Comme un monde en solitaire...
de illapa

illapa a fini de bosser !

Terminée les journées où je me lève a 4h, ou je commnce à 6h, je finis à 17h et jhe rentre chez moi complètement lessivée a 18h...
Terminée les journées à me faire laminer les mains.
A me faire écorcher les bras par les cartons.
A me faire traiter comme un chien.
A essayer d'acquérir le don d'ubiquité parce qu'ils faut toujours être partout et avoir un temps de réaction plus rapide que le regard du patron.
Terminée les heures debout à piétiner en vitesse à côté de la filmeuse (194 degrés celsius), du chauffe-colle (150° celsius), du moteur des machines, dans ce foutu hangar en taule...

C'est le grand retour de l'IUFM !
Avec la joie de se lever qu'à 6h, d'avoir le Q sur une chaise jusqu'à 18h, de roupiller pendant les cours qui ont lieu au cinéma, la joie de casser du sucre sur le dos des secrétaires et de l'administration qui nous prend pour des pigeons et les derniers des cons...

A part ça, je suis déçue, dans Pokémon Black 2, on a plus la route 10. Oh, on a la route 22 à la place, qui est très bien, et dont la musique est réussie, mais... on a plus la route 10 quand même. On a plus cette fabuleuse musique pleine d'espoir et de nostalgie, la fin d'une aventure pleine de combat contre les champions, la naissance d'un nouveau maître, d'un nouveau héros...
Plus grave encore, après la ligue ce n'est plus la même musique pour les crédits ! Cette formidable musique épique, qui venait contrebalancer la musique lente et triste des adieux de N a été remplacée par une musique banale et inexpressive...
Déçue aussi par le début, jamais vu un début de PKMN aussi expéditif.
D'une part, le héros ne commence pas dans sa chambre à l'étage, sa maison est minable.
Ensuite le premier dialogue donne un truc du genre :
-Tu veux un Pokémon ?
-Oui/Non. (faut répondre oui, sinon elle repose la question indéfiniment).
-Tu veux un pokédex ?
-Même réponse que précédemment.
-Tiens, sors, y a Bianca qui t'attend, elle te refile tout et bon vent."
La dernière déception a été de ne pas avoir accès à la pension avant la ligue.

Mis à part çà, j'ai bien aimé le jeu.
Bien aimé les cachettes pokémon (Oh, un marill avec la capa "Herbivore"...), les nouvelles arènes, surtout celle de l'eau, d'avoir des pokémons d'anciennes génération dès le départ, bien aimé le défi du gratte-ciel noir, le système de médaille, notamment d'entrainer une équipe spécialisée dans un type pour aller maraver la ligue, d'avoir des dresseurs réaffrontables à volonté, de revoir d'anciens persos, de capturer le légendaire de la jaquette APRES la ligue, bien aimé d'ailleurs la scène où l'on croise Kyurem + Reshiram/Zekrom pour la première fois, elle m'a paru bien triste sans la traduction cette scène... Bien aimé capturer des évolis dans la nature, bien aimé les nouveaux lieux, même si je déplore l'absence de route 10. Sigaha City est charmante et la nouvelle route victoire avec ses ruines aussi.
Bien aimé d'avoir une pure équipe de gros bourrins aussi. (Clamiral, Manternel, Lucario, Ohmassacre, Crocorible et bien évidemment Cryptéro. Je regrette de n'avoir pas eu de pyronille, et avoir chopé qu'un Pyrax niveau 35, c'est un peu tard pour l'entrainer correctement et l'intégrer à l'équipe, et sans la pension pour le faire pondre... c'est dommage. Ca manque de ne pas avoir de feu, mais Ohmassacre peut apprendre lance-flamme de toute façon.)
Bien aimé que le niveau de difficulté ait été relevé, également.

Bref, une bonne suite, même si je ne peux pas juger du scenar, vu que je pige pas 4 mots de japonais.

Sur ce, je pense que je vais me le refaire, en mettant une condition : n'utiliser que des pokémons bleus, ou dont l'évolution finale est bleue. Ou rouge. Ou verte. Ca va être fun.
Mais je partirai plus sur le bleu dans un premier temps, parce que j'y tiens à mon Ohmassacre, et même si Lucario est passablement inutile (il s'est fait dégager en 2 tours dans la première arène, j'ai tout gagné avec mon larveyette...), il a de bons côtés.

Et sinon pou l'écriture, je m'y suis remise vite fait, lentement, ça reviendra une fois que je me serais recalée dans la routine de l'IUFM.