Arrête de nager dans la moquette.
de Sélenda

« J’aimerais être un flan... un flan
aux abricots... ou nature tiens, un
peu tiède, dans une boulangerie...
en vitrine...
-Un flan ? comme les gâteaux ?
-Ben évidemment ! Qu’est ce que tu
veux que ce soit d’autre ? Y’en
a pas 46 000 des flans !
-Flan... Un flan... Ah mais ouais !
Un flan ! Mais ouais, mais c’est
super génial ! »



Ce soir, ma minette préférée, la chatounette de mon coeur appelée communément "Bibou", à fait connaissance avec le furet qui rôde dans le quartier depuis quelques années. Je me demande si c'est lui qui a tué Nana, ma première paone (oui oui, un pan femelle. Ou une faisane, si vous voulez). Je crains que cette rencontre ai été plutôt... musclée !
D'accord, un chat ça court plus vite qu'un furet et c'est plus gros. Néanmoins, pour tuer un oiseau aussi gros et aussi féroce qu'une faisane en train de couver, n'oublions pas que le furet est un tueur redoutable.

Trève de bavardages ! J'ai enfin fini de répondre aux question du nouveau concours de Solyx. Même en connaissant les réponses, ça prend un temps fou à vérifier...
Allez, une petite musique pour décompresser.

Cécile Corbel - Arrietty's song (french version)

Paroles :
Sous les herbes folles, moi j'ai grandi.
Je suis une enfant ordinaire, plutôt jolie.
Petite fille rêvant d'ailleurs,
Ici pas très loin de vous.
Parfois je soupir et souvent je me dis,
J'aimerais tant voir la vie en grand !

Les cheveux froissé par le vent,
Fendre l'air comme un oiseau blanc,
Sentir enfin ton regard, sur moi...
Derrière ces murs je sais qu'il y a la mer,
Des papillons, un grand livre ouvert.
Mais y a-t-il quelqu'un quelque part,
Pour moi ?

Sous les herbes folle, j'écoute la pluie.
Le temps, s'écoule ordinaire, moi je m'ennuie.
A chaque pas suivre nos coeurs,
Je veux suivre mon coeur.
J'attends, souvent je me dit :
Si j'avais des ailes, si j'avais un ami,
La vie serais plus belle avec lui...

Les cheveux froissé par le vent,
J'irais voir les grands oiseaux blanc,
Je sentirais ton regard, sur moi...
Derrière ces murs je sais qu'il y a la mer,
Des papillons un grand livre ouvert.
Et toi là-bas quelque part,
Qui attend...

Les cheveux froissé par le vent,
J'irais voir les grands oiseaux blanc,
Je sentirais ton regard, sur moi...
Derrière ces murs je sais qu'il y a la mer,
Des papillons un grand livre ouvert.
Et toi là-bas quelque part,
Qui attend...