Fanfiction1= Chapitre 1: le village paumé !
Dans un trou perdu vivait ma famille . Ce n'était pas une ville déplaisante, sale et humide, non plus qu'une ville pauvre où malade bien au contraire, bien ma maison c'était une maison de famille professeur pokémon, ce qui implique le confort, la paix et le savoir.
Une maison grande et classique comme les maisons de chez sinnoh.
Deux étages, une où vivait ma mère et une autre mon grand-père .
Nous avions belle baraque avec des jeux, une ambiance de sympathies garnies de tapis au sol, des hublots en guise de fenêtre avec des murs lissent comme la roche tailler et un sol dallé.
Notre maison était meublée normalement fait en bois des télés lits et livres, et nous gagnons bien notre vie.
Mais suffit de parler de ma maison et commençons-nous à nous immisez dans notre village étant nommé d'un ciel bleu d'un sol verdoyant du nom de Camélia, Camélia ne comportant que 4 maisons dont 6 familles et peuplé de créatures nommer pokémon autour d'elle.
Mais revenons au village où les gens étaient sympathiques, voir spéciaux il existait des pêcheurs montagnard nageur et même ce que certains d'entre eux étaient des dresseurs de pokémon tousse vivant dans une paix continue.
Les pokémon sont des créatures si spéciaux que je ne sais pas pourquoi vous allez rire mais je les trouve passionnant, même si des gens les utilisent comme des objets je trouve cela dommage !
Sinon j'habite donc dans la maison ni la plus grande ni la plus petite mais remplie de joie en ce moment enfin personnellement je vis une vie tranquille, je fis des études et j'essayais d'en savoir toujours plus au sujet des créatures magnifiques et si mystérieuses que les gens appellent pokémon, mais passons ma mère n'étant plus triste de la mort de mon père étant dans mes souvenirs Grand drôle souriant, une sorte de naïveté sympathique comme niais mais d'un humour s'occupant toujours des autres avant lui.
Ma mère elle m'ayant vue grandir et devenir une bonne personne grande sympathique je n'étais pas parfait loin de la mais j'aimais qui j'etais; j'aimais le monde autour de moi je me sentais bien, j'avais l'impression que ce village était aussi familier que ma chambre......
Le lever du jour prospère et dans mon aise me levant de mon lit j'entendais les scarabrute et les scarlino se battre qui mon bel et bien réveiller, comme d'habitude je me levais je voyais les gens je sortis de chez moi et je vis mon vieil ami il se nommait Locufier, il était sincère, il faisait encore beau aujourd'hui et il me regardait avec un sourire « bonjour ! » dis-je !
Alors belle matinée si nous allons nous passer du temps ensemble aujourd'hui ?
Bien je m'assis sur mon banc devant ma chez moi et je commenca a faire des blagues de plus en plus idiot et de plus en plus niais et au lieu d'en faire la critique il trouvait toujours plus aberrant que moi tel un bon ami il était critique mais sympathique.
Nous passions des heures ensemble quand nous nous voyons car je ne voyais pas souvent pour plus qu'assez de raisons qu'il n'en faut pour le dire.
Mais cela était meilleur car les amitiés qui sont plus rares durent plus longtemps c'est cela la beauté de la vie.
Après un certain temps mon ami vit une lettre devant ma porte , une porte devant ma porte !? M'Exclafais je !
Mais pas n'importe quelle lettre ! Non une lettre spéciale , mais qui était cette personne spéciale me diriez-vous ? Qui était la personne qui m'enverrait une lettre avec un cachet de cire rouge écarlate me faisant penser aux plus belles baies du monde ?
Si Tu avais fait fais attention, tu aurais trouvé ceci semi glissé sous ta porte », dit mon ami tendant
à moi une lettre (en voyant sur le cachet de cire le signe du professeur). Voici ce que je lus :
«Professeur au dresseur Kid, Bien le bonjour Mes plus sincères félicitations pour ton diplôme de dresseur, et notre reconnaissante acceptation de votre offre de diplôme . Conditions : Venir a la fête de 11 Heures « Jugeant inutiles de déranger , nous sommes partis en avant pour faire les préparatifs nous attendrons votre personne à la fête de la ville à 11 heures précises » « cela ne te laisse que cinq minutes. Tu dois courir
Il n'y a pas le temps ! J'y courus !
Article ajouté le Samedi 26 Décembre 2015 à 01h00 |
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