bonjour tout le monde
de Capumain Dylan

- Dan … ! Dan !!! , réveilles-toi, il faut qu’on parte sur le champ. On a un problème !
- Quoi déjà, mais il est à peine cinq heures ! (Dan c’est moi, j’ai treize ans et je ne suis pas un enfant comme les autres).
- Si tu ne veux pas mourir ici, vaudrait mieux que tu te bouges !
- Mais qu’est ce qu’il se passe Mick ? (Mick est mon meilleur ami, bien qu’il soit un peu bizarre, en effet c’est le fils de Poséidon).
- Il se passe que l’on se fait attaquer par un Lestrygon !!
Et oui je ne mène pas une vie normale, je combats des monstres car je suis mi humain mi dieux (un demi-dieu). Je suis fils de Zeus, et croyez moi, ce n’est pas la belle vie tout les jours.
- D’accord j’arrive, laisses moi le temps d’aller chercher Ouragan (mon épée, c’est Héphaïstos qui l’a forgée).

A mon arrivée en bas, un Lestrygon de trois mètres de haut faisait du grabuge dans la rue en dessous de mon immeuble. Quand il me vu, il ne mis pas longtemps à me foncer dessus. D’abord je l’esquivai en roulant sur le côté et lui enfonça mon épée dans la cheville. Le cri qu’il poussa alors à ce moment était à glacer le sang. Ne lui laissant pas le temps de se remettre, je lui plantai mon épée dans le ventre et, il disparût en laissant un tas de poussière derrière lui (c’est comme ça que les monstres disparaissent).

- Viens Dan maintenant il ne faut plus tarder, il faut rejoindre nos amis dans la grotte aux cristaux (la grotte aux cristaux est notre points de rendez-vous à moi et mes amis).
- Tu les as prévenus pour qu’ils nous retrouvent là-bas ?
- Oui, bien sûr, ils y sont mêmes déjà.
Arrivée à la grotte aux cristaux, ils n’y avaient pas que nos amis qui y étaient, trois chimères nous attendaient là (elles avaient une tête de lion, un corps de chèvre et une queue de serpent). Nos amis étaient déjà en train de les combattre, mais avaient du mal à les repousser et en plus les chimères crachaient du feu.
- On y va ! ai-je dis à Mick.
- Oui, a l’attaque !
Quand la première chimère s’est approchée de moi, je lui ai asséné Ouragan dans la figure, ce n’a pas dû lui plaire car juste après elle a craché du feu dans ma direction. J’ai cru que j’allais être grillé mais Mick s’est placé devant moi et a encaissé le choc des flammes sur son bouclier.
- Toujours aussi maladroit Dan, m’a-t-il dit.
Sans prendre le temps de lui répondre, j’ai coupé le corps de la chimère en deux. Après avoir poussé un cri effroyable, elle a disparu en laissant un tas de poussière. La disparition de la première chimère n’a pas dû plaire aux deux autres qui se sont avancé vers nous, mais elles n’auraient pas dû faire ça car Nicolas (mon ami, et aussi fils d’Arès) les a transpercé avec sa lance magique et m’a dit :
- Content de te revoir Dan, en m’adressant un petit sourire.

Après cette petite mésaventure, Nous étions tous dans la grotte. Moi, Mick, Nicolas mais aussi Louis et Charles (ce sont deux frères, leur père est Dionysos).
Nous discutions tous ensemble sur les évènements qui s’étaient produits quand nous étions tout seul chez nous. A la surprise générale, nous avions tous été attaqué par un Lestrygon.
- Les Titans se reforment, a dit Nicolas.
- Je crois aussi, ont dit les deux frères en même temps.
- Comme ça nous savons à qui nous avons affaire, ai-je répondu même si cela ne m’enchantait guère de me battre contre des Titans genre Cronos.
- Il faut que l’on prévienne les Dieux, ai-je dis.
- C’est déjà fais, a dit Mick, je viens d’envoyer un message par l’intermédiaire d’un poisson.
- Super, et qu’es ce que l’on fait en attendant, a dit Nicolas.
- Oui c’est vrai qu’es ce que l’on va faire, ont dit les deux frères.
- Je sais, nous allons nous rendre sur L’Olympe, a-tu encore tes billes de transportation instantané Louis ?
- Oui il m’en reste cinq assez pour nous rendre sur l’Olympe, mais pourquoi se rendre sur l’Olympe ?
- Nous devons nous y rendre pour demander aux Dieux de nous autoriser à faire notre enquête, pour savoir si les Titans sont réellement entrain de se réveiller.
- D’accord allons y avons-nous dit tous en cœurs.
- Mais d’abord une petite sieste s’impose, ai-je dit.
- Oui, nous sommes d’accord, ont-ils tous répondus.

A ce moment là, j’étais loin de penser que l’on se ferait attaquer pas quelqu’un d’extrêmement fort…