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~ La Gare de Voir ~
de Clafoutis

                   


C’est l’histoire de deux Trioxhydre épuisés dans le désert, après une longue marche les deux camarades ne voyaient toujours que du sable à perte de vue. L’un des Trioxhydre dit alors à son ami :

— Hé, tu crois en Arceus ?

Son ami grogna :

— S'il existait vraiment, on serait pas dans cette situation !
— Je pense pareil, répondit le premier.

Soudain, les deux Trioxhydre meurent. Pourquoi ? Parce que ce sont des hydres athées !






Si vous trouvez un contenu choquant cliquez ici :


Ceci est un message délivré par Clafoutisfic Inc.
Hello, suite à un problème technique je ne vais pouvoir poster le chapitre de Errare Humanum Est, désolé ! :'(
Je vais cependant pouvoir le poster dès demain matin lorsque je rentrerais chez moi. :D

Si vous avez des contestations ou autres objections à formuler, merci de bien vouloir me les communiquer à mon alter-ego via cette adresse :

Clafoutis_reclamations@hotmail.fr

Merci de votre compréhension ! :D
Article ajouté le Dimanche 30 Juillet 2017 à 13h57 |
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[Errare humanum est] Glossaire
[Je rappelle à titre informatif que le petit du glossaire est le glofaon, et que sa femelle est une globiche. ]

Yo !

Je me suis récemment rendu compte que je n'étais malheureusement pas le centre du monde, et que donc, les gens pouvaient me faire l'affront d'oublier les termes que j'invente pour ma fic. Et c'est pas gentil, bouh.
Donc, pour pallier à ça, j'ai décidé dans toute ma modeste magnificence de créer un glossaire regroupant les termes spécifiques de ma fic !

Oh, et je profite aussi pour répertorier les personnages et les lieux. Je sais d'expérience qu'il n'y a rien de pire quand on reprend une fic de ne plus savoir qui est qui.
En fait, j'aime bien les Visual Novel aussi, et dans les VN, il y a souvent un petit glossaire dans un coin. Du coup j'ai trouvé ça marrant de faire de même, surtout que EHE est très inspiré d'un Visual Novel, Utawarerumono ! :D
Donc, voici la bête !

GLOSSAIRE



Personnages



Eily


Une jeune orpheline, caractérisée par sa chevelure cyan, son large manteau grenadine et son sourire. Elle a passé toute sa vie dans un orphelinat isolé au sommet d’une montagne, en compagne de ses deux amis d’enfances, Nester et Athoo.
Il ne faut pas se fier à ses airs candides et innocents ; sous cette couche de douceur se cache une véritable fourbe, un poil sadique.
Elle est mystérieusement capable d’invoquer Caratroc sans avoir besoin d’Ishys.

Caratroc


Un Ensar sous la forme d’une étrange tortue rondelette à la coquille plus solide que l’acier. Il se défend principalement en crachant des toiles gluantes curieusement solide.
Il fait office de « conscience » à Eily, il est le seul à pouvoir la rappeler à l’ordre, même si ça ne fonctionne pas toujours.

Ifios


Le fils de Danqa. Bien qu’il ait vécu chez les bandits Agrios, ils ne partagent absolument pas leur valeur barbare, bien au contraire.
Il manie le cimeterre avec une grande dextérité ; une compétence qu’il a acquise au fruit d’un intense entraînement quotidien.
Complexant sur son frêle physique, il fait tout pour se donner l’image d’un homme fort. Toutefois, il est assez naïf et maladroit.

Tza


L’apprentie de d’Inam. Il ne faut pas se fier à son âge enfantin et à sa petite taille, sa force rivalise déjà avec les plus grands. Elle porte constamment une lame gigantesque dans son dos, qu’elle peut manier comme si c’était une plume.
Elle est très mature pour son âge, même si quelquefois, son caractère enfantin reprend le dessus.

Nester


Un adolescent orphelin, particulièrement idéaliste. Il rêve de devenir un chevalier au service du Vasilias – comme tous les garçons de son âge. Il est obnubilé par les Foréa et les Ensar.

Athoo


Une adolescente orpheline, ayant la particularité de semer la pagaille partout où elle passe. Dynamique et ardente, elle a tendance à foncer et réfléchir après, ce qui lui cause pas mal de soucis.

Mamie Losyn


Une vieille dame à la voix chevrotante, travaillant à l’orphelinat. Elle s’occupe de donner des cours aux enfants et confectionne des sucreries pendant ses heures perdues. Son chef-d’œuvre culinaire est le chari, une espèce de cube spongieux très sucré, dont l’intérieur est gorgé d’une confiture secrète.

Danqa


Le puissant Boss des Agrios. Un colosse de plus de deux mètres à la présence écrasante. Il est surnommé Danqa aux Griffes, à cause de son style de combat consistant à tenir deux cimeterres dans chacune de ses mains, lui donnant ainsi l’impression d’avoir des immenses « griffes ».
Il est également le père d’Ifios.

Sidon


L’homme de main de Danqa, possédant une balafre traversant son visage. Il n’est pas aussi imposant que son Boss, mais il est toutefois très déconseillé de se le mettre à dos. Généralement impassible, rien ne semble pouvoir perturber cette force tranquille.

Inam


La seconde Foréa Impériale, Inam la Guerrière. Elle possède naturellement une présence terrifiante, faisant d’elle l’une des personnalités les plus craintes de tout Prasin’da. D’autant plus que sa toute-puissance n’est plus à prouver, il n’existe pas un guerrier capable de rivaliser avec elle au niveau de la force brute.

C’est la partenaire de Tranchodon.


Termes spécifiques



Vasilias


Le Vasilias est l’empereur de Prasin’da. Il est considéré comme un véritable Dieu sur terre. Personne ne sait exactement qui il est, mais tout le monde reconnaît sa Toute-Puissance. Il existe depuis des centaines d’années. C’est également lui qui choisit les Foréa, en les fournissant un Ishys et un Ensar.

Foréa


Un Foréa est le nom donné à un possesseur d’Ishys. Un Foréa est généralement au service du Vasilias, mais il peut également choisir de rester entièrement libre.
Il existe actuellement cinq Foréa ; quatre Impériaux et un libre.

Ishys


Un Ishys est un gant béni par le Vasilias, permettant à son possesseur d’invoquer un Ensar.

Ensar


Un Ensar est une créature fabuleuse aux pouvoirs immenses.
( NDLA : Un Pokémon quoi ! :D
J’ai choisi de changer le nom, car le terme « Pokémon » ne me semblait plus approprié quant au lore de la fic)

Vasil


Le Vasil est la devise de Prasin’da. Le symbole du Vasilias, le Palais de l’Ambre, marque chacune des pièces. Il existe trois sortes de Vasil :
– Les pièces de bronze, valant 1 Vasil.
– Les pièces d’argent, valant 10 Vasils.
– Les pièces d’or, valant 100 Vasils.

Agrios


Les Agrios sont des bandits sévissant principalement au Nord-Ouest de Prasin’da. Leur repère se situe au beau milieu d’une chaîne volcanique très difficile d’accès.
Ils sont reconnaissables à leur turban marqué du sceau de leur clan. Violents et excessifs, ils n’hésitent pas à recourir à l’esclavage ou d'autres pratiques barbares.


Lieux



Prasin’da


Prasin’da est la région où se déroule l’histoire. C’est un lieu globalement verdoyant, bien que possédant plusieurs écosystèmes différents. Chaînes volcaniques - inactives -, déserts, forêts luxuriantes, océans... il y en a pour tous les goûts.

Stavros


Stavros est un petit village sans prétention. Sa seule particularité serait son orphelinat situé au sommet d’une montagne non-loin.
Stavros se trouve géographiquement au sud des montagnes Agrios, à l'ouest de Prasin'da, proche du centre.

Les montagnes Agrios


Il s’agit d’une chaîne de volcans inactifs, aux reliefs très escarpés, difficilement praticable sans avoir de carte précise des routes. Elles hébergent le camp des bandits Agrios.
Géographiquement, elle se trouve au nord-ouest de Prasin’da.

Aifos


Aussi surnommée la ville de la sagesse, Aifos est le fief d’Omilio, le quatrième Foréa Impérial.
C’est l’une des villes les plus prospère de Prasin’da, juste derrière Séoht, la capitale.
Géographiquement, Aifos se trouve au tout au nord du centre de Prasin’da.



___________________________________________


Et voilà ! Le glossaire sera évidemment régulièrement mis à jour, en fonction de l'avancée de la fic ! :D
Article ajouté le Jeudi 06 Juillet 2017 à 18h22 |
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Questionnaire de LuNain.
Allez, puisque j'ai décidé d'être sérieux dans la création de mes personnages, je me suis dit : " Hey ma gueule (oui je m'appelle moi-même ''ma gueule'' en privé), pourquoi tu f'rais pas ce fameux questionnaire ?! " , et je me suis ensuite répondu : " Grave poto ! Mais dis moi, t'as pas vu mes cachets ? Je commence à en avoir ras le cul de causer tout seul ! "

Voici donc, sous vos yeux ouverts (parce que s'ils sont fermés ça marche beaucoup moins bien du coup), des détails concernant ma nouvelle héroïne, Eily !
Attention toutefois, ça spoil un peu son caractère pour ceux qui voudrait le découvrir par eux-même. ( Je préconise donc la lecture des 2 premiers chapitres avant d'aller plus loin, mais bon, à vous de voir ! :D :D )


Elle est pas trop mignonne ?

1- Idée initiale sur le personnage (comment a-t-il été envisagé dans un premier temps ?)
Tout d’abord, je voulais un personnage vraiment féminin. Genre l’image même de l’innocence et du mignon, c’est un point très important par rapport à sa personnalité que je décrirai plus bas. J’ai tendance à faire des personnages principaux à peu prévisible je trouve, j’ai également voulu corriger le tire avec Eily.

2- Nom
Eily, je viens de le dire !
Notez que « je viens de le dire ! » ne fait pas partie de son nom.

3- Aime-t-il/elle son nom ? Pourquoi ?
Oui, elle l’aime, pour une raison que j’ai cité plus haut : c’est mignon.

4- 5 adjectifs pour définir ses principaux traits de caractère ?
Gentille, Joyeuse, Calculatrice/Fourbe, Intelligente, Espiègle.


5- Expliquer au moins 3 de ces adjectifs (causes de ces traits de caractère)
La base de tout est qu’elle est orpheline, alors elle a dû rapidement se trouver des moyens de « survie » :

– Joyeuse = Elle aime la vie, rien de bien compliqué. Elle trouve son bonheur avec ses deux meilleurs amis. Et puis, c’est bien plus fun d’être joyeux que d’être malheureux non ?
– Gentille = Si elle peut aider l’un de ses amis, elle le fera de bon cœur.
– Calculatrice/Fourbe = Eily réfléchit énormément à chacune de ses actions. Elle se sert également de ses facultés d’analyse pour piéger les gens, l’un de ses grands plaisirs secrets. Elle adore voir que tout se déroule selon ses plans.

6- Attribuer une couleur au personnage
Le cyan, bien sûr.

7- Trouver deux caractères physiques reflétant les deux adjectifs les plus différents l'un de l'autre parmi les 5 du troisième point.
C’est assez compliqué à répondre, mais il y a une chose qui résume assez bien Eily : son sourire.

Sincère et doux à un moment, il peut aussi être totalement faux et hypocrite à un autre. Si elle sourit, c’est soit parce qu’elle est heureuse et vous apprécie, soit parce qu’elle vous mène en bateau ou prépare un mauvais coup. Faites le bon choix.

8- Sujet(s) de conversation favoris ?
– Les Pokémon (appelé Ensar dans ma fic).
– L’histoire.
– Tout ce qui relève de la manipulation.

9- Automatismes, tics de langage ?
Elle sort des « Nyah » tout mignon (sisi, c’est mignon !) quand elle est surprise ou qu’elle joue l’idiote.

10- Style vestimentaire ?
Elle porte une robe blanche courte, un gros manteau rouge à manche large, et des grandes bottes marrons.

11- Famille ?
Elle est orpheline ! Je l’ai dit plus haut, vous lisez quand j’écris ? :/
Bah forcément quand t’as pas de famille, hein. Ceci dit, elle considère ses deux meilleurs amis comme étant son frère et sa sœur, et les adultes de l’orphelinat comme des parents d’adoption.

12- Relations à la famille ?
Si on compte sa famille « de cœur », très bonne.

13- Amis : Plutôt beaucoup de simples copains ou peu de bons amis ?
Elle n’a jamais vraiment eu l’occasion de rencontrer du monde, vu qu’elle vit dans un orphelinat isolé. Mais son genre serait plutôt peu de bon amis tout en ayant beaucoup de connaissances.

14- Animal favori (même si le personnage est issu d'une fanfic, c'est intéressant de se poser la question) ?
Les animaux sont présents dans ma fanfic, héhé. Sinon, tous les animaux mignons. Eily aime s’imaginer que sous ces apparences trop cute se cachent des âmes corrompues.

15- Estime de soi sur une échelle de 1 à 5 ?
4,5, elle ne se prend pas pour de la gnognotte.

16- Sortir du lot ou se fondre dans la masse ?
Se fondre dans la masse, bien plus simple pour tirer les ficelles.

17- Noir ou blanc ? (ou alors nuance de gris plus proche du noir ou du blanc ?)
Gris un peu foncé. Elle peut quand même être une sacrée garce quand elle le veut. Mais elle peut également être un ange envers ses proches (tout en leur faisant quelques crasses ‘‘innocente’’ de temps à autre.)

18- Façon de parler (familier, soutenu, suppression des négations, accent...) ?
Selon son interlocuteur, elle s’adapte toujours. Mais Eily préfère utiliser le registre courant.

19- Préfère rester chez lui/elle ou sortir ?
Sortir, elle considère l’extérieur comme son terrain de jeu. Bon, elle considère également l’intérieur comme son terrain de jeu mais l’extérieur est un peu plus grand, m’voyez ?

20- Capacité à mentir ?
Excellente. Elle serait même plus douée à mentir qu’à dire la vérité.

21- Importance accordée à la mémoire, aux souvenirs ?
100 %. C’est un maniaque des détails. Toutes les informations qu’elle récolte sont cruciales.

22- 3 choses importantes pour lui/elle ?
Son Caratroc (oui bon c’est pas vraiment une chose) et son manteau. Elle n’a que peu de possession en fait, du coup, hein, pas facile de s’attacher à du matériel.

23- Plus grande crainte ?
Difficile à dire, elle vit dans un cocon où il n’y a pas grand-chose à craindre. De façon général, elle craint d'être à court d'idée dans une situation qui exige une réponse immédiate.

24- Aversion envers une certaine catégorie de personnes ?
Ceux abusant de l’autorité et les silencieux qui ne parlent jamais.

25- Solitude ou compagnie ?
Plutôt solitude mais apprécie fortement la compagnie de ses proches. Toutefois, le fait qu’elle garde beaucoup de ses réflexions pour elle en fait quelqu’un de fondamentalement seul.

26- Profession ?
Manipulatrice.
Comment ça c’est pas métier ?!

27- Aime son travail ?
Elle l’adore.
Mais puisque je vous le dis que c’est un vrai métier !

28- Habitudes ?
Elle aime chantonner quand elle n’a rien à faire.

29- Objet(s) dont il/elle ne peut pas se passer ?
Son manteau.

30- Façon de rire ?
Elle possède un très joli rire doux et cristallin. Mais comme son sourire, il peut être blanc ou noir.

31- Intérêt pour le monde sur une échelle de 1 à 5 ?
4. Elle s’intéresse à quasi-tout.

32- Comprend le second degré ?
Évidemment, comment jouer sur le sens des mots et tourner les gens en bourrique sinon ?

33- Réaction devant un film triste ?
Les films n'existent pas dans son univers, mais elle peut pleurer devant une histoire très triste. Elle a quand même des sentiments la petite. Mais si l’antagoniste se révèle être particulièrement retors, elle peut également se réjouir d’une fin où ce dernier gagne.

34- Beaucoup de secrets ? / garde beaucoup de choses pour lui/elle ?
Elle garde quasiment tout. Toutefois, elle se confie beaucoup à son Caratroc.

35- Sait dissimuler ses émotions ?
Avec une grande efficacité. Toutefois, si elle assiste à des événements particulièrement marquants, elle aura du mal à se contenir.

36- Occupation de ses temps libres ?
Poser des pièges partout. Une fille adorable.
Oh, et discuter avec ses amis. On peut être retors ET avoir une vie sociale.

37- Apprécie un genre littéraire en particulier ?
Elle aime lire les romans en général, elle trouve que c’est un bon moyen d’en apprendre plus sur les comportements humains.
Après, elle s’intéresse à l’histoire, alors tout bouquin traitant de ce sujet est le bienvenu.

38- Temps avant de répondre au téléphone ?
Téléquoi ? Ça n’existe pas ça.

39- Heures habituelles de lever et de coucher ?
Elle se couche généralement assez tard et se lève tôt. ( Note de l’auteur : C’est un super-pouvoir que j’aimerais également acquérir ! :/ )

40- Accessoire(s) favori(s) ? (montre, collier, lunettes de soleil...)
Son putain de manteau, c’est la 3ème fois que je le dis !

41- Fume, boit ?
Elle a 15 ans :/
… oui bon ça ne veut rien dire, c’est vrai.

Non, elle ne fume pas et ne boit pas, du moins, elle n'a jamais eu l'occasion d'essayer.

42- Écriture ? (un peu penchée, peu lisible, en attaché, tendance à mettre des majuscules à tous les mots... ?)
A son image, fine et mignonne.

43- Tutoiement ou vouvoiement ?
Selon les circonstances, vouvoiement pour les adultes et tutoiement pour les autres en général.

44- Maladie, sur le plan mental ou physique / problème quelconque (vue, audition...) ?
Elle va parfaitement bien. Être fourbe et un peu tordu n'est pas une maladie. :/

45- Odeur favorite ?
L’odeur fraîche et apaisante de la nature. ( Non, ce n’est pas une princesse Disney.)

46- Ce qui l'énerve le plus ?
Bah comme dit plus haut, les abus de l’autorité.

47- Apprécie les enfants ?
Yep.

48- Faute qui lui inspire le plus d'indulgence ?
Elle adore voir les autres fauter car cela lui donne des informations pour plus tard. En revanche, si la faute de l’autre lui cause également du souci, elle est beaucoup moins indulgente.

49- Relations amoureuses ?
Amour = Faiblesse à exploiter. Et Eily ne veut pas être faible.

50- Principales motivations à ses actions ?
S’amuser. La vie est trop courte pour s'ennuyer.

51- Comportement face à une situation de crise ? Calme ou panique ?
Généralement calme, mais encore une fois, ça dépend de la gravité de la crise.

52- Plat préféré ?
Les charis. Ce sont des espèces de sucreries cubiques spongieuses fourrées à la confiture.



Voilà ! J'espère que ça vous a permis d'en apprendre plus sur Eily. Personnellement je l'aime beaucoup cette petite. ;D
Article ajouté le Mercredi 07 Juin 2017 à 09h07 |
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[Fic] Errare humanum est
Notez le TALENT de l'artiste qui use du latin comme un pro. C'est fou comme ça fait intelligent ce genre de langue morte, même quand on a rien à dire, et c'est pas Macron qui va dire l'inverse. Et la cerise sur le gâteau, ce titre est également le même que celui de l'article précédent, si l'on excepte la différence de langue. Et oui, tout était prévu, c'est ça, le TALENT. :D

Pour lire la fic, c'est par ici : Cliquez ici bande de gens très sympathiques


Donc voilà, un petit article pour fêter ma nouvelle fic avec une petite mise au point. J'avais promis que je posterais 1 chapitre par semaine.... mmmh... bon, j'avoue c'est trop dur pour moi. On va dire 2 chapitres par semaine, parce que voilà, c'est rageant à force. Et puis j'ai pas à me justifier, je fais ce que je veux. Et puis les promesses sont faites pour être brisées. (Si seulement les femmes pouvaient comprendre cela)

Bon, j'ai pas d'autres trucs spéciaux à dire en fait. La vérité véritable c'est que je fais cet article uniquement pour me faire un peu de pub sur la section Blog mais chut faut pas le dire. La vérité véritable est jamais bonne à dire (surtout aux femmes).

A ++ les gens ! :D :D :D :D
Article ajouté le Lundi 05 Juin 2017 à 10h42 |
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L'erreur est humaine.
 Hello les gens ! Alors, avant de poursuivre, je vais prendre mon bouclier et me cacher dans une tranchée. Voilà, je peux continuer à présent.

Alors, je vais commencer une toute nouvelle fic. OUI je sais, j’ai déjà plein de fic en cours inachevée. Mais j’ai une excuse très simple : Ornithorynque.
Je vous laisse quelques secondes pour vous remettre de mon excuse de génie digne d’un François Fillon sous Prozac.

C’est bon ? On va dire que oui. Donc, comme je l’ai dit dans mon précédent, le Visual Novel auquel j’ai joué a révolutionné ma vision d’écrire. Oui monsieur ! Révolutionné, j’ai dit, monsieur ! J’ose, moi, monsieur !

Du coup, j’ai décidé d’adopter une approche plus sérieuse dans cette fic. Une approche normale en fait, parce que je faisais vraiment la merde avant, écrivant au petit bonheur la chance, sans trop de plan sinon des idées vagues, en espérant que cela colle. Oui c’est pathétique. Oui je suis une merde. Oui j’assume. Oui j’aime Oui-Oui. Oui j’ai honte. Oui j’assume ma honte. Oui ça commence à devenir chiant.

Bref. Une autre de mes erreurs était de me lancer dans des trucs fleuves, avec une espérance de vie beaucoup trop longue. Ainsi, j’ai décidé que ma prochaine fic fera environ 30 chapitres et que ce sera le premier Tome d’une duologie.

Aussi, je compte prendre exemple sur mes camarades auteurs et stocker plusieurs chapitres en réserve avant d’en poster un. Et pour éviter que je dilapide tous mes chapitres en 1 jour Norua Style (Tu reviens quand poto ? :-( ), je vais me fixer à 1 chapitre par semaine. Comme ça, ça me donnera un côté qui me manque le plus : de la rigueur.

Donc voilà, c’est tout pour aujourd’hui les amis. Et n’oubliez, pas, l’important, c’est de rester Covfefe. #Trump4life
Article ajouté le Jeudi 01 Juin 2017 à 21h03 |
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[Visual Novel] Utawarerumono : Mask of Deception
(Notez que pour une fois, j'ai un titre d'article assez simple, ouaip, je me fais vieux.)


Tout d’abord : AAAAAAAAAAAAAAH !!! Pourquoi j'ai pas une machine voyager dans le temps ? Septembre me semble si loiiin !

Ceci étant dit, je peux véritablement commencer cet article.
Connaissez-vous les Visual Novel ? C’est un genre – principalement japonais – assez peu connu en occident, je dois l’admettre. Tout le monde connaît les Mangas et les Anime, mais les Visual Novel ? Nope. En gros, c’est un roman interactif, un « jeu » où le joueur se contente de cliquer pour faire avancer l’histoire. A mon humble avis, c’est l’avenir, tout simplement.
Je veux dire, sauf peut-être pour les accros de la lecture, un bouquin peut vite devenir ennuyant à force, surtout dans les passages un peu à vide.
Alors qu’un Visual Novel a plusieurs atouts pour pallier à cela :

– Les voix des personnages, c’est un plus non négligeable, surtout les changements de ton qui permettent de mieux appréhender les situations quelles soient comiques ou dramatiques. Et puis, n’avez vous jamais rêver d’entendre un personnage dire un truc genre : « Nnnkhgnhgff ! »  dans une scène comique ? En plus nombre de Visual Novel offrent la possibilité de répéter les phrases, et c’est super marrant d’écouter en boucle un cri difforme… si si, je vous le jure !

– Le skin des personnages. Du moins des personnages principaux. Ce qui permet de se faire une idée plus précise des héros.

– Le Background, pour mieux situer les personnages et ne pas avoir à préciser quand une scène change de lieu. Ce qui permet d'avoir par exemple dans une même scène qui se passe dans un lieu A, un passage qui se passe dans un lieu B sans que le lecteur soit perdu.

– L’OST. Évidemment. C’est la base de la base. Quoi de mieux qu’une bonne OST bien Epic dans un fight bien intense ou une triste mélodie cristalline pendant une scène tragique ?

Bref, tellement d’avantages. Après certain peuvent dire que tous ces éléments bloquent l’imagination. Ouais, c’est sûr que dans un roman on doit absolument tout forger dans notre esprit. Mais après, un Visual Novel ne donne pas tant de détails que ça. Je veux dire, dans une scène lambda, on voit qui parle, on voit où il parle, on entend ce qu’il dit, mais tous les petits détails propres à la narration ne sont pas montrées, donc la part d’imaginaire du lecteur reste présente. Elle est juste moins importante que dans un roman, mais beaucoup plus que dans un Anime / Manga / Film.

Bref, cette longue introduction pour vous « présenter » un Visuel Novel que j’ai fait récemment : Utawarerumono : Mask of Deception.

Je vous le dis simplement, si vous êtes friand de produit japonais et de lecture, c’est un Must Have. Je ne suis pas expert Vidéoludique, alors je ne vais pas faire une sorte de « review » complète, car j’en ai pas les compétences. Si vous voulez savoir de quoi ça parle, je mets un lien de VNDB à la fin de l’article, y a un synopsis qui résume tout ce qu’il y a savoir. Il faut peut-être savoir que c’est la « suite » du premier Utawarerumono, mais il n’est pas nécessaire d’y avoir joué pour toucher au deuxième jeu. Disons que l’histoire se passe dans le même monde, mais avec différents personnages. ( Même si quelques personnages du 1 apparaissent à un moment, une sorte de fan service pour les fans j’imagine.)

Honnêtement, ce truc vaut le coup. C’est juste tout ce à quoi j’aspire, en tant qu’apprenti écrivain.
De nombreux personnages attachants à l’extrême, chacun marqué d’une personnalité très forte sans pour autant submerger les autres. Des scènes SoL marrantes et légères, favorisant encore l’attachement que l’on peut avoir aux personnages. D’ailleurs, rendre des personnages marrants et amusants sans pour autant leur enlever leur aura charismatique est assez finement joué. Et à côté de cette légèreté, on a un scénario sérieux, tragique, intense, poignant. J’ai encore le final en tête, et je crois que je vais rester en Post-Visual Novel dépression un bon moment... :/

Bref, j’ai acheté ce VN vendredi, et je regrette pas d’avoir passé tout mon WE jusqu’aujourd’hui dessus. Lire une telle qualité de scénario m’a réellement fait requestionner mes propres compétences. Je veux dire, quand on voit comment tout est extrêmement bien ficelé, que de scènes qui semblent juste anecdotiques font ensuite écho à des graves évènements futurs, que la narration arrive à rendre de longues et nombreuses scènes SoL amusantes sans qu’on en soit lassées… bref, c’est du travail de pro. Ça fait véritablement comprendre que l’écriture d’un scénario ça se fait pas au petit bonheur la chance, y a un réel et profond travail derrière tout ça.

Donc, je n’ai pas spécialement cherché à convaincre, mais sérieux les mecs. Si lire ne vous dérange pas et que vous avez les moyens de jouer jeu, foncez. C’est d’la ballz.


Je vous laisse donc le lien VNDB : https://vndb.org/v7721

Et pourquoi pas l’Opening du jeu ? : https://www.youtube.com/watch?v=eepqYAoLkGc

Voilà, je tenais à vous faire part de ce jeu qui m'a bouleversé ce Week-End. Et surtout, en parler me permet de faire le "deuil" de ce jeu... jusqu'au 5 septembre où la suite sortira !

.... ah, j'ai peut-être oublié de dire que le jeu est en anglais (avec voix japonaises). Bon après,sachez que j'arrive à lire alors que j'ai à peine le niveau collège en anglais. Donc faut pas avoir peur. :D
Article ajouté le Lundi 29 Mai 2017 à 17h55 |
5 commentaires
Tour et retour sur l’évaluation d’Éloïse

Nan en fait je vais pas faire le tour, c’était juste pour le jeu de mot avec retour. En fait je ne sais même pas ça veut dire quoi « faire le tour » sur une évaluation. Ouaip, je raconte de la merde parfois. Et que le mec qui s’apprête à écrire « lol, t’écris toujours de la merde, par parfois ! xD » corrige tout de suite son commentaire, car il a fait une faute de frappe.

Bref bref bref, revenons au centre du sujet, vous savez que ce n’est pas mon genre de tourner autour du pot pendant des lignes et des lignes. D’ailleurs, comme preuve, je n’ai pas la ligne. Faut dire que c’est pas avec mon alimentation spécial graisse que je vais la garder, hein. En plus comme je suis en vacances – et donc en permanence à côté du frigo – bah c’est pas gagné.

Bon, je vois déjà les yeux qui se lèvent là, donc je vais vraiment vraiment parler de l’évaluation. Sinon on va encore dire que je tergiverse trop… donc, c’est là que ça commence vraiment. Au passage, je vais également m’adresser à Maxime vu que c’est un peu mon évaluateur :D
Attention aux yeux * teasing de pro *

Déjà, j’ai qu’une onomatopée à dire :

« AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!! »

Grosso modo, j’ai hésité à rajouter des « A » mais c’est difficile d’évaluer, donc permettez-moi une certaine approximation.

14,8/20. Moui. Bon je ne cache pas ma mini-déception, surtout vu le temps passer sur l’OS et les commentaires en dessus.

En tant que rebelle dans l’âme, il y a évidemment certains points avec lesquelles je ne suis pas d’accord. Comme la remarque sur les adjectifs devant le nom de l’héroïne. C’est le corps du texte, j’ai presque envie de dire. Éloïse est une fille perdue, qui a toujours besoin de se raccrocher à quelques choses, que ce soit son nom ou une valeur. C’est ça ce que représente l’adjectif avant son nom, c’est quelque chose d’essentielle dans son personnage. C’est pas juste un délire pour le fun. D’ailleurs, c’est un peu expliqué au milieu avec une réplique d’Ellen et à la fin.

Je peux admettre que ça peut alourdir le texte à force cependant. Mais à l’écriture je n’ai pas vraiment eu cette impression en fait. Après, comme j’ai dit plus haut, c’est un élément essentiel au personnage d’Éloïse donc quoi qu’il arrive j’aurais quand même écrit de cette façon.

J’aimerais toutefois savoir quels adjectifs sont mal choisis selon toi Maxime. Car lorsque j’étais à court d’adjectifs, j’ai changé de stratégie. Au lieu de prendre des adjectifs au premier degré, j’ai cherché les doubles sens, en fonction des points de vue, des ressentis profonds des personnages… bref, je crois avoir une explication pour quasi tous les adjectifs, donc voilà :/

D’ailleurs, je savais que l’intrigue n’avait pas de gros bouleversements / intrigues, ni une grande originalité au passage. C’est pour ça que j’ai un peu tout miser sur la manière de tourner l’histoire, en y rajoutant ma sauce, l’humour, les double sens, et tout. Enfin, je crois que c’est la dernière fois que j’écrirais une histoire du genre d’ailleurs. C’est… un peu chiant à écrire, sans grande action. La prochaine fois, j’écrirais un truc comme « Le Père de Noëlle », avec plus de tension / suspense.

Ensuite, on me reproche de ne pas avoir fait évoluer le couple d’Ellen et Éloïse. Eeeet c’est vrai. J’avoue y avoir pensé au début mais bon, finalement j’avais un peu hâte de conclure. Et puis j’ai l’excuse toute trouvée : le but du OS n’est pas de faire évoluer un couple, mais qu’Éloïse puisse enfin se débarrasser de son passé pour envisager pleinement l’avenir. Ce qu’elle fait, à la fin, une évolution marquée symboliquement par le fait qu’elle ignore les richards de son ancien lycée. Le couple, c’est l’avenir à construire.

Boon, sinon je n’abandonne pas d’avoir un OS au panthéon UN JOUUUUUUUUR (mon 18 viendraaaa ). Je ne sais pas encore ce que je vais écrire maiiiiiis, ça viendra. Sûrement. Peut-être. Bah j’ai encore du temps avant ma mort. Enfin je crois. Je ne sais pas exactement quand je vais mourir en fait. C’est vrai que je suis jeune mais un accident est si vite arrivé. Enfin, globalement je suis safe, parce que si on regarde les causes de mortalité chez les jeunes :
– Accident de la route : je suis trop débile pour avoir le permis.
– SIDA : haha, je risque pas de l’attraper celui-là, lol.
– Suicide : bah je vais pas me tuer si j’ai pas un OS au panthéon, nanmélol.
– Infections respiratoires et toutes autres merdes du genre : bon là y a moyen, vu mon hygiène.

Donc, globalement, y a que les maladies qui peuvent me faire chier. Bah, je pense pas non plus attraper un truc foudroyant. Donc on va dire qu’il me reste au moins 10 ans à vivre avant de crever d’un truc sale, y a large le temps.
Après possible aussi que je me prenne un truc avec l’actualité terroriste du moment et tout. Bon là j’y peux rien par contre. Mais en cas de conflit je pense avoir une bonne capacité de survie, car je suis du genre super lâche à passer automatiquement du côté de l’ennemi s’il gagne et de fuir très loin discrètement quand ça commence à sentir le roussi. Ça aide d’être un connard, sisi.

Bon bah, là, j’ai vraiment, vraiment plus rien à dire. Je pourrais encore raconter des conneries encore longtemps mais bon, il faut savoir doser les bonnes choses.

++ les gens !
Article ajouté le Mercredi 10 Mai 2017 à 10h20 |
3 commentaires
[SPOILER] Ma fichue Éloïse... (mais que j'aime bien quand même)
[ ATTENTION MECREANTS ! Cet article contient de GROS spoiler sur mon OS : Éloïse ]


Helloooooo les gens !

Sous le bon conseil de Gestalt je suis effectivement allé dormir et ça va un peu mieux. Faut dire que j’étais mentalement un peu instable à force de rester sur ce OS… particulièrement épuisant à écrire. Pourtant il est pas si long que ça. ‘fin, il fait quand même 42 pages. Mais pour 1 mois d’écriture, 42 pages c’est pas grand-chose, faut se l’avouer. Alors pourquoi c’était aussi long ?

Alors y a plusieurs facteurs à prendre en compte. Il faut savoir que c’est fourbe un facteur, c’est le genre de salaud à … ah zut, j’ai déjà fait la blague – en est-ce une d’ailleurs ? –. Bon faut croire que je vais devoir rester exceptionnellement sérieux pour cette article. Donc, je disais,

Facteur N°1 :

C’est la première fois que je tente ce genre d’écrit qui s’attarde très longuement sur la psychologie d’un personnage. Alors oui, j’ai déjà fait des OS centré sur un personnage, mais ce sont des OS où les personnages n’évoluent pas – ou très peu –. Genre dans ‘‘Une famille heureuse’’, c’est très psychologique, mais la pauvre Lucia ne fait que subir, il n’y a aucune avancée dans sa psychologie, elle reste une victime jusqu’au bout.
Dans ‘‘Une famille heureuse’’, le but principal de l’auteur était – paraît-il – de faire ressentir une profonde impression de malaise au lecteur, rien de plus.

Bref, mais je suis là pour parler d’Éloïse, moi. Donc pour Éloïse, j’ai choisi de base un personnage détestable. Le genre de gamine qu’on aurait envie de baffer dans la seconde. Pour le coup, je me démarque déjà de ‘‘Le père de Noëlle’’ où j’avais choisi dès le départ un duo assez attachant. Dans ‘‘Éloïse’, niet.

Mon job, dans ce OS, était de faire lentement évoluer cette méprisable Éloïse en une fille assez attachante. Et ça, c’est pas facile. Je veux dire, c’est simple de décrire une situation, mais la faire évoluer, c’est une autre histoire. Comment le faire sans que ce ne soit pas trop forcé ? Sans pour autant être super redondant non plus. Faire le lien entre le début de l’histoire et la fin était éreintant.

Et je parle même pas de la petite romance à la fin. Là, c’était terrain inconnu. Hé, j’uis pas M@xime moi ! Et j'avais avoir de gros gros doutes sur la réalisation de cette "romance".

Facteur N°2, parce que 1 n’était pas assez :

Hé oui LunElf (spécial dédi poto), c’était très très très très très très galère pour trouver un adjectif différent à chaque fois pour décrire Éloïse. Si j’étais aussi lent dans l’écriture, c’est bête, mais c’est aussi à cause de ça.

Pour info, si vous ne l’aviez pas remarqué, je décris Éloïse à chaque fois que j’écris son nom. C’est une règle que je me suis fixé. Je résume pour faire plus simple :

– À chaque fois que j’utilise le prénom de l’héroïne, je dois mettre un adjectif (ou truc qui y ressemble) devant. Ex : La fière Éloïse, la jeune Éloïse, la hautaine Éloïse…

– L’adjectif DOIT être à chaque fois différents. Si j’ai dit ‘‘La fière Éloïse’’ à un moment X de la fic, je ne peux plus dire ‘‘La fière Éloïse’’, je dois tourner ça autrement, genre ‘‘L’orgueilleuse Éloïse’’. Vous imaginez qu’au bout de 20 pages, je commençais sérieusement à bloquer.
Pour info, le prénom ‘‘Éloïse’’ a été utilisé 301 fois dans le OS.

Je fais quand même quelques exceptions à la règle, que voici :

– Dans un dialogue, quand un personnage interpelle l’héroïne, je peux laisser ‘‘Éloïse’’ dénouée d’adjectif. Bah oui, ça ferait bizarre quand même.

– Je m’autorise à dénuer son nom de famille d’adjectif également. Genre au lieu de me casser la tête, je dis simplement ‘‘la Einsford’’. J'ai utilisé ce Joker 185 fois.

– Au début du OS, j’ai écrit ‘‘la brillante, intelligente, et fière Éloïse Einsford’’. Je considère que seul ‘‘Fière’’ compte car c’est syntaxiquement le plus proche de ‘‘Éloïse’’. ‘‘Brillante’’ et ‘‘Intelligente’’ restent donc encore utilisable. Oui, c’est de la triche mais pour ma santé mentale, c’était mieux.

Donc voilà, ces règles ma foi un peu casse-couille m’ont sacrément enquiquiné. Mais comme j’avais déjà bien avancé avec, bah j’ai décidé de poursuivre jusqu’au bout. Surtout que cette abondance d’adjectifs à un sens au niveau du scénario, hé oui.

Facteur N°3, parce que jamais 2 sans 3 :

Bah si en fait, on peut faire 2 sans 3.


***

Voilà donc les raisons de la lenteur. Bon y a aussi la flemme mais ça c’est tellement évident qu’il est inutile de le rappeler.

Toutefois, je tiens à rajouter quelques détails, à l’aide d’une petite rubrique (qui sera la seule de l’article d’ailleurs).

Ce qui aurait dû se passer !


Notez le point d’exclamation absolument dispensable.

Vous souvenez vous de ‘‘ Le père de Noëlle’’ ? Si non, inquiétez-vous, parce que j’en ai parlé un peu plus tôt. Bref, j’avais fait évalué ce OS et j’ai eu… 17/20. Pour moi qui rêve d’intégrer le Panthéon (un jour !) bah c’était un peu rageant. Du coup j’avais dit que j’allais écrire un OS pour le nouvel an, mais je ne l’ai jamais fait. J’ai toujours été un politique dans l’âme.

Hé bien en fait, ‘‘Éloïse’’ était ce OS. À la base, l’histoire devait être on ne pouvait plus simple. Éloïse, la fille d’une riche famille désormais ruinée, fait chier son monde. Le point culminant du OS aurait dû être le moment où son père lui ‘‘offre’’ le bracelet – qu’elle va violemment rejeter – et l’OS aurait dû se conclure sur Éloïse qui décide de travailler pour acheter à son tour un cadeau à son père. Point.

Sauf qu’en fait, c’était trop simple justement et j’arrivais pas à faire un truc satisfaisant avec ça. Du coup j’ai mis le projet en pause, jusqu’à il y a presque un mois.

Je ne me souviens plus de mon état d’esprit au moment où j’ai repris l’écriture. Mais en tout cas, j’étais plutôt inspiré, car j’ai écris les premières pages d’une traite pendant un ennuyeux TD à la fac. Ne faites pas comme moi les enfants.

En fait, écrire au fil de l’histoire est sans doute encore l’une de mes spécialités. Edward, Timothée, Armond, Julia, Vérane et même Ellen… peut-être que ces personnages vont ont paru complets ou intéressants, mais dans les faits, ils ont été créés sur le moment. C’est un truc que je fais beaucoup, je crée un personnage comme ça, et je me triture l’esprit ensuite pour lui donner un rôle plus tard.
Donc, si vous avez bien suivie, les intrigues présentes dans le OS se sont rajoutés les une après les autres… et à moi de me démerder pour que ça reste cohérent.

C’était d’autant plus chaud que j’ai pris du temps à écrire, pour les raisons citées plus haut + flemme et examen. Du coup, pendant ce temps énormément (enfin un peu) d’idées m’ont traversé la tête et ont par conséquent complexifié le scénario.

Voici donc une liste des choses qui aurait dû se passer mais que finalement non :

1 ) Vérane aurait dû être l’antagoniste. Je sais ce que vous me demandez par télépathie au moment où j’écris ces lignes (vous êtres décidément très forts) : Pourquoi ?
Hé bien c’est simple en fait. Éloïse est une élève brillante, extrêmement intelligente, qui intègre un lycée somme toute assez modeste. De ce fait, du point de vue de l’établissement, elle constitue une très bonne affaire. Toutefois, elle se rapproche peu à peu d’Ellen, une fille qui elle est loin d’avoir de bons résultats – ni même des résultats tout cours en fait.
De ce fait, le principal et supérieur de Vérane, qui craint qu’Éloïse bascule du mauvais côté à cause de sa nouvelle amie, va contraindre Vérane – la professeure principale d’Éloïse et d’Ellen – pour qu’elle mette fin à leur relation.
Booon, c’est un peu tarabiscoté mais dans ma tête ça sonnait bien. Mais je n’ai pas inséré ce scénario dans le OS parce que :

– Trop chelou à mettre en place.
– Ça aurait fait 50 pages en plus.

Notez également que du coup, le personnage du principal n’est pas apparu. Bien fait pour ça gueule, il est pas sympa en plus.


2) Un autre personnage devait faire son apparition à la fin, une espèce de noble / richard, qui était la coqueluche de l’ancien lycée d’Éloïse. Vous l’avez sans doute deviné, il devait représenter le passé d’Éloïse. Sauf que finalement, j’ai remplacé tout cela par une petite scène à la fin, où elle groupe un groupe de riches. Pourquoi ce choix ?

– Idem que l’autre, trop long. Pour pas grand-chose en plus.
– Trop caricaturale. J’ai un peu trop tapé sur les riches dans ce OS je trouve, inutile d’en rajouter, surtout que je n’aime pas spécialement stigmatiser une classe sociale.
– Ça aurait été un personnage que je ne pourrais pas développer comme les autres, donc j’aime pas.

3) Ellen et Armond Einsford étaient censés se connaître. L’idée était que Armond était concierge dans l’immeuble d’Ellen et que ce serait lui qui aurait demandé à Ellen de s’occuper de sa fille.
Pourquoi j’ai pas intégré ça finalement ?

– Flemme.
– Trop chelou à mettre en place (le retour). Ça aurait supposé une discussion entre Ellen et Éloïse à ce sujet, et connaissant cette idiote de Einsford, elle serait partie dans un délire drama genre Ellen n’est avec elle que parce que son père le lui avait demandée, ce n’était pas sincère, toussa… bref, chelou ET relou.

4) Un épilogue, montrant Éloïse quelques années plus tard. Où elle travaillerait avec Edward qui a décidé d’arrêter son travail au Centre Pokémon pour devenir un vrai toiletteur, d’ailleurs, Vérane était également censée y travailler.
Mais Clafoutis, pk ta pa mi ds l’OSSSSS ??? (Oui, faut croire que j’ai pas assez dormi, j’ai des rechutes)

– Le personnage d’Edward n’est pas assez développé. En fait, j’aurais voulu le développer un peu plus, son passé et tout… mais j’ai pas eu le temps. Et surtout, je ne savais pas comment parler longuement d’Edward sans trop m’éloigner d’Éloïse qui est quand même censée rester au centre.
Or, sans ce développement, difficile de comprendre pourquoi Edward quitte le Centre Pokémon.

Ce point me permet de passer à la seconde rubrique… ( quoi, j’avais dit qu’il en aurait qu’une seule ? Vous m’avez cru ? Rho les naïfs.)


Ce qui s’est passé mais dans le silence !



Donc, vous l’avez compris, je parle ici d’éléments qui existe dans l’univers de l’OS mais que je n’ai pas jugé bon d’en parler. En fait, ça concerne principalement deux personnages : Timothée et Edward.

1) Timothée. Un personnage assez étrange n’est-ce pas ? Il est décrit comme banal, simplet, un grand dadais. Pourtant il est riche et n’a pas l’air de travailler beaucoup (on le voit flâner dans le jardin à un moment où Éloïse et Ellen bâchent un cours).

On apprend à la fin son véritable métier « Artiste à tout-faire ». C’est pas spécialement éloquent non plus. Alors, que fait-il dans la vie ? Tout et rien. Ouais c’est pas précis, je l’admets. En gros ce type est un artiste dans toute sa splendeur. Il joue des pièces de théâtre (le costume de Nostenfer et le faux buisson vient de lui), il est peintre (les taches de peintures sur son T-shirt et son Queulorior) et globalement, il aime une chose par-dessus tout : La liberté. Ce type ne jure que par la liberté et fait globalement ce qu’il veut de sa vie. Il adore aussi se mêler des histoires des autres, tout en les aidant.

Son argent vient principalement de la vente de ses tableaux et des pièces qu’ils jouent toujours avec brio. C’est d’ailleurs un type assez connu dans les gens du milieu de spectacle et que beaucoup de troupes aimeraient avoir.

Donc voilà, vous en savez un peu plus sur Timothée, l’Artiste à Tout-Faire ! Passons au second personnage…

2) Edward. Encore plus étrange que le premier, notre émo dark préféré n’a pas toujours été celui qu’il est aujourd’hui. Quand il était gosse, il était toujours tiré à quatre épingles, avec des parents aussi sympathoches que Godzilla. Mais l’âge rebelle arrivant, Edward eut envi d’un peu plus de liberté. Et pas de chance pour lui, c’est à ce moment qu’il rencontra Timothée. Un type on ne peut plus libre, même lorsqu’il était adolescent.

Timothée va apprendre à Edward de vivre pour lui-même, d’exprimer ce qu’il est réellement, au lieu d’obéir comme un toutou à ses parents. Et pouf, le Edward de maintenant commença à naître.

Au fait, si Edward travaille au Centre Pokémon, c’est uniquement parce que ces parents l’avaient obligé de faire des études de médecine. Edward commençait à se défaire de l’emprise familiale mais pas suffisamment pour oser faire d’autre études.

Une fois adulte, il a tout de même réussi à faire vivre son rêve de toiletteur en aménageant son cabinet que Centre Pokémon mais au fond, ça ne le satisfait pas tellement. Ce qui explique pourquoi dans l’épilogue que je devais écrire, Edward à son propre salon de toilettage.

Voici donc un peu plus d’éléments sur Edward !

Bon, je pense avoir tout dis, mais si vous avez des questions sur le OS, hésitez pas, je n’ai rien à faire de ma vie de toute façon. \O/
Article ajouté le Mardi 25 Avril 2017 à 15h39 |
5 commentaires
rc dexvtà); bhygctvhyjuà)=ybbbbbbbbbbbbbh-èp_lyèk-t vcrt-è_çi *=oà,;$
Oui, pour info, j'ai vraiment roulé ma tête sur le clavier pour le titre. On remarque quand même que le "b" est dominant, c'est sans doute parce que mon gros nez est aligné avec la touche. C'est dingue l'anatomie.

Donc un message assez inutile pour dire que j'ai ENVIFNFEJZFLNGFEJNOPEGNOGHEZOP terminé mon OS. Il ne me reste que la putainfeaojnfaeoinge de relecture, ce qui risque d'être sacrément chiantojfeopjfepojef^pef car déjà, je suis un peuuuuuuu à bout au cas où vous ne l'auriez pas remarquérpojea poja mais aussi parce que ça fait 42 putainonelknef de pages. Bref, j'vais quand même essayer de poster ça ce soir. J'uis quand même assez content d'avoir fini ce tzpojeihfpoe d'OS car ça commençait sérieusement à me courir sur le haricot, pour rester putain de poli.


Sinon, n'oubliez pas d'aller voter pour ceux qui le peuvent ! Hé oui, les articles de Clafoutis c'est aussi un appel au bon devoir du citoyen, sisi.
Article ajouté le Dimanche 23 Avril 2017 à 13h59 |
1 commentaire
Soyons bref.
Yo les gens, alors vous vous demandez certainement qui je suis. Je ne vous en veux pas, depuis le temps que je n'ai rien foutu, c'est normal que vous m'ayez déjà oublié. D'ailleurs, je me suis moi-même oublié...

Certains d'entre vous - qui n'ont rien à faire de leur vie - se sont peut-être questionnés sur le pourquoi de mon absence. Hé bien en vérité, il y a tout plein de facteurs à prendre en compte. Il faut savoir que c'est fourbe un facteur, c'est le genre de salaud à laisser un avis de passage alors que t'es chez toi. Moi je dis que c'est l'ennemi N°1 de l'humanité mais personne ne me croit.
Le pire c'est qu'ils Osef total de tes colis, c'est à se demander s'ils n'organisent pas des combats de facteurs dans leur cave avec les colis comme seule arme autorisée.

Enfin, après, il faut se demander si un colis peut-être considéré comme une arme. Légalement non, mais en y réfléchissant, tout peut-être une arme, non ? Même un shampoing. Un coup de shampo dans les yeux et j'vous jure vous faites moins les malins, les agents de sécurité dans les aéroports le savent bien, c'est pour ça que c'est interdit. Hé oui, on est en sécurité nulle part. Que ce soit avec une pointe de stylo, un caillou qui traîne ou un album de JUL, n'importe qui peut envoyer n'importe qui d'autre en enfer.

Après, je dis enfer, mais perso, je pense pas que ça existe. Enfin, plus précisément, je ne pense pas que la conception de l'enfer "généralement acceptée" - c'est à dire l'endroit tout pas beau avec le Diable tout méchant - existe. Si vous demandez mon avis, ce que je sais que vous ne faites pas mais je suis à 10% facteur alors j'Osef de vous, je pense que l'enfer c'est simplement là où habite le Diable, point. J'trouve ça assez dégueulasse de médire ce lieu à ce point. Je veux dire, vous connaissez le Diable, vous ? Vous êtes déjà allés en enfer ? Non ? Bah alors vous la fermez. C'est pas parce que c'est marqué dans un bouquin que c'est moche et puant que ça l'est. De même, c'est pas parce que dans ce même bouquin on dit que le Diable est moche et puant qu'il l'est. Faut toujours connaître les gens avant de juger, et pas se baser sur des préjugés. Si ça se trouve, c'est un type très sympa en fait, peut être pas obligatoirement certes, mais rien que le fait que la perspective est possible rend le jugement arbitraire obsolète.

De toute façon, de manière général, tout jugement arbitraire est obsolète. Car il se fonde sur des généralités qui de base sont erronées. Ce que je veux dire par là, c'est que notre société tente de tout mettre dans des petites cases. Y a les prof, les chômeurs, les avocats, les boulanger, les facteurs, les riches, les pauvres, les racistes, les Fillon, etc.
Sauf que les petites cases empêche de voir l'individu. D'un autre côté, il serait extrêmement complexe de s'intéresser à chaque individu dans son individualité. Déjà qu'on a du mal à se connaître soi même, demandez pas de connaître les chais-pas-combien de parasites qui vivent à côté. C'est une sorte de paradoxe, on a besoin de petites cases, mais en même temps, elles nous nuisent. C'est un sujet assez compliqué à résoudre en fait.

Au fait, en parlant de sujet compliqué à résoudre, j'ai fait y a pas longtemps un examen sur Rimbaud et putain, ce mec fait chier. Comment il veut qu'on nous, stupides créatures du 21ème siècle abruties par les média, comprenons ses messages intra-extra-explicito-implicite ? Faut arrêter de déconner deux minutes. Bon après, il a peut-être pas penser que des débiles étudieraient ses textes des décennies plus tard. C'est assez cocasse quand on y pense, le mec qui se veut romantique, cassant les codes, ironique, anti-système... bah il se fait intégrer dans le système d'aujourd'hui.

Pour rebondir un peu - parce que j'ai pas l'habitude de parler de tout et de rien - je trouve ça triste les œuvres qui se font intégrer dans le système éducatif. Parce que soyons honnêtes, pour les élèves, un livre au programme est un livre chiant. On est obligé de le lire, et de vraisemblablement se ramasser une sale note parce qu'on a pas vu que quand l'auteur écrit : "J'allais sous le ciel, Muse ! et j'étais ton féal!" qu'il fallait lire "Muse" avec "et" et donc donner "Musée", ce qui est un message cynique au classique qui usent de méthode du passé. Bref, je m'égare.
Moi perso si jamais j'écris un roman, je voudrais pas qu'il soit intégrer dans ce système. Je supporterais pas que des gens lisent mon livre par obligation et le trouve donc par conséquent chiant. Ceci dit, l'idée que je recevrais pas mal de fric - car faudra bien que les étudiants achètent mon bouquin - m'aidera peut-être à supporter. Je suis un homme de valeurs, il est vrai, mais je suis avant tout un connard. J'y tiens.
Après, je sais que les auteurs se font souvent carotte avec les éditeurs et compagnie niveau répartition du butin, donc avant de prendre une décision faudrait que je m'assure que c'est vraiment rentable.

Enfin je dis ça mais j'ai même pas encore sorti de roman ! Bon j'ai pas mal d'idées en tête, mais faut que je trouve un moment pour tout mettre à plat et commencer à écrire un bon truc... tiens, en parlant de flemme, ça me fait penser qu'il faut que j'explique ce que je foutais pendant tout ce temps. J'ai déjà dit que ça concernait les facteurs ? Oui ? Non ? Bon faut peut-être que j'arrête de prendre les autres pour des cons.

En vérité je suis toujours sur un nouveau OS depuis presque 1 mois... ah non, ce n'est pas un truc super. Parfois, on peut prendre beaucoup d'effort à faire de la merde. Je pense que votre dernière constipation peut en témoigner. Enfin, je tente des trucs avec ce OS. Il est aussi assez long. Pour l'instant il est aussi long que "Le père de Noëlle" et je pense qu'arriver à terme il sera 2x plus long. Ça fait beaucoup pour un OS, c'est vrai, mais je me suis un peu laissé aller j'pense. Bah au pire c'est pas moi qui va le lire après donc osef.
J'espère pouvoir le poster durant la semaine ceci-dit.


Oh et c'est mon anniversaire aujourd'hui.
Article ajouté le Mercredi 12 Avril 2017 à 16h58 |
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