La fin des vacances [25]
Ci-contre, une illustration couleur de Detroit Music City, ne me demandez pas de qui ça parle
Trajet aller, au feu, ça claxonne, je me retourne, je distingue vaguement mon chef. En voiture (le coup classique).
Pour une fois j'arrive à l'heure, j'entends donc le phrase prononcée au micro "Il est sept heures et quart, il est temps de passer au tri". Je l'entends pas souvent =) Généralement j'arrive à vingt.
Avoir accès à la une des journaux, c'est bien. Aujourd'hui j'ai repéré un article du Figaro sur le chômage, là je vais le lire en ligne.
J'ai eu mal de dos jusq'à mon repas au grec. Merguez, et hop ça a disparu =)
On a chanté du Polnareff ce matin, Good bye marilou, et lettee à France. Charles est plus doué pour les aigus que moi.
Ce matin je suis retombé sur le chien sauteur, je mets du courrier dans sa boite, je vais à celle d'à côté (fin de l'impasse), puis je prépare le mode vidéo de mon portable, je m'approche, et il me refait le coup du chien sauteur. Sauf qu'au bout de 30 secondes j'entends "Vous faites quoi ?" C'était la propriétaire du chien qui ce demandais ce que je foutais là avec un truc à la main en direction de son caniche. J'ai essauyé de faire une apologie de son chien "j'ai ai jamais vu de pareil", et je me susi barré sans demander mon reste, de peur qu'elle vienne vraiment se plaindre....
Hier je n'ai pas vu Germaine, aujourd'hui elle était à sa fenêtre. Je monte, elle m'offre un petit pain qu'elle avait pétri elle-même. Il était encore brûlant. Ca se mangeait. Je lui ai dit que c'était bon. Elle m'a répondu que j'étais bien le seul à penser ça ;-) J'ai essayé de la brancher sur son boulot à la Poste, mais ça a été difficile, et je n'ai pas appris grand choise mise à part qu'elle a fait tous les jobs possibles à la Poste.
J'aimerai interroger les vieux sur "est ce que ça vauit vraiment le coup d'avoir bosser toute sa vie, d'avoir donner ses meilleurs années à son patron ?"
Ensuite je suis allé au grec. Le chef part en vacances demain, il tient à ce que je passe pour lui dire au revoir.
Il voudrait monter un site web montrant le nombre de civil tués par les américains depuis la création de leur pays (indiens, vietnam, corée, afghanistan etc.).
Cité de la pisse, dernier immeuble. j'étais juste avec Marion aujourd'hui (les deux autresé taient parties à Paris plage). On retombe encore sur le beauf d'hier. Il voyait ça d'un très mauvais oeil que je lui confie le courrier. Il lui a dit "Encore à trainer toi, tes parents doivnet être trop bourrés". Pauvre gamine.
Je n'ai pas récupéré l'argent pour mamie-chèque. Ce matin je me suis demandé si je devais en parler au responsable, mais finalement non. Tout à l'heure je passe devant chez elle, je me dmande si je dois sonner pour la prévenir, j'ai eu la flemme. Une fois que j'étais un peu plus loin, elle est sortie de chez elle, m'a interpellée, je lui ai dit qu'elle n'aurait pas son argent, du coup elle m'a dit "vous auriez put me prévenir".
Je repasse devant chez elle peu après, je dépasse sa baraque, hop elle ressort, me dit à nouveau ""vous auriez put me prévenir", là je prends un peu de temps pour lui dire que je n'y suis pour rien.
Elle m'a quand même proposé de l'eau, j'en avais plus mais ça me soulait d'accepter.
Je rentre, je reclasse mes recommandés, je vais ranger mon vélo, et en revenant à ma "position" il y a un papier sur ma table : une photocopie d'una vis de passage que j'avais laissé, avec un message (incompréhensible) écrit dessus. Un de mes chefs, Gaston me tombe dessus : "J'ai besoin de vous, je n'arrive pas à relire le numéro du recommandé que vous avez recopié". Des gens en ont beosin dans la seconde etc le coup classique. Il le tape sur son PC, mais le machin rame. Il change de pièce, c'est bon l'affaire est réglée.
Il ajoute qu'il s'occupera des chèques lundi, Ma vieille les aura mardi. Ca va pas lui plaire. Je compte sur mon pourboire quand même.
En rentrant, j'ai téléphoné à un de mes potes pour qu'on boive un coup, mais il n'était pas là. Je suis donc allé seul à la Défense. Arrivé à la gare je me rends compte que j'avais oublié ma carte imagin'R, qui me permet de voyager où je veux à paris et en région parisienne l'été. J'ai d'abord fait marche arrière, mais je me suis dit que ça vallait le coup que je prenne deux tickets, comme ça ma copine aura la fin de son cadeau dès dimanche (ensuite je la revois plus pendant la smeaine, elel part en vacances). J'arrive à la boutique, j'ai été surpris car il y avait du monde. Les filles, le vendredi quand elles finissent tôt, elles vont faire du shopping. J'ai galéré pour trouver le string assorti au soutien gorge violet que j'avais offet à ma copie lundi, ils les ont changé de place. Je passe en caisse et hop (je vous épargne ma réfléxion sur la carte de fidélité Orcanta, (j'ai vu la pub dans le courrier que je distribue) on n'est pas gagant en la prenant, à moins d'acheter un ensemble par semestre).
Et en sortant, je tombe sur Thierry, le meilleur ami de ma copine, qui faisait ses achats de cadeaux pour notre amie Elodie, à qui on fête l'anniv demain soir.
Je l'ai accompagné un peu.
Demain journée chargée. A midi faut que je sois dans la voiture familiale, direction un bled de banlieu pour l'anniv' d'une de mes cousines, ça veut donc dire que je ne vais faire que la moitié de ma tournée. Le soir, je vais aller à l'anniversaire d'Elodie (la copine). Je sais pas si je vais avoir le temps de rédiger mon blog demain.
Et donc je vais avoir du taff en plus pour lundi, mais faut que je finisse au plus tard à 14h30 (ce qui est jouable, c'ets ce que j'ai fait la semaine dernière), car je dois être à 16 heures à Paris pour une projo d'Old Boy avec un pote.
Dimanche, je em repose le matin, l'aprem je me dépense avec ma copine ^^
Article ajouté le Vendredi 28 Juillet 2006 à 21h16 |
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