Ma 1ère Mini Fanfics.
Trop préssé quelle sois validé alors je la fais quand même partager sur mon blog, enjoy !
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Seul sur sa branche, il pensait. L’unique œil brillant de la nuit le fixait, immobile, le scrutant… C’était la seul chose dans ce monde qui ne le jugé pas. Triste, il en voulais au ciel de l’avoir mis au monde comme cela ! Sa queue pendait dans le vide, d’un rythme répétitif sous le silence de la nuit. Les seuls personnes a s’intéresser a se petit êtres étaient la: La lune et les étoiles qui scintillaient, comme si elles lui parlaient, elles étaient ces seuls amies dans ce bas-monde. Plus loin, a quelques mètres, s’étend l’immense Ville Noire. Sombre, elle ne bouge jamais, c’est une tache d’encre sur une feuille de papier blanc. Même le jour, elle reste obscure. C’est un titan, immobile et ténèbreux, sans aucunes émotions, triste, jours et nuits, elle lui ressemble ! A un point prés cependant: Elle, des gens l’occupe, lui personne ne l’aime… De toute façon il à abandonné tout espoirs ! Qui l’aimerait ? Qui veut d’un Queulorior sans couleur ?
Tout remonte a sa naissance, du jour même de sa naissance ! Il était le plus petit d’une famille de Queulorior comme lui. Il était née dans un hangar abandonné ou vivait sa tribu. Chacun avaient leurs couleurs, ils recouvraient les murs, le sol et le plafond de signes plus étrange les uns que les autres. Une multitude de couleurs: rouge, orange, bleu, vert, marron… Chaque Queulorior avait son empreinte… Sauf que pour dessiner… Il faut au moins en avoir une, de trace… Il est née sans cet chose si banal pour quelqu’un de son espèce , sa queue est restait blanche sans la moindre tache. Il as était rejeté de sa tribu il ne pouvais pas en faire parti s’il ne pouvais remplir son rôle…
Il a pourtant tout essayer ! Même en combat il ne peut rien… La où les Queuloriors habituelle utilise Gribouille, lui ne peut pas: comment gribouiller sans crayon ? Alors où était sa place ? Il la cherche depuis sa naissance ! Il cherche et déambule dans la nuit. Dans cette ville, noire. Chaque rue se ressemblent. Certaines plus étroites et d’autre plus large, des poubelles s’entassent dans certains coins, des Nosférapti volent en silence au dessus de lui, des Voltorbe dorment paisiblement dans un coins. Ils on tous un but, une famille… Lui, il n’a rien…
L’unique œil du ciel le surveille entre les toits, il l’éclaire comme pour le dénoncer. Est t-il le seul dans son cas ? Oui, sinon il ne serais pas solitaire ! Pourquoi l’avoir créé comme cela ?! Il n’en pouvait plus: il faut qu’il prouve qu’il EST quelqu’un ! Sa marche devient plus ferme, ces pas se durcirent, sa tête se relève ! Il est décidé ! Mais il faut revenir a la réalité: que peut-il faire ? Le désespoir s’empara de nouveau de lui…
Il passa dans une rue pleine de déchets des industries autours de lui. Il s’arrêta et contempla cette rue monochrome… Un éclair de colère l’envahit ! D’un violent coup de rage il donna un puissant coup de pied dans un sac poubelle ! Plein de pot valdingue sur le sol. Il s’était fais mal, très mal, son pied était enflé, il retint en gémissement.
Quelque minutes plus tard. Il cessa de léchouillé son pied meurtri pour porter son attention sur les pots éparpiller sur le sol. C’était des pots de peinture de toutes les couleurs. Pleins et inutilisés. Il les contempla longtemps, comme hypnotiser par sa trouvaille. Toutes c’est couleurs ! Enfin autre chose que le blanc de sa queue ! Il fut envahis par une joie intense, incompréhensible ! Il était heureux, il jubiler ! Il était remplis de joie, proche de l’euphorie ! Une ivresse s’empara soudainement de lui, il attrapa les pots et les remis dans le sacs et se mis a courir !
Dans sa courses, il en ouvrit un agilement, un pot de rouge, il trempa sa queue dedans, et subitement une inspiration le saisie ! Il voyait la vie, le feu, l’amour, une rose ! Il peignit toute une rue... de rouge ! Des motifs habilement tracé, la rue était en feu ! Un feu de couleurs rougeoyantes, des roses pendant aux murs, elles semblaient tellement réeles ! C’est comme si son dessin ressorté des murs ! Il était content de lui, mais en même temps il ne comprenait pas ce qu’il venais de faire ! Il déboucha, pris par un reflexe, un autre pot de peinture, bleue cette fois, et il trempa sa queue dedans…
Une vague déferlante apparue sur un mur, un ciel azur, un petit ruisseau calme avec de jolie poissons barbotant paisiblement. Les fond abyssales des océan se déssina, vingt milles lieux sous les mers...
Le pot vert fut vite a sec, sur les murs d’une rue s’étalait de calmes prairies, des émeraude ornées les portes, tout était d’un reflet vert, si réel ! La vie avait avalée ce quartier !
La ville se réveilla lentement, les premieres personnes sortirent de leurs maisons, les yeux encore endormies. Mais quand ils les ouvrirent… Un flash ! Les rues étaient multicolores ! Des peintures partout ! Une vague s’abattait sur quatre maison mais elle était figée ! Tout semblait si réaliste ! La ville s’arrêta ! Les gens observer, contempler, étaient abasourdis ! Les enfants étaient émerveillés !
Des pots de peintures vides gisaient au pieds d’un arbres a la sortie de la ville. Tout en haut de cette arbre, notre peintre était assis sur la branche la plus haute, contemplant sa création, encore sous le choc… Grace a lui, la ville noir est devenu la ville aux milles couleurs !
Article ajouté le Samedi 03 Septembre 2011 à 20h18 |
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