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D'un Z qui veut dire Zelda
de Kitsuninu
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Emanation : Début du chapitre je-sais-plus-combien
http://www.youtube.com/watch?v=Fzje-8_zIDs
Avec un soupir, je sortis dans le parc.
Il pleuvait à verse, ce matin-là. Je levai lentement les yeux au ciel et fixai les nuages, qui glissaient lentement sur la mer du ciel en peine. Je restais ainsi quelques minutes, contemplant la triste beauté de cette eau déversée depuis ces navires gris gorgés de goutelettes.
Le liquide vital glissait sur moi sans m'atteindre. Mû par un mécanisme de survie de mon corps, j'avais fait apparaître ma fourrure de Zorua, qui me protégeait de l'averse. Quittant des yeux avec regret la voûte céleste chargée de nuages, je poursuivis ma route vers L'Humaine.
Vers mon destin.
Ne sachant trop où Elle se trouvait, je me retrouvais contraint de fouiller minutieusement chaque parcelle de ce gigantesque jardin noyé de pluie. Je m'exécutai en silence, ne pensant à trop rien.
Quel était mon but, déjà ?...
L'envie me reprit de me tourner à nouveau vers le ciel gris. Sa vue me calmait, me donnait envie de fermer les yeux et d'écouter la floraison nocturne...
Mais non.
J'avais une mission. Je devais La trouver et La ramener là-bas. Il en allait du destin de milliers de vies... Je ne devais pas perdre de temps.
Renonçant une fois encore à écouter ce que me disait mon cœur, je repris mes recherches, mélancolique – comme toujours.
Cela faisait longtemps que je ne prenais plus considération de mes désirs.
« Pense d'abord aux autres avant de penser à toi. Ce que tu fais est-il bon pour eux ? Ce que tu dis leur fait-il plaisir ? Si tel est le cas, tu peux continuer à agir ainsi. Et si tes actes et tes paroles sont également bénéfiques à ta personne, tu seras véritablement heureux. »
Une esquisse de sourire se dessina sur mes lèvres. Il avait raison.
Il avait toujours guidé ma vie avec sagesse depuis qu'Il m'avait recueilli. Je me devais de le satisfaire, de marcher dans son sillage sans faire de faux-pas. Il devait être fier de moi.
Alors je continuai à chercher, pour lui rendre service et qu'il soit heureux. Et si cela était bon pour moi aussi, alors tant mieux.
Soudain, j'aperçus une cabane en bois assez sommaire, ornée de jardinières. Intrigué, je m'en approchai doucement et toquai à la porte.
Ne recevant aucune réponse, j'entrebâillai discrètement le panneau de bois.
Elle était là.
Dites-moi si la musique est appropriée et si ce début vous plaît !
Avec un soupir, je sortis dans le parc.
Il pleuvait à verse, ce matin-là. Je levai lentement les yeux au ciel et fixai les nuages, qui glissaient lentement sur la mer du ciel en peine. Je restais ainsi quelques minutes, contemplant la triste beauté de cette eau déversée depuis ces navires gris gorgés de goutelettes.
Le liquide vital glissait sur moi sans m'atteindre. Mû par un mécanisme de survie de mon corps, j'avais fait apparaître ma fourrure de Zorua, qui me protégeait de l'averse. Quittant des yeux avec regret la voûte céleste chargée de nuages, je poursuivis ma route vers L'Humaine.
Vers mon destin.
Ne sachant trop où Elle se trouvait, je me retrouvais contraint de fouiller minutieusement chaque parcelle de ce gigantesque jardin noyé de pluie. Je m'exécutai en silence, ne pensant à trop rien.
Quel était mon but, déjà ?...
L'envie me reprit de me tourner à nouveau vers le ciel gris. Sa vue me calmait, me donnait envie de fermer les yeux et d'écouter la floraison nocturne...
Mais non.
J'avais une mission. Je devais La trouver et La ramener là-bas. Il en allait du destin de milliers de vies... Je ne devais pas perdre de temps.
Renonçant une fois encore à écouter ce que me disait mon cœur, je repris mes recherches, mélancolique – comme toujours.
Cela faisait longtemps que je ne prenais plus considération de mes désirs.
« Pense d'abord aux autres avant de penser à toi. Ce que tu fais est-il bon pour eux ? Ce que tu dis leur fait-il plaisir ? Si tel est le cas, tu peux continuer à agir ainsi. Et si tes actes et tes paroles sont également bénéfiques à ta personne, tu seras véritablement heureux. »
Une esquisse de sourire se dessina sur mes lèvres. Il avait raison.
Il avait toujours guidé ma vie avec sagesse depuis qu'Il m'avait recueilli. Je me devais de le satisfaire, de marcher dans son sillage sans faire de faux-pas. Il devait être fier de moi.
Alors je continuai à chercher, pour lui rendre service et qu'il soit heureux. Et si cela était bon pour moi aussi, alors tant mieux.
Soudain, j'aperçus une cabane en bois assez sommaire, ornée de jardinières. Intrigué, je m'en approchai doucement et toquai à la porte.
Ne recevant aucune réponse, j'entrebâillai discrètement le panneau de bois.
Elle était là.
Dites-moi si la musique est appropriée et si ce début vous plaît !
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