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de Tempête de Glace

                   



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Chapitre 2 : Un soir de pluie
- C'est tout ? Mais, ceci n'est pas de mon domaine ! Ce sont les pompiers qui font cela ! S'exclama-t-il.
- Mais, enfin, monsieur, vous ne comprenez pas ... L'avenir de cette planête en dépend ! Répondit le directeur, inquièt.
- Pour de simples chats ? Qu'ont-ils de si spéciaux ?
- Je ne peux vous le dire pour l'instant ... Mais il faut les retrouver au plus vite !

Jake Ouranos regarda le directeur de la société Nomékop avec attention. Il transpirait beaucoups, sortant son mouchoir toute les deux minutes pour s'éponger le front. Il avait l'air affolé au plus haut point.

- Très bien, j'accepte. Lacha finalement le détéctive.
- Merci ...
- Mais à une condition.

Le directeur sembla de rétracter, comme un serpent prêt à se jeter sur sa proie. Instant de flottement pendant lequel une simple mouche verte, une Lucilia Caesar, seule, brisait le silence. Les deux hommes se mesurèrent du regard.

- Très bien ... Laquelle ? Fit finalement le directeur Walter.
- Que vous me parliez du projet "Pokémon".
- Bon, très bien ... Suivait moi.

Le gros bonhomme se leva de son siège, et se dirigea vers une porte. Il sortit un trousseau de clés de sa poche. Ce dernier comprenait au moins une vingtaine de clés. Il en choisit une et ouvrit la porte. Il s'engouffra par l'ouverture, Jake Ouranos à sa suite.
Au bout d'un couloir long d'une trentaine de mètres, ils se retrouvèrent face à une porte blindée. Le directeur composa un code à cinq chiffres et glissa à l'attention du détéctive :

- Ce que vous allez voir est confidentiel. Vous n'en parlerez à personne.
- Comptez sur moi. Lui répliqua le détéctive, confiant.

La porte s'ouvrit. Un flot de lumière innonda le couloir. Jake n'en croyait pas ses yeux quand il vit ce qui se trouvait derrière la porte.

***

- Maman, on gratte à la porte ! Fit la petite fille.

Aussitôt, sans attendre la réponse de sa mère qui travaillait à l'étage, elle se précipita sur la porte et l'ouvrit. Elle vit une pauvre petit créature toute humide, l'air piteux sur le paillasson de bienvenue. Il pleuvait des cordes, et de gros nuages noirs cachaient le soleil. Un éclair brisa la noirceur du ciel un instant. Quelques secondes après cet instant furtif, le tonerre se fit entendre. La petite bête regardement d'un air pitoyable la petite humaine.

- Oh, qu'il est mignon ! Viens, petite bestiole ! Fit-elle, attendrie.

Elle fit entrer le drole d'animal dans le couloir. Ce dernier avait vaguement l'apparence d'un chat. Son pelage trempé laisser deviner un pelage beige lorsqu'il était sec. La petite bête éternua.

- Viens te rechauffer devant la cheminée, mais attention, le feu, ça brule !

Elle monta dans sa chambre, laissant seule la petite créature, toujours dans l'entrée. Cette dernière entendit des crépitements. Elle s'avança dans une pièce, où, dans une cheminée de brique, brulait un feu. Il s'avança vers la masse mouvante et chaude, comme hypnotisé. Il ne pouvait lacher des yeux la forme ondulante, qui rejetait des braises ardentes. Il avança une patte et ...

- Qu'est-ce que j'ai dit ? On ne s'approche pas du feu, tu pourrais te faire mal !

Elle recula le petit chat, et l'envellopa dans une serviette orangée. L'animal se mit à ronronner lorsque la petite fille commença à le frotter energiquement pour le sécher. Lorsqu'il fut sec, la fillette l'inspecta de haut en bas.

- Mais tu n'as pas de collier ! Encore un chat de gouttière ... Je vais t'apeller ... Braise, comme tes yeux !

Ravi de son nouveau nom, Braise ronronna plus fort.

- Maintenant, il faut que je convainc maman de te garder ...
Article ajouté le Mercredi 27 Janvier 2010 à 15h19 | |

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