte de Sénèque, intitulé l'Oisiveté. Pas autant dans mon optique que le suggérait l'intro, mais bon 6 pages de philo, ça ne fait pas de mal.

Mon PC vit au même rythmne que moi. Quand je dors il dort, aussitôt que je me réveille, je l'allume...

Ce matin j'étais à la bourre comme d'hab', mais je devais aller aux toilettes, genre grosse envie préssente, mais mon père venait d'y entrer. J'ai sautillé sur place comme un gosse, j'ai essayé de surfer pour penser à autre chose, mais finalement j'ai chassé mon père des chiottes.

Charles m'a embarqué. En arrivant, le "petit chef" (je connais pas sa fonction exactement, il reçoit au moins la pleinte des gens, il ets revenu lundi), s'adresse à Charles (et à moi aussi) :
- "Vous êts en retard aujourd'hui"
- "Il y a eu un accident machin tout ça..."
" Oui mais vous étiez aussi en retard hier..."
Je me susi éloigné, ne voulant pas qu'il me fasse de reproche. Enfin je garde mon "Sur mon contrat il est écrit que je commence à 8 heures" sous le coude.

Hier soir je me demandais "est ce que le métier de facteur est utile", je vous passe le détail, j'en étais arrivé à "il faut que je compte le nombre de lettres que je distribue", ce matin en triant mon courrier, j'ai essayé de les compter au fur et à mesure, mais au bout de 60-70 je me suis arrêté, m'emmelant les pinceaux entre les numéros de rues et le nombre de lettres.

On s'est fait une pause pour aller à la boulangerie d'à côté. Ursula nous l'avait déconseillé. Mais Charles m'avait alléché avec un croissant aux amandes hier (un de mes péché mignon). J'en ai donc pris un aujourd'hui. Premier constat : il est où le sucre glace ? et les amandes ? %) Au final c'était très moyen... J'en ai crqoué quelques bouts, puis me suit dit que je gardait le reste pour ma pause post-tri et près départ.

J'ai décollé à 10h30.

Premier gros immeuble, deux recommandés. Le premier rez-de-chaussé je le fait signer à la mère du gars, je devrais pas. Le deuxième, on me fait monter au sixième étage. L'ascenseur s'ouvre, putain de puanteur, mélange de poubelles éventrés et de chatte pas fraîche. Une femme a-t-ele perdue les eaux ? En haut, bien sûr pas de porte ouverte et de nom sur les portes. Sont cons les gens. En gazouilant un peu, ça s'ouvre. Nana clope au bec. Je fais coucou à la gamine qui lui traine dans les pattes.
- "Au fait, j'ai pas eu de courrier vendredi, samedi, et lundi."
Alors là je commence à raconter ma vie, que je ne suis pas passé samedi et que donc... et en réfléchissant, même en reportant mes lettres sur le lundi, si elle n'en a pas eu... c'est qu'il n'y en avait pas (le coup classique du "zéro plus zéro égal la tête à toto"). Pas besoin de me la jouer "facteur qui fait la moitié de son boulot le samedi parce que la poste ferme à 14 heures" la prochaine fois ;-)
En m'éloignant, je puais l'odeur de cloppe. Je suis devenu encore plus sensible maintenant que je bosse à l'air libre =)

Je redescends, il y avait un petit papier sur une boite. Je l'ai ramené chez moi (et la lette qui va avec) pour ne pas oublier de vous en reparler ce soir. Doc ramène du taf à la maison. C'était un NPAI. J'avais pas fait attention, mais auparavant il y avait deux noms sur la boite, mais yen a un qui a été enlevé, sauf que le matin quand je numérote les lettres de ce batiment d'après mon Carnet, c'est pas indiqué (j'ai quelques trucs à mettre à jour dedans."). bref il était écrit "pour le facteur. merci de ne pas jeter dans la poubelle !" Beuhahahahhahahaha %)

Fin de I à 11h15 (soit un quart d'heure de plus qu'hier, faut dire qu'aujourd'hui j'avais deux boites rouges plus un tiers d'une autre).

Chez germaine, à sa fenêtre. On s'échange deux mots une première fosi quand j'atteint le numéro d'a côté, ensuite je ressors, je vais à mon vélo, j'avance, je le repose contre les garages, je me tourne vers elle, elle me dit "Vous montez ?", Je réponds quelque chose comme "Oui bien sûr."
Au début, comme j'étais frileux, je l'entendais ouvrir sur le champ sa porte et elle em disait "Vous montez, je vous attend" ou quelque chose dans ce genre là, toutes les 30 secondes. Maintenat qu'on est pote, elle me donne un peu de mou.
Je monte, c'est entreouvert, je frappe et entre.
- "Vous savez j'ai réfléchie. Vous m'avez dit que vous avez fait 3 ans..."
- "Oui à la fac."
- "Et vous allez faire quoi après ?"
- "(Ba après la fac, la fac), dans deux ans je vais passer le concours pour être professeur. Mais il n'y a pas beaucoup de place tout ça tout ça."
Et là je me souviens plus de la transition, mais d'un trait ça donne :
- "Je m'inquiète pour vous vous savez, Vosu savez vous êtes bien bati, vous perdez votre temps, vosu feriez mieux d'aller travailler."
Et là j'étais content qu'elle me dise ça, parce que justement je voulais la brancher sur la question du travail, est ce que ça vaut le coup, la retraite etc.
Pour elle, comme je susi grand, je peux aller bosser c'est bon.
- "Mais vous savez madame de nos jours pour travailler il faut un diplome, et pour avoir un diplome il faut faire des études."
Ensuite k'ai essayé de lui dire que j'avais mes chances de devenir prof (autopersuasion), que prof c'est un métier non ? Mais elle m'a fait son haussement d'épaules caractéristqiques du "je ne sais pas".
Enfin j'étais très content de pouvoir entrer dans le vif du sujet. J'étais tout sourire en sortant de chez elle. Je lui ai dit "Bon on a un mois pour réfléchir à mon avenir", genre vous êtes mon coach.
Le problème étant qu'elle s'inquiète pour son petit-fils, 18 ans, qui vient de retaper son bac.
Elle m'a également dit "Je suis sûr que votre mère est très inquiète pour vous, maet votre père moins." En plein dans le mille.
Une dernière chose. Germaine a un nom juif. Et sur une des nombreuses photos, j'ai vu que son fils (je suppose c'ets lui) avait le petit chapeau caractéristique des juifs. Ca me botte trop d'interroger une juive sur le valeur qu'elle donne au travail (dommageq ue j'ai toujours pas lu le livre de Max Weber "Ethique protestante et esprit du capitalisme").

Pas loin, un recommandé. le mec me raconte la vie de ses boites aux lettres ("Je prends le courier de celle là, celle là, et celle là"), et bref il m'a dit qu'il était prof à nanterre, en psycho. "Moi je suis en philo" %)
Après recherche sur google, il semble bien que ce soit vrai. Il est dans la pathologie ou un truc du genre. Pas vraiment mon centre d'intérêt, mais toujours bon à savoir.

Le grec. c'était le remplaçant. Il a un truc bizarre aux paupières (genre dépigmentation), il est pas aussi rapide que le chef. Il m'a fait un chiken kita. Le plus, c'est le bout de fromage chimique qu'il met dedans. c'ets cool. Il y avait l'homme de ménage qui bosse au début de ma tournée, qui me fait des bonjour chaleureux le matin. Plus un autre black, de passage apperemment. A nous quatre, on a parlé de la guerre, du match sarko/Sego etc, et de nos boulots respectifs (le gars était médiateur culturel, il m'a explqiué un peu comment ça se passait). Content de savoir que je vais pouvoir continuer de discuter ici au mois d'aout. J'ai mangé en tête à tête avec le médiateur.

Fin de II à 13 heures et fin du grec à 13h30.

Mamie chèque, était en compagnie d'une homem (40-50 ans, c'est qui ce gars ?)
- "Alors à votre avis, je l'ai ou pas ?"
J'avais l'argent. Ma commision était sur la table =)

Une fois rentré au bercail (15h05), je me susi rendu compte que sur les 5 colis que je devais distribuer, un seul devait être signé, sauf que le l'ai fait passé comme un "Remise sans signature", je ne l'ai pas signalé biens ûr =)

Je comptais tuer des lettres, mais je comptais aussi être avant 16 heures à la bibliothèque pour feuilleter Le Monde d'aujourd'hui (le mercredi, jour des sorties cinéma, avec des concours quelques fois, cf [12]).
Je sors de la poste, je vois le bus à l'arrêt au loin, et pas mal de monde qui essaie de monter, Hop je me fais mon 100 mètre en sprint(ou 200 ?) et je l'ai. Après coup il m'a semblé que je n'avais pas été essoufflé. Habituellement je cours après mon train et je susi naze tout le trajet (10 minutes). J'ai l'impression que mon job m'a retapé la santé =)
Comme d'habitude, dans le bus je rencontre... Le maquereau. Il fait chuufeur escorte, il a été champion de boxe américaine (américaine ?), problème de drogue avec son ami tueur à gage, il l'a envoyé à amsterdam pour renouveller son stock.
M'a explqiué comment marchait la drogue sur le psychhisme : on se sent plus intelligent etc. J'aui crû comprendre qu'il connaissiat BHL. Il s'ens ervait pour écrire. Je lui ai répondu "Oui mais lui il écrit de la merde."

A la gare, hop la bibliothèque. c'est toujours le numéro d'hier en tête de gondole. Je vais au bureau, on me dit de voir avec la responsable de la presse en bas (la bibli, qui est une médiathèque, est sur deux étages, ya une autre bibliothèque pas loin de la poste, je susi pote avec le chef). Elle lisait 20th Century Boy. Elle m'a passé le journal, je l'ai feuilleté devant elle, mais pas de concours. Déçu.

EN sortant, je suis passé au kiosque, j'ai acheté le Canard enchainé (depuis le début de la saga, je lui fait une pub monstreuse, ^^) Une nouvelle tête à la caisse, genre nana fin d'adolescence, gothique sur les bords, pas à l'aise sur le prix du journal et pour rendre la monnaie. Une nana en job d'été quoi. J'ai pas eu le courage de lui parler vraiment : savoirs il elle connaissait les gérants ou pas (si pas, j'ai mes chances pour l'année prochaine ^^).

Rentré chez moi à 16 heures. A 18 heures je me susi allo,ngé 10 minutes, j'avais le syeux qui coulaient tellement j'étais fatigué.
J'aoi continué ma lecture de "Travailler deux heures par jour" par Adret. un livre très stimulant.

Ce soir, au repas, je leur raconte l'épisode du "vous perdez votre temps" de germaine, mon père a enchainé sur son boulot (il bosse depuis 5 jours en interim, ça faisait un an et demi qu'il n'avait pas eu un "vrai" boulot"). Ma mère va être au chômage en septembre. Du coup on a parlé chomdu, 35 heures, ANPE etc. Conversation très interressante. Comme quoi pas beosin de faire le tour de sartrouville pour trouver à qui parler.
Au finish, mon frère et moi, lundi aprem, on ira visiter les locaux de l'Agence National Pour le flicage des sans Emploi =).

Aujourd'hui, j'ai appris plein plein de choses. Doc, le mec épanouit à son travail.

Ce matin, j'ai trop eu la tête dans le cul, jusqu'à ma pause de 10 heures (je me suis posé dans la cuisine, sur des chaises de tailles normales, et je me suis goinfré de gâteau Princes).

Il pluviotait à l'aller. En sortant du bercail il faisait grand soleil, j'ai pas pris ma "cape" (appellé pancho précédemment). Ensuite j'ai regretté, il a fait super moche, puis bô. Alternance toute la journée. Ca m'a un peu motivé pour accélérer. Finalement il a plu quand j'ai quitté le boulot =)

Tout Sartrouville a reçu de la pub pour Cofidis, ya d'la joie =)

Chez mamie Germaine, elle était à sa fenêtre. Une fois à sa porte :
-"Vous n'êtes pas monté samedi" ni hier tu me diras.
-"Non vous n'étiez pas à votre fenêtre". Bon j'avoue ça fait un peu candide comme réponse. M%ais bon si je monte et qu'elle n'ets pas à sa fenêtre l'instant d'avant, ellee n'est pas au courant, du coup elle ne m'entends pas (elle me faisait ça au début, je sonnais, tapais, mais pas de réponse). Elle m'a dit qu'elle été partie chercher son courrier à 4 pattes. Pas classe.
Elle avait une araignée qui lui parcourait sa robe de chambre, mais je ne l'ai pas prévenu. Qui sait qu'elle réaction elle aurait put avoir. Puis elle m'a dit "Alors vous n'avez rien à me raconter aujourd'hui ?" Coquine. Je me suis fait plaindre (il fait un temps pourri), et c'était bon. Elle m'a dit qu'elle avait eu froid cette nuit =)

En parlant de robe de chambre, hier je sonne à une maison de ville, puis je tape, puis j'entendds un "oui-oui j'arrive", j'attends encore. Là je fais le pari avec moi même que c'est une femem qui sort de la douche. pari gagné. Sauf que c'était pas à la mesure de mes attentes. une femme quelconque. Note à moi-même : Il ne me reste plus qu'un mois pour tomber sur le couple qui baise.

Cité de la pisse. enfin non, la rue d'avant, les deux gosses black m'attendaient. Sont vraiment collantes. Du coup je ne leur ai laissé distribué qu'une letre chacune par hall.

Même endroit, pas même heure qu'hier (il était 13 heures), ma collègue me fait coucou en voiture. J'ai une heure de retard par rapport à hier.

Quelques rues auparavant, il n'y avait de la rumba dans l'air. en fait non, une odeur de metde. Je me demandais si c'était pas moi (j'aurais très bien put marcher dans une mede en m'arrêtant à une boite, ça m'ets pas encore arrivé, mais restez connectés ;-) ). En fait c'était bien le quartier. est ce dû aux travaux de l'école primaire ?

Mamie chèque. ce matin je demande à ma collègue responsable des recommandés et des transferts d'argent. elle ne s'en ets pas occupé hier. Ya de l'abus là. Ca fait une semaine que la vieille attend, alors qu'il ne faut que deux jours en temps normal. Donc la vieille s'y attendait. "On ne peut rien y faire". Philosophe en plus.

En passant à côté du grec, un gosse m'accoste en bégayant : "C'est bien facteur ?" Je lui ai dit qu'il y avait des côtés positifs. je lui ai demandé si il voulait le faire plus tard. Il se renseigne. Pareil à la cité d'à côté, les gosses m'ont demandé si je pouvais les prendre sur mon vélo, si je pouvais faire des roues avec.
Bref les gosses sont fascinés spar le vélo du facteur. Ils m'ont appellé "bob" pour me récompenser de leur avoir tranmis toutess ces précieuses infos. Les ingrats.

Je suis rentré au bercail à 14h20. Le temps de m'ocuper de mes recommandés et de tuer des lettres (77, le record n'est pa sbattu), je suis rentré chez moi à 16 heures. Alors que je faisais tout ça le petit rasta est venu me poser des quetsions sur "comment bien tuer une lettre" ce genre de choses %)
Moi mon casier Rebus déborde, et aujourd'hui n'ayant rien de prévu et sachant que j'allais finir tôt, je m'y suis mis. J'ai l'impression qu'il en reste autant qu'avant. C'est démmoniaque.

En allant déposer mon vélo au garage, j'ai vu le cataloguie "adam & eve" sur la position (attention le senfants, le vocabulaire va commencer à prêter à confusion) d'un de me scollègues, tant vanté par fami autre temps (vopus puvez vous rincer l'oeil sur http://www.adameve.com.fr). Je l'ai donc consulté. Tenues affriolantes (pour homme et femme, mais bon j'aime pa strop le style, en grand connaisseur, cf [26] je préfère la lingérie plus "classe"), divers ustensiles, (donc certains à tester selon moi, dont un espèce de cunnilingeur, un vagin artificiel, une pompe qui imite à la perfection une bonen pipe ou pour la curiosité un anus de black ^^), et des pornos. Qu'est ce que ça foutait là ????

Rentré chez moi, glace à la menthe, site de ma fac en panne, tant pis j'y vais quand même. la BU était fermé (jusqu'à mi aout), pas cool. Je me suis rabatu sur la bibliothèque de ma ville.

J'ai fait le tour du rayon presse. J'ai cherché una rticle du Courrier des Yvelines sur un mec que je connais peut être, qui serait aller à Matignon pour x raison. je l'ai pas retrouvé. Par contre je suis retombé sur "Bidulle, aide les vieux", qui fait parti du programme que j'ai essayé de vendre à Germaine pour qu'elle ait de la compagnie. j'ai donc appris que c'était pas bénévole ;-). Ca peut être une idée de boulot pour l'année prochaine (je commence à prévoir mes job d'été un an à l'avance... je vais mal finir).
Ensuite j'ai recherché Max Weber, Vernant, mais ça ne connaissait pas. je me suis balladé dans les rayons philo, socio, éco, administration, et essayer de faire cracher leur moteur de recherche, mais je suis rentré presque bredouille.

En conclusion... ah oui encore des détails à moitié croustillant. En retournant à la gare de ma fac, il s'est mis à pleuvoir, je sors donc ma cape de mon sac, je retire mes lunettes et mon bob pour passer ma tête dedans, je remets mes lunettes, je mets ma capuche et je ne sais pas quoi faire de mon bob (mon sac est sous la cape). Du coup je l'ai coincé dans mon pantalon. J'vais un espèce de bob qui dépassait de ma cape tranparente (genre capote). Déjà que j'ai une tête de b... , alors si j'ai un b... qui dépasse !

Trop crevé, longue journée, j'éditerai demain %)

Edit à 18h30, le lendemain:
Charles m'emmène en voiture. En arrivant au parking, je vois le jeune rasta (il n'a pas encoe de nom) qui fume sa clope. On papote un peu. Il a abandonné son bac STT, il veut faire éducateur. On parle des horaires, si on est en droit de se limiter à l'emploi du temps écrit sur notre contrat (8heures-13h45, la bonen blague) etc.
En ce début de mois (ou presque), tout un tas de collègues sont revenus de vacances, dont certains sont des nouvelles têtes pour moi (dont une beurette qui a l'air sympa).

Je suis parti à 9h45. Le ciel était gris, j'avais un peu froid.

Je passe chez un garagiste du début de ma tourné e(il y en a au moisn 3 sur ma tournée), il avait un recommandé. Il me balance en rigoloant qu'il ne me voit pas souvent (je laisse toujours la livraison dans la bôite). La première fois que je l'ai vu (et la dernière en date), c'était en [1] ou en [2]

J'ai fait la moitié de la cité de la pisse tout seul, puis Marion et ses deux copines ont débarqué en criant (comme d'hab). J'aurai eu un peu de répis. Et dire que maintenant je freine des quatre freins en arrivant, en me demandant si elles vont (gentiellement) me prendre la tête.

J'ai fait ma pose midi devant mon deuxième Dépôt, assis par terre comme d'hab. Une de mes collègues (bien conservée... ^^) me fait coucou, elle était en voiture, elle rentrait chez elle. Moi j'avais fait la moitié.

Plus tard, on m'a signé un recommandé d'un Z, qui veux dire "Ze ne sais pas écrire". Ca me fait toujours bizarre.

En rentrant, il y avait un courier de la Poste pour moi. Je me suis demandé ce qu'ils me voulaient. J'ai crû que c'était de la pub comme je pourrais en recevoir de la caisse d'épargne. Ou que c'était pour mon petit frère (qui vient d'ouvrir un compte courant chez eux). Ou bien encore qu'ils me faisait de la pub pour leurs services parce que j'ai un compte mail chez eux. En fait c'était ma paye.
J'ai gagné 70 euros en juin, et 1070 en juillet, soit 1140 net pour un mois, c'est réglo (c'est le SMIC quoi).

Je me suis contraint à acheter l'Huma, parce qu'il y avait un trailer depuis quelques jours sur leur saga de l'été sur les saisonniers. L'Huma, les gens qu'ils interviewent, sont soit du PCF, soit de la CGT %) Je l'ai lu sur mon trajet vers Paris

Je me susi rendu à l'institut de langue A.A.A (Association des Amitié Asiatiques), qui donne des cours de langues. pour l'été ils diffusent des films. Je comptais voir Old Boy (un des films favoris), mais ce fut (après maints problèmes techniques) Lady Vengence. Encore mieux, je voulais le voir aussi. Sauf que j'ai été déçu.

En sortant, j'ai filé directement chez ma copine. Ses parents ont quitté le domicile aujourd'hui (son père revient le lendemin, elle rejoint sa mère jeudi, et revient mardi, je vosu raconterai). On allait enfin pouvoir se voir en semaine. Je lui avait fait un petit "teaser cunilungus" dans le mail matinal. Elle ne s'est pas faite priée (on a parlé deux minutes quand même avant "Salut ça va ? Ta journée ? on baise ?" ^^).
Alors que je venais de commencer, le téléphone sonne : c'était sa mère. Tandis qu'elle lui parlait, et sachant que ça pouvait durer, je suis allé un peu l'embêté, ses seins, ses fesses, son clito, son vagin, (j'adore quand elle est debout) pendant ce temps là elle me masturbait (elle était dos à moi), tout en discutaillant avec sa mère. Une fois raccroché, elle était bien excitée (moi aussi tu me diras), il a fallu que je la preen en levrette sans autre forme de procès. Que c'est bon !
Ensuite j'ai fini de lui caresser le clitoris.

Après toutes ses émotions, on a put manger une bonne salade de riz (boursin, jambon cru, bambou (?) carottes). C'était bien bon.

Rentré chez moi via pied/train/pied, complètement vidé. je vous ai laissé deux mots, mais j'ai quand même surfé encore une heure après. Je suis incorrigible.

Une journée riche.

Qu'ai-je fait de beau aujourd'hui ? Je me suis levé une première fois à 6 heures, mais comme on n'était dimanche ça ne servait à rien ;-), du coup rendormi et de retour à 9 heures.

J'ai fait une recherche sur Google sur "Philosophie du droit du travail", ça n'existe pas : d'un côté c'est bien, ça veut dire que ça n'a pas été pensé avant, j'ai le champ libre, d'un autre où vais je trouver des infos ?

Du coup j'ai lu quelques pages de mon ami Hegel (beurk). J'ai butté sur le mot "beosin j'ai trouvé qu eça sonanit pas français. Habituellement ça me le fait quand j'ai pas exercé mon esprit l'été (la vacance ça s'appelle), mais là pourtant j'ai pas mal lu en juillet. Fin de la parenthèse.

Cette aprem, il pleuvait comme Doc qui pisse, du coup mon père m'a jeté chez ma copine. On a bien fait l'amour, c'était cool. Avant celà, je lui ai ofert le string assorti au soutien-gorge offert lundi, je lui ai rendu ses livres de cuisine (taxés avant que mes parents partent en vacances, au début du mois), j'ai ramené le CD des Ramones qu'elle m'a offert, on se l'est écouté. Plus trois photos de moi, imprimées sur papier photo (dont celle ci-jointe). Il ne lui reste plus qu'à trouver où les afficher.

Pur aujourd'hui c'est à peu prêt tout (il est 19 heures)

Hier :

Un numéro de la Revue Fiduciaire m'est passé entre les mains, special legislation du travail. Je viens d'aller un tour sur leur site web, il y a un peu rien. Je l'acheterai bien, mais faudrait que je puisse le consulter avant, voir si c'est dans mon délire ou pas.

N'ayant ni trié ni pris tout le début de ma tournée (soit 1/4), et ne m'ayant pas donné de recommandés, j'ai put partir à... 9 heures 15 ! Il faisait frais et tout, franchement trop bien, vraiment agréable de travailler à ces horaires, surtout quand on fini à 11 heures 15, à la supris egénérale de ceux que j'ai croisé, soit au boulot, soit en revenant ("Espèce de p'tite tournée va !" d'une de mes collègues, sur le ton d'un "p'tite bite", il a fallu que je lui explique que j'avais "triché" pour finir si tôt. "Et tu bosses sur la même tournée lundi ?" Elle a crû que j'avais fini mon contrat, et je laisserait dans la merde mon remplaçant sur ma tourné, ce qui se fait régulièrement apparememnt. Doc no pute).
A 10 heures j'avais fini le II, et en une heure j'ai fait III et IV.

Je me susi rendu compte que j'arrivai à réfléchir pendant ma tournée (contrairement à ce que j'ai put écrire précédememnt), sauf que j'ai du mal à me souvenir de mes pensées après coup.

Je suis donc passé au grec, il était fermé, la grille de l'entrée à moitié baissée. Hop je suis rentré. Il était au fond en train d'épucher des oignons. On a parlé du CAPES (et d'autres trucs dont j'ai oublié). On s'ets dit au revoir. Inchallah.
Le grec reste ouvert pendant son abscence, ses "ouvriers" l'ont réclamé. tant mieux, je em voyait mal mangé me ssandwitch fait avec amour tous les midis, déjà que je ne mange que ça le reste de l'année...

J'ai donc fini mon premire mois de boulot. I will survive. Par curiosité j'ai rejeté un eoil à mon contrat, je devrais ne bosser que 32h30 par semaine (pause repas inclus ?), alors que je tourne toujours à grosos modo 50 heures.

Le matin j'avais préparé un sac platique avec un t shirt propre, pantalon et déodorant (que mes parenst devaient embarquer en venant me chercher au boulot), mais en fait j'ai eu le temps de rentrer chez moi et prendre une douche.

Nous sommes donc allé sfêter l'anniversaire de ma cousine Coralie, 17 ans, et tout string dehors.
Petite anecdote : on n'était dans sa chambre, elle nous disait que tout été bien rangé pour une fois, et je lui dit "sauf ton tiroir qui déborde de soutien-gorges", "ah non c'est des strings". Bravo Doc, on sent tout de suite le connaisseur -___-
Ele a fait les grêves contre le CEP, contre la loi Fillon l'année d'avant.
- "Qu'ets ce que ça va être cette année ?"
- "La présidentielle" je dis
Et puis elle me sort
- "En tout cas je sais que je ne voterai ni pour Le Pen, ni pour Sarkozy."
Du coup on a parlé un peu politique et tout, et en bon sophiste, j'ai réussi à lui montrer que ses valeurs à elle s'était la famille (plus fort que l'amitié), que c'était les arabes qui provoqueraient la 3ème guerre mondiale, qu'il fallait tuer les violeurs et d'autres trucs, bref je lui ai montré qu'elle ferait un bonne électrice du Front. Faut lutter contre soi-même c'est le plus dur. Enfin elle est bien consciente que Sarkozy est quelqu'un de convaincant.

Une de mes tantes bosse dans une caisse d'assurance retraite, une autre, son ex-mari est coach, très interressant tout ça. J'ai donc essayé de brancher mes tantes sur "mais alors faudrait faire quoi pour que les années de travail ne s'allongent pas indéfiniment", difficile de répondre ;-)

Tout le monde a été surpris que je fasse un job d'été pendant deux mois. Qu'est-ce que ça a de si exceptionnel ? J'ai pas eu le temps de leur demander.

J'ai joué avec un pseudo BMX de mon petit cousin (10 ans). Il y avait des petites barres en fer fixées sur les roues arrières, ce qui permet de s'appuyer dessus. J'ai donc essayé de faire des roues arrières en étant dessus. Ca n'a pas loupé, étant en équilibre et bougeant le guidon pour le garder, la dernière fois en retombant, je me suis gamélé, la roue n'étant pas dans le sens du sol, je me suis mangé le guidon dans le ventre, et le sol dans la tronche (ou presque). Au final : une erraflure de 13 centimètrs sur le ventre, mais je me suis surtout niqué le poignet gauche. Ce matin au réveil la douleur remontait jusqu'à l'épaule -___-

Le soir, on m'a directement jeté chez mon amie Elodie, pour fêter son annniv ' (un mois plus tard). Ma copine portait un débardeur noir, et par dessus un truc noir transparent trop sexy, que je ne connaissais pas. Ca m'a donné des idées cadeau. On a mangé des crudités et du gateau.
Des amis m'ont ramené chez moi, couché après minuit.

Ozzy Osborne rocks

Edit : Faut quand même que je dévelloppe la partie croustillante. On a fait l'amour une première fois, j'ai joui très vite. Je l'ai tripoté. On s'ets endormi. AU réveil on a remis ça, généralme,nt je tiens longtemsp la seconde fois (et les suivante ^^, sau que j'avais denouveau eu envie de jouir. Du coup j'ai éjaculé, mais j'ai continué de lui faire l'amour. Plus je débandai plus je la pénétrai "sauvagement". j'ai réussi à parvenir à mes fins ;-)

Ci-contre, une illustration couleur de Detroit Music City, ne me demandez pas de qui ça parle

Trajet aller, au feu, ça claxonne, je me retourne, je distingue vaguement mon chef. En voiture (le coup classique).
Pour une fois j'arrive à l'heure, j'entends donc le phrase prononcée au micro "Il est sept heures et quart, il est temps de passer au tri". Je l'entends pas souvent =) Généralement j'arrive à vingt.

Avoir accès à la une des journaux, c'est bien. Aujourd'hui j'ai repéré un article du Figaro sur le chômage, là je vais le lire en ligne.

J'ai eu mal de dos jusq'à mon repas au grec. Merguez, et hop ça a disparu =)

On a chanté du Polnareff ce matin, Good bye marilou, et lettee à France. Charles est plus doué pour les aigus que moi.

Ce matin je suis retombé sur le chien sauteur, je mets du courrier dans sa boite, je vais à celle d'à côté (fin de l'impasse), puis je prépare le mode vidéo de mon portable, je m'approche, et il me refait le coup du chien sauteur. Sauf qu'au bout de 30 secondes j'entends "Vous faites quoi ?" C'était la propriétaire du chien qui ce demandais ce que je foutais là avec un truc à la main en direction de son caniche. J'ai essauyé de faire une apologie de son chien "j'ai ai jamais vu de pareil", et je me susi barré sans demander mon reste, de peur qu'elle vienne vraiment se plaindre....

Hier je n'ai pas vu Germaine, aujourd'hui elle était à sa fenêtre. Je monte, elle m'offre un petit pain qu'elle avait pétri elle-même. Il était encore brûlant. Ca se mangeait. Je lui ai dit que c'était bon. Elle m'a répondu que j'étais bien le seul à penser ça ;-) J'ai essayé de la brancher sur son boulot à la Poste, mais ça a été difficile, et je n'ai pas appris grand choise mise à part qu'elle a fait tous les jobs possibles à la Poste.

J'aimerai interroger les vieux sur "est ce que ça vauit vraiment le coup d'avoir bosser toute sa vie, d'avoir donner ses meilleurs années à son patron ?"

Ensuite je suis allé au grec. Le chef part en vacances demain, il tient à ce que je passe pour lui dire au revoir.
Il voudrait monter un site web montrant le nombre de civil tués par les américains depuis la création de leur pays (indiens, vietnam, corée, afghanistan etc.).

Cité de la pisse, dernier immeuble. j'étais juste avec Marion aujourd'hui (les deux autresé taient parties à Paris plage). On retombe encore sur le beauf d'hier. Il voyait ça d'un très mauvais oeil que je lui confie le courrier. Il lui a dit "Encore à trainer toi, tes parents doivnet être trop bourrés". Pauvre gamine.

Je n'ai pas récupéré l'argent pour mamie-chèque. Ce matin je me suis demandé si je devais en parler au responsable, mais finalement non. Tout à l'heure je passe devant chez elle, je me dmande si je dois sonner pour la prévenir, j'ai eu la flemme. Une fois que j'étais un peu plus loin, elle est sortie de chez elle, m'a interpellée, je lui ai dit qu'elle n'aurait pas son argent, du coup elle m'a dit "vous auriez put me prévenir".
Je repasse devant chez elle peu après, je dépasse sa baraque, hop elle ressort, me dit à nouveau ""vous auriez put me prévenir", là je prends un peu de temps pour lui dire que je n'y suis pour rien.
Elle m'a quand même proposé de l'eau, j'en avais plus mais ça me soulait d'accepter.

Je rentre, je reclasse mes recommandés, je vais ranger mon vélo, et en revenant à ma "position" il y a un papier sur ma table : une photocopie d'una vis de passage que j'avais laissé, avec un message (incompréhensible) écrit dessus. Un de mes chefs, Gaston me tombe dessus : "J'ai besoin de vous, je n'arrive pas à relire le numéro du recommandé que vous avez recopié". Des gens en ont beosin dans la seconde etc le coup classique. Il le tape sur son PC, mais le machin rame. Il change de pièce, c'est bon l'affaire est réglée.
Il ajoute qu'il s'occupera des chèques lundi, Ma vieille les aura mardi. Ca va pas lui plaire. Je compte sur mon pourboire quand même.

En rentrant, j'ai téléphoné à un de mes potes pour qu'on boive un coup, mais il n'était pas là. Je suis donc allé seul à la Défense. Arrivé à la gare je me rends compte que j'avais oublié ma carte imagin'R, qui me permet de voyager où je veux à paris et en région parisienne l'été. J'ai d'abord fait marche arrière, mais je me suis dit que ça vallait le coup que je prenne deux tickets, comme ça ma copine aura la fin de son cadeau dès dimanche (ensuite je la revois plus pendant la smeaine, elel part en vacances). J'arrive à la boutique, j'ai été surpris car il y avait du monde. Les filles, le vendredi quand elles finissent tôt, elles vont faire du shopping. J'ai galéré pour trouver le string assorti au soutien gorge violet que j'avais offet à ma copie lundi, ils les ont changé de place. Je passe en caisse et hop (je vous épargne ma réfléxion sur la carte de fidélité Orcanta, (j'ai vu la pub dans le courrier que je distribue) on n'est pas gagant en la prenant, à moins d'acheter un ensemble par semestre).
Et en sortant, je tombe sur Thierry, le meilleur ami de ma copine, qui faisait ses achats de cadeaux pour notre amie Elodie, à qui on fête l'anniv demain soir.
Je l'ai accompagné un peu.

Demain journée chargée. A midi faut que je sois dans la voiture familiale, direction un bled de banlieu pour l'anniv' d'une de mes cousines, ça veut donc dire que je ne vais faire que la moitié de ma tournée. Le soir, je vais aller à l'anniversaire d'Elodie (la copine). Je sais pas si je vais avoir le temps de rédiger mon blog demain.
Et donc je vais avoir du taff en plus pour lundi, mais faut que je finisse au plus tard à 14h30 (ce qui est jouable, c'ets ce que j'ai fait la semaine dernière), car je dois être à 16 heures à Paris pour une projo d'Old Boy avec un pote.

Dimanche, je em repose le matin, l'aprem je me dépense avec ma copine ^^

Une petite image que j'ai trouvé par hasard aujourd'hui, en souvenir d'hier.( faut dire aussi que je vais bientôt commencer à être à court de photos de moi).

Une voiture rouge ralentit à ma hauteur, puis s'arrête un peu plus loin, c'était ma collègue. Je l'ai interrogé sur ses boulots précédents : elle a fait de la livraison en moto (elle kiffe la moto appremment), bosser dans des cabinets d'avocats et bien d'autres choses. Jamais satisfaite, n'aime pas avoir un patron sur le dos. Du coup factrice ça va. Habituellement elle se lasse assez vite de son boulot, mais elle s'est rendue compte qu'elle vieillissait et qu'elle devait se "calmer", du coup elle ets mutée dans le sud, elle sera chef d'équipe à la Poste (au bout de 8 ans d'ancienneté).

Ce matin, j'ai l'impression qu'il y a beaucoup de boulot, et j'arrête pas de pouffer.

J'ai recroisé le jeune rasta ([7] il a des petites dread toutes fines), j'ai juste eu le temps de lui dire "Alors c'est ton premier jour ?". Je m'imaginai déjà en train de lui dire de fuire au plus vite, de ne pas signer le contrat à la fin de la journée etc. Mais bon ya le facteur argent =) On en reparle.

Mon chef vient à ma "position" (c'est le terme officiel qu'on emploi, alors que moi je dis "bureau". concrètement c'est la Position 26 ;-) ). Il a retrouvé mes lettres à réexpédié d'hier : parmis celles que j'avais bien fait (autocollant rouge devant, mar.. blanc derrière), il y en avait qui était réexpédiée à l'ancienne mode. En effet en fouillant dans mes lettres au rebus, j'ai trouvé des lettres à réexpédier qui s'étaient glissées là (en fait ya deux cases, une de rebus, une autre de réex', mais comme la première est pleine, je fais des couches façon mille feuilles). Vont pas être content les gens si je stocke leur courrier au lieu de leur réexpédier. Bref j'en ai pas trop parlé à mon chef (du genre, à ne pas dire "J'ai retrouvé dans mes rebus qui s'entassent depuis 20 jours, des réex, ça me faisait chier de retirer l'autocollant de devant de le metre derrière et mette le rouge en plus").
Et ce soir, mon chef était dans les parages quand j'ai mis du courrier à réexpédier dans les "caissettes" appropriés. Il m'a dit que sur les magasines et pubs embalés, y'avais pas besoin de mettre des autocollants rouges. Pffff.

Au passage, la banque postale recrute. Faut que j'en parle à ma copine et à mon père.

Une fois prêt à partir, je me suis occupé de mon vélo : Mon pneu arrière était faiblard, pour une fois j'avais pensé à ramener du matos (voyez mon deuxième vélo avec le guidon mal vissé, que j'ai jamais réparé). Quand je descendais d'un trottoir, je sentais la roue taper. Bref j'essaie de ggonfler , mais il y a plus d'air qui sort que d'air qui rentre. Heureusement quand j'avais crevé on m'avait conseillé d'aller au garagiste à côté. C'est parti mon kiki.
J'entre, je dis bonjour tout bien, un mec me montre vaguement la direction. Je décroche donc un machin, avec une aiguille pour mesurer (mesurer quoi exactement), une poignée en dessous (comme pour l'essence), et il y a un levier sur un tuyau à côté. Je branche l'embout, j'abaisse le levier, ça fait un rafus pas possible, l'employé me dit d'arrêter. Je réussi à peut prêt à couper, et il m'explique de loin que je dois tout faire avec la poignée genre pompe. Effectivement en appuyant fort dessus, ça gonfle mon pneu.
Ca allait mieux après.
Je commence donc ma tournée. Après mon premier arêt (à un cabinet médical), je me rends compte que mes recommandés sont dans mon sac à dos (normal), et celui-ci est resté... au bercail. Hop marche arrière. P'tain chuis light. (Au passage, j'ai oublié ma pompe sur mon vélo)

Aujourd'hui il faisiat un temps très moche, mais il n'a pas plu, il faisiat donc un temps agréable ;-)

Je me suis également rendu compte, mais trop tard, que j'avais oublié ma liasse de papier pour aviser mes recmmandés. Bon ça va, finalement il n'y a que deux lettres que je devrais me retaper demain, j'ai réussi à fourguer le reste de la cargaison.

En parlant de recomandé : en montant quelque smarches dans un immeuble, j'ai remarqué que mes jambe sluttaient. Ce soir, le ba sde mon corps était sans force...

Première grosse batterie de boîtes aux lettres, ça sonne, ça sonne.. merde c'est moi. Mince trop tard (le portable est dans mon sac à dos). Un peu après, ça resonne, je réussi à décrocher : C'ets ma mère qui me demande si c'est moi qui ait essayé de lui envoyer un MMS. Euh.. nan.
Ca m'a encore rappellé une fois pour me dire que la première fois ça avait laissé un message. Fous-moi la paix portable à la noix =)

Cité de la pisse : les trois gamines m'attendaient. Plus calme qu'hier, mais j'en ai mit une couche pour qu'elles soient encore plus assagies. Premier immeuble, ça se passe normal.
Deuxième, alors que je m'occupai d'un recommandé avec un gars, une femme sort, et commence à faire des remontrances à une des gamines : tu m'étonnes elle sait pas lire, et elle met les lettres au pif dans les boites. Je rassure la femme (qui est la mère de la meneuse).
J'avais un recommandé pour son fils en plus : problème, il n'habite plus ici, mais au quatrième immeuble de la cité de la pisse.
Quatrième immeuble : d'une un mec sort, il attendait son courrier, et enguele une des petits black parce qu'elle a craché par terre "C'est déjà assez dégueulasse ici, si tu veux cracher, faut ça dans ta cage d'escalier". Méchant. Du coup les deux gamines (la meneuse est partie manger, à son grand regret) ont fait profil bas et je me suis occupé de toute la distribuation. le mec se barre, les filles osent entrer et là une femem se pointent et les enguele en leur disant de ne pas s'approcher des boites aux lettres, genre c'est des voleuses de courrier. Bon ok.
Je retourne au deuxième immeuble, la mère m'ouvre. Donc le recommandé pour son fils, il bosse, c'est un chèque, je lui demande si elle est sûre qu'elle veuille signer, parce que j'ai pas (trop) le droit, elle me dit pas grave, et demande à son deuxième fils de signer. Zarb, ça sent l'embrouille. On verra bien (en plus elle est divorcée, et les mères divorcées, ça m'a déjà créé des ennuis, cf [8]).

A mon deuxième dépot, généralement je mange sur le trottoir, les pieds sur la route (parce qu'accroupi à côté de mon dépot, ça sent trop la pisse de chien). Les gens me regardeaient bizarre dans leur voiture =) Mais les flics ne m'ont rien dit =)

J'ai fait un arrêt au grec, il m'a branché sur les ZEP et les manques de moyens, qu'il ne fallait néanmoins pas découragé les jeunes du genres avec des phrases du type "Tu vois je suis bac+8, résultat je gère un grec". Enfin il me parle plus qu'on discute...

Rentré à 15h30, j'ai tué un chouia de courrier (une cinquantaine), et revenu à la maison vers 16h15.

Gouté glace, surf, lecture de Droit du travail, droit vivant, et j'ai écrit quelques mails à mes camarades de classe. Trop dur d'être moi =)