Résumé du trimestre.
J'ai beaucoup chialé, chialé et rechialé par amour. J'ai bossé comme jamais pour tout oublier. J'ai été déçu. J'ai chialé à nouveau. J'ai fait de formidables rencontres journalistiques. J'ai chialé de bonheur cette fois-ci. Des tas de voies se sont ouvertes à moi. J'ai chialé de nouveau par amour. Rendez-vous l'année prochaine à Nancy en licence d'info-com' journaliste. Bon dieu cette personne va me manquer. On réalise tout ça. On chiale. On attend pour tout avouer. On appréhende la suite des évènements. On blesse des gens qui ne veulent que vous soutenir pendant vos mauvaises passes. Tiens on avouera tout à la personne en question devant nos résultats de Bac. Tiens, putain, j'ai jamais autant aimé quelqu'un. Tiens, tout ce que j'ai envie de dire c'est que je t'aime, que j’apprécie tout en toi, tout, absolument tout, tout. Grâce à toi j'ai prit conscience de ce que je pouvais apporter aux autres, que je n'étais pas la pire des merdes, tu m'as donné l'envie de maigrir, de me sentir bien dans mon corps, de transformer mes défauts en qualités à tes yeux, d'ailleurs tes yeux combien de fois par jour je m'y plonge, que je reste transis tellement tu es, de mon point complètement pas objectif du tout, la plus belle des personnes sur cette foutue Terre. Et merde, merde, bref merde. Tu vas me manquer, et l'année prochaine sera dure. Et chaque jour j'espère, j'espère tellement. Je te laisse des pistes évidentes. Tellement de personnes nous croient en couple alors qu'il n'en est rien. Tu rougis, je rougis. On se bat. On se prend la tête pour un rien. Je te fais mal, tu fais la tête en balançant les pires insultes au Monde, à mon tour de faire la gueule et tu sais que ça ne dure jamais très longtemps avec moi, ha ha, combien de petites cicatrices j'ai à cause de toi depuis le début de l'année ? Trois, quatre ? D'ailleurs avec un bouchon de stylo faut le faire. Mais on s'en fiche, l'un comme l'autre on s'en veut tellement et on oublie. On se déteint l'un sur l'autre. Tout les deux avons un humour naturel, et tout de suite on s'est bien entendu. Tout ce que je te reproche c'est peut-être que tu peux vite oublier de donner des nouvelles, que je sais que je suis chiant mais que tu l'es aussi. Mais dès que l'on se revoit je sais qu'il se passera un jour quelque chose entre nous. Que je suis lâche de tout déballer ici et d'ailleurs je ne sais plus quel était l'intérêt premier de cet article. Ah et même si tu sais que je déteste ça tu fouilles mon portable, mais au fond, j'adore ça. Si jamais, au grand jamais, tu passes ici... Je t'aime, tu me rends jaloux mais tu ne le sais pas, je suis qu'un putain d'égoïste et un putain de lâche qui ne te diras surement jamais rien, même si on rigole en parlant de sexe et de d'amour et toutes ces conneries, et que toi aussi tu t'en fous de tout ça. Mais, si jamais j'arrive à te faire ouvrir les yeux, tu ne le regretteras pas. Et après tout ce bla-bla inutile et sans intérêt d'un gars qui fait que de se plaindre. Sache que si rien n'arrive, j'attendrai toujours, toujours et je serai toujours là pour toi à attendre bien sagement et enchaînant des liaisons complètement fades et sans intérêt. Je t'attends. Tiens j'hésite presque à poster ou non cet étron de pavé. Bon on poste, juste pour actualiser un peu ce blog qui arrive en fin de vie.
Article ajouté le Dimanche 08 Décembre 2013 à 19h50 |
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