DES POEME VENER VITE et des QUESTION POUR VOUS!!!
de aimencool paraportman

moi c platine et sousilver

MOI C CHARIZARD(DRACOFEU)

La vie d'un enfant est parfois triste,

Surtout lorsque son père n'est pas physionomiste,

La vie d'un enfant devrait étre celle d'un artiste,

Où ses parents seraient scénaristes,

A quoi tien la vie de notre merveilles,

Depuis qu'elle est naît notre vie n'est plus pareille,

Des rires, des grimaces, des pleurs,

Aujourd'hui séparés, nous allons lui brisée son petit coeur,

Comme le soleil illumine mes jours,

Moi, ton père, je t'aimerai toujours,

Notre vie a été malheureuse, mais est ainsi faite,

La tienne, Maman , je te le promet sera Parfaite.

Cœur et âme
Si mon âme est sereine
Mon cœur ne l’est pas.
Il a une lourde peine
Et un grand désarroi.
Mon âme qui n’est pas,
Mais qui est là quand même,
N’a pas tous ces émois
Ou bien ces grandes peines.

Mon esprit qui volette,
Mon cœur qui est volage,
Sont dans la même tête
Et dans la même cage.
Ils ont un point commun
Et je crois que c’est toi,
Cette fille aux cheveux bruns,
Qui m’habite déjà.

Mon cœur t’a choisi,
Mon âme ne sait pas,
Elle n’est pas là pour ça,
Mais lui, bien sur que si.
Mais s’il me faut choisir,
Entre une âme éternelle
Et un cœur qui chavire,
Je choisis sans appel
Ce cœur qui va périr
Car c’est lui qui a pu
Donner cet élixir
Dont mon corps s’est repu.

Evidence, évidence, soyons lucide et laissons gagner le doute,

Saluons le desespoir sans le regretter !

Partons enfin vers ce que l'on redoute...

Oh, non ! Ne plus douter, ne plus se laisser avoir et regretter,

Inondons nos coeurs de ce que l'on peut croire,

Regardons de nouveau ce que nous aimons, gardons encore espoir...

Il est en moi…

Il est une ombre surgissant d’une mort oubliée.
Qu’une tierce personne que vous retrouvez,
Vous titillant à la porte close de votre pensée.
Puis toc et vous rappelle qu’elle est bien là.
Vous montre du doigt un trajet que vous calquez,
Qu’elle-même suivait et vous l’ignorez comme moi

Un secret que vous partagez et voilà une découverte.
Le seul être auquel vous n’aviez pas pensé et qui
Tout comme vous, il avait cette âme de poète.
Il n’est plus là pour vous en parler de cette muse,
Choyait et tant rêvait qu’il vous apparaissait acquis,
D’une confidence établit bien ce silence morose.

Adieu l’âme poète, je ne saurai jamais tous ces secrets.
Ceux, que tu cachais tendrement sur tes feuillets disparus,
Ecrits avec tes mots, ces prosodies à même si peu distillées,
Egarées aux feux des tristes oubliés, tes vers non retenus.
Maintenant ne l’ignorant pas, je sais d’où me vient cette envie
De mettre par écrit ces moments décisifs de ma vie…

Adieu Grand-père…

-Je suis dans le noir.

-L'impression d'avoir perdu la mémoire.

-Je marchais.

-Sans savoir où j'allais.

-Quand je fus un pas.

-J'entendis un bruit là bas.

-Mais ce n'était pas mes pieds.

-C'était un son plutôt irrégulié.

- Je continuais même ayant peur.

-Espérant qu'il n'y ait aucun leurre.

-Et quand enfin je finis d'avancée.

-Un rayon réussit à m'aveugler.

-Mais cela ne me dérangeais pas.

-En tout cas pas tant que ça.

-C'était une lune en forme de coeur.

-Et remplie de toute les couleurs.

-Tout en regardant.

-Je sentis ses battements.

-Comme si cette lune colorée.

-Etait une partie de moi oubliée.

-A partir de ce moment.

-Je regardai la vie autrement.

j'ercie je poeme pour ma maman

je voudrais qu'elle chasse

que ma plaine es encore la

c'est dans c'est bras que je grandie encore

qu'elle es la seule femme a qui je doit donner mon coeur

pour elle je decrocherai la lune

c'est t'elle qui fait pleure ma plume

je voudrai qu'elle chasse que je l'aime ernomement

toi qui fait vivre mon coeur

qui c'est grasse de jour en jour

je sais que j'ai jamais etais une fille sange avec toi

mais pour toi je decrocherai la lune

le soliel tout se que tu veux

mais je cour sans reflechire

car tes une femme que j'aime

je t'aime tellement que j'arrive plus a dormir

j'ai peur que tu parte sans me dir au revoir

je voudrai que tu oublie tout se qu'il se passe

dans le passe et que tu vie

sans souçi

pour toi je decrocherai la lune

je ferai que ca pour toi maman

car tes la seule qui ma donner la vie

je t'aime maman

a toi mon papa

six mois deja ,six mois de douleur dans mon coeur

pas un instant ne passe, sans que mes pensées vont pour toi

j'ai toujours aussi mal, j'arrive toujours pas a l'accèpter

et pourtant tel est bien la réalitée

jamais je ne pourrais asser te remercier pour tout se que tu ma apporter

et tout cette amour que tu m'as donner

mais je sais que jamais je ne t'oublirais

TOI mon père que j'ai toujours tant aimé

Déçu par les hommes,
Déçu par la vie.
C'est cher payé
Pour quelques bétises.
Lorsque l'on est jeune,
On découvre.
Comment aurai-je sû
Que cela était interdit ?
Lorsqu'ils ont découverts
Les pantoufles machoulliées,
La table renversée,
Le sac de croquettes déchiré,
Ils m'ont donné une gifle
Et m'ont abandonné.
Pourtant je voulais juste jouer.
J'ai découvert un autre monde,
Le monde de la SPA,
Tout le malheur réuni
Et rangé équitablement
Dans des cages minuscules.
Cela fait maintenant deux semaines
Que j'attends une bonne âme
Qui me donnerait une seconde chance
Je ne ferais plus de bétises, promis !
Malheureusement je ne peut exprimer ce souhait
Que par le regard
Mais les gens évitent mes yeux
Ils ne veulent pas voir
Le malheur en face
Une seule personne, jusque là,
M'a compris par ce regard
Cette personne, une bénévole,
M'a regardé dans les yeux
A planté son regard dans le mien
Puis elle a secoué la tête et m'a répondut :
"Je ne peut rien pour toi"
J'ai continué de la regarder
Et je lui ai dit,par les yeux, :
"Je ne te demande rien"
Et elle a compris.
Elle a mis un écriteau
sur les barreaux de ma cage
Qui disait tout ce que je lui avait dit
Par le regard.
Et en bas, tout en bas,
Elle avait rajoutée :
"Rien qu'un regard"
Et cela fait deux semaines
Que j'attends.
Déçu par les hommes,
Déçu par la vie.
C'est trop cher payé
Pour quelques bétises