Malade... oui ça résume tout
J'était tranquillement dans mon lit, quand je sens une volante crampe d'estomac, comme ça, surgit de nul part.
Puis tout de suite après, une grand nausée, en moins de 30 seconde je suis passer d'un jeune ados en plein forme ,à une personne au bord de l'évanouissement
J'ai titubais, pour arriver dans ma salle de bain, tout mes membres était devenu lourd à porter.
Je trouve ten bien que mal le seul anti-vomitife et anti-nausée qui nous reste.
Je le prend, je vois que c'est un produit dangereux, à prendre avec précaution et déconseiller au moins de 15ans.
Je me suis méfiée, je suis très attentif à ce que je prend, et je prend un minimum de médoc.
Mais la la douleur était trop grande.
Je prit un cachet, le coupa en deux (ouff, ce n'était pas encore un suppositoire, car il ne me reste presque que ça dans mon armoire à pharmacie contre les maladie gastrique et la douleur)
Je l'avale, c'est amer, l'excipient est dégueulasse, ça me fait presque regretter les médoc vif de couleur et sucrée qu'on nous donner quand on était gosse.
maintenant je suis un homme, je prend plus de chewing-gum à la fraise mais seulement à la menthe forte et je prend que des médoc puissant et amère, comme mon café, sans sucre bien sur

Bref, le truck agit vite, la nausée et la douleur se calme le temps que je me rendorme.
Et la coup de théâtre, je me réveille à moitié comateux, je peut tout juste marcher jusqu'à ma fenêtre, je manque de me casser la gueule à mon échelle (mon lit et superposer, en faite c'est plutôt une mezzanine.)
Je me pose sur le bord de la fenêtre, on est en été dans le Gard, la température et infernale, mais mes dents claques et j'ai la chaire de poule.
après, je me rappelle que je n'arriver pas à vomir malgré des nausée alors à leur apogée, je puit une couverture qui se trouver la au sol,je la tira, et je suis tomber.
Je me suis réveiller le matin, trou noir , comment je suis arriver la? par terre, à moitié dans la couette, à moitié sur le sol.
fenêtre ouverte sur un vent humide qui me semblai être un vent venant du pole nord.
Je me lève, ne mange pas, reprend un médoque, et je finit ma matiné dans mon lit à dormir.
je me suis réveiller presque totalement guérie, je ne ressent que peu de nausée et de douleur, il m'est impossible d'aller faire mon sport ou de mangée.
je reste donc ici, sur mon ordi à jouer un peu pour oubliée
Vous savez, c'est drôle la vie, c'est coup de chient qu'on subit
mais je suis dans l'hémisphère nord, j'ai des soins, des médicaments, une famille plutôt aimante (enfin des fois) qui à dut temps à me donner pour m'aider.
Combien de personne sont morte de ce que j'ai? d'une petite intox alimentaire.
Combien encore vont mourire de ça, demain, l'an prochain,et même aujourd'hui
vous savez quoi je ne me plaint pas, je me dit, que j'ai de la chance, et que peut être sans tout ces années de rechercher dans le monde de la physiologie humaine, je ne serai pas en état de vous parler ici, mais je serrais en train de m'étouffer dans mes vomissements ou en train de mourire de déshydratation..
Alors profiter bien de la vie et arrêter de chialer quand vous êtes malade.
j'en connait qui serait au urgence à croire le dernier jour venir.
Les maladies, c'est ni bon ni mauvais, c'est un faite, et le mieux c'est de continuer à vivre, et de ce dire ''que je serrai heureux de pouvoir enfin re-sortire et revivre mes activités, mes loisirs''
Les maladies, ça nous force à réfélchire, à se posée et à ce dire ''Que puis-je faire? esque ma routine devenu inaccessible est si bonne que ça? pourquoi je regarde encore la télé 4H par jour, et si je fessait un peu de sport?''
''je devrai peut être changer un peu de mode de vie'' ou encore ''je devrai arreter d'aller sur le bip, argh, tout ce temps perdu ;)''