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The Kokonut Song was Koko-approved™
de Lutias'Kokopelli

                   


~ Bienvenue sur ce blog, cher amateur de lecture !

Ce blog contiendra, en plus de quelques articles généralement inutiles, quelques de mes fictions qui n'ont pas leur place sur la partie Fictions de ce site, tout simplement parce qu'elles ne traitent pas de Pokémon. Cependant, étant donné que mon projet actuel, Code de Conduite, est une fanfic 100% Pokémon, elle aura bientôt droit (je l'espère) à sa place parmi les fanfics officielles du 'bip. La majorité de mes articles récents auront donc principalement un rapport avec cette fanfic, qu'il s'agisse d'informations en tous genres ou de n'importe quoi d'autre que mon imagination tordue pourrait sortir.

Sur ce, bonne lecture. Si jamais tu désires toujours demeurer céans.

Si vous trouvez un contenu choquant cliquez ici :


Le trèfle à douze feuilles - Bonus, explications et cætera
Bonjour à tous ! Ici, vous pourrez retrouver différentes sections en rapport avec cette fiction. Vu qu'elle n'est pas terminée, vous n'aurez pour le moment que des bonus rudimentaires ; mais vous pouvez toujours l'enrichir avec vos idées, vos commentaires, vos questions. Alors n'hésitez pas, faites vivre cet article afin de compléter votre fiction ! :D

FAQ ~ Foire Aux Questions
(et pas "Fuyons Au Québec" et autres âneries, comme diraient certains... <_<')

~ Posez toutes les questions qui peuvent vous venir à l'esprit, sans aucune hésitation ! Il faut cependant qu'il n'y ait pas de questions dans le style "Cékoualasuiteuh trolol ? 8D". Ces lecteurs trop curieux attendront, NA.

Pourquoi ce titre ?

~ Pourquoi avoir choisi des titres aussi bizarres ? Explications !

» Partie I ~ Créatures à Dublin
Chapitre I ~ Tigre ailé ~
« Ne blâme pas Dieu d'avoir créé le tigre, mais remercie-le de ne pas lui avoir donné d'ailes. »
Ce titre est de toute évidence issu directement de la citation. Il n'y a pas trente-six sens cachés, il s'agit juste de dire qu'on peut qualifier les pokémon de "tigres ailés", autrement dit de bestioles qui seraient plus dangereuses encore que des tigres. Ce qui ne fait aucun doute.
Chapitre II ~ Dura lex, sed lex ~ « La liberté est le droit de faire tout ce que les lois permettent. »
Dura lex, sed lex
est un dicton latin disant "La loi est dure, mais c'est la loi." Rapport direct avec l'ordre d'évacuation qui, bien que fait pour le bien de tous, est gênant pour nos héros. Quant à la citation, c'est une sorte d'ironie entre le fait que nos Londoniens sont libres, mais qu'ils ne le sont peut-être pas assez dans ce cas précis. Et paradoxalement, c'est pour leur bien qu'ils le sont moins... M'enfin, je ne sais pas si je suis assez claire. x3
Chapitre III ~ Le paradoxe de Zénon ~ « Ne craignez pas d'être lent, craignez seulement d'être à l'arrêt. »
Le paradoxe de Zénon, je ne vais pas le décrire puisque Wikipédia le fera bien mieux que moi. Une fois que vous avez lu l'article, vous pourrez lire la suite de cette section.
... Est-ce fait ? Bien. Ainsi, d'après ce paradoxe de Zénon (parce qu'en fait il en a plein), tout mouvement est donc impossible. Sandra semble persuadée que la police, malgré tous ses efforts, n'arrivera jamais à élucider cette affaire : la police n'avancera pas. Vala déjà le lien entre le chapitre et son titre ; le lien entre le chapitre et la citation, désormais... Eh bien c'est tout bête : la police n'avance pas, le professeur et ses amis non plus, donc ils sont mal barrés pour c't'affaire ! Vala ! 8D
Chapitre IV ~ L'ordre doit suivre le désordre... non l'inverse. ~ « Le désordre est bien puissant quand il s'organise. »
Les deux mènent au même endroit : mieux vaut ranger après que le désordre ne vienne, plutôt qu'avant. Parce que c'est le résultat qui compte... *sifflote*
Chapitre V ~ Faire la pluie et le beau temps ~ « En fuyant la pluie, on rencontre la grêle. »
Pour le titre, cela se réfère à la mystérieuse capacité qu'auraient ces pokémon à influer sur la météo. *sort* Pour la citation... Nah mais franchement, je l'ai choisi car la coïncidence avec le chapitre était trop belle. *w* Même si je l'ai aussi choisie pour son sens de "c'est en voulant éviter un truc mauvais qu'on tombe sur un truc pire."
Chapitre VI ~ Cercle vicieux ~ « La guerre commence infiniment mal. Il faut donc qu'elle continue. »
Les pokémon attaquent et font beaucoup de dommages matériels. Donc la guerre commence mal. Et pourtant, l'armée décide bien évidemment d'attaquer... Et comme ça continue d'aller mal, si l'on tient compte de la citation, plus ça va mal plus on attaque, et plus on attaque plus ça va mal. Donc : CERCLE VICIEUX. Na.
Chapitre VII ~ Le pendule de Newton ~ « Mieux vaut regarder là où on ne va pas, parce que, là où on va, on saura ce qu'il y a quand on y sera ; et, de toute façon, ce sera jamais que de l'eau. »
Ah là là, ces Shadoks... Le pire est que, sous leurs airs de principes complètement loufoques se cache une véritable logique, qui s'applique même à la réalité. J'aurai l'occasion d'y revenir plus tard, éventuellement dans un autre article où j'étalerai ma science... *sort*
Bref ; le titre : voici le
pendule de Newton pour ceux qui ne le connaissent pas. On peut éventuellement le prendre comme un symbole de l'effet boule de neige ou domino : une bille tape sur une autre, qui tape sur une autre, qui tape sur une autre... Accumulant des causes qui deviennent des effets de plus en plus importants. Le chapitre commence plutôt bien, même si le colonel est plutôt mélancolique ; puis vient la petite boule qui frappe la seconde avec le cage-éclair (pour ceux qui n'auraient pas deviné). Le cage-éclair déclenche la paralysie ; la paralysie déclenche les foudres du colonel contre son futur interlocuteur ; on peut prendre cette paralysie pour cause de la discussion qui suit, car sans cela rien de la suite du chapitre n'aurait pu se produire ; de nombreuses causes et effets se cachent dans la discussion qui s'envenime de plus en plus ; et, finalement, l'hypnose est l'ultime effet de la discussion.
Quant à la citation, enfin : on peut prendre le "là où on va" pour l'endroit où le colonel va probablement se rendre alors qu'il est endormi ; mais ce serait ce que j'appelle "avoir la flemme de chercher." Car on peut aller beaucoup plus loin. On peut prendre ça dans le cas général : le "là où on va", on peut le prendre comme "le futur", qu'on n'a pas besoin de connaître puisqu'on le connaîtra quand il deviendra présent. Le "là où on ne va pas", lui, peut définir nos rêves les plus délirants, que l'on sait qu'ils ne se réaliseront jamais. Et personne n'a jamais dit qu'il était mal de rêver. Certes, mais je divague : cela s'écarte du chapitre. Donc, le "là où on ne va pas" ; on peut également le prendre comme le "passé", en opposition avec le "futur" du "là où on va" : et, en effet, le colonel ressasse pas mal ses anciennes habitudes, ses souvenirs, ne regarde pas vraiment où il va et demeure dans ses pensées durant la plus grande partie du chapitre.
Quant à la deuxième partie de la phrase, je la trouve très intéressante : "et, de toute façon, ce sera jamais que de l'eau." Donc le futur, de toute manière, sera toujours pareil, peut-on traduire si on demeure dans la même logique. Ce sera toujours une suite d'effets qui deviennent causes d'autres effets. Ce principe ne changera jamais, quoi qu'on fasse. L'eau, on peut la prendre aussi comme une rivière : autrement dit, y'a un courant, et il n'y a pas de marche arrière. On peut la prendre comme, tout bêtement, l'Histoire, qui serait donc répétitive : toujours des hommes qui naissent, vivent, et meurent. Et je passe tout ce qu'on pourrait interpréter d'autre, car je pourrais pourtant continuer des pages et des pages.
J'aime beaucoup ce chapitre, car je pense que, niveau titre~citation~chapitre, c'est celui qui a le plus de liens entre les trois. Faudra vraiment que j'essaie d'atteindre ce niveau-là pour les chapitres suivants.
Chapitre VIII ~ Là où tu voudras, par la volubilité et la jouissance,
Mais là où tu dois, par le renfermement et le silence. ~
« On n'est jamais aussi bien battu que par soi-même. »
L'origine du titre est déjà donnée dans le chapitre-même, je ne vais donc pas trop revenir dessus. Je vais juste dire que j'ai choisi ce titre pour définir, tout simplement, le paradoxe dans lequel est piégée Sandra. Elle a envie de le dire, mais elle ne le doit pas. Et en même temps, il est dit qu'elle le doit ! Et, vous l'aurez certainement remarqué, c'est loin d'être le seul paradoxe de cette fiction. Même si c'est le plus important (et le plus chiant pour ceux qui veulent savoir, je sais).
Il est à noter d'ailleurs que j'aurais bien aimé caser cette citation quelque part, même si je n'ai pas pu : « Le silence est le plus beau bijou d'une femme, mais elle le porte rarement. » (Proverbe anglais) Cependant, aurais-je ajouté en note au-dessous, "Avouez cependant que, lorsqu'elle le porte, on préfèrerait qu'elle le retire..." Avec un superbe troll face si cela avait été possible. 8D *sort*
Bien ; passons alors à la citation : le sens véritable sera découvert avec le
Chapitre XIII ~ Vivace, mais je peux déjà vous dire que cela concerne deux personnes surtout : Sandra et Luke. Sandra pour le paradoxe (on peut juger qu'essayer de lutter contre le paradoxe est lutter contre deux côtés d'elle-même : le côté "surtout dis rien !" et le côté "surtout raconte-leur tout !"), et Luke pour ses capacités physiques qui, visiblement, lui font obstacle car il se retrouve essoufflé et complètement inapte à poursuivre ce mystérieux inconnu. Quant à la fin du chapitre, jugez-la comme vous le voulez, je ne dirai rien !
Chapitre IX ~ À l'Est, un rien d'inquiétude ~ « C’est parce que la terre est une sphère que tout ce qu’elle engendre débouche sur des cercles vicieux. »
De même qu'avant, j'ai déjà donné dans le chapitre l'origine du titre. L'Est désigne l'Angleterre, qui est à l'est de l'Irlande ; puisque Flora écoute la radio de Londres et que Londres semble à peine inquiétée par le phénomène, voilà le titre de trouvé. Pour la citation, c'est encore et toujours une référence à ce fichu silence de Sandra, qui repose sur un cercle vicieux.
Chapitre X ~ Eaux dormantes ~ « Il faut faire de la vie un Rêve, et d'un Rêve une réalité. »
Le rêve dont il est question dans le chapitre est également l'une des raisons pour lesquelles cette citation en particulier fut choisie. (Héhé, n'est-ce qu'un délire ? Est-ce une preuve que l'auteure croit à l'existence des rêves prémonitoires ? Est-ce que ce truc WTFesque sert seulement à quelque chose dans cette histoire ? Vous ne le saurez qu'en temps et en heure utiles, mouahaha... 8D) Mais une seule raison ne suffit jamais ; car en effet il y en a d'autres...
Chapitre XI ~ La rose des vents ~ « Tous les chemins mènent à Rome. »
Le titre est directement rattaché à la citation : tous les chemins mènent à Rome, donc on prend un point n'importe où et on trace des flèches tout autour, ça mènera forcément à Rome ; et oh, comme par hasard, en traçant des flèches tout autour on tombe sur une sorte de rose des vents ! /O
Bref ; pour faire un lien avec le chapitre, cette fois, le premier qu'on peut remarquer est bien évidemment avec la fameuse énigme de Sandra : la flèche veut-elle dire qu'on l'atteint par tous les côtés, ou qu'on ne peut pas l'atteindre ? En quoi le fait que ce soit une flèche comme dans les fonctions en mathématiques change quelque chose au fait que cette énigme WTFesque ait de quoi en dérouter plus d'un ?
Chapitre XII ~ Temps de réaction ~ « La méfiance est toujours pour moi une forme de l'intelligence. La confiance une des formes de la bêtise. »
Le titre est bien évidemment en rapport avec cette fameuse histoire de "temps de réaction" cité par ce mystérieux "agent B-126". Notez par ailleurs que lui-même se fait avoir à son propre jeu, puisque nos amis "disparaissent" avant qu'il n'ait le temps de réaction nécessaire pour relever son bras, viser rapidement, et tirer. (Maligne, la diversion. /PAF) Bref ; évidemment qu'il y a également un lien avec la citation : cela vaut pour quasiment n'importe quel personnage important apparaissant dans le chapitre : le professeur fait confiance à Sandra, Emmy, Luke et Flora font confiance au professeur, le colonel Clovert se voit plus ou moins obligé de faire alliance ET confiance à des pokémon ET à une dame qui pourtant a des aspects chelous... Bref, on voit plutôt peu de méfiance de la part de nos protagonistes, tiens ! Mais ont-ils le choix, après réflexion...? /O

» Partie II ~ V comme Voyages
Chapitre XIII ~ Vivace ~
« Tout est plus simple qu'on ne peut l'imaginer et en même temps plus enchevêtré qu'on ne saurait le concevoir. »
Chapitre XIV ~ Vade-mecum ~ « Nous répugnons à savoir, parce que savoir signifie changer. »
Chapitre XV ~ Visions ~ « Savoir, c'est se souvenir. »

Autres bonus à suivre ! C'est un article à éditer souvent ! :3
Article ajouté le Mercredi 13 Mars 2013 à 18h33 |
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En rapport avec ma fiction...
Bonjour à tous ! Bon, ce n'est pas grand-chose, mais vu que, il y a longtemps, à cause de ma particularité d'être douée, surtout en mauvaises manipulations, l'ancienne version du trèfle à douze feuilles a été supprimée. Car, oui, je voulais la garder, elle et surtout ses deux évaluations, afin au moins d'en garder une trace. Sauf que bah oui mais nan, j'ai été assez douée pour réussir (me demandez pas comment ni pourquoi) à la supprimer de 'bip. -_-
Alors bon, vala que, lueur d'espoir, ne me demandez pas comment ce miracle est possible mais j'ai réussi à retrouver une trace de mes deux évaluations, ainsi qu'un site (rarement mis à jour...) qui contient l'ancienne version dans sa quasi-totalité ! :D

Évaluation de ShiroiRyu

Expression

Une très bonne expression et une étude plutôt intéressante. Rajoutons à cela les diverses informations que tu mets en fin de chapitre et nous avons donc une fiction plutôt très intéressante de ce point de vue. Bref, un excellent travail de ce côté.

Histoire

Je suis désolé mais j'avoue qu'à part le premier Layton, je n'ai pas joué aux autres. J'ai bien vu le film mais au moins, je connais les personnages. Faire un crossover entre ces deux mondes est plutôt une bonne idée et tu arrives à faire que cela colle bien

Avis

Une fiction agréable en tout point sauf peut-être sur la lenteur du récit. Enfin, on dirait que l'aventure commence à peine avec la fin du premier Arc. C'est une bonne comme une mauvaise chose. Mais c'est juste une petite complainte ridicule.

Conseils

Je t'aurai bien donné le conseil de lancer l'aventure plus rapidement mais comme tu l'as fait en plusieurs parties, de ce côté, je ne peux pas t'aider plus.

16 chapitres lus

Note : 17 / 20

Évaluation de Pikadine

Expression

Honnêtement, je n'ai absolument rien à dire de ce côté-là. Tes phrases sont compréhensibles et très belles. Tu as un vocabulaire riche et varié et je n'ai vu que très peu de fautes. Ton style est vraiment très agréable à lire : on ressent pleinement les émotions de tes personnages et on arrive même à suivre le fil de leurs pensées. Il y a quelques répétitions par moment mais je t'avouerai que je ne les ai pas relevées. En tout cas, c'est un récit très vivant, et qui nous tient en haleine. Bravo !

Histoire

L'histoire est passionnante et très bien structurée. D'ailleurs j'ai particulièrement adoré l'idée que le monde des Pokémon soit notre lointain futur (même que j'ai trouvé de suite qu'il s'agissait d'une machine temporelle et toc !). Je te cacherai pas que j'ai eu un peu peur en commençant ma lecture, je connais un peu le professeur Layton (même si j'ai jamais réussi à résoudre son énigme avec le billet de train...) et je craignais que ton récit soit plus tourné vers ce sujet que celui des Pokémon. Fort heureusement, tu as très bien su manié les deux mondes et ce lien étroit qui les unissait tout en restant mystérieuse tout le long de l'histoire.
Le caractère des personnages était lui aussi super bien travaillé, rien que Sandra qui était un paradoxe à elle-même montrait que tu t'étais vraiment beaucoup investie dans cette fiction, et ça en valait la peine parce que c'est super !
Bon, trêve de compliments, je vais maintenant te faire part des quelques petits points noirs que j'ai décelé, mais peut-être auras-tu une explication logique à me fournir... Ce ne sont que des détails, mais vu que je n'ai pas énormément de défauts à citer, je les prends quand même en compte.
- Premièrement, je suis quand même assez... étonnée de voir que tu n'ais fait intervenir que la police lors de l'apparition des B.N.I. C'est vrai quoi, tu imagines si demain des créatures aux pouvoirs surnaturels venaient raser Paris et que le gouvernement enverrait la police parisienne sur les lieux ? J'aurais plutôt songé à l'armée moi.
- Deuxièmement, j'ai noté un anachronisme. Lorsque le professeur Layton et toute sa bande foncent voir le laboratoire de Dublin pour analyser les résidus qu'ont laissé les Pokémon, le scientifique parle de modifications d'ADN. Or, nous sommes en 1975 à ce moment là. Je sais bien que les laboratoires militaires ont toujours une longueur d'avance sur ce que nous dit la presse, mais je t'avoue que balancer comme ça que les Pokémon sont des animaux génétiquement modifiés, ça me semble un peu... précoce ?
- Troisièmement et dernièrement, il y a une question à laquelle tu n'as pas répondu dans ta fiction. Pourquoi les Pokémon n'ont-ils pas attaqué l'hôtel où se trouvaient nos protagonistes ? Je me souviens qu'ils l'avaient soulignée, mais vu qu'on a pas eu de réponse, je me demandais si c'était un oublie, ou juste un sous-entendu ironique de ta part, disant que c'était pas prévu dans ton scénario.

Avis

J'ai vraiment beaucoup aimé ta fiction, et j'irai même jusqu'à dire que je l'estime beaucoup. Je suis admirative de ton travail. Tu as réussi à garder une parfaite logique des évènements tout le long de ton récit, alors que tu parlais des voyages temporels. Je n'ose même pas imaginer le dur labeur que tu as du effectuer pour écrire un scénario pareil ! Tout le long de l'histoire je n'ai cessé de sourire en me disant : « ah oui tiens, j'avais oublié qu'ils avaient fait ça... ». J'ai, certes, trouvé que le début tournait beaucoup autour du pot et que les choses mettaient énormément de temps (ahah !) à se mettre en place, mais sinon le reste, c'était un pur délice.

Conseils

Un conseil ? Ah ah ! Mis à part te supplier de continuer dans cette voie, je ne peux rien te dire de plus.

51 chapitres lus

Note : 19 / 20

Quant au lien du site, c'est juste ici ! ;3
Article ajouté le Vendredi 08 Mars 2013 à 12h04 |
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Professeur Layton : traduction des endings !
Bonjour à tous ! Je ne vais pas m'attarder sur tout ça, puisque le titre annonce tout ~ Voici alors la traduction des paroles des chansons des crédits de notre saga favorite (oopas), faite par un ami !
Note : Malheureusement, les paroles ne sont pas très faciles à comprendre car les vers sont un peu... décousus, disons. Il y a des phrases sans verbes, on ignore où elles commencent et finissent car il n'y a pas de ponctuation... Bref.

Iris ~ Shiawase no Hako : Une Boîte de Bonheur

Tu savais, ce qui m'était cher
J'ai cru qu'on se reverrait, sans faire de promesse j'ai levé ma main

La fenêtre laisse couler la flamme du paysage
Petit à petit le commencement a commencé à apparaître

Transperçons notre raison de vivre comme un regard qui l'a confirmé
Maintenant encore le souvenir de la douleur de vivre est anormalement proche, cette chose

La promesse que tu as faite a toujours été protégée
Même si je savais que je n'allais plus te voir, je l'ai enfermée dans ma boîte

J'ai aimé une chanson dans laquelle plusieurs sentiments sont
Nous irons à un temps où une mélodie est jouée au loin

Je savais que dans un paysage différent, une même couleur brille
Pendant qu'on se rassemblait, on a sûrement senti une certaine chaleur

"Nous ne pouvons pas avancer en perdant" ce même sentiment
Comme de la magie, les graines attendent de rougir

J'ai suivi le chemin de pierre, la flamme a logé une nouvelle ville
Si je fais une chanson où je chante adieu, je pourrais te revoir

Je savais que dans un paysage différent, une même couleur brille
Pendant qu'on se rassemblait, on a sûrement senti une certaine chaleur


Jikan Ryokou ~ Voyage dans le temps

La cloche qui trouble le temps sonne
La ville où le passé et l'avenir se rassemblent
Tomber est dans le temps qui disparaît
Je me souviens de la chaleur de nos mains tenues

Il n'y a rien qui change
Joie, tristesse, le temps qui apparaît
Après les larmes abondantes il y a
Une douce lumière qui éblouira sûrement

Au commencement d'un nouveau temps
Je donne le moyen de recevoir plein de vent
Le voyage dans le temps où je m'envole avec toi
Je monte dans un gros bateau

Le fait de vivre résonne
L'endroit où la lumière et l'ombre se rassemblent
Dans le temps qui ne s'arrête pas
Je crois en une chaleur sûre

Il n'y a rien qui change
La saison où le vent souffle apparaît
Dans le trou du nuage de tristesse
Un monde éblouissant s'étend

Au commencement d'un nouveau temps
Je donne le moyen de recevoir plein de vent
Le voyage dans le temps où je m'envole avec toi
Je monte dans un gros bateau

Vers un nouveau voyage

Paxmaveiti

Ce qui est important est de se rencontrer un jour
Au bout d'un moment ce qu'il y a dans mes mains
Semblait lourd comme les ténèbres
J'ai eu l'impression que je pourrais voler avec toi

Alors les mots que j'ai à te transmettre ont tous été laissés
J'ai cherché haut le ciel que j'ai mis dans un sac
Je ne l'oublierais sûrement pas
Notre mélodie, qui se joue

La volonté de vivre a pénétré l'amour qui a su
Une fleur a éclos juste pour toi

Au fond de l'eau, tu es en train de m'appeler
Comme si on me soufflait des mots à l'oreille

CHUU-RURAA la mélodie qu'apporte le vent
CHUU-RURAA attend ici
CHUU-RURAA le chemin qui continuera un jour
CHUU-RURAA un jour encore

Le ciel nocturne qu'on a vu
L'étoile qui ne change pas flotte
La mélodie qui nous a fait ramper
Je veux te la transmettre alors je te dis adieu
Le vent qui apporte la nuit te porte, avance

Mysterious Flower

Mysterious Flower se balance étrangement
L'odeur que j'ai sentie il y a longtemps
Même en sachant que je ne devais pas m'y approcher, j'ai été attirée, help me help me

Au moment où j'ai ouvert les yeux sur ma manière de parler
Ma volonté ne peut plus résister, je ne peux plus être sans toi
Mysterious Flower, je jette tout, je me sens noyée par toi

Mysterious Flower, je suis comme
En train de chercher trois papillons
Fais-moi croire en un conte, Darling Darling

Je garde l'oreille aux tristes rumeurs
Si je prends ton bras, je ne pourrai plus revenir
Poisonous Flower, même si tu tombes
Je pense pouvoir t'aimer

--- help me, help me
Au moment où j'ai ouvert les yeux sur ma manière de parler
Ma volonté ne peut plus résister, je ne peux plus être sans toi
Mysterious Flower, je jette tout, je me sens noyée par toi

Mysterious Flower, dans les feux d'artifice, montre ton visage
Mysterious Lover, je t'attendrai toujours

Surely Someday

Je regarde la neige blanche
Tu pars encore en voyage

Ton obstination nous lie
C'est comme si je l'atteignais, c'est comme si j'étais seule

Ah~ L'erreur que j'ai crue juste
J'ai reçu la compréhension
Ce qui est juste et la lumière sont des choses qui nous transpercent

Le ciel qui traverse le temps...
J'étais avec toi alors
je suis devenu forte

Il y aura de nombreux fils ensuite
J'y croirais alors
Je te rencontrerais sûrement à nouveau

Sous la neige profonde
Comme une fleur qui attend la floraison

Le moyen froid de transmettre les larmes
Me semblait si chaud

Ah~ Le souvenir que j'ai laissé sur le chemin du ciel
M'a appris
Que les nuages aspirent la lumière

Un jour la fleur dormira.
Le derrière de ta main était
Gentil

À partir de maintenant la fleur qui n'est qu'à moi
Demain, qui n'est qu'à moi,
Je la reverrais sûrement alors

Adieu
Un jour, tu vas encore partir en voyage.
Article ajouté le Jeudi 13 Juin 2013 à 22h10 |
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~ It's About Time ~
Bonjour ou bonsoir à tous !

J'ai eu l'idée de créer cet article afin que, tous ensemble pour ceux qui le souhaitent, nous tentions d'élucider l'un des plus grands mystères de toute la saga Professeur Layton. Ce mystère peut être résumé en un seul mot : époque. Car oui, jamais, au grand jamais, n'a été évoquée une seule date dans toute la série. Le temps n'est mentionné que sous forme relative dans le style "il y a trois ans". Et ça, il en convient que cela ne suffit à personne, encore moins à nous, fans qui désirons en savoir le plus possible sur nos héros préférés. À savoir, déjà, à quelle époque ils vivent. 8D

Bref ; comment, déjà, pouvons-nous enfin déterminer cette époque ? Eh bien, le principe est simple : on ouvre l'œil, et on cherche les petits détails du décor qui nous permettraient de situer plus ou moins précisément tel ou tel jeu. Sachant que nous connaissons le temps relatif entre ceux-ci, il deviendra bien plus aisé de trouver une période de temps convenable si on cherche dans tous en même temps ! Vu qu'ils sont grosso modo à la même époque, il suffit de rassembler des détails de manière à resserrer l'étau à environ trois à cinq ans, et c'est gagné ! :P


Je commence avec le premier détail que j'aie noté : je veux parler du monde de la photographie. Et là dedans, nous avons droit à deux indices : le premier dans le Destin perdu, le deuxième dans toute la seconde trilogie, avec bien entendu l'appareil photographique d'Emmy, qui si je ne m'abuse est un Nikon F. ('Suffit de comparer avec les différents modèles existant jusqu'au XXe. Pourquoi pas après ? La réponse tient en un mot : NUMÉRIQUE)
Commençons par celui-ci, tiens : le Nikon F s'est développé de 1959 à 1974. Il serait possible d'en posséder un jusqu'en 1990, date d'apparition du numérique. Il est évident qu'Emmy, fana comme elle est, désire le meilleur modèle qui soit. Donc si son appareil fonctionne avec une pellicule (souvenez-vous de PL4... Ne demanda-t-elle pas à Barton de développer ses photos ?), alors cela signifie que le numérique n'existe pas.
D'autre part, vu comment elle traite son emmycycle, il ne va probablement pas tenir longtemps, son appareil. Donc il est peu probable qu'elle ait acheté le sien en 1974 et ait pu le conserver durant 16 ans. D'ailleurs, vu qu'elle ne doit pas avoir plus de vingt à trente ans, elle ne va pas acheter un appareil photo personnel à 14 ans, surtout à une époque où ce genre de technologies coûtait encore les yeux de la tête. u_u
Elle devrait avoir au moins vingt ans pour pouvoir s'en offrir un, à mon goût. (ce qui signifie qu'elle a forcément plus de vingt ans, d'ailleurs. 8D) Elle devrait pouvoir s'en servir durant dix ans au grand maximum, à moins qu'elle ne prenne bien plus de précautions avec son appareil photo qu'avec son scooter. Enfin, vu à quel point elle est habituée à s'en servir et a trouvé tout un tas de techniques personnelles pour le porter sur elle (en particulier sa sacoche, elle sait comment faire pour qu'il n'y ait pas de casse même quand elle se bat... 8D), on peut affirmer qu'elle l'a depuis au moins un an.
Ainsi :

Indice #001 ~ PL se situerait entre 1960 et 1984.
Ça fait quand même un écart de 24 ans...

Passons au deuxième indice : les photographies en elles-mêmes sont, du moins dans les journaux, en noir et blanc. La première image me venant en tête est au tout début du Destin perdu, qui pour vous rappeler est le jeu le plus récent chronologiquement parlant. Donc nos chers amis londoniens ne connaissent pas (ou que très peu) la photographie en couleurs. Étant donné qu'elle est apparue dès le XIXe mais ne s'est pas diffusée dans le quotidien avant 1964, cela signifierait que le Destin perdu se situe avant ça ; au maximum fin 1963. (vu qu'il y a de la neige, soit c'est fin 1963, soit c'est début 1964).
Ainsi, il devient possible d'estimer cette frise chronologique :

Indice #002 ~ La saga se situerait entre 1960~61 et début 1964.
1960 ~ 1961 : PL4, Diva éternelle
1961 (été) : PL5
1962 : PL6
1963 : PL1&PL2
Fin 1963 ~ début 1964 : PL3
(Ce qui signifie alors que toute ma chronologie sur le trèfle à douze feuilles est fausse... Q__Q *va tout corriger dans sa fiction*)

Et voilà comment il devient possible d'estimer une période précise ! Mais il y a toujours des détails à trouver...
Alors, qui est partant ? :D
Article ajouté le Vendredi 07 Juin 2013 à 18h10 |
2 commentaires
De la simple complexité de la dimension temps
(ou de l'art de vouloir réfléchir à des trucs dont Monsieur et Madame Tout-le-monde n'a rien à fiche)

Bonjour à tous ! Ici, je vais donc essayer de vous exposer mon point de vue sur l'une des choses les plus déroutantes : le temps. Comment ai-je eu cette idée saugrenue ? Sais pas, je réfléchissais à une expérience plus ou moins récente alors que je m'ennuyais sous la douche (bah oui, y'en a qu'ont rien d'autre à foutre dans ces moments-là. Exemple devant vous...).

Bref. Je ne sais que très peu de choses dessus (d'ailleurs, quiconque pourra me fournir plus d'informations aura ma gratitude éternelle), mais je vais essayer de vous dire tout ce que je sais à propos de cette fameuse expérience :

Date : Inconnue. Échelle allant probablement de 1920 à 2012.
Auteur : Inconnu.
Détails de l'expérience : Nada.
Résultat de l'expérience : On ne sait trop comment, on a découvert qu'une des particules générées durant l'expérience (qui, je suppose, se trouvait bien sûr avec un seul lot de particules au départ, qui devaient réagir ensemble de manière bien précise et ce dans le vide) se serait désintégrée avant d'être générée. Ouah.

A cela, donc, j'ai trouvé plusieurs conclusions à en déduire :
1 ~ Problème dans l'expérience (vide non suffisamment total, ça suffit amplement à troubler l'expérience et à fausser ce résultat improbable)
2 ~ Problème de matériel (ça arrive...)
3 ~ Cette particule, une fois générée, aurait mystérieusement remonté le temps, puis se serait désintégrée. Ouah.

Bien sûr, ce troisième résultat ne m'a pas paru le plus exploitable, je me suis bien sûr dit que, le plus probable (surtout que ça pouvait être fait durant les années 1920...) était l'erreur d'expérience et/ou de matos. Mais, m'arrêtant là pour l'expérience, j'en suis allée à songer (pour le fun, j'en avais pas encore fini avec ma douche, puisque tout ceci n'a même pas pris trente secondes... J'réfléchis trop vite, parfois...) j'men suis donc mise à songer aux voyages temporels, et au fonctionnement du temps. Ouah.

Malheureusement, si mon père est ingénieur et ma mère biologiste, il n'y a pas de physicien spécialisé en la matière dans ma famille (ma grand-mère, professeur de physique retraité, me semble bien plus calée dans le simpliste programme du lycée que dans les approfondissements allant à la physique quantique qu'on étudie en laboratoire en ce moment). Mon seul moyen d'obtenir des informations sur la dimension temps, ce sont les bouquins. Oui, mais les bouquins, soit ils datent beaucoup, soit ils sont tellement vulgarisés qu'on ne peut pas en exploiter grand-chose à ce niveau-là.
Bref, j'ai pris mon courage à deux mains ('fin non, j'tenais déjà le savon... /PAF), et j'ai essayé de réfléchir scientifiquement à ce problème.
Y'a quand même un truc que j'ai lu dans bon nombre de bouquins, c'est le truc des trous de ver. Des "raccourcis" dans l'espace qui reviennent à des raccourcis dans le temps, à condition que la relativité d'Einstein ait raison (car il semblerait qu'un lycéen strasbourgeois m'ait devancée... *pleurniche dans son coin*). Donc, il serait possible de remonter le temps en allant dans un trou de ver ; mais il faut pour cela un déplacement, puisque les extrémités du trou de ver ne sont pas au même endroit (ou alors, ça ne sert à rien puisqu'on fait un voyage vers le présent /PAF).

M'enfin, ce n'est pas cela qui nous explique comment se comporte la dimension du temps ! Bah non.

Une dimension, dans l'espace, c'est une droite. Tout point appartenant à la dimension 1 appartient forcément à cette droite. Donc : le temps étant une dimension unique, cela devrait se schématiser sous forme de droite. Une frise correspondant bien sûr à ce genre de choses.
Donc, il y a plusieurs conclusions quand maintenant on se demande comment fonctionne le voyage dans le temps :

1 ~ On ne peut pas changer le cours du temps, (ou plutôt on ne doit pas) sous prétexte de causer des millions d'ennuis et des paradoxes pas croyables. J'y reviendrai.
2 ~ Le temps ne serait en réalité pas si simple que ça. Une ligne, c'est par exemple une voie ferrée. Bah oui, mais la voie ferrée, elle a des embranchements avec d'autres voies ferrées. Comment alors demeurer avec notre dimension unique ? Y'a plusieurs univers, et le fait de changer de voie ferrée, de changer de dimension temps, revient à changer d'univers. Et ça, c'est une hypothèse récente émise par des scientifiques sérieux.

Je reprends : dans le cas de la dimension unique unique, que se passerait-il si, ô hasard, je m'arrangeais pour que Napoléon ne perde pas à Waterloo ? C'est pas dur, on remonte le temps, on prend le thé avec lui, et ô hasard quand on parle tactiques, on lui prouve que la sienne ne tient pas debout et qu'il va perdre. Donc il change de tactique, et il gagne. Oui, mais là, alors ? Il n'aura pas perdu, d'accord. Mais quelles en sont les conséquences ? Plus d'exil à Sainte-Hélène, plus de mort dans l'exil, peut-être plus de conquêtes... Oui, mais les bouquins d'histoire ? On les aura imprimés autrement. Certes, mais si ce n'était que ça... Napoléon est du genre à faire des conquêtes. S'il n'avait pas perdu à Waterloo, il aurait continué, allant de conquête en conquête. Le monde d'aujourd'hui serait peut-être encore sous un Empire dirigé par un descendant de Napoléon. Et qui sait si ça avait permis de faire avancer la science de la même manière, par exemple. Rien ne nous prouve que la science n'aurait pas évolué de manière différente, jusqu'à passer à côté des voyages temporels. Donc pas de machine à voyager dans le temps. Mais comment notre bonhomme, sans machine à voyager dans le temps, aurait-il bien pu voyager dans le temps ?
Certes, le coup de la science qui ne va pas dans le bon sens, ce n'est pas prouvé du tout, et c'est peut-être complètement faux. Mais quand même, le monde qui change complètement, ce n'est pas négligeable, et c'est peut-être source de paradoxes. Car notre bonhomme, lui, il a dans ses souvenirs que le monde est tel que nous le connaissons. Qu'adviendra-t-il des autres de son temps ?
D'après Retour vers le futur, le voyageur temporel ne voit pas sa mémoire modifiée, quelle que soit l'importance des modifications procurées par son voyage. Mais, selon la logique, cela ne se déroulerait pas réellement ainsi ; puisque Napoléon n'a pas perdu à Waterloo, il aura appris à l'école que Napoléon n'a pas perdu à Waterloo. Donc il croira que Napoléon n'a jamais perdu à Waterloo, qu'il n'y a jamais eu qu'une seule République en France qui s'est éteinte lors du Consulat, puis de l'Empire qui n'a pas eu de fin. Donc, logiquement, il n'aurait pas eu sa mémoire altérée, puisque le temps est une dimension unique unique qui ne peut donc pas comporter des éléments contradictoires à elle-même (c'est la base de la logique).
Mais nous sommes alors face à un paradoxe : lorsque notre bonhomme va voir Napoléon, alors il aura dans ses pensées que Napoléon n'a jamais perdu à Waterloo. Et, lorsqu'ils parleront stratégie, soit c'est un fin stratège et il prouvera qu'il y a une erreur, soit il n'en est pas un et Napoléon perdra à Waterloo. Mais, là, c'est un paradoxe, puisque le monde changera de nouveau en notre présent actuel, et les souvenirs de notre bonhomme aussi.
Il y a deux conclusions à tirer de ça :
1 ~ Il NE FAUT PAS modifier le cours du temps, car ça peut être TRÈS GRAVE. (comme si on n'avait pas remarqué... 8D)
2 ~ Il vaudrait mieux voir ce que ça donne dans le cas où la dimension temps n'est pas si unique unique que ça, au cas où ça résoudrait notre problème...

Nous y sommes donc, à ce deuxième cas. Supposons que, chaque fois que nous sommes face à un choix, un univers parallèle se crée pour chaque choix fait, avec sa propre dimension unique de temps (mais pas vraiment unique unique). Exemple : un bonhomme (pas le même, on va pas l'embêter plus, c'est déjà pas mal d'être la cause d'un gros paradoxe temporel), un bonhomme est donc face à deux portes. Il prendra l'une ou l'autre, mais une seule. Selon celle qu'il prendra, deux univers jailliront de l'univers dans lequel il se trouve, avec leur propre dimension temps qui est exactement la même, jusqu'à ce moment-là. Dans l'une des dimensions temps, il aura pris la porte de gauche, dans l'autre il aura pris la droite. Il existe donc une multitude d'univers (ce que les physiciens appellent théorie des multivers) qui, ainsi, sont semblables mais différents. Y'en aura p'têt un où la météorite d'il y a 65 millions d'années aura raté la Terre, qui sait...
Bref, venons-en à nos voyages temporels : notre charmant bonhomme va cette fois-ci revoir notre Napoléon avec pour ordre de lui faire comprendre qu'il y a une erreur dans sa stratégie pour Waterloo. Comme ce type est suffisamment menacé par nos kalachnikovs, il obéit dans tous les cas. Mais de là, il y en a quand même deux qui surviennent : soit Napoléon n'en fait qu'à sa tête, il perd, et tout coule de source ensuite jusqu'à aujourd'hui, tel que nous le connaissons ; soit Napoléon le croit, gagne la guerre, et nous en allons au monde décrit précédemment. Il y a donc deux univers avec leur propre trame temporelle (enfin, y'en a plus, mais si on ne compte que cet évènement pour simplifier, ça ne nous en fait que deux), qui sont complètement différents. Notre bonhomme vient du premier, celui dont le présent est le nôtre. Ainsi, sa mémoire est "intacte" : Napoléon a perdu à Waterloo, il aura toujours perdu à Waterloo. Lorsqu'il vient le voir, sa mémoire est toujours intacte, qu'il ait convaincu Napoléon ou pas. Dans les deux cas, les mémoires de personne ne sont altérées : c'est juste qu'un univers de plus est né, avec lequel nous n'avons aucun lien. Grosso modo, nous avons écarté le paradoxe, puisque la dimension temps unique n'est contradictoire qu'à une autre dimension temps unique. Les deux n'étant pas uniques uniques, il n'y a plus de problème.
Si donc, après, dans le cas où il a convaincu Napoléon (et n'est pas interné dans quelque asile de fous, comme dans l'autre /PAF), notre cher bonhomme décide donc de rentrer chez lui prendre un bon café, eh bien surprise : le monde sera tel que je l'ai donc décrit, et sa mémoire de "l'ancien temps" (notre présent, quoi /o/) ne sera pas effacée. Mais il n'aura aucun moyen d'y retourner, et sera donc condamné à rester sous l'Empire du XXIe (le pauvre, y s'ra paumé toute sa vie et regrettera peut-être de ne pas avoir choisi l'option "kalachnikov"). Donc, de toute manière il ne rentrera jamais chez lui dans aucun des univers : soit il est interné, soit il se retrouve dans un monde différent du sien. Oh, et, une précision : il faut encore que j'y réfléchisse, (vous donnerai des infos et explications plus tard), mais il est possible que, en plus dans ce monde, en voulant rentrer chez lui il tombe sur un alter-ego du même âge, et dont cette fois la mémoire a été altérée. Sérieux, je le plains, alors je ne vais pas plus le faire souffrir. /o/

Quant à savoir laquelle des deux hypothèses est la bonne... J'vais être franche : j'n'en ai rien à branler, puisque ça ne change rien à notre vie. Qu'on soit dans le premier cas ou dans l'autre, nous n'appartenons qu'à un seul univers à la fois, et le seul moyen de savoir dans quel cas nous sommes serait de construire une machine à voyager dans le temps et de "créer un paradoxe", puisque si nous sommes dans le deuxième cas et qu'on rentre dans notre présent, celui-ci nous semblera différent et notre mémoire n'aura pas changé. Mais c'est une expérience tellement dangereuse à mon goût que, excusez-moi, mais j'interdirais à quiconque oserait tenter ça de le faire, jusqu'à le supprimer si besoin. Nah mais, sérieux, la science c'est bien, mais si c'est pour causer des ennuis, merci mais NON MERCI. Na.
Article ajouté le Dimanche 06 Janvier 2013 à 11h35 |
5 commentaires
Le trèfle à douze feuilles - Bêtisier
Vous avez lu ma fiction, et vous l'avez peut-être appréciée... Mais sachez que, malheureusement, le tournage de cette fiction ne s'est pas toujours passé comme l'indiquait le script ! Eh oui, il y a toujours des erreurs, des catastrophes, des imprévus, des caméras qui assomment les acteurs par mégarde, des gens qui n'ont rien à faire là qui débarquent alors que leur propre tournage est dans le studio d'en face... Bref, toutes ces scènes ratées n'ont pas été supprimées ! Vous les retrouverez ici ! :D
Étant donné que cela coûterait cher en mémoire d'ordinateur de conserver ces scènes ratées (qui n'ont en fait jamais été tournées, je l'avoue - mais avouez que vous vous en doutiez, que ce n'était qu'un délire, comme cet article en entier), cela restera sous forme de dialogues (style théâtral-pas-du-tout-convenable-dans-les-fictions-normales-mais-qui-ici-est-bien-approprié-en-fin-de-compte 8D) et d'images, sous spoiler pour ne pas prendre trop de place. (Désolée, mais comme spoiler il n'y a que le "spoiler qui dévoile des trucs sur un jeu/animé/autres". Va falloir faire avec, mes cocos... u_u)

Elles sont classées selon la chronologie de la fiction, pour faciliter la correspondance avec le passage dont il est question.

Note :
~ Il n'est pas impossible que des numéros de séquences manquent. C'est juste que, apparemment, nos acteurs n'ont pas eu de problèmes et que les scènes ratées n'ont soit jamais existé, soit été oubliées au fond d'un tiroir... Mais elles doivent forcément arriver, et je les retrouverai, rassurez-vous ! :D
~ Les didascalies sont les pensées les plus intimes -oopas- de la réalisatrice, alias Lutias. Elles sont en italique et entre parenthèses.
~ Attention. Les scènes qui vont suivre virent souvent au quasi n'importe quoi. Âmes sensibles (au rire), s'abstenir. u_u


/!\ À ÉDITER ! /!\
L'information suivante est susceptible de révéler quelque chose d'important et de gâcher une surprise
Prologue

~ Séquence #002 ~


(Grande salle noire. Deux silhouettes, face à face, en train de se parler mystérieusement. La plus petite est en train d'accrocher quelque ruban dans ses cheveux.)
Fille. - Là, je suis d'accord. Fais-moi confiance.
(Silence, le temps qu'elle finisse d'accrocher son ruban.)
Fille. - ...
Mère. - ...
(Juste le temps qu'elle finisse d'accrocher son ruban... Elle a l'air d'avoir un problème. Gênant, ça.)
Fille. - ...
Mère. - ...
(Mais qu'est-ce qu'elle fait, bon sang ?! Elle se baisse, on dirait presque qu'elle sanglote... Nooooon, ne me dites pas qu'elle l'a fait...)
Mère. - Est-ce que tu veux de l'aide, chérie ? :<
Fille. - J'crois que le ruban est coincé... T-T'
Mère. - Laisse, je m'en occupe.
(Et mierdashit. Elle l'a fait.)
Mère. - Ben dis-donc, tu es allée fort sur ce coup ! Oo
Fille. - Tu vas y arriver ?
Mère. - Mais oui, ne t'en fais pas ! :D
(No comment.)
Fille. - AÏEUH ! >_<'
Mère. - Rah, mais arrête de gigoter, aussi ! è_é
Fille. - Mais je ne bouge pas ! Q__Q'
(Re-no comment.)
Mère. - Lutias, on n'y voit rien ! On ne peut pas rallumer ?! >_<
Lutias. - Hors de question. Les lecteurs vous verraient tout de suite, et c'est pas bon pour l'intrigue ! Alors vous arrangez ça vite et on la refait ! COUPEZ ! è_é
Fille. - Note Lutias que, si tu coupes, en principe les lecteurs ne vont plus nous— (Coupé ~ 8D)

~ Séquence #003 ~


(Le panneau "14 mars 1975, 10:47 a.m." est en place. Ok, jusque là ça va...
Le professeur ouvre l'enveloppe. La caméra se prépare à viser le contenu. Tout va bien pour le moment...



Aaaaaaaah, noooon ! Le professeur sursaute en voyant le contenu. Non, c'est pas possiiiiiible... Qu'est-ce qu'il a bien pu lire ?!)

Layton. - Ça par exemple...
Lutias. - S'il vous plaît, faites voir. -_-
Layton. - Regarde plutôt. Ce n'est pas du tout la lettre de Luke...
(Voilà donc ce qu'il a vu... Hé, mais dites-donc, c'est mon écriture, ça ! ...
Nom de— ! C'est pas possible ! QUI a fait ça ?!)

Lutias. - COUPEZ. Rassemblez tout le monde, c'est urgent.

~~~~~ Pour une raison inconnue, le caméraman s'est amusé à laisser sa caméra tourner. ~~~~~
~ Cinq minutes plus tard ~


Lutias. - Mes chers amis, l'heure est grave. Nous sommes actuellement sur une scène de crime.
(Silence de mort. Tous les acteurs me regardent étrangement avec des yeux de merlan frit... Mais j'exagère pas, à la fin ! è.é)
Lutias. - Quelqu'un ici s'est emparé de mes archives sur la fiction et s'est débrouillé pour que le professeur les reçoive durant le tournage, à la place de la lettre qu'il était censé recevoir. Alors, je vous écoute. QUI A FAIT ÇA ?! è.é
(Ils se regardent, s'interrogent du regard, mais personne ne se dénonce. Ok, ça va chauffer...)
Lutias. - D'accord. Il avait une chance de goûter à mon infinie clémence (mouahaha), mais puisque le coupable ne se dénonce pas, je vais devoir sévir, et faire appel à un détective expert.
(Tous se tournent tout naturellement vers le professeur Layton. Pitoyable, ils sous-estiment vraiment mes pouvoirs tout-puissants lorsque je suis en courroux...)
Lutias. - Désolée de vous décevoir, mais je ne parle pas de vous, Professeur. Je vous signale que vous faites partie des suspects, il serait inconcevable que vous fussiez responsable de cette enquête...



Luke. - Comment ?! Mais alors, qui va enquêter ?!
Lutias. - Hé hé hé... Vous resterez complètement cois lorsque vous le rencontrerez, mes chers... *sourire sadique* ... Je dois juste lui passer un petit coup de fil, et il arrivera dans quelques minutes... :D

~ Cinq heures plus tard ~

Lutias. - Bon, il faut l'excuser, il s'est fait arrêter sur la route parce qu'apparemment les bovins n'ont pas le droit de conduire, et il a dû continuer à pied... Mais il est là ! :3



[...]

(Silence de mort, tout le monde a la mâchoire qui pendouille jusqu'en bas. Bah quoi, qu'est-ce qu'il a, ce détective, de si anormal ? è.é)
Flora. - Attends une minute, Lutias. Tu veux dire que tu vas remplacer le professeur par... un bœuf ?! Oo
S. Yack. - Un yack, jeune fille. Faites attention à l'avenir, c'est très différent.
(Ça y est, Flora tombe dans les pommes. Mais qu'est-ce qu'il y a de bizarre, sérieusement, à voir un yack sur deux pattes qui parle, habillé comme Sherlock ?! 8D)
Emmy, rattrapant de justesse Flora dans sa chute. - Flora ! Est-ce que ça va ?! Oo
S. Yack. - J'ai toujours eu cet effet sur les femmes... :)
Hermine. - (assistante de SY) A vrai dire, je ne pense pas que ce soit vraiment dû à ça...
Luke. - Hé mais, attendez une minute ! Vous... vous avez exactement la même voix que le professeur ! O__O
S. Yack. - Rien de plus normal, c'est la même personne qui nous double tous les deux dans la version française... :)


Luke. - ...

Lutias. - BREF, peu importe. Si vous êtes là, je vous rappelle que c'est pour une enquête. è.é
(Silence. MAIS POURQUOI C'EST TOUJOURS QUAND JE PARLE, ENFIN ?! Q__Q)
S. Yack, toussotant. - *Hum-hum*, c'est vrai. Quels sont les détails de l'enquête ?
(ENFIN ! J'ai toujours rêvé de faire ça... *sort un gros panneau, l'installe et prend un gros Velleda noir*)
Lutias. - Eh bien, c'est très simple. Le coupable m'a pris mes archives, *dessine un gros-méchant-vilain-pas-beau en train de partir avec les archives, sourire allant entre le trollface et le sourire sadique*, ensuite il l'a mis dans une enveloppe que le professeur Layton a reçu durant le tournage, à la place de la vraie lettre qu'il était censé recevoir. INTOLÉRABLE, n'est-ce pas ?
S. Yack. - En effet. u_u
(GROS blanc. Le yack marche silencieusement, comme l'aurait fait le professeur Layton.)
S. Yack. - Mmh. C'est intéressant, mais je manque tout de même d'éléments...
Hermine. - Nous avons beaucoup de suspects, Sherlock, et—

[...]

MIERDASHIT ! La caméra n'avait plus de batteries ! Rahlàlà, c'est bête, ça... Bon ben attendez-moi quelques instants, je cherche une autre pellicule ! Doit bien y avoir la fin de cette histoire quelque part...

[...]

Ah, bah quand même ! Il y a toujours des caméras de surveillance dans le studio, fallait y penser ! :D

*Décroche la caméra du coin de mur et rembobine les vidéos enregistrées précédemment*


[...]

*Bruit de moteur qui tourne*

Hermine. - Nous avons beaucoup de suspects, Sherlock, et—
S. Yack. - Je sais, Hermine, mais ce n'est rien. Il y en a qui ont plus de raisons que d'autres de commettre ce crime...

[...]

Hermine. - Ah bon ? :<
S. Yack. - Absolument. èwé Lutias a la particularité de ne rien dévoiler de son script aux acteurs avant qu'ils ne jouent la scène. Un acteur désireux de connaître la suite du scénario avant de le jouer aurait tout intérêt à s'emparer de ce script... Vous, par exemple !



Luke. - Comment, le professeur ?! Mais vous racontez n'importe quoi !
(Le professeur ne bouge pas, reste impassible. Mais on l'accuse, quoi ! Comment peut-il garder son sang-froid, bon sang ?! Oo)
Layton. - Je vous ferai juste remarquer une chose. Si le coupable avait dérobé le script pour le lire, il l'aurait lu tout de suite ; il ne l'aurait pas mis sous enveloppe pour que je le reçoive durant le tournage, de manière à ce que cela se sache. En tout cas, si j'étais le coupable, je n'aurais eu aucun intérêt à le faire.

[...]

Hermine. - Là, il marque un point.
S. Yack. - ... Apparemment, vous avez une bonne excuse... A moins que vous ne l'ayez fait justement pour avoir une excuse ! èwé
Hermine. - Un partout. u_u
Layton. - Pas vraiment. Le coupable n'aurait aucune raison de se faire démasquer. S'il avait commis son vol et que son but n'était que de lire les archives, il les aurait remises à leur place une fois sa lecture terminée.
Emmy. - Professeur, attendez une minute... Pourquoi parlez-vous du coupable au conditionnel ?
Layton. - Tout simplement parce que nous n'avons aucune preuve qu'il y en ait un.

[...]

S. Yack. - C'est ridicule ! Avec moi, il y a toujours au moins un coupable ! Parfois plusieurs, mais il y en a toujours eu au moins un ! è.é
Layton. - Je me doute dans ce cas que c'est parce que vous êtes habitué à la présence d'un coupable que cette hypothèse ne vous a pas frôlé...
Lutias. - Professeur, expliquez-nous ! Comment est-il possible qu'il n'y ait pas de coupable alors que j'ai été volée ?! è.é
Hermine, regardant dans un coin de mur, vers le plafond. - Hé, regardez là-haut ! Il y a une caméra de surveillance ! Elle doit avoir enregistré les faits durant le crime !

[...]

S. Yack. - J'allais le dire. 8D
Luke. - C'est ça...
Lutias. - MAIS C'EST BIEN SÛR ! J'avais complètement oublié que j'avais installé des caméras dans tous les coins du studio !
(Inutile de dire que tout le monde file vers la salle de surveillance vidéo pour récupérer la vidéo dont il est question... 8D
Bref. La voilà, la vidéo... Bon, la nuit, quand tout le monde dort, sauf moi qui bosse comme toujours sur ces archives, il n'y avait rien. Je les avais le lendemain, donc pas d'ennuis...
La journée de tournage. Séquence #001, Luke fait la fameuse lettre que le professeur devait recevoir, mais qu'il ne reçoit pas. On coupe, on fait la séquence #002... Bon, après les accrochages tout allait tout aussi bien...)

~~~~~
Lutias. - Où est l'enveloppe ?! C'est pas possible, on perd tous les accessoires en ce moment... Q__Q
*Lutias pose les archives sur une table, par-dessus une petite feuille de papier, puis s'en va en courant.*


[...]

*Elle revient, triomphante, une enveloppe en main. Puis elle va vers la table, prend le papier du dessus, le glisse dans l'enveloppe et la ferme, toute contente, sans faire gaffe.*
~~~~~


[...]

Lutias. - ... Q__Q
S. Yack. - ... Oo
Hermine. - ... Oo
Emmy. - ...
Luke. - Comme toujours, l'intuition du professeur ne le trompe jamais ! :D
Layton. - Bien. Maintenant que cette affaire est élucidée, et si nous retournions au travail ? Une fois que Flora aura récupéré ses esprits, elle pourra jouer son rôle comme si de rien n'était...

[...]

(Un de ces jours, faudra que je pense à dormir, le soir.)
(En cours de retranscription. Le passage de la bonne vieille pellicule au numérique ne se fait pas en trois secondes, hein !)


Chapitre I - Tigre ailé

~ Séquence #002 ~


(Ah, la Saint Patrick... Fête nationale d'Irlande, toujours aussi bien préparée et toujours aussi spectaculaire...
Emmy prend ses photos, c'est bien... Zoom sur son appareil... Sur le paysage qu'elle vise, c'est bien...)



(Bien... Pas mal...)

(Ouah ! Je n'avais jamais remarqué que les figurants pouvaient être si imaginatifs ! Oo)


[...]

(WHAT ON EARTH IS JUST THE FUCKING HELL ?! O__O)
Emmy. - ... O__O
Pinkie Pie. - Wouhouuuuuu ! Elle est vraiment trop-trop-trooooooooooop géniale, cette fête ! *w* *sautille partout*
(Ah, c'est vrai. J'avais oublié... Va falloir que je la remette un peu en place, là.)
Lutias. - Hem... Pinkie, c'est ça ? Le tournage de MLP : FIM, c'est en face.

[...]

Pinkie Pie. - Aaaaaaaaaaah, j'me disais aussi... N'empêche qu'elle est vraiment bien, votre fête ! J'peux rester ? *w*

Lutias. -

Pinkie Pie. - Roh allez, steuplaît steuplaît steuplaîîîîît ! 8D
Rainbow Dash. - Ouah, c'est ça qui fait autant de bruit ! C'est un sacré défilé, dites-moi ! :D

[...]

(Je rêve, ou j'en vois d'autres qui débarquent ?! Oo)
Lutias. - Les filles, au cas où vous n'auriez pas remarqué, nous sommes en TOURNAGE. Et là, vous gênez juste UN PEU.
Rainbow Dash. - Ah, mais rassurez-vous, je passais juste pour vous demander si vous aviez pas vu Pinkie quelque part...
Lutias. - *montre le poney rose du doigt*
Rainbow Dash. - Ah bah oui, j'suis bête ! ^^'
Lutias. - Bon, alors vous allez nous laisser tranquille, maintenant ?
Rainbow Dash. - Ben, j'pourrais pas participer un peu au festival ? Un bon "arc-en-ciel supersonique" en bouquet final, ça ne vous irait pas ? 8D
Lutias. -
Rainbow Dash. - Roh, allez, faites pas votre timide ! Je sais que vous en rêvez ! 8D
Twilight S. - Mais que se passe-t-il, ici ? :<
Emmy. - Est-ce moi, ou c'est une invasion ? Oo'
Twilight S. - De quoi parlez-vous ? Les filles, quelqu'un peut m'expliquer ? [...] Oh, mais c'est une superbe fête ! Vous ne m'avez pas invitée ?
Lutias. -

Pinkie Pie. - Twilight, les voisins ils sont méchants ! Ils veulent même pas qu'on participe à leur fête ! è_é
Twilight S. - Hem... Et que veux-tu que j'y fasse ?
Pinkie Pie. - *sourire sadique*



(Lutias, Emmy, le caméraman et tous les autres sont contraints à la fuite.

Ce fut à partir de là qu'une rumeur courut dans les rues de Dublin comme quoi de mystérieux poneys multicolores attaquaient la ville sans aucune raison apparente...)
(En cours de retranscription. Le passage de la bonne vieille pellicule au numérique ne se fait pas en trois secondes, hein !)
Article ajouté le Samedi 01 Décembre 2012 à 10h01 |
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Bonus de la fiction : Le trèfle à douze feuilles
ATTENTION. CECI EST LIÉ UNIQUEMENT À LA FIN DE L'ANCIENNE VERSION DE LA FICTION. L'ARTICLE SERA MODIFIÉ EN CONSÉQUENCE EN TEMPS ET EN HEURE UTILES. (Haha)

Bonjour et bienvenue dans les bonus de cette fiction ! Alors, avez-vous apprécié sa lecture ? Ragez-vous parce qu'elle est déjà terminée ? Eh bien, ne vous inquiétez pas, je tenterai de lui donner quelques bonus de temps en temps. Informations supplémentaires, FAQ et compagnie...

Note : l'ancienne version de la fiction sera trouvable sur ce forum. Cependant, sachez qu'elle est moins réussie que la nouvelle, bien évidemment !

/!\ A éditer !

Remerciements

Je remercie L'escargot pitoyable (que je préfère appeler Emmy, mais bon xD) et MBP car c'est leur fic collective qui m'a motivée à écrire! Leur lien ici!
Je remercie L'escargot pitoyable pour une deuxième raison: c'est grâce à elle que vous avez une si belle citation comme début de Prologue! ;)
Je remercie Srithanio pour la validation! ;)
Et je remercie également ShiroiRyu pour son 17/20! J'avoue que je n'y croyais pas vraiment! =D (29.01.12)
De même, je remercie Pikadine pour son 19/20, signe que je m'améliore! <3 (22.10.12)

Foire Aux Questions !

Posez toutes vos questions concernant cette fiction! Vous n'avez pas compris un détail? Demandez des explications, vous n'avez qu'à demander par commentaire! Toutes vos questions seront mises ici, avec leur réponse! ;)

Résumé des questions

Questions générales

Comment cette fiction est-elle née ?

Ah, c'est une excellente question ! Pour moi, tout commence par un rêve, plus ou moins bizarre en général. Quand je m'en souviens - ce qui n'arrive que quand je le fais éveillée, en général, car j'arrive à rêver les yeux ouverts ! -, eh bien... l'idée germe, j'y repense, j'améliore, je modifie, je rêve à nouveau de l'aventure... Et, quand j'ose le faire - ce qui n'est finalement pas si fréquent que ça en fait -, j'écris (ou je dessine, ça arrive).
Il faut avouer qu'ici, c'est grâce à la fic collective de MBP et L'escargot pitoyable, car avant je trouvais cette idée bien trop farfelue. Et puis, je me suis dit en lisant la leur, "Bah finalement, pourquoi pas ?". Résultat ? Allez-donc lire ce délire, si l'envie vous en prend ! Quoique c'est sûrement déjà fait ! %D


D'où vient Sandra ?
C'est une question qui se rapporte plus ou moins à la question ci-dessus. Quand je rêve, je vois parfois des images - voire des voix, genre comme si je regardais un film, mais en plus flou -, parfois des mots qui résonnent dans ma tête. Si on se concentre sur le mot "film", bah... y'a bien un moment où je la vois, en fait. ^^'
Du coup... on va dire que ça s'est fait tout seul, qu'elle a été créée par mon inconscient ? x)


Comment as-tu fait le choix des pokémon ?
Hasardex, comme on pourrait dire... J'ai juste pris comme "méchants" des pokémon surtout de types ténèbres ou poison, puis pour les trois autres, c'était du hasard complet.
Bien sûr, pour Zorua ce fut autre chose, puisque le rôle de ses attaques sont liées à l'intrigue. Mais... Je suis déçue, car ce n'est que trop tard que je me suis rendu compte que, contre toute logique, ce petit renard ne peut en réalité apprendre ni hypnose, ni psyko. Et je ne suis pas la première stupéfaite, car des pokémon comme Akwakwak ou Cerfrousse en sont bien capables. Alors qu'ils sont logiquement moins aptes à ce genre de choses que Zorua, et que Zorua pourrait apprendre ces attaques au vu de son anatomie. Enfin, je vais vous laisser avec mes cours de Biologie, qui ne sont rien face à la logique pokémon...
Et une nouvelle Pokémon Fact, une ! u_u'


Pourquoi ce titre ?
Le trèfle à douze feuilles : Excellente question... Le trèfle est le symbole de l'Irlande depuis de nombreux siècles, et comme l'histoire débute à Dublin, j'ai voulu partir avec un trèfle. Pourquoi douze feuilles ? Rapport aux nombres d'une horloge, et donc aux voyages temporels !
Certes, c'est plutôt tiré par les cheveux... Mais ça me plaît, et je trouve que ça résume plutôt bien la fiction ! :3

Créatures à Dublin : Là, ce n'est pas difficile, je pense que vous avez trouvé. Cela résume bêtement l'intrigue de l'arc I : des pokémon à Dublin. Voilà, c'est tout. Je ne suis pas allée bien loin. %)
V comme Voyages : ... temporels. Voilà déjà l'explication pour le mot "voyages", et puis... Savez-vous lire ? "Voyages" commence par un "V", d'où "V comme Voyages". Vala, c'est tout. xD
Boucles à boucler : C'est bien sûr une référence aux boucles temporelles, autrement dit le "paradoxe de l'écrivain" (même si je n'aime pas l'appeler paradoxe. C'est tout à fait logique, scrogneugneu ! >.<'). Tout ça parce que c'est quand même plus ou moins l'arc qui en boucle le plus, de boucles. %)

Bonus en BD

Eh bien oui, je dessine. Je dis ça pour ceux qui l'ignoraient, mais maintenant ils savent. %)
Voici donc quelques petits gags faits à la main, peut-être au digital pour certains... Bref. Je vous laisse lire. :3

Planche 1
Planche 2
Soyez gentils et lisez ceci AVANT de lire la planche. Merci ~

Pour une fois, le scénario et les textes ne sont pas de moi, mais justement de Manaflore, ma meilleure amie. <3
Par contre, vous reconnaîtrez le style, les dessins sont entièrement de moi. :D

Nous passons donc à un nouveau type de bonus : LES DUELS !
Règles :
1°) Pas de violence physique. Il s'agit d'un combat moral, pas d'un match de boxe !
Cependant, rien n'interdit la violence verbale. :) (Rassurez-vous, la censure existe si besoin il y a)
2°) Les matchs ont une durée d'une planche, ni plus ni moins. Le nombre de rounds dépend de l'inspiration de(s) auteur(s).
3°) Le but pour remporter le duel est de remporter le plus de points. On gagne un point par round, un seul point est décerné, à un seul participant. Pour remporter le round (et donc le point), il faut simplement avoir le dernier mot sur un "débat", en ayant pour but principal de toucher le point faible de l'adversaire. L'humilier n'est pas toujours le but, mais n'est pas interdit pour autant. 8D

Ce sera tout pour les règles. Maintenant que vous les connaissez, vous pouvez lire !
Planche 3
Planche 4

Bonus : Suite... ?


Eh non, pas de suite. Dommage ! 8D
Non, je voulais dire qu'en fait, j'avais imaginé une sorte de suite à cette fiction. Mais je ne suis jamais allée plus loin que le premier chapitre, et je ne le dépasserai pas. De toute manière, il n'y a pas tant de suspense à la fin, c'est plutôt un simple délire en chaînes, qui correspond parfaitement à une section de détente. Je vais donc vous laisser lire, si vous désirez. :3

Prologue


« ... Et, au bout de trois longues années d'intense réflexion, les autorités d'Unys ont décidé que la machine à voyager dans le temps serait détruite, ainsi que ses plans. Afin d'être certains qu'il n'en reste rien, la machine sera réduite en cendres avec nos bombes, dans le Désert délassant de la région d'Unys, aujourd'hui même vers les deux heures de l'après-midi. Pour la sécurité de tous, l'accès à cette zone sera interdit à tout civil, mais les autorités ont accepté de filmer et de diffuser sur les médias cette explosion mettant fin au pire des fléaux possibles. Et nous enchaînons sur une pause pu— »

La télévision s'éteignit. Le bras encore tendu au bout duquel était pointée vers l'écran une télécommande noire parsemée de boutons s'abaissa lentement. Frédéric Mayo esquissa un léger sourire. Cela faisait plusieurs semaines qu'il ne savait plus que faire comme exploit. Il la tenait enfin, l'idée. S'il y parvenait, il aurait une de ces cotes dans son collège !
Du haut de ses treize ans, l'adolescent se tourna vers son gueriaigle, qui avait apparemment eu la même idée en tête.

« Thor, ça te dit une caméra cachée ? C'est pas tous les jours qu'on peut filmer une explosion comme ça ! »

Le pokémon acquiesça, aussi content d'avoir un nouveau « délit » à commettre auprès de son dresseur. Car là était sa fierté : dès qu'une occasion de faire une petite bêtise – sans danger pour qui que ce fût, non, juste pour le plaisir de faire ce qui était interdit de faire et de le montrer aux copains par la suite pour bien se faire une belle popularité dans le collège –, le gamin sautait sur l'occasion, pensant bien évidemment à filmer son « méfait » afin de pouvoir le montrer à tous ces incrédules de son établissement.
Frédéric dégagea son poignet gauche de sa veste, regardant l'heure.

« Quoi ?! Déjà une heure ?! Oh putain de merde on va être en retard ! »

Comme tout adolescent de son âge – ou presque –, le jeune homme ne prenait aucunement garde à son vocabulaire. Et puis, il fallait avouer qu'il s'en foutait grave. On pouvait bien avoir un peu de liberté, quand même ! Non mais alors !

Prenant un sac à dos déjà tout prêt, un sandwich chipé sur la table du salon – lui était-il destiné ? Peut-être, peut-être pas, mais il n'en avait rien à branler –, il se précipita dehors, dans la vaste ville illuminée de Méanville suivi de son fidèle Thor, et l'enfourcha en quatrième vitesse. Celui-ci s'envola aussitôt, aussi pressé que son dresseur.

Ils avaient l'occasion de faire un de ces exploits, tout de même ! Passer à travers la sécurité des autorités régionales – voire internationales, une machine à voyager dans le temps ça concernait le monde entier ! – et les espionner, ça avait de quoi lui refaire une de ces popularités ! Et puis, ce n'était pas tous les jours qu'on faisait exploser dans le désert non loin une machine à voyager dans le temps !
Il avait tout intérêt à ne pas poser de laporeille à ce rendez-vous.

***
« Voilà, on y est... Thor, essaie de pas te faire remarquer avec tes rondes autour d'eux, ils vont trouver ça chelou à force... »

Le gueriaigle acquiesça silencieusement face à ces conseils murmurés, et s'exécuta, tentant de rendre son vol stationnaire muet et normal. Le jeune dresseur sortit de son sac sa fidèle caméra, et commença d'enregistrer. En bas, tout était déjà prêt ! Mais il y avait tout de même pas mal de gens... Et qu'est-ce qu'ils pouvaient bien foutre avec tous ces ordinateurs ? Ils balançaient une bombe, ils se barricadaient vite-fait bien fait, ça faisait un joli boum qu'il pouvait filmer et montrer à ses potes, et puis c'était tout ! Pas besoin d'ordinateurs...

« Bah, songea-t-il, faut toujours qu'ils en fassent trop, juste pour épater la galerie... »

Rien ne se produisait depuis plusieurs minutes. Cela commençait à devenir louche... Mais, de là-haut, le jeune homme ne pouvait rien entendre de ce qui se disait. Il ne pouvait que capter les images.
Finalement, il sortit discrètement de sa poké ball un petit métamorph et lui chuchota quelques ordres.

« Murphy, mode espionnage. »

De la petite gelée violette se formèrent trois longues ficelles, se transformant petit à petit en câbles électriques. Tandis que l'un forma une sorte d'antenne parabolique visant le sol et permettant de capter les sons bien plus facilement, les autres créèrent une prise pouvant se brancher à la caméra et une oreillette, que le dresseur se dépêcha d'enfoncer dans son oreille, branchant le troisième fil à sa caméra.

« Je regrette pas de t'avoir appris à faire ça, » ricana-t-il silencieusement et fièrement à son pokémon, qui lui rendit son sourire légèrement mauvais.

La tempête de sable permettait au jeune garçon de ne pas se faire repérer des hauteurs, mais par miracle lui pouvait distinguer parfaitement ce qui se trouvait sous l'imposant oiseau qu'il chevauchait. Et, malgré le bruit parasite des sables volants, il entendait parfaitement ce qui se disait sous ses pieds. Et cela le stupéfia.

« Ok, maintenant qu'on a pris les images de la machine, on peut la mettre à l'abri, disait une voix.
- Mettez la machine à l'abri ! répéta une autre dans un microphone.
- Virez-la ! On est censés filmer en direct dans dix minutes, alors faut pas qu'ils voient ça ! » hurla un policier aux autres hommes, qui se dépêchèrent de s'exécuter.

Très vite, la place où se trouvait la titanesque mécanique fut de nouveau vide.

« Mais qu'est-ce qu'y foutent... ? » murmura Frédéric, abasourdi, ayant presque oublié qu'il était filmé par lui-même, mais ne lâchant pas pour autant sa caméra.

Il ne devait rater ça pour rien au monde ! C'était un de ces scoops !

« Très bien, dégagez le secteur ! hurla à nouveau la voix dans le microphone. Mettez-vous tous à l'abri ! »

Le jeune dresseur comprit. Ils allaient faire sauter... du sable. Et faire un montage pour faire genre que les autorités d'Unys – du monde ? – avaient vraiment fait exploser la machine. C'était louche. De plus en plus louche.

« Explosion dans trente secondes, reprit le microphone. Vingt-neuf. Vingt-huit. Vingt-sept. Vingt-six... »

Arrivé à zéro, les bombes qui avaient été déposées sur le sol explosèrent en effet. Ne détruisant évidemment rien du tout. Le gamin serra les dents, ne lâchant pas pour autant son caméscope. Quand les potes du collège apprendraient ça...

Non. Il ne devait rien dire. Si cela paraissait dans les journaux, on saurait qu'il avait espionné les forces de l'ordre. Et là, il serait grave dans la merde. S'il voulait découvrir la vérité, il devait le faire tout seul.

« Parfait. Procédez au montage photo, et on va balancer ça aux médias. On va emmener la machine dans les ruines, personne n'y va plus depuis des lustres. Vous avez tous fait du bon boulot, les enfants. »

Frédéric éteignit sa caméra et remercia Murphy avant de le faire rentrer dans sa poké ball. Il n'y avait plus rien à filmer. Ils en avaient assez vu, lui et ses pokémon.
Rentrant à Méanville sur le dos de son gueriaigle, il grogna toute une série d'injures à l'adresse de l'État.

« Putain de merde, les enfoirés... On va faire péter la machine à voyager dans le temps, ouais... Mon cul ! »

Chapitre I – Londres, Tamise et tout le reste

Frédéric s'était barricadé dans sa chambre, assis sur son bureau, autour de ses fidèles pokémon.

« Bon, je résume pour Embu. Alors que l'État devait faire sauter une machine qui pourrait foutre la merde à un degré de connerie encore jamais atteint – enfin si, mais y'a des gens assez doués pour avoir empêché la cata à temps –, la police a fait genre qu'ils la faisaient sauter mais en fait ils l'ont pas fait sauter. T'as capté ? »

Le roitiflam acquiesça, comprenant qu'il y avait en effet un mystère à élucider. Le dresseur reprit :

« Qui a envie de découvrir ce que fout l'État dans l'ombre ? » demanda-t-il en levant la main.

Ses pokémon levèrent un bras, une aile, un autre bras violet modelé dans la gelée du métamorph.

« Génial, on est sur la même longueur d'onde les gars. » se réjouit-il, un sourire en coin.

Cependant, son rictus s'évanouit aussitôt. Il devait s'avouer quelque chose qui était désormais évident. Du haut de ses treize ans, que pouvait-il bien faire face aux autorités ? Rien. Ses pokémon étaient forts, mais il était tout de même dans la merde. Ça, à la limite, ça passait encore. Non, il y avait autre chose : que savait-il de cette machine, exactement ? Rien. Que savait-il de son inventeur ? Rien, même pas son adresse. Avait-il une chance d'y parvenir seul ? Aucune.

« Les gars, je crois que c'est foutu. » marmonna-t-il après réflexion, tête baissée.

Cependant, Embu lui montra son ordinateur portable. Il avait une idée en tête, et l'outil technologique pouvait lui permettre de parvenir à cette idée malgré tout. Incrédule, Frédéric l'alluma.

« D'accord. Et maintenant, je fais quoi ? »

Le pokémon enflammé lui présenta l'icône du Pokénet, puis les archives des informations publiques. L'adolescent s'illumina.

« Mais bien sûr ! Embu, t'es un génie ! On va retrouver ceux qui ont réglé l'affaire de la machine, y'a trois ans ! Eux, ils sauront nous aider ! »

Cependant, le dresseur et ses pokémon furent déçus. Evelyne Kotino se trouvait tout simplement de l'autre côté du monde. Très loin.
Ne restaient plus qu'un certain « Layton » et ses « assistants », revenus à leur époque depuis belle lurette. Mais, ceux-là... Il pouvait peut-être les ramener.

« Les gars, vous pensez à ce que je pense ? » demanda-t-il, un rictus en coin.

Tous acquiescèrent. Frédéric prit quelques notes – nom de ce parfait inconnu, nom de la ville où il vécut, année qui serait idéale pour aller le chercher (pourquoi pas 1981 ?), et autres chiffons – et enfila sa casquette rouge et blanche.

« C'est bien. C'est parti pour les ruines. Qui a envie de réveiller des gens de l'avant ? »

***
« Château Enfoui... Y'a pas beaucoup de ruines dans le coin, ils auraient pu éviter de le hurler ces sales cons... »

Regardant en détail les hommes et femmes en uniforme qui défilaient de temps à autres devant l'entrée du tas de pierres jaunies, l'adolescent eut tôt fait de comprendre qu'il ne pouvait entrer à l'intérieur les mains dans les poches. Caché derrière un rocher d'où il espionnait les lieux, il fit discrètement sortir son métamorph.

« Murphy, mode déguisement. »

Le pokémon lui sauta sur le dos, prenant la forme de l'équipement des forces de l'ordre qui défilaient dans le coin. Il étouffa un petit rire.

« La plupart des dresseurs de métamorphes sont cons. Personne n'a encore remarqué que ton espèce pouvait faire autre chose que se transformer en pokémon ? »

Il salua militairement quelques gendarmes, entrant tranquillement dans les ruines. Ceux-ci le fixaient étrangement – un gamin dans la police ? Décidément, on aura tout vu ! –, mais sans plus. Frédéric se demandait par quel miracle il n'explosait pas de rire en hurlant un « Mais qu'y sont cons ! ». Peut-être parce que, s'il le faisait, il était pour de bon dans la merde.
C'était un vrai dédale, ce château. Et avec des sables mouvants par-ci par-là, en plus. Fallait vraiment faire gaffe de là où on mettait les pieds.

Plusieurs pas dans le sable dans lequel il s'enfonçait, c'était fatigant. Mais il était allé trop loin pour reculer. Il devait ramener des gens du passé, il allait le faire. Car, sans eux, il ne pouvait rien faire. Presque rien, en tout cas. Il était crevé, mais il essayait de ne rien laisser paraître. Il en avait vu d'autres.

Enfin il aperçut un tas de métal. Un gros tas de métal. C'était la machine. Et pas gardée, en plus.

« Alors là, soit ils sont cons, soit ils nous prennent pour des cons. », songea-t-il en dévisageant la titanesque mécanique.

Se tournant vers l'entrée d'où il venait, il sortit Embu en lui demandant de condamner le trou d'où il venait, et de le garder. Il put enfin se défaire de son déguisement, laissant souffler Murphy.

« Espérons que ça fait pas trop de boucan, ce truc... » murmura-t-il en allumant la machine, une fois le bouton de démarrage trouvé.

Un vrombissement à faire trembler les murs. Génial, ils étaient mal partis. Finalement, le tas de métal se tut tandis qu'il démarrait lentement. Frédéric regarda l'entrée que gardait Embu avec anxiété, mais ne vit rien.

« Ouf, soupira-t-il. Ils ont dû croire à n'importe quoi d'autre... »

Se retournant de nouveau vers la machine à voyager dans le temps, il remarqua une sorte de tableau à remplir. Saisissant ses notes, il recopia machinalement.

« Lieu : Londres (Espérons que ce soit assez précis)
Date : 1981... Disons le 4 juin, la date d'aujourd'hui !
Heure : Je sais pas, moi... Trois heures vingt, dans l'après-midi ?

Valider. »

Le vrombissement reprit, plus fort cette fois. Frédéric serra les dents, espérant que, comme la première fois, les autorités seraient assez idiotes pour croire à une hallucination ou n'importe quoi d'autre. Puis, rien ne se produisit. On entendait, au loin, des bruits divers. Dignes d'une ville comme on se l'imaginait avant.

« Quoi, c'est tout ? » murmura-t-il, exaspéré.

Il soupira. Finalement, il avait échoué. Ses données n'étaient peut-être pas assez précises...
Avant de rentrer, il voulut tout de même s'adosser au mur pour reprendre son souffle. Trop d'émotions pour la journée, et une longue errance fatigante. Il était exténué.

Il s'appuya contre le mur juste à côté de la machine. Et là, il tilta. Il n'avait pas échoué, c'était juste qu'il ne savait pas encore comment il était censé se retrouver en 1981 avant la Troisième Guerre mondiale. En effet, au lieu de s'adosser à la paroi recouverte de sable du Château enfoui, il venait de s'écraser au sol, comme s'il l'avait traversée. Et pas sur un sol de sable qui s'était infiltré dans ses vêtements, non. Il avait atterri sur un sol pavé de pierres grisâtres, qui le faisaient souffrir puisqu'il était arrivé dessus en tombant comme une pierre, sur le derrière. Il regarda face à lui, mais ne vit qu'un mur de briques rouges.

« Embu ? Murphy ? » appela-t-il.

Le métamorph sortit sa tête du mur, répondant à l'appel de son dresseur.

« Ok, ça marche comme ça... Murphy, reste avec Embu. De toute façon, y'avait pas de pokémon à cette époque, je crois... »

Le pokémon acquiesça, disparaissant à nouveau dans le mur.
Son dresseur se releva douloureusement, regardant le paysage autour de lui. C'était un style de bâtiment qu'il n'avait encore jamais vu. Des briques ? Ça faisait longtemps qu'on ne fabriquait plus rien avec es briques ! Tout le monde utilisait du béton armé, chacun le savait !

Reprenant son sérieux, l'adolescent se décida de rechercher le type qu'il devait ramener à son époque. Comment s'appelait-il, déjà ? Laiton, comme l'alliage ? Lait tonnes ? Non, c'était un type qui se faisait respecter à son époque – à ce qu'il paraissait –, il ne pouvait avoir un nom aussi ridicule.
Il ressortit son papier. Ah, voilà, Layton ! Il n'était pas si loin. Mais comment pouvait-il le trouver ? Londres, c'était une grande ville, à ce qu'il paraissait...

Il n'avait pas le choix. Il fallait demander à quelqu'un du coin. Bah tiens, quand on cherchait quelqu'un, ce quelqu'un passait justement.

« Bonjour M'sieur, commença-t-il. Vous connaîtriez pas un certain « Layton » ?
- Le professeur Layton ? Mais bien sûr que je le connais ! répliqua-t-il d'un ton qui montrait toute l'évidence de la chose. Il enseigne à l'Université de Gressenheller, tout près d'ici !
- Gressenheller, je note. Et c'est où ? »

Première à gauche, puis tout droit. Il devait reconnaître le bâtiment dès qu'il l'apercevrait, qu'il disait le monsieur. Frédéric le remercia du renseignement et exécuta ses recommandations. Et, en effet, quelques minutes plus tard il se trouva face à une gigantesque bâtisse, impressionnante.

« Eh bé ! murmura-t-il pour lui-même. A côté de ça, le collège est digne du Château Enfoui ! »

***
« Excusez-moi, vous sauriez où je pourrais trouver le professeur Layton ? »

Eh oui. Le pauvre Frédéric, arrivé sans en avoir pleinement pris conscience des conséquences dans une autre époque, était complètement paumé. Dans un immense bâtiment de plusieurs étages – une université, en plus ! Lui qui était allergique aux cours de son collège... –, il n'avait plus pour se repérer qu'à demander une fois de plus des renseignements. A un prof. Quelle poisse.

« Layton ? Cela fait plusieurs jours qu'il s'est absenté, vous n'avez pas de chance. Comme souvent, il est en train de faire des fouilles, quelque part...
- C'est pas vrai ! marmonna l'adolescent pour lui-même. Euh, vous sauriez quand il devrait revenir ?
- Je n'en ai pas la moindre idée, avoua l'adulte. Vous savez, je suis professeur de mathématiques, pas d'archéologie. Je n'y connais strictement rien. »

Génial. Paumé dans un coin qu'il ne connaissait pas, dans une époque qui n'était pas la sienne, celui qu'il cherchait était introuvable. Et en plus, c'était un prof. En gros, il était dans la grosse merde. Le professeur de maths qui lui faisait face reprit cependant.

« Mais si vous voulez le contacter, il y a son apprenti qui étudie ici, et vous devriez le trouver. Il s'appelle Luke Triton.
- Ok, je prends en note... »

Il le remercia à contrecœur avant de repartir dans les couloirs de l'université. Non mais, remercier un prof, et puis quoi encore ?!

Luke Triton. Il était balancé dans un coin qu'il ne connaissait pas, avec pour seule information un nom. A quoi ressemblait-il, au juste ? Comment pouvait-il lui expliquer la merde dans laquelle il se trouvait ?

Le tirant de ses pensées, une sonnerie de fin de cours retentit. Une nuée d'élèves de tous âges – tous plus âgés et plus grands que lui, bien évidemment – le traversa littéralement, ne prenant pas du tout garde à lui. Non mais alors ? Ce n'était pas parce qu'il était plus jeune qu'il n'avait pas le droit d'être respecté, non mais !
Il finit par réussir à attirer l'attention d'un universitaire, lui présentant le nom qui lui avait été donné.

« Comme toujours, il doit être déjà parti en courant. Il est toujours pressé, le pauvre vieux... »

Il était décidément dans la poisse. Dans la grosse poisse.

« Et, si je le croise dans la rue, il ressemble à quoi ?
- Si tu vois un universitaire en uniforme et avec sa casquette bleue sur la tête en train de courir comme un fou, tu peux être sûr que c'est lui. », répondit tout simplement l'élève.

Dans la très grosse poisse. Il avait voyagé dans le temps juste pour ramener une bande de cinglés. Bah oui, des cinglés. Qui était assez cinglé pour détaler ainsi tous les jours ?
Il fut soudainement tiré de ses pensées par un jeune élève qui, justement, courait à en perdre haleine.

« Pardon ! Excusez-moi, s'il vous plaît ! Pardon !... »

Casquette bleue. Uniforme d'universitaire. Pressé qui essayait de se dépêcher malgré la foule. Pas de doute, c'était lui. Son interlocuteur le confirma, d'ailleurs.

« Bah tiens, quand on parle du loup ! Tu as de la chance, il n'est pas encore parti... »

Un loup ? Qu'est-ce que c'était, au juste ? Une bestiole de l'avant, peut-être. En tout cas, cinglé ou pas, Frédéric en avait besoin.

« Hé, M'sieur ! »

Monsieur ? Depuis quand appelait-il les universitaires « Monsieur » ? Il s'en étonna lui-même. Cela devait être dû au fait de voyager dans le temps, dans une époque où la politesse passait plus ou moins avant tout... Ou alors, l'air frais de « Londres » lui avait refilé un rhume de cerveau ?
En tous les cas, le jeune homme s'arrêta – à contrecœur – et demanda tout naturellement pourquoi un si jeune adolescent l'avait ainsi stoppé dans sa course.

« Vous êtes bien Luke Triton ? »

Il le vouvoyait, maintenant. Quand il rentrerait à son époque, il devait penser à passer chez le docteur. Ce n'était pas du tout dans son habitude, mais bon.
On ne savait jamais, cela pouvait être une erreur. Mais l'apprenti du professeur Layton acquiesça et confirma qu'il était bien le dénommé Luke Triton.

« D'accord, c'est que j'aurais un nouveau mystère à refiler au professeur Layton...
- De quoi s'agit-il ? »

Il marqua une pause. C'était vrai que, à son époque, personne ne savait qu'il y avait une machine à voyager dans le temps dans leur futur, excepté l'archéologue et ses assistants. Dont l'apprenti faisait partie...
Il lui fit signe de le suivre discrètement dans un coin plus tranquille, puis se décida.

« Il paraît que vous avez déjà résolu une affaire de voyages temporels...
- Comment le sais-tu ? murmura aussitôt le jeune londonien, sourcils froncés. Personne n'est censé le savoir, ici ! »

Vérifiant que personne ne les regardait – on ne savait jamais, hein ! –, Frédéric sortit discrètement la poké ball de Thor.

« Je vois, tu es donc du futur, c'est ça ?
- C'est ça, répondit-il en accrochant de nouveau la poké ball à sa ceinture.
- Je me disais bien que tu ne venais pas d'ici. Comparé à Sandra, tu n'es vraiment pas discret. »

Sandra ? Qui était-elle, celle-là ? Probablement une fille de son époque qu'ils avaient connue lors de l'autre affaire. Mais qu'entendait-il par « vraiment pas discret » ?

« Ta tenue, déjà. Personne ne s'habillerait comme ça, à Londres... »

« Eh bien, merci ! Une veste toute neuve, achetée y'a quelques mois dans un centre de marque ! La même collection qu'Inezia, quoi ! Non mais vraiment, quels arriérés ces types... »

Luke Triton vint rapidement au fait. Que se passait-il dans le futur, au point qu'un adolescent – encore plus jeune que Sandra – vînt lui passer le bonjour ?
Le jeune enfant commença par se présenter – Frédéric Mayo, alias Fred, il préférait –, puis se décida de lui résumer ce qu'il avait vu. Incrédule, l'universitaire soupira.

« Cela ne veut rien dire. Peut-être qu'ils font ça tout simplement parce qu'ils veulent éviter que l'incident de l'affaire ne reproduise, mais qu'ils veulent également préserver cette machine pour la recherche, ou la défense nationale. »

Silence.

« Réfléchis. Si, dans le futur, un incident se produit, il y a ce qu'on appelle une boucle temporelle. Quelqu'un du futur revient à ton époque pour te prévenir, du coup vous contrez l'incident. Et, pour que la boucle soit bouclée, il faut que quelqu'un pense après à revenir dans le passé pour prévenir. Sous cet angle, vous avez tout intérêt à conserver cette machine.
- Je suis pas convaincu. » grogna l'adolescent du futur.

Soupir.

« Je suis vraiment désolé, mais je ne peux pas me permettre de m'absenter, surtout que je ne peux pas vraiment t'aider. C'est toi qui en sais le plus, ici. Pas moi. »

Il le salua poliment en rajustant sa casquette bleu ciel, puis s'éclipsa en courant. Il avait déjà assez de retard.

Vous l'aurez deviné, il abandonna ainsi le pauvre Fred dans un couloir de l'université. Paumé, seul, incompris, se sentant ridicule. Il se demandait par quel miracle il ne hurlait pas.

Il n'avait plus le choix. S'il voulait découvrir la vérité, il devait le faire seul. Même s'il s'était prouvé qu'il n'avait aucune chance.

Il se décida de rentrer. Il avait déjà perdu assez de temps dans cette époque pourrie.

***
Il était de retour dans sa chambre, et n'arrivait toujours pas à croire par quel miracle il avait réussi à s'en sortir sans aucun encombre. Il s'allongea dans son lit, exténué.
Cependant, il se souvint qu'il avait oublié de faire quelque chose qui lui tenait tout particulièrement à cœur.

Il se releva courageusement. Il inspira lentement, se remplissant les poumons du maximum d'air qu'il pouvait inspirer. Puis il craqua enfin.

« PUTAIN DE MERDE DE FAIT CHIER DE QUELS SALES CONNARDS D'ENFOIRÉS DE MERDE ! »
Article ajouté le Lundi 12 Novembre 2012 à 18h22 |
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Professeur Layton 5 : Le masque des miracles - Hypothèses lutiasiennes (délire) [SPOIL]
Vous souvenez-vous d'Andréa Heart, le personnage de PL que je me suis créé ?
Bref, tout ceci pour vous dire que la petite Andréa est celle qui va vous exposer ces fameuses hypothèses andrésiennes/lutiasiennes (au choix). 8D
Enfin, passons, et laissons-la jouer son rôle ! Andréa, nous t'écoutons, tu es en direct de Montdol !

(Andréa arrive sur place, air solennel et craie à la main.)

Andréa. - Bonjour à tous ! Si vous êtes ici, c'est donc pour que je vous parle d'un mystère que certains fans de Professeur Layton tentent de résoudre... J'ai nommé : le mystère du masque des miracles !

(gros blanc dans la salle)

Andréa. - Euh, bref, vous savez bien, si vous avez vu les trailers, qu'un mystérieux "gentleman" s'amuse à terroriser Montdol avec ses miracles... Mais moi, je vous le dis : ce n'est pas de la science ! è.é Donc : je vous ajoute un gros FAKE. Autrement dit, ce type a un truc.

(toujours un gros blanc dans la salle)

Andréa. - Commençons donc par cette histoire de pétrification des gens... (elle se retourne et lève la craie, mais elle remarque qu'il n'y a rien qu'un mur blanc derrière elle.) Euh, Lutias a oublié de mettre un tableau... Comment je vais pouvoir schématiser mes propos, moi ? T-T'

(Lutias lui balance un Velleda, qu'elle attrape au vol sans comprendre)

Andréa. - Mais Lutias, il n'y a pas de tableau...
Lutias. - Le mur est blanc. Écris sur le mur, je m'arrangerai avec la femme de ménage !
Andréa. - J'ai une craie, il faut juste un tableau...
Lutias. - Tu sais combien ça coûte de nos jours, un tableau noir ?! T'écris sur le mur avec ce machin et on n'en parle plus. è.é
Andréa. - D'accord, d'accord... Donc, j'en étais à la pétrification des gens. Commençons par un peu de chimie. (elle trace un trait au milieu du mur, puis écrit à gauche du trait "matière organique" et à droite "matière rocheuse") Donc, qui peut me rappeler les éléments principaux de la matière organique ?

(Il n'y a que des ronflements pour réponse.)

Andréa. - Euh, donc la matière organique est composée en grande partie de carbone, d'oxygène et d'hydrogène, auxquels s'ajoutent pour les protéines l'azote et le soufre principalement... Et la matière rocheuse ? (gros blanc) ... J'admire votre participation pour le moins... active. -_-' Bon, eh bien c'est surtout de l'oxygène, des silicates et d'autres métaux comme l'aluminium, le fer ou le calcium. Comme vous pouvez le constater, ce n'est pas du tout la même chose, même pour l'oxygène. Conclusion : Il est totalement impossible scientifiquement de transformer de la matière organique en matière rocheuse, sans passer par la réaction nucléaire.

(Une faible main se lève dans l'assemblée)

Andréa. - Ah, quand même ! Je vous écoute.
Type-du-fond-qui-écoute-à-moitié. - Bah alors, si on peut transformer les éléments en d'autres par la réaction nucléaire, c'est pas scientifique ça ?
Andréa. - Je m'attendais à cette question. Eh bien, en fait, non seulement ce n'est pas certain que ces éléments puissent passer d'un état à un autre par ce genre de réactions, et d'autre part, que ça marche ou non c'est tout simplement impossible.
Type-du-fond-qui-écoute-à-moitié. - Bah pourquoi ? O__O
Andréa. - Tout simplement parce que les réactions nucléaires pouvant éventuellement donner ce résultat demandent une telle énergie qu'au final, nous sommes incapables d'en produire suffisamment. Seules les plus grosses étoiles en sont capables, en fin de vie.
Type-du-fond-qui-écoute-à-moitié. - Alors, Andréa, comment qu'il fait ce type pour transformer les gens en pierre, si c'est impossible ? -_-'
Andréa. - Il a un truc, je vous dis ! C'est tout simple, je vais vous résumer. (elle se tourne vers le mur et ressort le feutre, commençant à dessiner.)
1- Le gentleman fait une statue de pierre ressemblant à la victime.
2- Le gentleman kidnappe la victime.
3- Le gentleman place la statue à la place de la victime.
4- Le gentleman laisse l'imagination des villageois (qui n'ont rien vu de la manœuvre, bien évidemment) faire le sale boulot à sa place. Autrement dit, la première personne qui se retourne vers la statue voit que le type qui était là quelques secondes auparavant a disparu, et qu'à la place il n'y a plus qu'une statue qui lui ressemble. Conclusion : il a été transformé en pierre.
Et voilà donc comment, en portant un masque soi-disant doté de pouvoirs magiques (et qui fait peur, en plus u_u) ce gentleman fait pour "pétrifier" des gens. Quant à savoir ce qu'il fait des victimes après... Je n'en sais rien, et je préfère ne pas y penser car la science n'a rien à dire dessus. u_u'

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ Entracte ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Andréa. - Bref, reprenons désormais avec un deuxième "miracle". Je vous propose de regarder une fois de plus le trailer de ce jeu, car l'indice du truc de ce gentleman s'y trouve.

(Lutias fait descendre un écran, éteint les lumières et affiche le trailer, qui démarre)

Andréa. - Regardez bien le passage de 13 à 20 secondes... Vous ne voyez rien de suspect ?

(gros blanc dans la salle)

Andréa. - Euh, bon... Lutias, fais une pause à 17 secondes. (Lutias s'exécute.) Vous ne voyez vraiment rien ? (gros blanc) ... Bon, d'accord. Alors, comme on peut le voir, des gens s'envolent mystérieusement (soi-disant parce que le gentleman a claqué des doigts, dit la rumeur. Très scientifique, tout ça. u_u) Mais vous ne voyez pas que, pour la plupart (voire la totalité), ils décollent tous plus ou moins parce qu'ils sont tirés en un point précis, dans leur dos ? Que je vous explique ceci par une image... Lutias ?

(Lutias affiche l'image sur l'écran à la place du trailer)

Andréa. - Mais Lutias, qu'est-ce que c'est que ÇA ?! O__O'
Lutias. - Oh, si on ne peut même plus rigoler... (<~ complètement explosée de rire dans son délire)
Andréa. - Nous sommes sérieux, non mais ! è.é
Lutias. - Oh, d'accord... Mais continue, je t'en prie ! 8D
Andréa. - Mouais... -_- Bon, passons. Je suppose que personne n'a compris le lien avec le sujet, alors je vais vous expliquer. C'est simple, si les gens sont tirés par le haut en un point qui est dans leur dos, c'est que quelque chose les tire à partir de ce point... Vous me suivez ?

(GROS blanc)

Andréa. - D'accord, plus personne ne me suit... Q__Q
Lutias. - Si, moi ! 8D

(Andréa pointe un kalachnikov sur Lutias et tire, à bout de nerfs)

Andréa. - Reprenons. Cela se résume en quelques étapes très simples :
1- On s'empare de la victime avec un fil qui est celui de la canne à pêche. On ne dirait pas, mais le nylon, de nuit, ça se voit incroyablement bien ! (<~ ironie) Bref, on l'accroche (avec hameçon ou pas, on s'en tape) au fil.
2- Eh bien, c'est très simple. On tourne la manivelle, tout simplement ! Et la victime, au bout du fil (c'est trèèèèèèès solide, le nylon. La preuve, c'est qu'on l'utilise à la pêche 8D *sort*), eh bah elle est bien obligée de suivre. Et si l'autre bout du fil est en hauteur... Vous me suivez. u_u ... N'est-ce pas ?

(Gros blanc)

Andréa. - Bon, vous me suivez toujours, ça fait plaisir. (<~ ironie) Donc, bien sûr, on ne va pas faire décoller des gens avec des cannes à pêche, il faudrait plutôt des systèmes plus sophistiqués... Ce n'était que le principe. Mais, de nuit, avec la visibilité qu'on a, c'est faisable. En tout cas, je cherche toujours, mais je n'ai pour le moment rien trouvé de mieux à vous proposer. u_u

(à suivre) 8D
Article ajouté le Samedi 06 Octobre 2012 à 14h26 |
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Si jamais il vous arrive de rêver de trucs aussi bizarres, dites-le-moi. %)
Il y a des fois où je me demande si je suis complètement normale... Lisez-donc ce qu'il m'est arrivé la nuit suivant la rédaction de cet article, vous comprendrez. J'ai hésité à le mettre, mais... Il faut qu'on me réponde ; si jamais, par hasard, quelqu'un a, lui aussi, fait un rêve aussi élaboré et profond (au sens figuré du terme, pas au sens propre, car ça concerne les deux dans mon cas 8D) que le mien, qu'il le dise. Car je pourrais me sentir un peu plus normale... %)

Bref. Voici – je vais bien vous rédiger, avec absolument tout ce que j'ai vu dans le rêve, sans rien ajouter - ce qu'il s'est à peu près passé. Juste avant de dormir, je crois, j'avais pensé à arrêter complètement d'écrire des romans. Je dis ça parce que ça risque de vous aider à comprendre. %)

Tout était noir. Un noir profond, uniforme, sans aucune irrégularité. D'étranges plaques d'un blanc lumineux se tenaient autour de moi, immobiles, semblant me regarder, fantomatiques. Il n'y avait pas de sol, ou du moins il était complètement noir ; et pourtant je sentais comme une surface lisse, horizontale et solide sous mes pieds. J'étais debout.

Le silence assourdissant envahissait tout. Il n'y avait aucun bruit, à en donner mal aux oreilles.

Puis, tout d'un coup, il se rompit, laissant place à quelques mots hachés, graves et sévères, ne semblant pas avoir d'origine précise.

« J'aurais préféré te voir morte. »

Puis je chutai. Ce qui était la seconde précédente un sol - invisible, certes, mais solide et palpable - s'était soudainement dérobé sous mes pieds.

Le silence était retombé. Je ne criais pas dans ma chute. Je regardais au-dessus de moi, les plaques qui s'élevaient au fur et à mesure que je m'enfonçais dans l'abîme. Mais je ne criais pas. Je ne pouvais pas crier.

Puis, ma chute ralentit. Je retrouvai à nouveau un sol solide, stable, sous mes deux pieds, debout. Petit à petit, les plaques sortirent de l'ombre, m'entourant de nouveau. Puis, une silhouette s'illumina à son tour, se détachant du noir environnant.
Il s'agissait d'une femme dont l'âge devait approcher les trente à quarante ans. Les cheveux noirs étaient attachés en chignon, mais certaines mèches retombaient sur son dos. Elle portait une robe simple, blanche, d'où sortaient deux ailes de papillon. Elle n'était cependant composée que de noir et de blanc. Aucune couleur, aucune nuance de gris. Rien que du noir et du blanc.

Son regard sévère me toisait avec dégoût. Ses sourcils froncés me fusillaient du regard.

« Regarde, reprit-elle soudainement. Tout ça, c'est de ta faute. »

Je voulus lui demander de quoi elle parlait, mais je ne disais rien. Je ne pouvais rien dire.

« Tous ceux qui sont nés de ton imagination... Ils sont morts. Et ça, c'est de ta faute. »

Je regardai les plaques, une à une. Chacune était gravée d'inscriptions. Même si je ne pouvais pas les lire* et que je n'en voyais qu'une trace grise, linéaire et floue parmi le blanc immaculé, je crus bon de penser qu'il s'agissait de noms. Ceux de tous les personnages de mes nombreuses fictions passées. Qu'elles fussent achevées, abandonnées en milieu de réalisation, ou même jamais sorties de mon esprit.

« Eh oui… La simple décision d’une seule personne peut en changer beaucoup… C’est cela qu’on appelle l’effet papillon. »

J’avais alors regardé ces deux paires d’ailes, qui à présent semblaient prendre tout leur sens.
La femme qui me faisait face restait grave. Chaque fois que sa bouche se refermait pour un temps, le silence reprenait inéluctablement le dessus, toujours plus pesant.

« Tu es vraiment pitoyable. Tu les prives de leur vie pour profiter de la tienne, et tu n’es même pas heureuse. »

Les plaques qui nous entouraient prirent subitement pour moi l’aspect de pierres tombales. Elles s’amassaient par dizaines, et semblaient s’abîmer dans le lointain. Immobiles, me fixant d’un air sévère et accusateur.

« Bien. Maintenant que j’en ai terminé avec toi, continue comme tu le souhaites, ——*. »

Elle fit volte-face, et commença de s’éloigner, toujours du même pas silencieux et incroyablement lent. Le silence était retombé, une fois de plus ; une fois de trop.

Le sol s’effondra de nouveau, en silence ; je recommençai de chuter, m’abîmant toujours plus. Tout s’éloignait de moi, tout devenait de plus en plus noir…

Je me réveillai finalement dans mon lit ; il devait être encore dans les cinq ou six heures du matin. Beaucoup trop tôt, en somme. Mais j’eus beau tenter de me rendormir, chaque fois que mes paupières se refermaient la même scène recommençait ; je continuais encore et toujours de chuter, toujours plus profondément…

La première chose que vous pouvez vous dire serait que j'ai tout inventé, que je n'aurais jamais pu rêver d'un tel truc. Mais je vous le jure, je dis la vérité, j'ai vraiment rêvé de ça, dans tous les détails cités (et en boucle, en plus). Même si j'ai moi-même du mal à me croire, c'est la vérité... %)

Notez tout de même que les détails et descriptions en italique n'ont été pris en compte par mon esprit que parce que je me suis forcée de me souvenir de tout pour pouvoir l'écrire. Si je n'avais pas voulu l'écrire, je ne l'aurais probablement jamais remarqué. %)

* Je rattache ça au fait que, selon une étude scientifique plus ou moins récente, il est impossible de lire lorsque l'on rêve. Apparemment, ceci en est une preuve plus ou moins convaincante. %)
* Il s’agit bien évidemment de mon vrai prénom, dont je vous épargnerai la connaissance purement et simplement inutile. :P
Article ajouté le Jeudi 20 Septembre 2012 à 21h58 |
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Informations en tous genres
Alors alors ! Que savez-vous donc du professeur Layton ? Rien ? Alors cet article est pour vous ! Je n'en rajoute pas, tout est ci-dessous ! :3

Présentation des personnages principaux

Le professeur Hershel Layton

Le parfait exemple du gentleman londonien. Professeur d'archéologie à l'université de Gressenheller depuis l'âge record de 27 ans, il passe - de très loin - pour l'homme le plus intelligent du Royaume-Uni face à ses capacités de réflexion hors du commun et le nombre d'affaires toutes plus complexes les unes que les autres qu'il a résolues. Il apprécie particulièrement le thé, et ne se sépare jamais de son haut-de-forme. La raison est due à son obtention : Claire, son ancienne petite amie, le lui avait offert moins d'une heure avant sa mort tragique lors d'une expérience sur un prototype de machine à voyager dans le temps. (Plus de détails dans le jeu Professeur Layton : le Destin perdu) En partant de la date de la fiction, ce jour funeste s'était déroulé un peu moins de douze ans auparavant.
Autre petite chose : il a des talents tout particuliers en escrime, bien qu'il n'aime pas particulièrement se battre. Il a 39 ans dans la fiction.
Pourquoi est-ce que j'ajoute "dans la fiction" ? Parce que tout ceci se passe en 1964... :) ~

Luke Triton

L'apprenti du professeur. 15 ans (13 dans les jeux), il est également particulièrement intelligent, bien qu'il ne se sente pas à la hauteur face à son mentor, qu'il prend comme un véritable modèle et suit comme son ombre. Du moins, jusqu'à ses 13 ans, car peu après une de ses affaires résolues (le Destin perdu, d'après le nom du jeu), son père a été muté à l'étranger et il a dû se séparer de l'archéologue, qui était devenu bien plus qu'un mentor pour lui. Bien qu'il vise à être un gentleman, il ne peut parfois s'empêcher de se montrer insolent. Autres petits plus : il ne se sépare jamais de sa casquette bleue, joue du violon (bien que ce détail n'ait jamais été que "mentionné" par les jeux), et il a un don tout particulier avec les animaux, si bien qu'il est capable de les comprendre et de leur parler.
Ne me demandez pas comment il fait, ce n'est que la logique du jeu (qui est censé être, il ne faut pas oublier de le rappeler, un jeu de logique avant tout. %D) ~

Emmy Altava

L'assistante du professeur. Vers les 25 ans, cette jeune lady a pourtant tout d'un garçon manqué. D'ailleurs, c'est par sa propre volonté et uniquement par sa propre volonté qu'elle est devenue l'assistante du gentleman. Tout ce qu'elle lui dit lorsqu'elle lui raconta qu'elle était désormais son assistante : " J'ai simplement dit que je voulais être votre assistante, et que je n'acceptais aucun refus. " Ses talents en arts martiaux ont d'ailleurs montré qu'il valait mieux en effet ne pas la contrarier. Elle a une passion toute particulière pour la photographie, aussi ne se sépare-t-elle jamais de son appareil photo fétiche. Bien évidemment, elle reste une lady polie et réfléchie, bien qu'elle soit parfois... « hyperactive », disons. Par ailleurs, elle aime beaucoup taquiner Luke en le traitant de " second assistant " (car, en effet, Luke a connu le professeur seulement quelques heures après elle). ~

Flora Reinhold

Jeune orpheline, descendante d'un riche baron. Elle a été recueillie par le professeur à partir du tout premier jeu (L'étrange village), et est très attachée à lui, bien qu'elle soit souvent délaissée lors des enquêtes pour sa sécurité. Elle est une véritable lady de 16 ans (14 dans les jeux), mais peut être parfois un peu trop franche et directe avec les inconnus.
Autre détail à déplorer chez elle : à part le thé, elle ne sait pas cuisiner, et ses plats ont la curieuse propriété de donner la nausée. Malheureusement, la cuisine est pour elle une passion, et elle ne se rend absolument pas compte de cette lacune, préparant toujours ses plats le sourire aux lèvres.
~

Sandra

- - BZZT - -
Erreur 404 - Page non trouvée.
Informations momentanément indisponibles. Raison inconnue.


Bon, eh bien nous allons passer à autre chose alors ! ~

NOTA BENE : Les " grandes " images sont tirées des jeux officiels (sauf Sandra, qui est made in Lutias ;3), et je n'en suis aucunement l'auteur. Les " petites " sont de moi, animées grâce à DragonEtienne :)

Résumé des différents jeux Professeur Layton

Notez qu'ils sont par ordre chronologique, et non par ordre d'apparition ! Ainsi, vous aurez les résumés dans l'ordre PL4, PL5, (PL6 lorsque j'y aurai joué, car il n'est pas encore sorti et personne n'en connaît encore rien, même pas les japonais 8D), PL1, PL2 et, enfin, PL3.
Enfin, avant de commencer, une dernière chose : ATTENTION AUX SPOILS ! SI VOUS AVEZ L'UN DE CES JEUX ET QUE VOUS NE L'AVEZ PAS TERMINÉ, NE LISEZ PAS LA RUBRIQUE CORRESPONDANTE !
Sinon je vous tape ! è_é
L'information suivante est susceptible de révéler quelque chose d'important et de gâcher une surprise

Professeur Layton et l'Appel du spectre

(Celui qui me fournira un lien où il est possible de trouver les cinématiques françaises, en bonne qualité si possible, aura ma gratitude éternelle. En espérant que cela soit suffisant pour inciter quelqu'un à me venir en aide... 8D)

On commence avec un homme mystérieux, dans une salle sombre, qui lit une vieille légende à propos d'un spectre qui protégea une ville assaillie de bandits à la demande d'une jeune fille, qui avait joué de la flûte et l'aurait ainsi attiré. Cela se termine par l'homme qui se lève, et dit à ce qui semble être son domestique un étrange "Je pense que le temps est venu pour nous d'en écrire la suite." Sur ce, on change de tableau, et on a droit à une sorte de "trailer" de la suite où on voit le professeur, Emmy et Luke dans une chambre d'hôtel, où ils attendent le spectre, et finissent justement par le voir (sauf que ça finit plutôt mal pour eux, car leur chambre d'hôtel finit dans un sale état).
Bref. Ce jeu débute réellement sur l'université de Gressenheller, à Londres. Une jeune femme à scooter arrive, se gare dans le parking, ôte son casque et sourit malicieusement. Plus loin, Rosa, la femme de ménage de l'université, reçoit du courrier pour le professeur Layton, et va le lui porter, tout en lui passant le bonjour (même si elle le découvre en train de dormir sur le canapé, comme d'habitude parce qu'il a travaillé toute la nuit. "Je comprends pourquoi les autres professeurs ont peur de vous", dit-elle en faisant le thé. /o/) M'enfin, je suppose que vous êtes curieux de savoir ce que contient cette lettre. Le professeur l'ouvre, la lit (en oubliant complètement Rosa qui continuait de parler aux murs en disant quelque chose comme "Ah, au fait, le doyen Delmona est passé, et il m'a demandé..." pour après broder des trucs sans intérêt), et perd son sourire. Il se lève, met son manteau, annonce à Rosa qu'il doit partir... mais il fait demi-tour, et n'oublie tout de même pas de lui prendre la tasse de thé qu'elle tient, d'en boire une gorgée, puis de repartir en courant en balançant un "Merci !". (ça, c'est un gentleman ! /PAF)
Bref, alors qu'il passe dans sa Laytonmobile (peut pas l'appeler "voiture", comme tout le monde ? Bah nan, faut croire... /o/), la fille au scooter se dépêche de remettre son casque et le suit à toute allure en chauffard parfait (Haha). Elle arrive à l'arrêter, puis se retrouve on-ne-sait-trop comment à ses côtés dans la voiture, avec son scooter d'attaché sur le toit. Là, elle se présente : Emmy Altava, nommée assistante du professeur Layton "par le doyen Delmona lui-même" (bien qu'elle l'y ait un tout petit peu forcé, faut dire... 8D). Après lui avoir exposé le fruit de ses longues recherches sur lui (allant jusqu'à dire, au final, "Vous avez 34 ans, vous êtes célibataire et vous êtes... capricorne, je ne me trompe pas ?", le professeur Layton ne pouvant répondre qu'un "Je vois que vous avez fait des recherches plutôt... approfondies." 8D). Enfin, je vais abréger.
La lettre est d'un certain Clark Triton, ancien camarade d'université du professeur (quand ils étaient étudiants) ; il conte que, dans le village où il se trouve, Misthallery, "un géant nimbé de brume rase nos maisons !" which is very, very logical (oopas). /O Après avoir assuré à Emmy que c'était un gars très sérieux et qui n'était pas du genre à plaisanter, le professeur conduit sa voiture jusqu'au village.
Note : Des fouilles archéologiques y sont menées, car il paraît que le légendaire "Jardin d'or" y serait caché. Je dis ça, je dis rien, c'est juste pour info. /o/
Lorsque nos compères arrivent, ils découvrent en effet des maisons complètement détruites. Après quelques photos et questions, ils vont à la maison du maire, qui se trouve être justement Clark. Celui-ci lui assure pourtant n'avoir jamais écrit de lettre, bien qu'il soit en accord avec le fait qu'un étrange phénomène détruisait les maisons de la ville. Layton demande à voir son fils, Luke, sous prétexte qu'il ne l'avait plus vu depuis qu'il était bébé. Clark le prévient tout de même qu'il est très renfermé sur lui-même depuis un moment, et qu'il est difficile de lui parler. Mais ils y vont quand même, et c'est là qu'on se rend compte que le professeur avait une autre raison pour aller le voir : sitôt entré, il montre la lettre et dit calmement : "Voici ta lettre. Est-ce que tu veux la reprendre ?"
Luke avoue (silencieusement) qu'il est celui qui lui a demandé de l'aide, et on se rend compte également qu'il est mystérieusement capable de prédire les apparitions du spectre. Après s'être fait disputer par son père, il se décide à accompagner le professeur et Emmy (une fois le père parti, et sans le prévenir bien entendu /o/). Il leur fait office de guide touristique, et les amène à un hôtel tout près de la prochaine cible du spectre. Comme dans le "trailer" du début, celui-ci apparaît bien et démolit le mur de l'hôtel d'un "coup de griffe". Ils entendent alors le son d'une flûte, et décident donc d'en rechercher l'origine. Mais lorsqu'ils sortent dans la rue, non seulement ils ont perdu la trace du spectre (trop de brouillard), mais en plus la mélodie de la flûte semble provenir de partout à la fois, malgré toute logique. D'après Luke, c'est la "Flûte du spectre", tout simplement. Après quelques recherches, on découvre qu'une rumeur dit que cette flûte avait été vendue au marché noir ; il faut donc chercher ce marché noir, parler à son gérant et lui demander à qui elle a été vendue. Mais ce n'est pas une mince affaire, et en plus ils se rendent finalement compte que le gérant, le mystérieux "Corbeau noir", n'est en fait pas une seule personne, mais tous les enfants prolétaires qui passent leur vie au marché et profitent de la stupidité des adultes pour leur piquer un peu d'argent en leur vendant des antiquités. /o/ Bref, le professeur parle avec le chef du clan, Corvus, qui leur informe que l'acheteur, Evan Barde, est décédé depuis un an, mais que c'est apparemment sa fille - accusée de sorcière par les gens du village, car quiconque ose lui faire du tort finit apparemment très mal - qui détient cette flûte.
Notre groupe se rend donc au manoir des Barde, qui est très mal entretenu. Suite à la rencontre avec Seamus, le jardinier du manoir (alors que le jardin est en friche... Very logical. /o/) qui leur affirme qu'il n'y a personne là-dedans. Pourtant, le professeur a juré avoir aperçu quelqu'un à l'intérieur, et notre groupe se met en tête qu'Arianna, la fille de feu Evan Barde, est peut-être retenue captive par le jardinier. Conclusion : il faut aller la sauver, quitte à entrer en douce dans le manoir pour ça. /o/ Ce qui n'est pas très difficile, puisqu'ils trouvent facilement un passage autre que la porte d'entrée. Cependant, Arianna se porte apparemment très bien, (bien que renfermée sur elle-même et tout sauf contente d'être dérangée dans son travail très distrayant qui constitue à ne rien faire /o/), sauf qu'elle se considère comme maudite. Elle ne leur dit rien du tout, les fait sortir de là vite-fait bien fait, et nos amis se retrouvent à la case départ en trois secondes... Sauf qu'ils décident de prendre Seamus en filature, sous prétexte qu'il pourrait leur donner des informations. Même s'ils ont infiltré sa propriété en parfait état de conscience, il pourra bien les aider, il leur pardonnera bien... Haha.
Bref, ils apprennent qu'il va souvent au marché, et ils y vont également. Cependant, nulle trace de vieillard dans le marché, juste les racontars d'un jeune "gosse de riche" qui pille les magasins (surtout à bonbons) et qui passe de temps à autres. Déjà, le professeur se doute (probablement) de quelque chose, mais lorsqu'il voit une "marque de la sorcière" sur une maison, avec un papier à bonbon par terre... Le masque tombe, comme qui dirait. Le groupe retourne au manoir et explique à Arianna que, en fait :
1 - Seamus est en réalité Tony, son petit frère, qui se déguisait (et est apparemment très bon en théâtre).
2 - C'est encore lui qui est responsable de la "marque de la sorcière", car il ne veut pas qu'on dise du mal de sa sœur sans que cela soit impuni. Sauf qu'après, cette histoire de sorcière, il n'y est pour rien, c'est pas sa faute si les gens sont si superstitieux. u_u
Cependant, les deux enfants ne se décident toujours pas à leur donner d'infos sur quoi que ce soit. Têtus, va.
Ainsi, comme l'affaire semble tourner autour d'Evan Barde, le groupe se décide d'enquêter autour de sa mort, et se rendent donc au commissariat pour demander des infos. Emmy retourne à Londres pour obtenir des documents à Scotland Yard, car une copie des rapports de police s'y trouvent, et qu'à Misthallery le commissaire est absent et on ne peut donc pas accéder aux originaux avant son retour. Elle se rend compte que, niveau journaux, d'ailleurs, l'affaire du spectre est totalement passée sous silence (et d'ailleurs, elle n'en avait jamais entendu parler avant d'aller à Misthallery...). Elle peut accéder aux archives grâce à une vieille connaissance d'influence à Scotland Yard : l'inspecteur Grosky. Celui-ci décide de l'accompagner durant le retour, d'ailleurs. Sauf que le scooter n'a qu'une seule place...
Grosky. - Ah, enfin un peu d'exercice !
Emmy. - Inspecteur... Vous n'avez pas l'intention de marcher jusqu'à Misthallery...?
Grosky. - Marcher ? Quelle idée saugrenue ! J'ai bien l'intention de courir jusqu'à Misthallery ! /o/
Note : Et il l'a fait, le bougre ! :')
De leur côté, le professeur et Luke continuent d'interroger les gens. Luke donne finalement un carnet contenant toutes ses notes, en ordre, avec date/lieu/autres sur chacune des apparitions du spectre, ce qui étonne le professeur (faire preuve d'autant d'organisation, à dix ans ! J'adore ce gosse !) Ils découvrent aussi que le commissaire Jakes, de Misthallery, est surnommé "le commissaire futé" car il a résolu toutes les affaires qu'on lui a soumises, sans exception.
Lorsque les amis se rejoignent, Layton veut expliquer la situation à Grosky, mais celui-ci part directement au commissariat sans lui laisser le temps d'en placer une. En examinant les documents d'Emmy, on découvre qu'Evan Barde se serait suicidé en se jetant du haut d'une falaise et que le seul témoin était Clark Triton, alors qu'il pêchait. Le plus étrange est que la victime légua TOUTE sa fortune à Clark, sans même mentionner ses enfants. Suite à ça, on apprend que le commissaire est rentré ; ni une ni deux, ils vont le voir. Cependant, le commissaire n'est : d'une, très confiant sur ses capacités (trop, même), voire sacrément louche dans ses rires sadiques à peine masqués, de deux, très pas content qu'on vienne empiéter sur son enquête. Il laisse vingt-quatre petites heures à nos amis pour quitter la ville sans demander son reste.
Quoiqu'il en soit, ils s'en fichent et vont quand même voir Clark pour demander des explications, na. :P Lorsqu'ils le voient, il a l'air très embarrassé, surtout lorsque son domestique rentre dans la salle. Il s'arrange pour demander à son ami d'aller dans la cave à vin (laissant deviner qu'il y a quelque chose là-dedans), sans s'expliquer pour autant. Cependant, ils ne remarquent rien, et lorsque le domestique, Doland, descend pour leur expliquer qui était ce Evan Barde, on se rend compte que c'était un type franchement pas apprécié du village, qui demandait des loyers exorbitants à tout le monde. De quoi se demander s'il s'était vraiment suicidé, car le rapport de l'affaire montre vraiment des détails suspects. Donc, c'est à présent certain, quelqu'un a tout orchestré dans l'ombre, allant jusqu'à fausser les résultats de l'enquête ; seules deux personnes semblent avoir suffisamment d'influence pour ça : Clark, et Jakes. Le premier étant déjà consulté, et étant de plus un ami d'université, il est vite "écarté" pour le moment, et le commissaire est bien prioritaire (l'avait qu'à pas rire machiavéliquement comme un imbécile, na !). En se rendant au commissariat, le groupe est cependant attaqué par trois gros types louches et musclés, facilement mis en pièces par Emmy (en dix à vingt secondes top chrono ! Faudra qu'elle m'apprenne ! /o/). Ils rencontrent alors Grosky qui, s'étant informé auprès de Jakes, a appris qu'un homme avec un chapeau bizarre et une femme en jaune avaient kidnappé le fils du maire et posaient à présent des questions bizarres à tout bout de champ, emm...bêtant tout le monde par la même occasion. Il réfléchit deux secondes, et s'apprête à les arrêter lorsque le professeur lui prouve qu'il a été visiblement induit en erreur par le commissaire. Mais, avant de pouvoir ajouter quoi que ce soit, l'inspecteur est déjà reparti lui dire deux mots, à ce commissaire.
Grâce aux notes de Luke, le professeur déduit l'emplacement de la prochaine attaque. Ils s'y rendent, et Luke, en regardant le canal (Misthallery a plein de canaux partout, en fait. Et des gros tuyaux tout rouillés qui servent à rien aussi, d'ailleurs. /o/), affirme qu'en effet l'attaque aura bien lieu là. C'est ainsi qu'on apprend son truc sur les prédictions : il a d'abord remarqué ça par hasard, mais, peu avant l'attaque, le niveau de l'eau du canal baisse dans la zone qui va être attaquée. Pour trouver cet emplacement tout en restant cloîtré dans sa chambre, il parle à ses copines les souris qui courent partout dans la ville, tout simplement. /o/

(à éditer)

Professeur Layton et le Masque des miracles

(à éditer)

Professeur Layton et l'Étrange village

(à éditer)

Professeur Layton et la Boîte de pandore

(à éditer)

Professeur Layton et le Destin perdu

Introduction

On retrouve donc notre cher professeur accompagné de Luke dans un bus, qui se rend vers Midland road. En effet, notre duo est en pleine réflexion devant une mystérieuse lettre, qui aurait été envoyée dix ans plus tard, par Luke lui-même, depuis le futur. Le professeur se rappelle que cela a peut-être un lien avec les événements de la semaine passée, autrement dit une expérience publique (à laquelle ils avaient assisté) sur un prototype de machine à voyager dans le temps, qui s'est soldée par un échec, une explosion et la disparition du docteur Stahngun (auteur de cette machine), du Premier ministre britannique qui avait accepté de servir de "cobaye", et plus tard de certains scientifiques particulièrement doués en la matière. La lettre donnant rendez-vous à l'horlogerie de Midland road, c'est donc pour cela que notre duo s'y rend, afin d'essayer d'éclaircir ce mystère bien entendu.

Présentation de l'expérience
La fameuse expérience en question

Une fois dans cette fameuse horlogerie, une certaine Spyrale et son mari Foliot les accueillent et démarrent sans tarder une grosse horloge tout au fond. La boutique est secouée de partout, puis nos deux amis se décident de sortir pour essayer de comprendre ce qu'il s'est passé. Et là, ils découvrent avec surprise un Londres qui a radicalement changé.

" Mais enfin, que se passe-t-il ici ? "

Après plusieurs hypothèses toutes réfutées (dans le genre : " Nous avons dû prendre une autre sortie que celle par laquelle nous étions entrés, c'est pour ça qu'on ne reconnaît pas le quartier. ", réfuté par le professeur qui est sûr d'être sorti par la même porte.), ils sont encore plus perdus qu'avant. Rencontrant un certain Tournay qui, après s'être assuré de bien être face au "véritable professeur Layton" (bah oui, les imposteurs ça existe u_u), il leur donne une autre lettre (toujours de ce mystérieux "Luke du futur") qui leur donne rendez-vous cette fois à l'hôpital d'Auckland lane, là où ils devraient trouver une preuve qu'ils sont bien dix ans dans leur futur. Ils y découvrent le docteur Schrader (l'ancien mentor et ami du professeur Layton), qui a bel et bien vieilli d'au moins dix ans. Après s'être également rendu compte que la voiture du professeur n'avait pas été révisée depuis longtemps, (au point de ne plus pouvoir être remise en marche u_u), nos londoniens retournent du côté de Midland road. En effet, la fameuse voiture avait une lettre (encore ?! Bah oui), toujours de notre cher Luke du futur, qui cette fois donnait rendez-vous au casino de Flatstone street, pour cette fois ENFIN rencontrer en chair et en os l'alter-ego de notre apprenti préféré. Une fois renseignés, ils s'y rendent, mais rencontrent en chemin une mystérieuse jeune femme, qui ressemble à s'y méprendre à Claire, l'ancienne petite amie du professeur. Qui, il ne faut pas oublier de le dire pour bien justifier la surprise du gentleman, est bien sûr morte il y a pas moins de dix ans. Eh oui, c'est triste. Et très troublant puisqu'elle était bien vivante, par dessus le marché. u_u

Apparition
Le Luke du futur

Bref, après un petit flashback, nos deux amis se rendent au casino, y rencontrent le fameux "Luke du futur" qui leur explique ce qu'il s'est produit durant ces dix années : suite à la présentation de la machine à voyager dans le temps (qui était celle d'il y a une semaine d'après l'époque de nos amis), le docteur Stahngun (qui est en fait un pseudonyme) avait réussi à convaincre le professeur Layton de l'aider. Celui-ci a radicalement changé en dix ans, au point de gouverner Londres d'une main de fer et de se faire appeler "le démon au haut-de-forme" (qui explique d'ailleurs pourquoi, dans ce Londres du futur, tant de monde est effrayé à la vue de notre gentil gentleman). Le Luke du futur explique également que, s'il les avait fait venir dans le futur, c'était pour l'aider à rendre l'ordre dans toute cette pagaille, car " Seul le professeur Layton peut vaincre le professeur Layton ".
Sauf que, au moment de repartir du casino (qui est en fait une des bases de ce fameux Layton du futur), eh bien ils se font tout bêtement attaquer par les membres du Clan, les sbires du professeur du futur.

" Rattrapez-les ! "

Après une petite réflexion, un ramassis de débris de machine à sous et une petite énigme bien placée, nos amis peuvent enfin les faire battre en retraite.

Par la suite, après une évasion plutôt mouvementée du casino, notre trio retrouve Tournay (qui est en fait un ami du Luke du futur) dans un restaurant près de Flatstone street. On y apprend que la base principale du professeur du futur serait dans le quartier de Chinatown, dans un certain "Temple du dragon". Le Luke du futur propose de s'y rendre en éclaireur (et il s'en va comme une flèche sans même demander l'avis de personne u_u), et donc nous passons à nouveau d'un trio à un duo, qui va lui aussi vers Chinatown. Encore une fois, rendus sur Flatstone street on retrouve la même mystérieuse femme qui ressemble à Claire (qui est toujours censée être morte, bien évidemment).

Apparition (bis)

Second flashback, puis retour à la réalité : c'est vrai qu'il fallait aller à Chinatown. Sauf que, à l'entrée d'une porte qui est censée mener à ce quartier, on se rend compte que ladite porte est gardée, et que les gardes (pas commodes) refusent toute entrée, bien évidemment. En attendant de trouver un autre moyen d'entrer, nos amis retournent à leur époque, grâce à l'horlogerie de Midland road (oui oui, celle qui les y avaient emmenés, la machine à voyager dans le temps est en fait plus ou moins cette grosse horloge du fond, et Spyrale et Foliot sont les amis du Luke du futur). En prenant un raccourci par un parc où se trouve un petit observatoire avec vue sur la ville, ils y arrivent après un rapide accroc sur une porte qui avait mystérieusement été verrouillée par une énigme (alors que d'habitude elle est toujours ouverte, bien sûr).

Là-bas, le professeur veut rencontrer l'inspecteur Chelmey pour avoir des infos sur une autre affaire, qui avait eu lieu dix ans auparavant. Une autre histoire de prototype de machine à voyager dans le temps, bien entendu, et dont l'inspecteur avait peut-être accès aux dossiers. Après être également passés par l'université de Gressenheller, on y rencontre une Flora furieuse d'être laissée à l'abandon (car oui, durant tout le début de l'affaire, elle était dans le bureau du professeur en train de " compter les mouches "). Après avoir pris un petit carnet tout vieux dans ses affaires, le duo profite d'une petite absence de Flora (partie leur faire du thé) pour s'éclipser en douce. Comme toujours parce que c'est une affaire trop dangereuse pour la jeune adolescente, qui revient quelques minutes plus tard avec un plateau contenant des tasses de thé et des sandwiches (à ne pas goûter si on veut rester en bonne santé, tout naturellement). Et là, bien sûr, on a droit au classique " ... Mais où sont-ils passés ? Oo' "

Bref. Notre duo se dépêche de retourner vite-fait à l'horlogerie pour retourner dans le futur, mais là bien sûr ils ont été suivis, et c'est en pagaille que ce ne sont plus deux personnes, mais cinq qui se retrouvent dans une autre époque. Bah oui, cinq : le professeur, Luke, Flora, l'inspecteur Chelmey (qui n'était pas convaincu des arguments et des théories "farfelues" de notre cher professeur) et son acolyte Barton. Bref, les policiers décident d'élucider ça vite-fait de leur côté, notre trio se rend vers le restaurant où ils avaient croisé Tournay (car il leur avait dit qu'il fallait le retrouver là si on ne savait plus que faire). Après un rapide détour vers l'hôtel Duke (dans lequel ils avaient pris une chambre) où nos londoniens espéraient pouvoir laisser Flora pour qu'elle soit hors de danger (sans succès), le trio se rend dans l'observatoire du parc, car Tournay leur avait dit que le Luke du futur les y attendait (et voulait s'assurer qu'ils n'étaient suivis par personne). On se rend compte que, depuis un moment, nos amis étaient suivis par une mystérieuse jeune femme, en effet. Après un petit épisode où Luke apprend à son perroquet (oui oui, Luke s'est lié d'amitié avec un perroquet peu auparavant) à imiter la voix d'un des chefs de la bande au service du professeur du futur afin de faire partir les gardes de Chinatown, ils peuvent sans encombre rentrer dans le fameux quartier.

Après une petite enquête là-bas, on se rend compte que le fameux Layton du futur n'est pas dans le temple, mais qu'il fréquente souvent un restaurant qui se trouve sur les bords de la Tamise, le " Thames arms ". Ils s'y rendent, et se rendent compte qu'ils viennent de louper le départ de ce cher Layton du futur, qui est déjà reparti pour Chinatown. Et c'est reparti pour un tour, on revient à Chinatown encore une fois (heureusement qu'il y a le métro). %)
NB : Nos amis sont intrigués par un phare sur la Tamise. Un phare qui n'a bien sûr rien à faire là.

Le temple du dragon

Juste avant d'entrer dans la rue qui mène au temple, le professeur disparaît pour quelques minutes, laissant un papier dans le dos de Flora qui disait aux autres de continuer sans lui, qu'il avait quelque chose à faire quelque part. Mais, un peu plus tard, notre gentleman préféré revient auprès de ses amis.

Après une bonne série d'énigmes dans le temple...

Confrontation avec le Layton du futur

Une fois au Temple du dragon (en compagnie du Luke du futur, qui les a rejoints là-bas), on découvre que le professeur Layton du futur est en réalité un imposteur, le docteur Alain Stahngun lui-même, alias Dimitri Allen, et qu'il avait également travaillé au projet de machine à voyager dans le temps qui avait eu lieu dix ans auparavant (en partant de l'époque de nos amis).

Imposteur !
" C'est fini, Dimitri ! "

On apprend qu'il aimait Claire (sans retour), et que c'était pour cela qu'il voulait voyager dans le temps : il voulait la sauver de cette mort a priori inéluctable. Celui-ci réussit à emprisonner nos amis dans une cage, et c'est là qu'on apprend aussi qu'en fait Don Paolo s'était déguisé en professeur Layton pour tromper Dimitri (sous demande de celui-ci d'ailleurs), et c'est dans une surprise générale que, à peine enfermés dans la cage, on se retrouve avec deux professeurs, l'un dedans, l'autre dehors.

Don Paolo

Et c'est dans une simple énigme que celui qui est dehors (alias le vrai) sort tout le monde de la cage. %)
Cependant, Dimitri profite du bazar installé pour s'échapper avec son otage (le Premier ministre inconscient lui-même), et par la même occasion pour déclencher une alarme et prévenir ses sbires qu'il y a des intrus. Après une rapide fouille de la salle, nos londoniens réussissent à trouver une trappe secrète et l'empruntent afin de s'échapper de même. Cependant, pour plus de sécurité ils se séparent en deux groupes : professeur, Luke, Don Paolo d'un côté, Luke du futur et Flora de l'autre.

Une fois dehors, le trio se retrouve amputé de Don Paolo, qui dit avoir à faire quelque part. On apprend tout de même plusieurs choses avant son départ : d'une, Don Paolo aimait Claire (mais Claire préférait Layton, d'où cette rivalité instaurée entre les deux (enfin, surtout du côté de Don Paolo, jusqu'à vouloir " l'écraser sous une grande roue " comme dit Luke)), de deux, il s'était également déguisé en un docteur Schrader plus vieux de dix ans lors de la visite à l'hôpital d'Auckland lane, de trois que cette fameuse Claire était en fait l'une des trois scientifiques qui avaient travaillé pour le projet de machine à voyager dans le temps, et que c'était à cause de l'échec de l'expérience (elle en était le "cobaye") qu'elle était morte.

Petit flashback de Don Paolo

Le professeur et Luke se rendent à nouveau à l'hôtel Duke par le métro, et ils y retrouvent Flora, le Luke du futur étant déjà reparti après avoir dit qu'il y avait eu un "imprévu". Une fois dans la chambre d'hôtel, l'inspecteur Chelmey arrive en trombe et dit avoir vu une des victimes de l'ancienne explosion de machine à voyager dans le temps qui avait eu lieu dix ans auparavant, alias Claire (comme quoi, le professeur n'est pas le seul à avoir des hallucinations). Une fois à moitié persuadés que ce n'est qu'un sosie de Claire, et que ce n'est donc qu'une coïncidence, Chelmey repart, et nos amis s'apprêtent à faire de même. La femme de chambre, Becky, les stoppe cependant pour parler chiffons, et on se rend compte soudainement que Luke a disparu au beau milieu de cette discussion.

Après une errance dans le quartier de Flatstone street, on retrouve notre apprenti préféré devant une statue représentant un enfant et un écrivain (qui ressemblent à s'y méprendre à Luke et son mentor), en train de réfléchir. On apprend qu'en fait son père a été muté, et qu'il va bientôt déménager à l'étranger (et donc se séparer du professeur). Après une discussion remplie d'émotion et une répétition des explications de Becky concernant un laboratoire de l'autre côté de la Tamise et une histoire de tunnel sous le fleuve qui permet de s'y rendre (comme quoi, ses chiffons servaient à quelque chose), le groupe se rend au marché noir devant l'entrée de Chinatown pour y trouver un certain Segal, qui lui s'y connaît encore plus dans ces chiffons-là. On apprend donc que ce tunnel est tout près du " Thames arms ", et on s'y rend donc tout naturellement, car le laboratoire est (on l'apprend suite à une déduction à la Layton) une base de Dimitri encore plus importante que le Temple du dragon.

On y retrouve d'ailleurs Don Paolo, dans ce laboratoire. Il fait route avec eux, mais nos amis sont à peine sur le point de pénétrer dans le laboratoire central (où se trouve probablement Dimitri) que ses sbires les retrouvent. Ils sont coincés, et c'est là qu'une jeune femme ouvre une porte sur le côté et leur fait signe de la suivre. Ô hasard, c'est la fameuse femme qui ressemble à Claire. Ni une, ni deux, tout le monde la suit sans réfléchir, et ils parviennent à semer leurs poursuivants. La jeune femme en question dit qu'elle est en réalité Céleste, la petite sœur de Claire, et qu'elle suivait le professeur Layton pour pouvoir en savoir plus sur la mort de sa sœur. Elle dit avoir coupé les ponts avec elle il y a longtemps, et c'est donc pour cela que Claire n'a jamais parlé d'elle à qui que ce soit. On n'a pas le temps d'en savoir plus que les sbires de Dimitri refont surface, et nos amis doivent donc s'évader véritablement du laboratoire, et en vitesse s'il vous plaît. Don Paolo et Céleste s'enfuient d'un côté, Layton et les deux adolescents de l'autre. Céleste dit cependant, juste avant de partir, qu'ils devaient se retrouver " dans les bras du grand-père ". Une fois totalement évadés, le professeur explique qu'il s'agit en fait du " Thames arms ".

Tout le monde s'y rend, bien entendu, et on y retrouve Don Paolo et Céleste, qui s'étaient servis de la machine volante de Don Paolo pour s'enfuir, et on retrouve également Chelmey et Barton, ainsi que le Luke du futur. Tout le monde rentre dans le restaurant, et les fameuses révélations laytoniennes peuvent enfin commencer.

Professeur, nous vous écoutons ! Vous êtes en direct de Londres ! /o/

Là, comme vous pouvez vous en douter, on en apprend des choses :

D'une, " la machine à voyager dans le temps est un mythe ". Le soi-disant Londres du futur est en fait une réplique de Londres futuriste bâtie sous le vrai Londres, dans d'immenses cavernes souterraines qui avaient récemment été découvertes. En gros, c'est comme un gigantesque décor de cinéma bâti par Dimitri Allen pour faire croire aux scientifiques qu'il avait enlevés qu'ils se trouvaient dans le futur, et que, s'ils voulaient " rentrer chez eux ", eh bah ils n'avaient qu'à fabriquer une vraie machine à voyager dans le temps.

De deux, le barman est en fait Dimitri lui-même, qui les espionnait donc depuis le début.

De trois, Bill Hawks, le Premier ministre, est le troisième scientifique à avoir travaillé pour la première machine à voyager dans le temps, et d'ailleurs l'unique responsable du déroulement de la fatale expérience. En effet, Dimitri était totalement contre (et d'ailleurs, il était surtout contre le fait que ce fût Claire le "cobaye"), et avait même découvert des anomalies dans les plans de la machine, mais Bill n'avait rien écouté et avait quand même fait l'expérience, qui s'est bien sûr soldée par un échec cuisant (une petite dizaine de victimes, dont bien sûr Claire). Ce n'est que plus tard que Dimitri s'est rendu compte que son ancien associé avait vendu les plans de la machine à une multinationale, et que cette expérience lui a malgré tout donné une grosse somme, qui lui a finalement valu de se lancer en politique avec succès, au point de devenir le Premier ministre britannique. La seconde raison pour Dimitri de vouloir voyager dans le temps était de l'empêcher d'avoir ce " succès immérité ".

Flashback de Dimitri
C'est pas bien de montrer du doigt ! /o/

De quatre, en vérité Dimitri n'est qu'un pion, dans cette affaire, et pas the boss tout-puissant. Non, en vérité quelqu'un a un autre plan : ce fameux "Luke du futur", qui est en réalité un certain Clive Dove, dont les deux parents furent victimes de l'explosion de la première machine à voyager dans le temps, en même temps que Claire et sept autres personnes. Il avait donc voulu se venger, en créant une gigantesque machine de guerre.

Clive s'enfuit

Bah oui. Une fois démasqué, Clive s'enfuit donc en effet en kidnappant Flora par la même occasion, et se dirige vers le mystérieux phare de la Tamise. On se rend compte que c'est en fait le sommet de la machine en question, car la forteresse mobile surgit des flots quelques secondes plus tard (avec Flora et Clive dedans, bien sûr).

La machine de Clive (ou comment planquer une gigantesque machine de guerre sous un phare)

Donc, après quelques petites discussions, Layton et Luke décident de s'y rendre en se servant de la réplique de la voiture du professeur, qui a habilement été rafistolée par Don Paolo (c'était le mystérieux "quelque chose à faire quelque part").

Laytonmobile ?!
Clive passe aux choses sérieuses...

En plein milieu d'un parcours semé d'embûches à l'intérieur de la forteresse, Céleste se met à rejoindre le groupe, et finalement aide à sauver tout le monde grâce à son savoir en mécaniques (Layton lui fait d'ailleurs remarquer que " Claire aurait été fière de vous, votre savoir me surpasse largement. "). Par la même occasion, en plus de sauver Flora, on retrouve également notre cher Premier ministre.

On voit bien que la machine ne marche pas aussi bien qu'avant...

Le problème est que le sabotage du générateur cause une réaction en chaîne, et ils n'ont plus que quelques minutes pour se tirer vite-fait bien-fait de là. Le seul moyen de s'en aller est d'utiliser la voiture (ce qui est complètement farfelu, puisqu'ils sont à plusieurs centaines de mètres en hauteur, mais ils n'ont pas le choix).

Évasion en voiture ?!

Après une énigme bien placée pour virer de là vite-fait bien-fait tous ces gros... machins, on peut continuer ! 8D

" Ouah ! La Laytonmobile vole ! "

... et lors d'une chute finale on se rend compte que Don Paolo a intégré des ailes rétractables à cette fameuse voiture. C'est donc sains et saufs que tout le monde est sauvé, même Clive (grâce à Céleste, qui a insisté pour retourner le chercher).

Céleste décide de sauver Clive
Sauvetage de Clive

Tout le monde est revenu dans le vrai Londres, tout est fini, Clive est arrêté et le danger est écarté (quoiqu'il y ait eu pas mal de dégâts et de victimes, quoique ce ne soit pas officiellement annoncé dans le jeu). Sauf que, on se rend compte que le professeur avait tort sur UN point, dans ses révélations. Céleste.

Chelmey arrive en trombe et affirme que Claire n'avait en fait jamais eu de sœur. Eh oui. Dimitri explique qu'en fait Claire avait bel et bien voyagé dans le temps, dix ans plus tôt. Jusqu'à l'époque de nos amis londoniens.
Mais, comme il faut bien sûr que la machine qui l'avait fait voyager dans le temps ne marche pas bien, Claire montre des signes " d'instabilité moléculaire " (Erf. Je ne trouve pas ça scientifique, mais c'est ce qu'a dit Dimitri... u_u), et donc il faut que, malgré elle, son corps veuille retourner tout naturellement à son époque, pour qu'elle meure bien à l'époque à laquelle elle était censée mourir. Ce sont donc des adieux déchirants entre Claire et le professeur, au bout desquels la jeune scientifique s'en va définitivement, retournant tristement à son époque...

Départ de Claire

Après les crédits, enfin, on voit juste pour le "fun" le départ de Luke en ferry. Je vous laisse regarder, plutôt que de vous faire un résumé tout moche. 8D

" Il est temps de se dire adieu. "

BONUS :
Vidéo
(Petite vidéo qui n'a strictement rien à voir avec l'histoire. Il s'agit en fait de Dardar, un bourdon qui a été chargé par Mamie Mystère de s'occuper des énigmes à sa place. Jusqu'à ce que... Bah regardez pour savoir jusqu'à ce que quoi ! xD)
Vidéo
(Petite vidéo qui n'a pas non plus grand chose à voir avec l'histoire, c'est juste qu'à un moment sur les rives de la Tamise, un lapin (pas commode) ne veut pas laisser passer nos amis)

Notez que les vidéos sont celles du jeu (sans blague), et que je les ai prises par hasard sur youtube, juste parce qu'elles étaient en bonne qualité.
Article ajouté le Samedi 01 Septembre 2012 à 10h33 |
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