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Emmenez-moi au pays des merveilles
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JM, la fiche [À finir]
Puisqu'elle m'a été demandée non sans fanboyer (pauvre JM), voici une petite (?) présentation de mon OC chouchou, j'ai nommé JM ! Le pauvre, dire qu'avoir des fans et se faire connaître est son pire cauchemar (après le diabète). :3


Regardez comme il est mignon <3

Tout d'abord, des infos un peu basiques mais essentielles, je crois !

Nom : Chenal (pas de mauvaise blague sur Pokémon :l )
Prénom(s) : Jean-Marie, Léo
Âge : 16 ans
Date de naissance : 28 Août 1998
Taille : 1m63
Orientation sexuelle : Se dit asexuel mais je le pense hétérosexuel
Autre : Voue un culte au saint sucre. Très facile à corrompre avec des gâteaux ou autres sucreries.
Random fact : Depuis que je l'ai créé je supporte de moins en moins les plats salés.

Ensuite, une description plus approfondie me semble une bonne idée. On va commencer par le physique. Attention, il se peut que JM soit mignon. D:

Déjà, on peut dire que JM est comme un gringalet. Petit, maigrichon, pas de muscles, etc. Il passe son temps à s'empiffrer de sucreries et a un régime alimentaire des plus déséquilibrés mais ne grossit pas plus qu'il grandit. Donne-nous ton secret, JM. À part ça, on peut le voir la quasi-totalité du temps arborer une magnifique expression des plus blasées, accompagnée d'une aura glaciale qu'il maîtrise à la perfection. Il espère fortement que ça suffira à repousser les gens qui voudraient lui parler. D'ailleurs, il fait exprès d'aggraver sa voix pour paraître plus imposant, même si au final il est comme un chien qui aboie beaucoup sans jamais mordre. Quoique, des fois il baffe sa petite soeur. Elle ne fait rien de mal pourtant, si ce n'est saler un peu ses gâteaux. Bref, bref, bref. On remarquera ensuite son teint très pâle, pendant l'hiver on le confond facilement avec un fantôme. Il a des cheveux doux, jamais vraiment coiffés sans être jamais vraiment décoiffés non plus, et d'une couleur que je ne pourrais définir tant elle est étrange (je casse le mythe de ceux qui le pensaient brun, blond ou je-ne-sais-quoi sans aucun scrupule). Globalement, ça ressemble vaguement à de l'argenté, avec des reflets plus ou moins violacés et bleus. Oui oui, bleus. Je ne sais pas ce qui m'a pris quand j'ai fait son chara-design. Au passage, ses yeux aussi sont bleus, bleus très foncé, comme le bleu prussien par exemple. Et ils vous assassinent si JM daigne vous regarder, c'est dur, la vie. Question vestimentaire, la plupart du temps il porte une chemise rose pâle, c'est sa couleur préférée, et, je cite "NON ÇA FAIT PAS GAY !!!". Il a aussi un pantalon noir très simple, et l'hiver une écharpe rouge bordeaux tricotée par un certain curé dont je ne citerai pas le nom.Petit visu au moins pour les couleurs.

Ensuite, pour ce qui est de la psychologie, j'avais fait un test de description il y a peu, et je vous ressors ce joli pavé au style bien différent de celui que je viens "d'utiliser" (le feeling, comme on dit au pays) pour la description physique. Attention, c'est long. (Je peux pas m'empêcher de trop parler de lui)

Froid.
Froid comme un glaçon, un iceberg, jamais tu ne fais preuve de chaleur ou d'intérêt envers les autres. À quoi bon, de toute façon, hein ? À quoi ça sert d'être aimé ou d'aimer, quand on sait qu'à la fin on crève et que ça rend tout simplement les autres tristes ? Ou que, même de notre vivant, plus l'affection est grande, plus la douleur possible est grande ? Cela ne sert à rien, rien, rien du tout. Les autres sont un fléau, un enfer à supporter en permanence. Mais toi, plutôt que de te fondre dans la masse, tu préfères l'éviter, simplement dire «non». Repousser les autres peut sembler difficile ou étrange, mais ça évite tellement de problèmes, tellement. À force, tu le fais naturellement, naturellement les autres voient que te parler, c'est risqué. Naturellement, tu ne donnes pas l'envie aux gens de t'approcher, naturellement tu grondes et montres les crocs quand on est trop tenace, ou trop près simplement. Naturellement, tu blesses pour ne pas être blessé.

Solitaire.
À vrai dire, en plus de repousser les autres, tu les évites également. Quoi de mieux que le calme ? Quoi de mieux que le silence et sa paix ? Quoi de mieux que la solitude, que de regarder le monde tourner comme la Lune regarde la Terre ? Sans mot, sans bruit, tu observes, et tu penses, simplement. Penser, c'est quelque chose que tu ne peux bien faire que si l'on ne te dérange pas. Et c'est aussi quelque chose que la masse ne peut pas faire, voilà pourquoi tu tiens tellement à t'en écarter. Avoir à supporter les jacassements incessants des pimbêches, vieillards, mégères ou autres humains en permanence est si inutile, si dérangeant. Ça te désole autant que ça t'irrite, alors tu t'écartes, quoi de plus normal, après tout.

Franc.
Déjà que tu ne parles pas souvent, si en plus tu t'encombres à mentir ou à tourner autour du pot, ça n'en finira jamais. Alors tu vas au plus simple, au plus rapide, au plus direct. Tu dis ce que tu penses, car c'est bien ça, ce qu'on demande, non ? Donc tant pis si ça peut blesser, tu n'en as strictement rien à faire, car tu détestes par-dessus tout l'hypocrisie typique des êtres humains. Alors oui, parfois tu gueules, parfois tu rabats leur caquet aux gens, parfois tu leur dis tout ce qu'ils ne veulent pas entendre, mais c'est comme ça, c'est tout. S'ils ne voulaient pas entendre, alors ils n'avaient qu'à pas demander. Et parfois, cette «franchise» vire à l'insolence. Tu t'es pris nombre de baffes pour avoir un peu trop paré, un peu trop gueulé, mais elles étaient méritées, et tu n'as jamais regretté. Tu dis ce qu'il faut dire, un point c'est tout. Et ce, aussi bien quand on te demande simplement ton avis que lorsque tu le juges nécessaire, que lorsque tu trouves quelque chose d'injuste par exemple. Quand les autres parlent, tu te tais, quand les autres se taisent, c'est toi qui parles.

Complexé.
Derrière cette façade distante et méprisable se cache une parcelle de toi qu'on ignore, oublie, ou tait trop souvent. Ta vraie nature est simplement la timidité, l'incapacité d'aller vers les autres. Tu ne te sens en réalité jamais à l'aise avec des inconnus, surtout ceux de ton âge qui traînent tous déjà en bandes pour la plupart. Incapable de t'intégrer, incapable d'accepter les invitations dans ces groupes, incapable de ne pas fuir, tu as développé un complexe d'infériorité. Tu es, au plus profond de toi, persuadé que tu comptes moins que les autres, que tu es moins doué, moins intéressant, que tu ne vaux rien, en somme. Et c'est dingue comme ça peut te perturber. Tu ne croirais pas quelqu'un qui te dirait «Je t'aime.», peu importe à quel point cette personne peut être sincère, et peu importe à quel point tu l'espères, au fond. Tu voudrais qu'on te remarque un peu, qu'on soit gentil et compatissant avec toi, tu voudrais juste pouvoir montrer ce que tu ressens à ne serait-ce qu'une seule personne, mais tu fais tout pour que ça n'arrive pas. Car tu as peur, toujours peur qu'au final on te trahisse, te blesse, et te laisse tomber comme un simple bouche-trou.

Fragile.
L'air de rien, tu es une personne que l'on peut facilement qualifier de «sensible». Cela se vérifie particulièrement quand les personnes que tu aimes — car elles existent ! souffrent, ou sont victimes de l'injustice, de la monstruosité humaine. Si jamais tu n'arrives pas à aider ou résoudre le problème, gare au pétage de plombs. Dans le sens où, à partir du moment où tu commences à pleurer, il est extrêmement difficile de t'arrêter. Te sentir impuissant, que ce soit face à la douleur des autres ou à la tienne, est ce qu'il y a de pire, pour toi. Tu sais très bien, au fond, que tu es inutile, que ta présence en ce monde n'y changera strictement rien, mais qu'on te le rappelle est plus qu'affreux, effroyable. Ajoutons à cela le fait que, en tant que simple observateur, la cruauté humaine t'accable de plus en plus, te ronge même si tu n'y peux rien, et confirme simplement ton envie de t'éloigner des autres. Tu aurais bien besoin de soutien, tu ne pourras jamais supporter ça tout seul, ou pas éternellement. Viendra un jour où tu craqueras, et qui sait ce qu'il adviendra alors…

Désabusé.
La tristesse passée, elle ne laisse qu'une certaine lassitude. Une terrible lassitude, envers le monde entier. Tu les observes, ces humains qui se blessent, qui s'abandonnent, qui grouillent. Chacun pour soi. Et alors, tu te demandes «Pourquoi ? À quoi ça sert ?». Rien. Vivre ne sert, en soi, qu'à mourir. Amasser des richesses, de la gloire, de la notoriété, de l'amour, tu trouves ça futile, car en mourant on perd tout. Pourquoi s'embêter à faire tout ça, alors ? Tu n'as aucune réponse à cette question. Et comme tu trouves tout cela inutile, tu t'en détaches. Mais vient un problème : tu es, biologiquement parlant, un être humain. Alors, d'office, tu fais partie d'une société. Et pour qu'elle fonctionne, tu dois la faire fonctionner, y participer. C'est là qu'on te demande, de façon aussi vile qu'un humain peut l'être, comment tu vas y participer. Car on te laisse le choix, si c'est pas beau. Sauf que rien ne t'intéresse, rien ne te fait envie. À tel point que, même si tu poursuis tes études, tu n'imagines pas ton futur. Tu as beau essayer, tu n'y arrives juste pas. Tu n'as aucune volonté, aucun souhait, aucun espoir.

«Rien ne me retient en ce monde. Alors, quand j'en aurai marre, je mettrai fin à tout ça…», murmure le jeune homme avec mélancolie, la voix déjà éteinte.

N.B. : Cette description de JM est, comme qui dirait, la "base" du perso. Je me comprends. Par exemple, c'est ce JM-là que j'utilise pour un nouveau RP, et s'il s'attache à quelqu'un, il change du tout au tout le petit (notamment sur le suicide ou son avenir). Parce que oui oui, il aime les câlins et est très gentil, au fond. Mais il y a toute une carapace à percer, généralement on n'y arrive pas sans sucre.

Bref, il me restera l'histoire à faire (peut-être, si j'ai pas trop la flemme (et merci Nocty pour le "modèle" de présentation (bien que je l'aie customisé et suivi de mémoire (ça fait beaucoup de parenthèses dites-moi)))), mais ce ne sera pas pour ce soir. Déjà vous faire avaler tout ça… XD Vive JM. <3
Article ajouté le Dimanche 23 Novembre 2014 à 21h31 | |

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