La fin des vacances [48]
Bientôt la fin, pour arroser ça, j'ai eu 3 caisettes de pub (aui lieu de une habituellement), mais tout le monde a été logé à la même enseigne. Beaucoup ont parlé de "faire des frigos" %)
J'ai fait signer un recomandée à une de mes jeunes collègues avant de partir : elle habite sur ma tournée :)
Germaine, me parle toujours de la fin, mais les reportages successifs sur le doyen des français (104 ans) lui redonne espoir (plus que 10 !).
"Vous en croyez pas en dieu hein ? Je le sais." J'aurai du mieux planquer mes numéros du Point sur nietzsche %)
En parlant de ça, l'aprem j'ai recroisé le petit vieux, il m'a dit "Au fait c'est quoi votre nom, Max ?" Non Loïc. "C'est pas bretonnant-bretonneux ça ?" Si un peu :)
Bastien m'attendait en bas de chez Germaine, il avait fini (je comemnçais le deuxième quart). Faut dire aussi que les 3 tours qui représentent le gros de sa tourné, il ne les fait pas. Il a stoké 6 caisettes sous sa position. Over abused. Une mauvaise langue lui a dit "De toute façon celle qui est titulaire de cette tourné, c'est une chieuse, n'hésite pas à la blinder" %) J'l'aime bien ursula moua.
Il m'a conseillé de faire de même, mais je suis trop réglo.
Je suis arrivé au grec, c'était la fin du journal, le temps que les merguez cuissent, et que je commence à manger, Maigret commençait. J'ai découvert leur toilettes aujourd'hui. Faudra que j'y retourne en septembre discuter politique avec le chef (pour ma future candidature de maire de Sartrouville).
C'est bien ce que je disais hier, ma voyante mère de famille à peu prêt baisable, aujourd'hui elel a reçu de la pub de la part d'H&M Lingérie %)
je suis rentré à 15h30, ça suxxait à mort. Un quart d'heure pour m'occuper des recommandés, ensuite j'ai tué ma caisette de courrier Retour à l'envoyeur. 12 (autollants) x 16 (feuilles) = 192.
Record battu.
Ca m'a pris 3/4 d'heure.
J'ai ensuite foncé chez moi, gouté, mini surf, imprimé la liste de courses mailé par ma copine au boulot, je suis allé chez elle, lui prendre 40 euros, ensuite 10 minutes de marche, le mec de la sécurité m'a fait déposer mon sac à l'accueil (ça me fait chier), j'ai fait mes courses en 15 minutes, et voilou.
Je me suis rendu compte que la vie était précaire quand ma copine s'est rendue compte que j'avais oublié de lui acheter des chips....
Le saiks, c'était énorme (pas d'adjectif possessif, désolé je suis trop modeste). Elle portait son joli ensemble de salope-soubrette acheté chez orcanta cette année (noir, avec de la dentelel blanche dessus). Alors qu'elle était en soutien-gorge, avec toujours son pantalon (et son string qui dépassait, ça donen envie d'y mettre la main tiens :p), elle s'est mise à 4 pates devant moi, et m'a sucé. Trooop bon, pendant ce temsp je lui ai retiré son soutien gorge, je lui ai caressé ses tétons. Ell a fini de se déshabiller, je me suis assis dans le fond de son lit, elle s'est avancée vers moi à 4 pattes, a tendu sn visage pour m'embrasser, j'ai tendu ma main pour lui caresser le clito, elle mouillait bien, je lui ai mis un doigt. Ensuite je me suis allongé sur le dos, et elle s'est pénétrée avec mon saiks. Quel pied.
On a du dormir de 7 à 8 heures.
Pour le repas, c'était la crise, il n' y avait plus de viande (celel acheté était périmée, et il n'y avait plus rien dans le réfrigérateur).
En rentrant (en RER), j'ai récupéré un numéro du Times magazine qui traianit.
Si j'ai le temps, je participerais au recensement cette année (en janvier).
Article ajouté le Samedi 26 Août 2006 à 06h30 |
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