Titre
Au long loin du long couloir
cake batie aux anneaux de vitres
et rail lissé d'entre-deux portes closes
La ligne d'un iris ceinture-de-feux
le tien
irradie le tapis rouge où mes pas
tentent d'inscrire mon ch'min.
Explosion.
C'est un volcan de tes yeux,
miroirs sans teints convalescents,
qui, enfin, éclate :
chakra...
Coulée de lave qui savonne
l'épiderme du sol,
Coulée brulis de la grande verte vierge
Rougeoiment feuillu d'été amérindien.
C'est la joie et le plaisir violents
illuminant le monde,
notre monde.
Sur la fusion dansante des entrailles mellifuges
notre jeune chat
- notre vrai chat -
avance serein sur les flammes,
comme un christ se jouant de la gravité.
Parce qu'il ne brule-hurle pas de douleur, je sais :
rêve. Un des miens.
stephane barbery, "au long loin du long couloir"
j'avais entendus se poéme dans une sagas MP3 et perso j'avais bien aimer, de plus je trouve que la fin (si on comprend) est plutôt bien penser, bon vous inquiéter pas je vais pas vous balancer tout ses poéme à la figure (quoique sa pourais faire une bonne attaque sa ^^)
Article ajouté le Mercredi 18 Mai 2011 à 15h46 |
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