Titre vendu séparément
de Shiru Soso

Eh ouais, un projet de fic que je n'ai pas abandonné avant de l'avoir écrit!Je sais, c'est dingue!
Oh, bonjour au fait...
Je voulais vous tenir au courant de l'avancement des choses dans ma nouvelle fic:

Despair (titre (peut être) temporaire)

Nombre de chapitres écrits:2

Ça a pas l'air d'être grand chose mais le chap 1 fait douze pages, et le 2 quatorze...

Nombre de chapitres que je veut écrire avant de proposer la fic au comité de lecture: 3 ou 4

Temps qu'il m'a fallu pour écrire ces deux chapitres: Euh...Deux mois?J'écris quand l'envie me prends donc c'est assez étrange comme rythme... x)

Synopsis:
Je vais pas vous le dire.
Bon, ok, voilà le début du chapitre 1.
À noter que les béta lecteurs (que je ne remercierai jamais assez) n'ont pas eu droit à cette version, mais à un prototype qui a été amélioré depuis.

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Le jappement métallique du revolver, le bruit sourd d'un corps inerte qui s'effondre, l'odeur âcre du sang ; c'étaient la des éléments désormais banaux dans le quotidien violent d'Ethan Weiss.
C'était un homme assez grand, solide et dans la force de l'âge, approchant la quarantaine.
Son crâne était couvert d'une chevelure d'ébène mal coiffée, prolongée par des favoris qu'il ne s'était jamais donné la peine de raser. Il portait également une barbe d'homme négligé ; ce qui, couplé à sa démarche et à sa gestuelle nonchalante lui donnait un air désinvolte et détaché. Ses yeux gris acier brillaient de vivacité, contrastant avec le reste de sa personne.
Sa peau était basanée, héritage de son enfance passée sous le soleil des côtes de Kalos.
Il portait des vêtements banaux, et sombres, se contentant souvent d'un blouson en cuir, d'un T-shirt, d'un jean et d'une paire de baskets.
Malgré son air assez simple et tranquille il dégageait une sorte d'énergie et de charisme qui le rendaient imposant, et presque effrayant.

Cela faisait onze ans qu'il était devenu membre de la « Meute ».
Il s'agissait d'une organisation criminelle qui sévissait à travers Kanto, depuis presque une trentaine d'années, et qui résistait aux efforts combinés des représentants de l'ordre et des gangs rivaux pour les faire tomber.
Elle se spécialisait dans le trafic de drogues psychotropes, synthétisées à partir de plantes et de diverses substances extraites de pokémons.
Les dealers de la meute se chargeaient de pourvoir aux besoins des junkies, fortunés ou sans abris, dans un territoire s'étendant de Azuria à Safrania.
Ses membres faisaient, en entrant dans l'organisation, le serment de protéger leurs confrères, et c'était cette coalition qui avait valu au groupe son nom, la hiérarchie et le fonctionnement étant similaire à celui des Grahyénas, chassant en groupes mais conservant une certaine indépendance.

Ces valeurs de camaraderie semblaient être, de manière générale, bien appliquées, puisque la police n'avait jamais réussi à démanteler cette société de l'ombre, et la seule information qu'ils avaient pu soutirer des rares membres qu'ils avaient pu capturer était un pseudonyme : Alpha.
L'apparent leader de la Meute était devenu rapidement l'homme le plus recherché de tout le centre de Kanto, sans qu'on ne connaisse son vrai nom, son visage ou la moindre preuve tangible de son existence.
C'était au compte de ce criminel insaisissable que travaillait Ethan.
Officiellement c'était un dresseur comme un autre, qui, au terme de son voyage, s'était acheté une petite maison à Céladopole, se contentant de remporter quelques matches occasionnels pour payer ses factures avec l'argent gagné.
En réalité il était tout sauf retraité, et dédiait une importante partie de son temps à son travail d'homme de mains.

Cela consistait, principalement, à faire le sale boulot à la place de ses supérieurs, et le seul supérieur d'Ethan c'était Alpha.
Il était chargé, par exemple, de transporter les cargaisons de marchandise à destination, ou d'escorter le conducteur ; il procédait de temps à autres à des « interrogatoire » assez violents et, une ou deux fois par semaine, il se chargeait des policiers trop curieux, des mouchards, des mauvais payeurs ou de la concurrence.
Pour la plupart de ces tâches son revolver, ses poings et ses pokémons suffisaient.
Bien que dangereux, peu gratifiant, et parfois ingrat, sa profession lui offrait une certaine liberté, et la paie était aussi très correcte.

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Voilà, j'attends maintenant vos louanges et vos tomates pourries, en attendant je vous demande d'être patients, j'ai encore deux chapitres à écrire avant de poster, donc vous pourrez lire le reste à Noël, peut être. x)
That's all folks.