Le blog de Doc
de Docteur Spider

J'en ai, on en a bien profité. Et puis le samedi soir (31 décembre) je suis rendu compte que ma queue me piquait. Après quelques jours de flottement j'ai bien eu confirmation que j'étais de nouveau malade. Ma copine aussi bien sûr. Apparemment c'ets elle qui avait encore quelque chose.
Donc du coup on est retourné vendredi chez sa gynéco. Quand on est arrivé, une nana plutôt pas mal était là, puis elle a été remplacée dans une ado qui revenait de son cours de sport (traduction : elle sentait la sueur). Plutôt que de lire des magasines hautement débilitants, j'ai lu mes cours (DM à rendre, partiels à réviser, ya d'la joie)
La gynéco a refait des prélèvements, et à un moment j'entend ma copine dire "c'est quoi ça" d'un ton qui trahissiat l'affolement (j'ai tout inquiet). C'était le machin pour faire des prélèvements dans l'urêtre (pour ceux qui n'auraient pas suivis, prélèvements dans l'urêtre = douleur quand tu marches, puisses, vie, pendant trois jours). Elle a bien négociée et y a échappée =)
Bon au final elle a un de nouveau un traitement : des ovules contre la mycose et d'autres qui sont des reconstituants (flore vaginle trop pauvre apparemment).
Moi je passe d'éconazole en émulsion fluide à éconazole en poudre. Oui des médicaments en poudre. Ca m'a fait zarb, c'ets pas à mettre dans le nez, ni dans la bouche, d'autant plus quand j'ai dû me poudrer la queue. Ca m'a rappellé quand je prépare la nourriture, du genre mélanger de la viande avec de la farine. Et là tout comme en cuisne, c'ets volatile, je retrouve de la poudre sur mon clavier, par terre. Mais bon ça rempli son boulot.
J'espère qu'on sera efficassement soignés, pour qu'après nos deux semaines de partiels on puisse fêter ça de façon charnelle !