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L'avantage d'être intelligent, c'est qu'on peut faire semblant d'être bête
de Ayumi-san
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Elle m'éneeeeeeeeerve !
Attention, sur ce qui suit, je ne lésinerai pas les mots vulgaires !
Tous les Jeudis après-midi, je me tape une heure de français avec une prof complètement tarrée. Il n'y a pas longtemps, on devait corriger un exercice qu'on avait eu à faire chez nous. Comme par habitude, la moitié de la classe dormait, l'autre regardait ailleurs ou rêvait. Et comme par habitude, la prof parlait dans le vide. Oui, c'est le genre de prof qui parle et si personne n'écoute, elle s'en fout, elle continue comme même. En plus elle radote grave, cette vieille peau. Donc, j'en reviens à cette après-midi où je me suis pris un joli mot dans le carnet. J'étais allée sur internet pour essayer de comprendre son exercice de merde et comme j'en suis une en français, j'ai tout fait au crayon gris, chez moi. Quand l'aut' poufiasse eut terminé la correction, je me suis rendue compte que j'avais... tout faux. Ben oui, quand je comprend pas, je fais au pif. Donc, j'ai tout gommé pour réécrire la correction de la vieille au stylo et là, comme par hasard, elle passe dans les rangs, elle viens me voir et elle voit que je suis en train de prendre la correction sur une feuille à moitié blanche. Alors, cette grosse conne à fait comme elle fait tout le temps: elle pose sa main sur ma table, elle tend l'autre vers moi et tourne la tête vers le reste de la classe en disant "ton carnet s'il-te-plaît." Je lui ai répondu que j'avais fais l'exercice mais que j'avais tout faux, et que je prenais sa correction, mais elle a répété sa phrase. Du coup, je me suis retrouvé avec un mot écrit en violet (beurk) mots pour mots: "Claire doit, comme le reste de ses camarades, faire ses exercices à la maison".
Poufiasse.
La chèvre trèèèès énervée (et donc dangereuse :P).
Tous les Jeudis après-midi, je me tape une heure de français avec une prof complètement tarrée. Il n'y a pas longtemps, on devait corriger un exercice qu'on avait eu à faire chez nous. Comme par habitude, la moitié de la classe dormait, l'autre regardait ailleurs ou rêvait. Et comme par habitude, la prof parlait dans le vide. Oui, c'est le genre de prof qui parle et si personne n'écoute, elle s'en fout, elle continue comme même. En plus elle radote grave, cette vieille peau. Donc, j'en reviens à cette après-midi où je me suis pris un joli mot dans le carnet. J'étais allée sur internet pour essayer de comprendre son exercice de merde et comme j'en suis une en français, j'ai tout fait au crayon gris, chez moi. Quand l'aut' poufiasse eut terminé la correction, je me suis rendue compte que j'avais... tout faux. Ben oui, quand je comprend pas, je fais au pif. Donc, j'ai tout gommé pour réécrire la correction de la vieille au stylo et là, comme par hasard, elle passe dans les rangs, elle viens me voir et elle voit que je suis en train de prendre la correction sur une feuille à moitié blanche. Alors, cette grosse conne à fait comme elle fait tout le temps: elle pose sa main sur ma table, elle tend l'autre vers moi et tourne la tête vers le reste de la classe en disant "ton carnet s'il-te-plaît." Je lui ai répondu que j'avais fais l'exercice mais que j'avais tout faux, et que je prenais sa correction, mais elle a répété sa phrase. Du coup, je me suis retrouvé avec un mot écrit en violet (beurk) mots pour mots: "Claire doit, comme le reste de ses camarades, faire ses exercices à la maison".
Poufiasse.
La chèvre trèèèès énervée (et donc dangereuse :P).
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